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Hélène

Chapitre 44

Les Bijoux

Erotique
Hélène : Bijoux
Chez Mel
Avec l’argent du divorce, je me suis acheté une maison. Elle est moins grande que celle de notre ex-couple, mais je n’en suis pas un ornement. Cette maison est à moi, je l’ai décorée à mon goût et j’y reçois mes amis, pas les relations de mon mari, dont la moitié passait leur temps à mater mon cul ou ma poitrine.
J’ai emménagé, il y a un mois, et j’ai invité mon petit monde à pendre la crémaillère. Tous mes invités sont arrivés. Mais bien entendu, Hélène est en retard. Elle aime être remarquée, c’est pour ça qu’elle arrive toujours la dernière.
On sonne. J’ouvre.Elle est magnifique. Elle porte une belle robe chemisier de soie rouge transparente. Le corsage est porté sur un caraco assorti, qui dissimule les rondeurs de sa poitrine. La large jupe plissée s’arrête à sa cheville, ne laissant apparaître qu’une petite chaîne au-dessus de sa malléole gauche. Une doublure descend au genou, pour éviter une transparente indiscrète.
Elle s’est joliment coiffée, laissant sa chevelure libre sur ses épaules. Maquillage discret, et rouge léger l’embellissent, mais un détail cloche : ses yeux sont légèrement cernés.A sa suite, son chevalier servant disparaît derrière un énorme bouquet de roses rouges et jaunes, leurs couleurs préférées.La fête tire à sa fin, je viens de raccompagner le dernier couple à la porte. Seuls mes deux amis sont encore là. Ma belle maîtresse a l’air crevée. Plusieurs fois dans la soirée, je l’ai surprise à fermer les yeux en soupirant, et en se cramponnant au bras de son amant.
— On t’aide et on y va, déclare Pierre.— Il est tard, restez, vous essaierez la chambre d’amis.— D’accord, mais on va ranger avec toi, me répond Hélène.
Nous nous organisons. Pierre fait le va-et-vient entre le salon et la cuisine.Je vide les assiettes dans la poubelle et je les passe à mon amie qui les range dans le lave-vaisselle.Un de ses seins a dû s’échapper de son balconnet, car je peux voir un petit relief rond en relief sur son caraco.
— Ma chérie, tu as l’air rincée ?— Non, ma poule, ce n’est pas ça. On finit et je te montre. me répond ma copine.

Nous laissons Pierre aller chercher quelques bagages dans la voiture et nous nous installons dans ma chambre. Nous nous asseyons côte à côte sur le bord du lit. Elle me demande :
— Défais mon corsage et regarde, s’il te plaît.
Je la déboutonne et je fais glisser le caraco au-dessus de sa tête. C’est la première fois que je vois sa poitrine depuis la cérémonie. Elle porte un élégant redresse sein. Ses mamelons percés sont décorés d’un très joli demi-anneau orné d’un beau cabochon rouge. Je tends la main.
— Ne me touche pas. Dessous, il y a une pointe qui s’incruste dans mon téton.— Quelle horreur !— Et ce n’est pas tout. Fait-elle en se levant.
Elle fait glisser sa jupe. Je laisse échapper un « oh » d’étonnement. Dessous, uniquement un porte-jarretelles assorti, et...Chacun des anneaux de ses grandes lèvres est attaché par un mince ruban et une pince, à la lisière du bas. Son sexe est ainsi maintenu légèrement entrouvert, laissant apparaître ses chaires intimes gonflées de sang.Mais ce n’est pas tout, l’anneau de sa nymphe droite est étiré par une petite chaîne supportant une lame épaisse en or. Je me penche, et je peux distinguer le prénom de son seigneur et maître, ainsi que le sien. Quant au clitoris, il est annelé de la même façon que ses seins.
— Mais comment tu peux supporter ça ?— Ma chérie, c’est atroce et jouissif à la fois. A chaque pas, je m’ouvre. Et elle continue.— J’adore aussi le balancement de la plaque qui étire ma petite lèvre.— Mais ton clito ?— C’est le pire et le meilleur. Parfois la douleur de la piqure, quand il se gonfle, me coupe le souffle. Et elle continue.— Mais comme le gland sort quasiment en permanence du capuchon, le moindre frôlement m’excite. C’est délicieux. Elle poursuit.— Et pareil pour mes poupoutes, c’est un subtil mélange d’excitation, de jouissance, et de douleur.— Mais, tu es embijoutée depuis quand.— Pierre me les a posés avant de venir chez toi et depuis, je suis sollicitée en permanence. Je dois me retenir sans arrêt pour ne pas tomber de jouissance.
Flash-back, Hélène
— J’ai un petit quelque chose pour toi. Fait Pierre en me tendant une petite boîte.
J’ouvre, dedans trois demi-anneaux d’or finement ouvragés. Et avec chacun une barrette et à côté, trois petits Swarovski rouges montés bizarrement sur un court pas de vis pointu.
— C’est pour ma poitrine ?— Oui, dégage-la de ton soutien.
Je prends mes deux seins par en dessous et je les lui tends. Il retire mon piercing en acier médical, et fait glisser la première barrette dans le trou de mon mamelon.
— Je ne te fais pas mal ?— Ça chatouille un peu.— Je te pose le reste du bijou.
Le demi-anneau est muni de deux petits embouts que Pierre visse aux extrémités de la tige qui dépasse de mon téton, il fait subir le même sort mon autre framboise.Je me regarde dans le miroir. Mes bouts sont comme sertis dans un demi-cercle d’or.
— Ça va très bien avec l’esprit de ma tenue.— Ce n’est pas fini, il faut poser les brillants.
Il prend en mains mon sein gauche et relève le demi-cercle à l’horizontale. Le pontet appuie légèrement sur mon bouton de rose. Il place le support du brillant devant un petit trou, au centre du bijou, et en face de mon méat.Il visse. La petite pointe s’enfonce progressivement dans ma chair.Au début, ça picote, puis c’est comme la sensation d’une piqure d’aiguille, en plein milieu de mon sein.
PierreJe suis dans les yeux d’Hélène, la progression de la pointe. Elle bat des paupières, puis ses yeux deviennent fixes, sa bouche s’arrondit dans un « oh » muet, puis elle laisse échapper un soupir.Je m’arrête. Et je fais subir le même supplice à l’autre sein.
HélèneJe me contemple dans la glace.
— C’est superbe, mais un peu douloureux. Et il faut que je mette un balconnet seins nus. Je reviens, je vais en chercher un.
Deux minutes plus tard, je suis de retour, mes seins embijoutés posés sur la dentelle rouge.
— Ça va ma belle.— Oui, un peu mieux.
Et j’ajoute.
— Resserre un peu, je te dirai stop.
Mon chéri m’obéit et s’interrompt.
— Continue ! fais-je, puis je l’arrête. Je reprends mon souffle, appuyé sur son épaule.— C’est terrible, et délicieux, je lui murmure dans le cou.
Je me recule et le regard planté dans le sien, je lui avoue.
— J’adore quand tu t’occupes de mes seins, et que tu tortures mes nibards, mon amour.
Pierre marque un silence et ajoute.
— Il y en a encore un.
Je marque une pause. Je ferme les yeux, je soupire, je comprends ce qui m’attend.Il s’agenouille. Je remonte ma jupe. Je fais tomber ma culotte sur mes chevilles.Il retire le barbell médical, puis pousse la petite barrette en or dans mon bourgeon. Je tressaille. Le métal doit frôler un nerf. C’est si fort que je frissonne du haut en bas, je vacille et je me rattrape en posant ma main sur le crâne de Pierre. Je soupire.
— Voilà, c’est presque fini, fait-il en posant le demi-anneau.
La sensation est extraordinaire. Le gland érectile de mon clitoris est tiré en dehors du capuchon. Le souffle de mon amant suffit à le faire gonfler de sang.
— Tu peux le porter sans le Swarovski.— Non, pose-le ! lui ordonné-je.
Je sais ce qui m’attend. Je l’ai déjà ressenti sur mes tétons. Il visse. Je sens la pointe agacer mon bourgeon. Il fait une pause.
— Continue, s’il te plaît.
Il reprend. Je soupire. Le sang afflue dans mon petit organe, mais aussi dans toute ma vulve. Je me liquéfie. Je tremble du haut en bas. Il stoppe. Il était temps, mes jambes allaient me lâcher.Ce n’est pas fini. Il relie les anneaux de mes grandes lèvres à la lisière de mes bas. Mon sexe ne peut plus se refermer. Je reste entre-ouverte.
— Regarde ! Fait-il en me montrant un petit lingot d’or aplati, muni d’une chaîne et d’un petit mousqueton.
Il pose un genou au sol, et tire légèrement sur la boucle qui orne ma nymphe droite, il y crochète la petite plaque et la lâche.
— Oh.— Je t’ai fait mal.— Non, mais c’est si surprenant, je me sens étirée, et ouverte.
Je me tourne face au miroir, ma robe relevée. Ma chatte bâille légèrement, un éclat rouge scintille sur mon clitoris et surtout cette plaque qui étire ma chair de façon obscène.
— Chaton, je suis ouverte devant. S’il te plaît, ferme-moi derrière.
Il m’incline sur le dossier du canapé. Il me trousse, et il m’écarte les fesses. Il se penche et il me fouille, il lèche mon oignon. Celui-ci, ravi de cette caresse, s’ouvre. Il glisse sa langue dans ma rosette. J’adore cette pratique. Mon sphincter bâille et s’écarte. Il me pénètre au plus profond.Les seins torturés, le sexe supplicié, et l’anus dévoré, je pars, foudroyée. Je sens à peine la pénétration de ma rondelle par le rosebud. Je reprends mes esprits. Pierre me redresse.
— On y va, Mel nous attend.— On y va. Lui réponds-je en saisissant son bras. Et Je fais quelques pas.
Je me bloque, cherchant mon souffle.
— Chérie ? fait-il inquiet.— C’est si terrible, le poids qui m’allonge, le picotement des seins, et l’excitation de mon bourgeon. Sans compter cette impression d’être ouverte à tout vent.— Heureusement que tu n’as pas le frottement de la culotte.
Retour au présent : Pierre.Je reviens dans la chambre d’amis : nos deux sacs Personne !Je vais dans la salle de bains, pas de traces d’eau. Ça sent le coup fourré des deux belles en cuisse.Je me douche en vitesse, et pendant que je m’essuie, j’entends venant du couloir un appel.
— Chéri, tu es propre ?
Je cherche un peignoir inexistant, et je me drape les reins dans ma serviette de bain.
— Tu viens ?— J’arrive !
Je me laisse guider par la voix de ma chérie devant la porte presque fermée de la suite de notre hôtesse.
— Entre !
Je pousse le battant. La chambre n’est éclairée que par une lampe de chevet, qui tamise la lumière.Les deux poulettes sont assises dans le grand lit de Mel. Elles ont remonté la couette au-dessus de leur taille. En revanche, elles n’ont pas couvert leurs seins. Hélène m’offre le spectacle de sa poitrine embijoutée.Elle me lance en riant.
— A poil, mon bel amour !
Et elle ajoute en tapotant le creux entre elles deux.
— Viens ici mon chaton, à moins que tu ne veuilles passer la nuit seul dans la chambre d’ami.
Fier comme un petit coq, je laisse tomber ma serviette et je fais trois pas pour me glisser sous les draps entre les deux coquines.
— Allonge-toi, je vais t’enlever les bijoux.
Elle s’exécute. Je libère ses mamelons, ne laissant plus que les barrettes.
— Ma chatte, viens me sucer mes nichons ! ordonne Hélène à notre hôtesse.
Pendant ce temps, je m’attaque au bijou de son petit haricot. Et je le débarrasse du demi-anneau, laissant le barbell.Ce petit bouton se gorge de sang, et se dégage du capuchon, comme une invitation. J’y colle mes lèvres, et je l’aspire.D’une main, je délie les petits cordons qui pendent encore aux piercings de ses lèvres. Et pour faire bonne mesure, je force son anus de mon index et de mon majeur disponibles.Ce coquin se laisse violer avec délice.Sa propriétaire commence à roucouler. Son bassin, puis sa poitrine ondulent sous nos caresses conjointes. Une morsure sur le clitoris, et elle part dans un grand râle de gorge.
— Ah, c’était trop bon, de me faire bouffer les nib et le clito par vous deux à la fois. Je vais bien dormir.
J’éteins la lumière.Je me coule en petite cuillère contre les fesses et le dos de mon amante. Derrière moi, Mel s’emboîte de même. Je sens ses pointes de sein contre mon dos.
— Tu es bien mon chéri.— C’est très agréable, et je ne risque pas d’attraper froid. Et vous Mel, vous êtes délicieusement voluptueuse.
Ma belle reprend.
— Mon chat, je sens ton enthousiasme entre mes fesses, mais cette nuit, je suis crevée. Je ne suis plus bonne à rien.— Mon cher Pierre, je suis à votre disposition en cas d’urgence, murmure Mel.— Toujours prête à rendre service ! répond ma belle.
Et elle poursuit.
— Mon chéri, je te l’interdis bien. Le candaulisme ne fait pas partie de mes perversions.
MelAu réveil, nous ne sommes plus que toutes les deux dans le lit. Je réveille Hélène.
— Ma chatte, ton homme est parti.— T’inquiète, il a dû aller chercher de quoi préparer un brunch, fait-elle d’une voix ensommeillée.
Nous sommes assises toutes les deux sur le bord du lit.Je me penche, et j’embrasse un sein. La belle poule se laisse faire. Puis je lui mordille un téton.
— Aie. Tu me fais mal ! fait-elle en me repoussant.— Je ne te voyais pas si chochotte, après hier soir.— Je voudrais bien t’y voir ?— Ça fait si mal que ça.— Je vais te montrer, fait-elle en se levant, et en se dirigeant vers le bouquet de fleurs.
Elle revient avec une rose jaune. Puis elle saisit le flacon d’eau de toilette sur ma table de nuit. Elle casse une épine, puis vaporise le parfum dessus pour la désinfecter.
— Attrape un de tes nichons de pouffe ! m’ordonne-t-elle.
Puis elle en malaxe et pinçote le bout pour le faire grossir. Elle appuie la petite pointe sur le méat de mon téton. Elle pousse. C’est sensible, mais pas douloureux.
— Mets ton doigt dessus. Je m’occupe de l’autre.
Elle prend une autre aiguille, la prépare de la même façon que l’autre. Elle se penche sur mon sein et l’embouche. Elle m’aspire, faisant gonfler ma framboise.
— Et voilà, il est assez gros. Et elle pose la pointe sur ma petite glande. Elle trouve mon petit trou et pousse.— Voilà, c’est rentré. Tiens-les bien. Et regarde-moi dans les yeux.
Je la fixe. Elle applique deux doigts sur les miens. Elle force. Les aiguillons s’enfoncent. Mes deux mamelons me lancent. Je respire plus fort, les larmes me montent aux yeux. Je tremble. Elle me regarde dans les yeux sans ciller. Elle continue d’appuyer. Puis relâche sa pression.
— C’est bon enlève tes mains, elles vont tenir toutes seules.
Je regarde mes mamelles. Les deux petits triangles restent fichés dans ma chair rosie.Elle me bascule en arrière, et m’écarte les jambes. Elle glisse un index fureteur dans mon anus. Elle plonge entre mes cuisses, elle suce mon clitoris, le mâchouille. Ce petit con gonfle, ignorant ce qui l’attend. Même avec cette promesse de douleur, je vais jouir quand...
— Mesdames, c’est prêt.
Hélène se redresse le museau barbouillé de ma cyprine, m‘abandonnant, frustrée, juste avant l’éblouissement.
— On arrive, mon chaton.
Elle s’essuie dans la soie de sa lingerie de nuit.
— Tu me laisses en plan ! la supplié-je.— Mais non. Et d’un geste vif, elle arrache les deux épines.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Une larme de sang goutte de mon bouton de rose gauche. Elle se jette dessus et la lèche. Une autre perle, elle se met à téter ma sève rouge.
— Arrête, espèce de vampire.— C’est bon, tu es salée...
Mel, fin de journéeVoilà, l’après-midi est presque fini, mes amis vont bientôt rentrer chez eux. Nous sommes dans le salon. J’adore ces moments passés avec eux, entre sexe, jeux câlins, et conversation.Et puis, quand ce gentil couple est chez moi, Pierre se comporte toujours avec prévenance. Ça me fait du bien d’être considérée comme une femme, et non comme une potiche ou un trophée à conquérir.Et j’ai toujours le secret espoir qu’Hélène m’en prête un bout, comme la dernière fois. Nous sommes installés comme d’habitude. Ma déesse dans les bras de son sultan, et moi la tête posée sur sa cuisse moelleuse, ma main caressant sa cheville. Je suis un peu tristounette.
— Hélène, s’il te plaît, j’aimerais les mêmes bijoux.— Je ne t’en demande pas tant.— Fais-moi percer ! S’il te plaît, Maîtresse.
Je l’ai appelée « Maîtresse », elle semble troublée, émue.
— Oui. Et elle s’adresse à son sultan.— S’il te plaît Pierre ?— Vous êtes folles. Me répond-il.— Est-ce ma faute si tu m’as initiée aux plaisirs du fouet et aux bonheurs de la soumission.— Ce jour-là, j’aurais mieux fait de me contenter de la position du missionnaire.— Et puis, c’est toi qui m’as demandé de séduire Mel.— Cette fois aussi, j’aurai mieux fait de me taire.
J’interviens.
— C’est quoi cette histoire ?— Pierre m’avait demandé de te faire découvrir d’autres facettes du plaisir.— Alors tu m’as draguée sur commande ?
Je me dégage et je m’approche de son homme.
— C’est vrai que vous lui avez demandé de me débaucher.— Pas demandé, je lui ai ordonné de vous pervertir !!!
Je le regarde dans les yeux.
— Merci.
Et je pose un baiser sur ses lèvres.
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