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Hélène

Chapitre 45

L'hôtel

Avec plusieurs hommes
Hélène :  L’hôtel
Mél
Voilà, je suis arrivée devant l’hôtel L…..C’est une belle journée d’hiver, froide et ensoleillée. Je déplie le message de ma belle, et je le relis pour la dixième fois.— Vendredi, tu te présenteras vers dix-huit heures à la conciergerie de l’Hôtel L….   — Au comptoir, tu donneras ton nom de femme mariée.— Dress code : tu n’auras qu’à imaginer comment je me serais habillée dans ces circonstances.
Je respire un grand coup et j’entre. Il fait chaud, je déboutonne mon  manteau, dévoilant un corsage  gorge de pigeon dont j’ai fait sauter deux boutons. Je l’ai assorti à une jupe plissée  anthracite, me descendant au genou,  et qui laisse voir la couture de mes bas gris perle. Un look mature bon chic bon genre. Dessous, une guêpière, couleur chocolat avec des demi-balconnets, assortis avec une culotte de dentelle. Ce genre de lingerie m’avantage : mon petit bedon est gainé, ma taille est serrée, mon opulente poitrine est à la fois maintenue et exposée. Et mes fesses sont dégagées quasiment jusqu’aux reins.
Pas de client au comptoir, je m’adresse sans attendre au concierge, ou plutôt à la concierge quadragénaire qui m’accueille avec un beau sourire.
— Bonjour, Je suis Madame Crurial, fais-je en essayant de cacher le léger tremblement de ma voix.— Nous vous attendions, Madame, la chambre 221B vous est réservée, fait mon hôtesse, en me tendant une clé électronique.
Je me tourne pour me diriger vers l’ascenseur quand elle m’arrête.
— Il y a aussi ça pour vous
Et elle me tend et un petit paquet et un autre très allongé, ainsi qu’une  enveloppe  portant la mention : « à lire dans la chambre ».
— Désirez-vous qu’un groom vous accompagne.— Non ça ira très bien.

Seule dans l’ascenseur, je me mets à trembler comme une feuille, l’angoisse, la crainte, le désir se mélangent. La suite est très élégante, avec un petit salon et surtout elle est équipée d’une très belle salle de bain avec une grande douche où on peut tenir à deux. Quant à la chambre, elle est dotée d’un grand lit, avec des parures blanches et jaunes  et devant chaque oreiller une petite boite de chocolat. Je m’assoie sur le lit, j’ouvre l’enveloppe, un petit bristol porte ces quelques consignes.
— Ma toute belle, ouvre d’abord les paquets, tu vas tout comprendre
D’abord le petit colis carré. J’y trouve une paire de menottes et un foulard noir.Ensuite la boite allongée. Je découvre une belle cravache gainée de cuir rouge. Pourquoi suis-je à peine surprise ? Je reprends ma lecture.
— Laisse la porte entrouverte.— Mets-toi à genoux, au bord du lit, puis bande toi les yeux.— Pose ta joue sur un coussin. Menotte toi dans le dos.— Mais avant, tu peux manger quelques chocolats, mais laisse m’en.
J’ai la gorge nouée, je n’essaie même pas de gouter les friandises.Je m’agenouille sur la housse de couette, je rapproche le polochon, je m’aveugle, je m’incline et j’appuie ma tête sur l’oreiller, je passe mes mains dans mon dos et je verrouille les entraves. Sous mon bandeau, je ferme les yeux. Je m’imagine, mon cul à disposition, attendant ce qu’on voudra bien me faire subir. Les images pornographiques défilent sous mes paupières. Je perds la notion du temps. Je sens une humidité suspecte souiller ma culotte. On ne m’a même pas touchée et je mouille déjà.
Je ne sais plus depuis combien de temps, je suis exposée. Quelques minutes ou des heures quand un souffle léger perturbe le silence de la chambre.Deux mains se posent sur mes chevilles puis remontent sur mes mollets, puis mes cuisses. Je frissonne, de crainte, d’angoisse, ou de plaisir. Puis une légère fragrance effleure mes narines. Je souris, rassurée, c’est le parfum de mon amie. Elle me trousse. La jupe rabattue sur mon dos,. Hélène  peut voir sur ma lingerie les signes de mon excitation. Ses doigts crochent l’élastique de mon slip, et le font glisser jusqu’en bas de mes cuisses. Je me dandine d’un genou sur l’autre et pour faire passer le tissu. Voilà mon cul est exposé.
Puis quelque chose me tapote l’intérieur de mes jambes. J’identifie sans peine la cravache. Ça y est ça va commencer. Complaisante, j’écarte mon compas, ouvrant ma vulve rosie par l’excitation. La coquine en profite pour glisser le jonc entre mes lèvres. Elle me branle et caresse mon bourgeon qui s’érige doucement. Je commence à gémir mon bonheur quand elle retire sa badine. Elle me fruste.Des lanières  caressent lentement mon opulent postérieur. J’imagine déjà le menu : martinet, et cravache. Comme une confirmation la première cinglée s’abat sur ma croupe, puis une deuxième, pas trop appuyées, juste une mise en bouche.
Les quatre suivantes sont plus sévères, et m’arrache un léger gémissement.Hélène fait une pause. Puis elle envoie quatre allers retours et me les laisse déguster.Mon cul me chauffe, mais ça n’a rien d’insupportable.Elle me fait attendre, alors par provocation, j’agite mes fesses, comme pour quémander la suite. Une série de cinq coups énergiques percute mon fessier. J’ai les larmes aux yeux.Un arrêt,  et le martinet me frappe de bas en haut, entre les cuisses, les lanières embrasent  mes lèvres et mon clitoris. La surprise et la douleur sont terribles, j’étouffe mon cri dans l’oreiller. Deux autres allers-retours balaient mon croupion, mais moins fermement que les précédents.
Une pause. Machinalement, j’ai compté les coups, j’en suis à vingt. Ça me trotte dans la tête, et puis une phrase me revient «  vingt et un, comme les roses ». Il en manque un.Mon amante autoritaire passe lentement  le jonc en travers de mes fesses, puis s’arrête et l’appuie au milieu de ma croupe.Je sais ce qui m’attend, je fais le vide en moi. Et d’un coup, je réalise que je ne suis pas bâillonnée, qu’on va m’entendre dans tout l’hôtel. Je serre mes mâchoires à faire craquer mes dents. Un sifflement, puis la sensation que mon cul est coupé en deux. J’essaie de maitriser mon hurlement,  je tremble de tout mon corps, mais je ne laisse échapper qu’un énorme soupir. Mais la tension est trop forte et je m’écroule en geignant.
Mon amour me laisse souffler, allongée et gémissante. Et elle me repositionne, cambrée,Elle me trousse à nouveau, exposant ma croupe zébrée. Puis elle me soulève aux épaules et me replace.  Mon cou se pose sur sa cuisse, et ma tête dans le creux entre ses jambesSous ma joue, je sens la douce caresse de la soie de sa jupe, et le petit renflement de l’attache de son bas. Sur l’écran de mes paupières fermées, j’imagine ma belle en dessous.
— Room Service !— Oui, c’est ici dans la chambre !— Madame. Fait une voix juvénile, en s’étranglant sur la dernière syllabe.
Non ce n’est pas vrai, elle osée faire entrer le serveur dans la chambre. Sous mon bandeau, je rougis d’exposer mon cul de jument balafré, et ma nacre intime trempée par ma lubrification. J’essaie de me redresser, mais la main de mon amie me bloque fermement la nuque, et me maintient dans ma position d’offrande.
— Entrez, jeune homme, posez le seau à glace ici, et servez les flutes de champagne, nous nous occuperons du reste.
J’entends le léger gazouillis des bulles, puis…
— Vous avez besoin d’autre chose Mesdames.— Non, ça ira.
La porte d’entrée se referme.  Des pas, étouffés par la moquette de la chambre, Des mains douces,  quasiment féminines caressent l’intérieur de mes cuisses. Elles m’écartent. Ma chatte s’ouvre, laissant suinter mon humidité intime. Le bout d’une langue inconnue rattrape une perle de mes sécrétions, elle effleure mon clitoris déjà érigé. Je laisse échapper  un léger soupir de bonheur. Une bouche se pose sur mon sexe et méthodiquement se met à lécher mes lèvres Un  visage se plaque contre mon entre jambe et explore mon vagin. Mon petit bourgeon est délicatement caressé par quelque chose de très doux, pas de la soie, mais quelque chose comme la fourrure d’un chat. Des dents mâchonnent mes lèvres intimes. Une langue s’insinue dans mon vagin. Je ne cache pas mon bonheur, mêlant soupirs et halètements. Après la flagellation, j’apprécie ces attentions buccales. Puis la dégustation de ma minette s’interrompt. 
Une main appuie sur mes reins pour me cambrer. Mon cul se relève, dégageant mon sexe. Il me saisit aux hanches. Un gland se présente à l’entrée de ma grotte, puis se glisse en moi, écartant ma vulve. Je suis aux anges, j’adore la levrette. Il me pénètre jusqu’aux couilles et s’immobilise, me laissant déguster cet envahissement.Il se recule, et entame ses aller-retours d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Fini la délicatesse du broute minou. Il me pistonne avec vigueur. Cet enthousiasme ne laisse pas indifférente, et je commencer à roucouler, puis à pousser des petits cris.
Hélène me bâillonne de sa main gauche. Elle glisse ses doigts dans mon soutien-gorge et saisit mon téton. Baisée, et pelotée je suis aux anges. Je vais partir quand elle plante ses ongles dans mon mamelon. Je contracte mes muscles intimes et je provoque ainsi l’éjaculation de mon baiseur. Je spasme et je m’effondre sur les cuisses de ma maitresse.
Je reprends pied, toujours appuyée sur ma douce domina. Je n’entends plus rien, mon amant d’une fois a du s’éclipser.J’ai l’impression qu’Hélène se dandine d’une fesse sur l’autre. Elle me soulève aux épaules pour m’agenouiller. Je ne sais pas trop ce qu’elle fait, mais elle fait beaucoup bouger le sommier. Puis elle me penche pour reprendre ma position. Mais ce n’est plus la soie de sa robe que je sens sous ma joue, mais la peau de sa cuisse. La coquine s’est troussée. Elle me tourne la tête de l’autre côté .J’ai le nez au-dessus de son sexe. Je peux maintenant respirer ses odeurs intimes mêlées à son parfum. Visiblement ma dernière prestation ne l’a pas laissée indifférente. Elle rabat sa jupe sur ma tête, m’isolant encore plus du monde.
Je n’ai rien entendu venir. Deux mains écartent mes fesses, puis une langue rappeuse caresse mon étoile bistre. Je soupire, je me relâche et elle se faufile dans mon anus, explorant chaque recoin de mon rectum. J’adore les feuilles de rose. Mon bouffeur de cul se retire.Je sens  un appui sur mon œillet. Ce coquin s’ouvre complaisamment. Mon enculeur pousse un bon coup et m’empale à fond. J’en ai le souffle coupé. Mon amant inconnu est un bel homme, ma rosette est dilatée à craquer. Il se recule, puis il revient. Il me pistonne en douceur, me laissant m’habituer à la taille de son gourdin.
Hélène gigote sur ses fesses. Elle met sa chatte à portée de ma langue.Et comme elle trouve que je mets trop de temps à comprendre, elle plaque mon visage sur son con trempé. Je saisi son clitoris percé  entre mes lèvres, je l’aspire, et je le lèche.Mon enculage s’accélère. Je ne suis plus qu’un trou  et une langue.La sarabande amoureuse s’emballe, mon amant me pilonne avec vigueur. Je flotte entre la bite de mon enculeur et la vulve d’Hélène. Son halètement s’accélère, elle va partir.Je lui mords le bourgeon avec délicatesse et  elle se laisse aller en arrière dans un spasme.Mon galant  explose dans mon cul. L’orgasme me balaye. Je tombe à plat ventre et je décule provoquant l’éjaculation qui se repend sur mes fesses.
Le calme retombe dans la chambre.Hélène me dégage de sa jupe. Elle déclique les menottes et me libère. Puis, elle se penche sur ma croupe et aspire  la crème laissée par mon visiteur inconnu. Elle dénoue mon bandeau. Elle me sourit.
— Allez ma belle, à poil et à la douche.
La douche à deux est comme d’habitude l’occasion d’un pelotage mutuel. J’adore tripoter Hélène qui pousse des petits gloussements pour m’encourager. Puis nous nous séchons et nous habillons.
— Penche-toi, les deux mains sur le lit et trousse-toi. M’ordonne-t-elle.— Regarde ce que je vais te mettre. Fait-elle
Elle me présente un rosebud taille L ou XL, agrémentée d’une jolie pierre jaune.
— Mais, ça ne va jamais rentrer. Réponds-je en essayant de protester— Chochotte. Se moque-t-elle en appuyant la pointe ovoïde sur ma rosette
Par reflexe, mon muscle essaie de résister, puis il cède. Pendant un instant j’ai peur qu’il se déchire. Mais non, le gland d’acier passe.
— Redresse-toi, qu’en penses-tu— Il est énorme, j’ai l’impression d’être complétement envahie— C’est précisément l’objectif, ma belle.— Et il est très lourd, j’ai peur qu’il tombe— T’inquiètes, il a eu du mal à entrer, il n’est pas prêt de sortir. Et maintenant occupe-toi de moi
Elle s’appuie d’une main sur le rebord du lit et de l’autre elle fait voler sa jupe de soie. Elle me tend le même objet, plus gros et beaucoup plus lourd, mais ornée d’un swarowski  rouge et écarte ses fesses à deux mains.
— Lubrifie moi, m’ordonne-t-elle— Mais moi, je n’y ai pas eu droit !— Moi, je suis la maitresse, et toi, tu es la soumise, alors lèche moi et rentre dans mon cul.
Comme elle me l’a appris, je salive abondamment son œillet, puis je roule ma langue en cigare et je la pénètre. Un petit gloussement montre son contentement.
— C’est bien ma douce, à toi de jouer.
Je présente le gland XXL devant l’orifice étoilé. Je pousse doucement l’œil de bronze s’ouvre complaisamment, en s’étirant. Il reste encore un tiers du but plug à entrer et pourtant le muscle n’est plus un mince liseré rose autour de l’acier. Je stoppe, j’ai peur d’exploser l’oignon de ma domina adorée.
— Je vais te faire mal— Ça fait partie du jeu, pousse un bon coup.
J’obéis et j’appuie fermement,  et merveille,  l’anus  gobe le rosebud. La belle enculée accompagne cet exploit d’un soupir d’aise, et se redresse, rabattant son vêtement.  — Allez, on va retrouver tes hommes.
Dans le couloir le choc de mes talons sur le parquet remonte jusqu’à mes fesses et secouant mon envahisseur. Chacun de ces mouvements stimule délicieusement mon rectum. L’ascenseur s’arrête, mais sous son inertie, mon petit locataire continue sur sa lancée étirant ma rosette vers le bas. Je manifeste ma surprise d’un petit « ah ».
— Qu’est-ce qu’il y a Mel ?— C’est ton cadeau j’ai cru qu’il voulait sortir.— Et alors c’était bon ?— Oui, plutôt agréable
Elle me prend par le coude pour sortir de la cabine et sortir dans le hall.
— Ma chérie, tu es devenue une vraie salope anale. Ton initiation progresse.
Nous faisons un détour pour poser la clé à la réception.
— Avez-vous apprécié le room service ? me questionne la concierge avec un sourire légèrement coquin— Oui tout à fait, mais j’ai été trop prise pour laisser un pourboire, fais-je avec un sous-entendu.— Ne vous faites pas de soucis, vous serez toujours bien accueillie ici, avec votre amie, par le personnel d’étage, me renvoie-t-elle complice.
Nous éclatons toutes les trois de rire.
— Allez viens on a rendez-vous au bar, fait Hélène en me prenant par le coude.
Quelques pas et nous arrêtons à l’entrée du lounge. Je parcours le salon d’un regard circulaire et je repère Pierre, qui nous fait un signe discret de la main. Il n’est pas seulHélène me tire par la main, et nous gagnions la table et les quatre fauteuils qui nous attendent. A côté de mon ami, une mince silhouette masculine se lève à notre approche.
— Mel, je te présente Marc. Marc, voici Mel, nous présente notre hôte.
J’observe notre invité ; il est jeune, vingt-cinq ans au plus, mince, vêtu d’un costume bleu roi,  pantalon étroit, veste courte sur un chemise blanche, pas de cravate. Il a un visage étroit, de beaux yeux marrons mais surtout il aborde un bouc brun roux bien taillé et une splendide moustache dont les bouts sont soigneusement remontés. On dirait un mousquetaire. Il me tend la main, je lui saisis, et ne la lâche pas.
— Je pense que nous pouvons nous faire la bise, lui dis-je en avançant mes lèvres vers sa joue.
Nous nous embrassons, je reconnais toute suite la douceur de velours que j’ai ressenti entre mes cuisses tout à l’heure.   
— Je suis ravie de faire la connaissance d’un homme aussi attentionné que vous, Marc.— Et moi de rencontrer une si délicieuse femme.
Nous éclatons de rire. Marc se dresse et prend congé de nous.
— Je suis attendu, je ne dinerai pas avec vous.
Il se dirige  vers la réception. Je le suis du regard. Une femme, dans nos âges,  en tailleur pied de poule, et foulard Hermès lui sourit. Elle lui prend la main, il dépose un bisou de cousine sur la joue, mais ça ne doit pas lui suffire, et elle lui prend les lèvres. Ils s’éloignent  vers la porte, et au moment de sortir,  elle se retourne et m’envoie un baiser du bout des doigts.
— Dis Hélène, tu l’as trouvé où— Ce n’est pas moi, mais Pierre qui s’est débrouillé— Marc n’aime que les femmes plus âgées que lui, il est l’amant exclusif d’une de mes amies, il continue— Elle adore se faire bouffer la chatte. Mais une malformation lui rend toute pénétration vaginale douloureuse.  — Mais il doit rester sur sa fin alors.— Marc est très patient et très doux. il l’a progressivement initiée, par glissement successifs au plaisir anal. Il la prend exclusivement en sodomie— Ça me rappelle mon initiation, complete Hélène.— Il est très attaché à elle. Ils ont des rituels charmants.— Comment ça ?— Dans la vie, elle l’appelle Marc, ou chéri, mais quand elle l’appelle minou, ou chaton, il doit se glisser sous sa jupe, et faire glisser sa culotte. Pour la suite vous êtes toutes les deux au courant, commente Pierre. Il poursuit— Une table nous attend au restaurant de l’hôtel, et la chambre est réservée pour la nuit.— Dis, mon amour, dans le sac dans l’entrée de la chambre, il y a une deuxième paire de menotte ? demande Hélène.— Oui bien sûr, ma chérie.— Chic, après le diner, on va bien s’amuser !!!
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