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Hélène

Chapitre 49

La contre visite troisième partie

Lesbienne
Hélène : La contre-visite : troisième partie

Je me réveille en sursaut, seule la faible lueur du réveil luit dans l’ombre de la chambre, il est quatre heures trente. Je ne me souviens que vaguement de ce qui s’est passé après ma jouissance.Elles m’ont détachée, puis conduite vers le lit, où elles m’ont déshabillée. Elles m’ont couverte d’une couette moelleuse, et se sont glissées, nues, chacune d’un côté, me prenant dans un étau voluptueux. J’ai sombré dans le sommeil.
Je peux distinguer à ma droite la blondeur de ma bourrelle, et sur la gauche, la masse sombre de la chevelure de mon autre maîtresse. Je referme les yeux, je projette les événements de la soirée sur l’écran de mes paupières. Je glisse ma main entre mes cuisses, et je commence à me caresser. Je suis en train de pousser un soupir quand une main se plaque sur ma bouche, une autre me bloque entre mes jambes.
— Chut, vous allez la réveiller.
J’ouvre les yeux, au-dessus de moi, je distingue la chevelure d’Hélène.
— Vous n’êtes pas très discrète.— J’ai fait un rêve érotique, et il faut bien que je me soulage !
Ses doigts écartent les miens et fouillent mon sexe, écartant mes lèvres et plongeant dans ma vulve trempée.Au passage, elle griffe légèrement mon bourgeon, m’arrachant un petit aïe.Elle me branle doucement. Puis un doigt se glisse dans mon petit trou.
— Pas par-là, c’est encore un peu douloureux.— Je m’en moque, c’est moi qui commande, et je fais ce que je veux.— Mais...— Il faut que vous y fassiez, Mel ne vous prendra plus que par-là, et elle poursuit.— Vous devez apprendre à vous donner par là, à genoux, c’est la position préférée de votre maîtresse, elle enchaîne à voix basse. — Et vous devrez aussi apprendre à vous agenouiller et tendre votre cul pour le fouet, vous verrez, c’est très bon.

Elle embrasse mon sein, et aspire mon mamelon. Ses phalanges s’agitent dans mes deux orifices. Je glisse ma main gauche dans sa chevelure pour appuyer sa bouche sur mon téton.Elle me branle avec vigueur. J’ouvre et je ferme spasmodiquement mes cuisses.L’orgasme monte. Je mords mon poing pour ne pas crier. Je me cambre. Elle croque ma framboise. Le flash, je pars.Elle dégage sa main de mes cuisses serrées. Je roule sur le côté, je me pelotonne contre elle, en chien de fusil. Je cale ma cambrure contre son petit ventre si chaud et si confortable.J’attrape son poignet, pour qu’elle empaume mon pauvre nibard martyrisé.
— Trop bon !!! fais-je à voix basse, avant de m’endormir.
Je suis réveillée par un bruit d’eau. Normal, la salle de bain n’est séparée de la chambre que par un mur de pavés de verre translucide.
Les deux femmes me tournent le dos. Mél savonne le dos de sa belle, puis glisse sur ses fesses.Sa main se faufile entre les miches pour une toilette plus intime. La brune se penche en avant pour faciliter l’accès de son sillon. Deux doigts enduits de savon s’insinuent dans son œillet et le massent, puis le rincent.
Hélène se redresse et se retourne. Elle pose sa main droite sur la tête de son amante, cette dernière s’agenouille. La domina brune son bassin en avant et écarte les genoux. Un filet doré jaillit, éclaboussant la poitrine de mon amie blonde. Mel se rapproche, le jet arrose son visage. Elle tourne la tête de droite à gauche en fermant les yeux, s’offrant à la pluie dorée. Les doigts de son amante se crochent dans sa chevelure, elle ouvre la bouche. Hélène plaque le visage de sa soumise contre sa vulve ruisselante de pisse.
Bouleversée, je me détourne et m’appuie contre la cloison de verre. Mon cœur bat la chamade.
Une main saisit la mienne, et m’attire sous la douche.
— Venez, on va s’occuper de vous, puis Hélène continue.— Normalement, c’est à la soumise de prendre soin du corps de sa maîtresse et de son hygiène.— Mais comme c’est ta première fois, on va te chouchouter, renchérit Mél.
Et joignant le geste à la parole, elle commence à me savonner. Hélène l’accompagne et me passe une éponge à peeling sur le corps. Mais elles en profitent manifestement pour me peloter. Je me laisse faire, trouvant ce tripotage plutôt agréable.Une main se glisse dans ma raie culière, et joue avec ma pilosité.
— Je m’excuse, je ne me suis pas fait épiler à cet endroit, j’ai eu honte.— Ce n’est pas grave si vous êtes propre, me répond Hélène.— Oui, mais ces poils noirs, ce n’est pas beau, rétorque la belle poule blonde.— Alors, faites-vous teindre, propose la brune.— Oui, fais-toi teindre en rousse, conclut Mél.— Vous n’y pensez pas ?— Si bien sûr, en tant que ta maîtresse, j’ai tous les droits sur ton corps et ta toison.
Elles me rincent, et ensuite nous nous essuyons mutuellement. Elles m’attirent sur le lit et m’y allongent sur le ventre.
— Y a du boulot, fait Mel.— Je prends la droite, et toi la gauche, répond Hélène.
Quelques gouttes fraiches tombent sur mon cul. Elles commencent à pétrir mes fesses avec énergie. Je suis trop bien, je m’abandonne, mieux, je participe en ouvrant mes cuisses. C’est une invitation, elles ciblent mon œillet, elles étalent l’onguent sur mon petit cratère. Puis un doigt polisson le pénètre, bientôt rejoint par un autre. Ils entreprennent un massage fripon. Je soupire d’aise. Je suis moi-même surprise de ma complaisance, moi qui me considérais comme une coincée du cul.
— C’est bon, retournez-vous.
Je me mets sur le dos, les yeux toujours fermés. Elles se partagent le travail. J’identifie les mains d’Hélène sur ma poitrine. Elle malaxe ma poitrine, sans oublier de pincer mes tétons. Quant à Mel, elle masse mon bedon et mes cuisses, évitant soigneusement de caresser mon sexe. J’en mouille de frustration. Je sens ma liqueur couler le long de mon périnée, de ma chatte à ma rondelle.
Je suis bien, je garde mes paupières fermées, même quand je sens un appui à droite de ma tête. Une odeur de sexe féminin et de savon intime frôle mes narines.Hélène s’est placée à califourchon au-dessus de ma tête. Elle se penche en avant et saisit mes chevilles, elle lève mes jambes et les écarte, offrant ma chatte et mon trou du cul. Une langue humide caresse mon clitoris, puis elle descend jusqu’à ma rondelle, puis pousse sur mon anneau plissé et le pénètre, puis se retire.
Un objet arrondi se présente devant ma rosette. Mon sphincter résiste, mais la lubrification facilite son forçage. Le gode me dilate et passe sans forcer. Je suis moi-même étonnée de la complaisance de mon anus. Mais depuis hier soir, plus rien ne me surprend. Maintenant que je suis empalée, Hélène repose mes jambes, légèrement repliées, pour me laisser accessible.
Elle se pose sur mon visage. Elle se dandine et colle sa rondelle contre ma bouche. Je glisse ma langue dans son anus. Celui-ci s’ouvre et gobe ma langue. Je me pousse en lui, en même temps qu’il m’aspire. Je tourne mon muscle dans son rectum. Elle roucoule sous ma caresse. Je suis heureuse de la faire jouir.
Mon pistonnage anal redémarre. J’adore cette sensation d’être empalée. Le leurre de verre coulisse sans peine, je peux sentir le délicieux frottement des reliefs du pal contre mon œil de bronze. Je n’ai jamais connu un tel plaisir à la sodomie.
Ma jouissance monte, je halète, la bouche dans la raie culière de ma domina. D’un coup, elle se laisse tomber, elle m’étouffe avec son cul, je bats frénétiquement des bras comme une noyée.Je m’asphyxie, mais je n’essaie pas de repousser ma maîtresse.Elle se soulève, je prends une grande goulée d’air, Mel m’empale avec brutalité. Mon anus explose et mon orgasme avec.
— Ça va ?
Mes deux maîtresses sont penchées avec sollicitude au-dessus de moi.
— Tu as des orgasmes spectaculaires, ma belle, commente Mel.— Vous m’avez tuée toutes les deux.— Reprenez vos esprits. Il va falloir se rhabiller, conclut Hélène.
Nous nous rhabillons les unes les autres, ce qui leur donne encore l’occasion de me tripoter.
— Dites Hélène, vous vous êtes fait mal aux fesses. Tout à l’heure, sous la douche, j’ai vu comme un bleu.
Elle me fait un demi-sourire et ajoute.
— Ma chère Anne So, je suis une femme comblée. J’ai un compagnon attentionné, un amant tendre et attentif, et un maître délicieusement cruel, qui sait me mener dans les chemins sombres de la perversion, et elle complète :— Et tout ça dans le même homme.
Mel reprend alors.
— Moi c’est pareil, une amie délicate, une amante câline et une maîtresse si inventive.— Au fait ma poulette, il faut que je te rafraichisse. Mets-toi à quatre pattes sur ton lit, et Hélène continue.— Anne So, troussez-la et baissez sa culotte.
Je m’exécute, dévoilant la croupe de ma belle maîtresse. Celle-ci me demande.
— Tiens-moi les mains.
Je m’agenouille près du bord du lit. Je lui bloque les poignets.
— Tu l’as rangée où, ma poule ? lui demande Hélène.— Dans la commode, dans le tiroir du haut, ma chérie.
La chérie en question farfouille dans le meuble, et se place derrière sa soumise, la cravache à la main.Mel fixe son égard dans le mien et arrondit ses lèvres dans un baiser muet. Puis elle baisse ses paupières. Elle frissonne.Un sifflement traverse la pièce. Mel se cabre, elle ouvre des yeux exorbités, sa bouche s’ouvre dans un hurlement muet et se met à trembler de façon incoercible.Elle s’abat sur le côté en geignant.
— J’ai mal, j’ai trop mal.
Nous la prenons dans nos bras et nous la câlinons quand...
Dring...
— Ça sonne ! Ça doit être le brunch ! Anne So, peux-tu ouvrir s’il te plaît ?
Je cours à la porte. Derrière, un paquet de cartons plats cache à moitié le coursier.
— Mel, c’est le livreur, qu’est-ce que je fais.— Tu le mets dans la cuisine.
Je le guide jusqu’à l’office. Il pose les boîtes sur la table. Je peux l’observer. Il n’a pas le look deliveroo. Jean noir, chemise de la même couleur, les manches remontées sur les avant-bras, des souliers rouges bien cirés. Il fait ma taille ou un peu plus, je lui donnerai une bonne cinquantaine, crâne rasé, et une élégante barbe de trois jours. Il reste là, près des paquets, souriant, les bras ballants. Je me sens un peu gênée.
— Je m’excuse. Je n’ai rien sur moi pour le pourboire.
Un énorme éclat de rire retentit derrière moi. Puis Hélène me contourne et enlace le livreur et lui roule un patin d’enfer. Ils se séparent.
— Anne Sophie, je vous présente mon chéri,
Il me tend la main. Un peu godiche, je la prends et je bredouille un vague bonjour.
Nous déjeunons tous ensemble. Pierre, en parfait majordome, a dressé la table et étalé les mezzés et les sushis, et comme dessert, une salade de fruits frais. Notre pseudo livreur fait le service, je suis même étonné de son aisance dans une maison qui n’est pas la sienne. C’est un moment agréable, et en plus, ils ne monopolisent pas les échanges, ils m’incluent dans leur conversation, et me laissent me mettre en valeur. On papote, on plaisante, on rit, mais on ne se chambre pas.Et c’est déjà la fin de l’après-midi.
— Bon ! Il faut que je rentre, et je poursuis.— Quelqu’un peut me poser à la gare ?— Vous n’y pensez pas, lance Hélène. Elle continue.— Chaton, tu peux déposer Anne-So ?— Oui, mais tu me prêtes ta voiture, elle est plus facile à conduire dans Paris.
Le retour s’est passé en silence, perdue dans mes pensées. Pierre a une conduite fluide et apaisée. Je n’ai pas vu le temps passer.Il se gare pile-poil devant mon immeuble. Il descend, et m’ouvre la portière.
— Voilà, vous êtes arrivée.
Je bredouille une banalité.
— Je peux vous proposer un café.— Je vous remercie, mais je suis un peu pressé de retrouver Hélène.— Elle a de la chance de vous avoir, vous êtes si gentil, si tolérant, si conciliant.— Vous vous trompez, je ne suis ni conciliant ni tolérant.— Mais Hélène...— Hélène est ma soumise, elle sera punie pour son inconduite.— Punie, mais c’est Mel qui a tout fait.— Je suis son sultan, et comme tel, j’ai toute autorité sur elle, et il complète.— Ce soir, elle sera fouettée. D’ailleurs, je suis sûr qu’elle est déjà en train de se faire préparer, et il conclut.— Bonne nuit, Anne-Sophie.
Il me plante, déboussolée sur le trottoir. J’ouvre mon sac pour y prendre mes clés. La lumière du réverbère me renvoie un éclat bleu.

Récit de Pierre.
Hélène s’est installée, penchée sur le dossier du fauteuil, Mel lui bloque les mains sur l’assise.Le chat à neuf queues est posé sur l’accoudoir. Un petit tas de soie est entortillé autour de sa cheville.Je fais voler sa jupe sur son dos. Son cul est à ma disposition.Je caresse la croupe opulente avec les lanières du martinet. Ses fesses opulentes frissonnent d’impatience.
— Ça s’est passé comment, le retour avec Anne-So ?— Très bien, pas de problème sur la route, et je continue.— Elle est à point.— Ça tombe bien, moi aussi, ajoute-t-elle en frétillant du croupion.

Anne-So
Je me tourne et me retourne dans mon lit, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Je fouille dans mon sac à main, et je récupère le rosebud. Je salive et je le lubrifie. Je le pousse, violant moi-même mon anus, je me branle en repassant sur l’écran de mes paupières le film de mon week-end, l’entrejambe humide de Mel, le crochet, la flagellation, mon godage, la chatte d’Hélène, la toilette intime des deux femmes, la pluie dorée, mon enculage, l’anus goûteux de mon amante brune. Et maintenant, j’imagine Hélène flagellée sur le meuble. Jamais une baise avec un de mes amants ne m’avait autant bouleversée. Il faut que je revoie Mél. Je veux être à elles.

Epilogue : Mel
Au fait, vous demandez si j’ai réussi ma vente. Eh bien non, aucune des trois maisons ne leur convenait.Mais un jour, un bien rentre. J’appelle tout de suite Anne So.Elle vient seule : son mari lui a laissé carte blanche.Je la récupère à la gare et nous partons directement en visite. Une fois dans l’entrée, elle a pris mon poignet et pose ma main sur sa croupe. Sous la soie fine de la jupe plissée, je sens l’absence de culotte. Je fais glisser mes doigts dans son sillon entre ses fesses. C’est tiède et moelleux, j’insinue mon index jusqu’à son anus. Je sens comme un objet dur. Cette coquine a gardé mon cadeau au chaud. J’appuie puis je relâche ma pression, elle soupire.Elle me sourit. Je l’entraîne dans un salon aussi grand que le mien.
— Tu vois, tu as de la place, tu pourras caser tous tes meubles et d’autres que tu chineras dans la vallée.— Tu me donneras l’adresse d’un antiquaire spécialisé en mobilier british, fait-elle coquine.
Elle a été conquise et a acheté cette demeure. Et après ?
C’est une autre histoire.
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