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Hélène

Chapitre 51

Confession d'Anne-So

Lesbienne
Confession d’Anne So.

Je suis bien. En paix avec moi-même, comme après une demi-heure de méditation. Je me suis installée, nue, au milieu du salon, deux petits coussins sous mes genoux, pour attendre mes deux amies, j’ai croisé mes doigts derrière ma tête. Je suis leur jouet et j’en suis heureuse.
Tout à l’heure, je me suis apprêtée pour elles : douchée, pomponnée, et surtout je me suis nettoyée en profondeur. Je sais que je vais être tripotée, malaxée, et fouillée de partout.Alors, je me suis fait un lavement. J’adore la sensation de l’eau tiède qui m’envahie, puis celles de mes entrailles qui se relâchent. Et pour finir, je me suis injectée une infusion de thé à la menthe.Je serai gouteuse, pour celle qui s’aventurera là.
J’ai presque atteint la cinquantaine. Je suis ce qu’on appelle une belle plante. En avançant en âge, j’ai pris un peu de gras. J’ai une très belle poitrine, mes seins ont une taille comprise entre le pamplemousse et le melon. Mais ils se tiennent bien. Et pour harmoniser le tout, j’ai un beau cul imposant.
Un jour, j’ai été prise d’un coup de folie. Je me suis jetée à la tête d’une agente immobilière, Mel.Mal, ou plutôt bien m’en a pris. Dès le début, elle a entrepris de m’initier à la domination féminine.Puis, elle m’a expliqué qu’elle était elle-même la soumise d’une autre femme, Hélène.Et un soir, je me suis livrée à elles. J’ai aimé.
Mes chéries me sont partagées mon corps et mes plaisirs : mes seins à Hélène, et mon cul à Mel.Mel est ma maitresse, mais Hélène est ma déesse. Elle me fascine.
Vu de dehors, c’est une quinqua pétillante, et charmante. Ce n’est certainement pas un canon, l’âge et les vicissitudes de la vie l’ont un peu marquée, quelques rides, et peut-être un ou deux kilos en trop, mais bien placés.Je ne l’ai jamais vu négligée. Toujours en tailleur, ou en robe, ou en jupe et chemisier. Jamais en pantalon. Elle m’a d’ailleurs avoué qu’elle adorait que son homme pose la main sur ses jambes, et lui caresse les mollets, et les genoux, voire plus haut.Mais dessous ? Porte-telle une culotte, ou sa plaque de soumise se balance-t-elle en liberté entre ses cuisses. Son anus est-il enculé par un rosebud XL. Ses tétons sont–ils stimulés par les bijoux rouges. Ses fesses sont-elles marquées d’une récente flagellation ?Je ne peux m’empêcher de me poser ces questions chaque fois que nous nous rencontrons.Et puis un obscur désir m’obsède : me permettra-t-elle d’assister à une de ces sessions de soumission qu’elle réclame à son maître.


Cela fait maintenant deux mois que je me suis donnée à elles, et qu’elles ont commencé mon dressage.
Elles ont pris possession de mon corps. Pour elles, je me suis fait teindre en rouge acajou et maintenant, je porte une coiffure courte avec une nuque bien dégagée. Comme le dit Mel, c’est bien pratique pour les bisous dans le cou. Et Hélène ajoute que ça met bien en valeur le collier de chienne et la laisse.
Elles m interdisent de m’épiler, juste le maillot, mais je dois garder ma pilosité anale, à peine retaillée.J’ai dû faire teindre mon vison intime de la même couleur acajou que ma chevelure. Et puis, mes deux maitresses m’ont obligé à me faire décolorer l’anus. J’étais rouge jusqu’aux oreilles quand je me suis mise à quatre pattes, devant l’esthéticienne. Et quand elle a étalé le produit sur ma rosette, j’ai mouillé comme une salope. Ce que mes copines ont abondamment commenté pour ajouter à ma honte.

J’ai longtemps été gênée par mon abondante poitrine, et pas seulement quand je faisais du sport. Je ne supportais plus que mes collègues ne me regardent pas dans les yeux. Je traitais mes seins de nichonaille et plein d’autres termes péjoratifs. J’en avais tellement marre que j’envisageais une réduction mammaire.
Et puis un jour, alors qu’elle avait glissé une main dans mon décolleté, Hélène m’a déclaré qu’elle adorait mes poupoutes. Et surtout qu’elle aimait jouer avec mes nichons. Depuis, c’est toujours le même rituel. Elle fait glisser les bretelles de mon soutien-gorge, et défait l’agrafe dans mon dos, elle rattrape mes melons au vol, elle les pétrit avec douceur. Puis elle s’attaque à mes tétons, elle les fait rouler entre ses doigts, puis les pince fortement, et les embouche pour les aspirer et les faire gonfler.
Depuis que je subis ce traitement, mes tétines sont devenues très excitables et hyper sensibles.Elle les suce jusqu’à ce qu’elles soient grosses comme des framboises, et dures comme du bois. Puis quand je suis au bord du plaisir, elle les croque. Elle les coince entre deux canines, et les mord, jusqu’au sang parfois. La douleur est atroce, et délicieuse. Je me mords le poing pour ne pas crier, et pourtant, j’appuie sur sa nuque pour plaquer sa bouche sur ma mamelle.
Quand elle me libère, elle m’agenouille et elle guide ma tête entre ses jambes, elle rabat sa jupe sur mes épaules. Je respire à plein nez son odeur de femme. Je me glisse jusqu’à sa chatte déjà trempée, et je la lape. Puis, quand elle en a assez, elle se cambre légèrement et pousse ma bouche, jusqu’à son anus pour que je lui mange le cul, jusqu’à la faire jouir.
J’adore ces moments de soumission. Et surtout, j’ai recommencé à aimer mes seins, sources de tant de plaisirs ignorés.
J’ai changé de tenue, je m‘habille bon chic bon genre, mais pas mémère. Avec Hélène, nous avons révisé ma garde-robe. Pour le boulot, rien que des tenues sages, mais pas de pantalons, que des robes ou des jupes. Et une taille au-dessus de mes anciens vêtements, pour ne pas être moulée, et ne plus avoir de marques de sous-vêtements. Comme ça, je fais bourge bien sage.
Mais dessous, c’est bas, avec serre-taille, et soutien-gorge, ou guêpière obligatoire. Et quand nous sommes de sortie, les soutiens emboîtants sont interdits, je ne porte que des balconnets ou des redresses-seins.
Leur grand jeu, pendant le shopping, c’est de me faire essayer des corsages ou des jupes avec une légère transparence. Et d’entrer dans la cabine pour me débarrasser de mon slip.Une fois, j’ai essayé une jupe plissée transparente, avec un ourlet juste au-dessus de ma cheville. Mais la doublure s’arrêtait à mi-cuisse. A peine assez pour cacher la lisière de mes bas. Et elles ont confisqué ma culotte.
Dans l’escalator du centre commercial, j’avais l’impression que tout le monde voyait mon cul par transparence. J’étais à la fois honteuse et excitée.Mais il n’y a pas que l’exhibition au menu. Il y a aussi les plaisirs de la flagellation…
J’entends un bruit de clés dans la serrure. Puis un joyeux…
— Salut ma chérie, et puis la voix d’Hélène…— Quelle jolie position de soumission.
Elles me prennent les lèvres, chacune leur tour, sans oublier de peloter mes nichons et mes fesses.
— On t’a apporté des petits cadeaux, ma chérie, fait Hélène en déposant deux petites boites allongées.
J’ouvre la première et j’y trouve un gros paquet de baguettes cylindriques rouges, comme celles d’un resto chinois. La deuxième contient les mêmes sticks, mais en blanc.
— C’est quoi ?— Je vais t’expliquer, mais d’abord lève-toi, et tend moi tes seins, me répond ma domina brune.

Récit d’Hélène.
J’adore les seins d’Anne So. Ils sont magnifiques, on dirait de gros pomelos, avec des auréoles rosées foncées. Et si sensibles, dès qu’on les touche, elles deviennent grumeleuses, comme si elles avaient la chair de poule.Je fouille dans mon sac. J’en sors deux petites pinces circulaires, avec une légère dentelure.
— Ça te dit, fais-je en lui présentant les petits objets de torture.
Elle bat des paupières en guise d’acquiescement. Je prends le premier téton entre pouce et index, je le fait rouler entre mes doigts, je l’étire. Elle soupire. Il grossit sous l’afflux du sang. Je continue de le tripoter, de le pincer. Il gonfle jusqu’à ressembler à une fraise. Je traite son jumeau de la même manière.Depuis que nous avons entrepris l’éducation sensuelle d’Anne-So, les délicieux mauvais traitements que je fais subir à ses merveilleux nichons les ont rendus très sensibles et extrêmement excitables.Et en plus, elle aime ça.Ses tétines sont prêtes, à moi de jouer. J’enserre la base de la framboise dans les deux demi anneaux circulaires et je serre. Je fais attention de ne pas bloquer la circulation du sang, mais suffisamment pour que le gros bout soit congestionné, Il se gonfle encore. Le méat se dilate légèrement. Elle est à point. Je caresse son mamelon gorgé de sève. Elle râle, à la limite de la souffrance et de l’orgasme.
— Maintenant, ma chérie, mets-toi à genou sur l’accoudoir du fauteuil pour nous offrir ton trou mignon.
Elle s’exécute. Cette position la met en valeur, le cul haut perché, les cuisses légèrement écartées, laissant voir sa moule au milieu de sa fourrure acajou, et ses gros seins pendant, à disposition.
— Ma poule, on va jouer au mikado avec ton petit trou si serré. Mel et moi allons y introduire une à une des baguettes. Pour moi ce sera les rouges, et pour ta chérie ce sera les blanches. Quand tu voudras que nous arrêtions, tu diras stop. Et tu donneras la couleur de la dernière baguette. Et si tu as vu juste, tu ne seras pas fouettée.
Elle marque une petite pause, et reprend.
— La couleur de la dernière baguette enfoncée désignera ta fouetteuse. Tu es d’accord ?— Euh…— Je prends ça pour un oui. Pour commencer, on va en mettre quatre, et on introduira les autres au sein du fagot, comme ça, tu seras dilatée progressivement, et elle poursuit.— Ouvre-toi, je vais te lubrifier.
Je prends un petit flacon de gel, et j’en fais tomber un mince filet dans la raie culière ouverte à deux mains.Je câline l’œillet serré, puis je pousse mon index dans le cratère. Je le masse en cercle de plus en plus larges. Il s’entrebâille. Il est à point. Je glisse les quatre sticks dans son anus.
— Je commence : j’en mets une rouge.— C’est à moi, une blanche, indique Mel.
Chacune notre tour, nous ajoutons en silence notre baguette à la botte qui élargit la rosette de notre victime.Anne-So commence à avoir un petit fagot dans son trou du cul, presque aussi gros que la verge de mon chéri. Elle soupire à chaque nouvelle baguette. Je veux dilater son sphincter juste assez pour que ce soit inconfortable, ou même un peu douloureux. Mais je ne veux pas la blesser.Je veux que son dressage anal la fasse un peu souffrir, mais que son entrainement lui donne en même temps l’envie de ces plaisirs pervers.
— Regarde, ça doit lui plaire, elle mouille, me confie Mel.— Ça me donne une idée, arrête-toi cinq minutes, je reviens.
Je reviens de la buanderie avec deux pinces à linge. Je lui tapote l’intérieur des cuisses pour qu’elle les écarte un peu plus. Je fouille dans sa fourrure acajou. J’écarte ses grandes lèvres, puis je masse doucement les petites. Je les étire un peu pour qu’elles dépassent de la vulve, elle gémit légèrement de bonheur. Je saisis la nymphe gauche entre pouce et index, puis je l’enserre entre les deux mâchoires de la pincette. Je les laisse se refermer délicatement. Un petit geignement me répond.L’autre lèvre subit le même petit supplice.

Anne So.
Voilà, je suis le cul en l’air, l’anus dilaté, les tétons gonflés et étranglés, et les lèvres pincées.Le tripotage de mon sexe m‘a fait perdre le fil. Je ne sais plus si la dernière baguette était rouge ou blanche.Je me sens ouverte, forcée, ma rosette est douloureuse. Et en plus, je vais perdre. Allez encore cinq bâtonnets, et je fais arrêter mon supplice. Je compte dans ma tête, une, deux, trois, quatre, le dernier stick s’insinue dans mon derrière, mon cul va exploser.
— J’arrête, fais-je dans un soupir.
Mel se penche vers mon oreille.
— Quelle couleur ?— Rouge !— Perdu, c’est blanc, tu seras fouettée, et c’est moi qui aurait ce plaisir !— On va vous installer en crapaudine, complète Hélène.— Mais on va te débarrasser avant, décide Mel.
Je sens une sensation de coulissement dans mon œillet, puis mon muscle cesse d’être douloureux.
— Je t’enlève les dernières en une fois, ça va te faire tout drôle, ma chérie.
J’ai l’impression de n’être qu’un trou béant. Et pour ne rien arranger, Hélène souffle doucement sur ma rosette distendue. Il y a comme un courant d’air qui me chatouille. J’essaie de resserrer mon sphincter, mais rien n’y fait. Vais-je être déformée à vie ?
— Mets-toi à genoux et penche toi en avant, m’ordonne Mel.— Maintenant passe tes mains entre tes jambes, et attrape tes malléoles.
Elle en profite pour lier mes chevilles et mes poignets. Charitable, ma déesse brune brune glisse un oreiller moelleux sous ma joue. Elle se débarrasse de sa jupe et de son chemisier, et se montre en guêpière et petite culotte. Je ne peux m’empêcher de remarquer la tache humide qui macule sa lingerie. Elle la fait tomber avec grâce, et l’enjambe. Elle sort ses seins du balconnet, et replie les bonnets pour former un petit coussin façon push-up, et repose ses poupoutes dessus.
— Voilà, comme ça, ils sont presque aussi gros que les tiens.— Ton homme t’a offert combien de roses, ma belle, la questionne Mel.— Vingt et une.— Alors, Anne-So, ce sera vingt et un coups de martinet sur ton beau cul.
Hélène dépose un gros coussin en face de ma tête. Elle s’assoit dessus, les jambes largement écartées. Elle me soulève aux épaules, et pose mon visage sur son con déjà trempé.
— Je me suis salie à cause de toi, alors tu vas me nettoyer.— Tranquillement, elle appuie ses mains sur ma nuque, et se laisse aller en arrière.— Commence Mel, lui ordonne-t-elle !
La première volée me fait me cabrer. Mais Hélène me plaque le visage sur sa vulve.
— Lèche.
Je gémis, la bouche dans sa chatte. Les lanières me cinglent alors que je m’active sur le bourgeon de ma belle. Elle me bloque la tête, alors que le martinet martyrise mon pauvre cul.
Mes fesses me brulent. Je n’ai pas compté, Je me suis concentrée sur la jouissance de ma domina. Elle gémit de bonheur sans s’arrêter. Je suis heureuse du plaisir que je lui donne. Je mange ses lèvres, je bois sa cyprine. Dès que je relève la tête, pour reprendre mon souffle, elle me plaque la figure sur sa moule odorante. Et pendant ce temps, Mel me flagelle avec une régularité métronomique.Je ne suis plus qu’une bouche à jouir, et de la viande à fouet, je suis aux anges.
Je râpe son clitoris d’un coup de langue. Elle part dans un violent orgasme. Elle serre brutalement ses cuisses et coince ma tête entre ses jambes, en m’appuyant ma bouche contre son vulve. J’étouffe, la tête me tourne.
Mel a arrêté de me fouetter, Hélène libère mon visage. Je bascule éreintée et essoufflée sur le côté. Ma flagellatrice délie mes poignets, je me pelotonne entre les bras de ma déesse. Elle prend mon cou entre ses deux mains et m’attire à elle, elle embrasse mes joues maculées de sa mouille, et fouille ma bouche de sa langue. Je me laisse faire, heureuse.
— Ma chérie, il va falloir te laver, et elle continue.— Mais avant, je vais m’occuper de tes seins.
Je baisse les yeux, mes tétons sont devenus presque violets, et gros comme mon pouce.
— Je vais y aller doucement, mais tu auras quand même un peu mal.
Je m’installe dans ses bras, et elle empaume mes seins par en dessous. Elle pinçote mes tétines. Je geins, les mâchoires serrées.
— Je vais d’abord les desserrer un petit peu.
Mes bouts me picotent, quand le sang revient dans mes framboises martyrisées.
— Maintenant, je les enlève d’un coup.
J’ai mal à hurler, je me mords le poing. Mais Hélène commence à masser mes bouts douloureux. Petit à petit, la douleur se transforme en plaisir. Elle se dégage, et m’allonge sur le dos. Elle embouche mon téton droit, et Mel le droit. Elles les aspirent, puis en cœur, elles les croquent avec leurs canines. Je tremble et je perds pied.Quand je reviens sur terre, elles sont penchées sur moi, et me sourient avec bienveillance. Hélène me lance
— Tu vois, deux maitresses c’est sympa, ça fait une par poupoute !— Ou une pour ton cul et l’autre pour ta chatte, continue Mel.— Ou une pour la cravache, et l’autre pour le martinet, poursuit ma domina brune.— Et on peut s’occuper d’une fesse chacune…— Surtout qu’avec ton cul, il y a de quoi faire.
Je les attire à moi, et chacune à leur tour, je leur roule une vraie galoche de lesbienne.
— Dommage que je n’ai qu’une bouche…— Viens, on va à la douche, conclut Hélène…
Elles m’entrainent dans la salle de bain. La pluie tiède qui m’arrose détend mes muscles crispée. Je suis épuisée, alors je m’appuie à deux mains sur le carrelage. Quatre paumes me caressent, faisant mousser le savon. Elles en profitent pour me fouiller devant et derrière. Je plane, mais je sens une légère tension dans ma vessie.
— Pouvez-vous vous vous tourner, il faut que je me soulage.— Bien sûr que non, fait Hélène, on veut assister à ce spectacle charmant.
Mel passe derrière moi et se colle à mon dos, elle passe ses bras sous mes aisselles, et empaume mes mamelles et commence à agacer mes tétons. Je ne peux plus me retenir, j’écarte légèrement mes jambes et je fléchis les genoux. Un jet doré jaillit de mon sexe.Hélène prend la pomme et la règle pour concentrer obtenir un jet concentré.Avec sa main droite, elle écarte mes lèvres, dégageant mon clitoris et mon méat.Puis, elle dirige la douche sur mon urètre, forçant l’ouverture de mon méat, bousculant au passage mon bourgeon décalotté.Je spasme violement, mes jambes me lâchent, je glisse doucement entre les bras de ma maitresse blonde.
Mes chéries me rincent, puis m’essuient et m’entrainent, nue dans la chambre C’est le moment que j’adore, quand je me glisse entre ces deux corps voluptueux. Trop bon.
Hélène.
Anne-So s’est placée entre nous deux, son somptueux derrière contre mon ventre. Je faufile ma main jusqu’à sa toison, et je joue à l’ébouriffer. Je murmure dans son oreille.
— Finalement, un vison bien entretenu comme le tien, c’est plutôt sexy. Je crois bien que je vais faire comme toi.— Mais que va dire Pierre ?— J’attendrai qu’il fasse une mission de consulting un peu longue, et je lui ferai la surprise.
Un petit moment de silence, et Anne-So reprend.
— Pourquoi vous ne m’avez pas marquée avec la cravache ?— Nous ne voulons pas que tu aies des traces. Tu es mariée, il vaut mieux qu’il ne connaisse pas tes penchants.— Je vais divorcer.— Pardon !!!— Le week-end, il ne venait plus à Chevreuse. Il disait qu’il avait du travail à finir à Paris. Et puis, un jour, il m’a proposé de garder la maison, et lui il resterait avec l’appartement. J’ai pris un avocat, lui aussi, nous allons bientôt conclure.— Ma pauvre…— Ne me plaint pas, il n’est plus rien pour moi, il peut baiser toutes les maigrichonnes du monde si ça l’amuse. Et puis je vous ai, toutes les deux maintenant.
Je glisse mes doigts entre ses fesses, pour me rendre compte de l’état de son trou plissé.
— Tu vois, tu t’es resserrée.— Dis-moi, ton homme t’a fait subir le supplice des baguettes.— Non, il veut que je reste tonique, mais il a fait pire.— Pire ?— Oui, il m’a fait faire casse-noisette…..
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