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Hélène

Chapitre 52

Ying Yang

SM / Fétichisme
Ying et Yang

Récit d’Anne So.
Ce samedi soir, nous nous sommes au petit resto où j’ai fait la connaissance d’Hélène. Pierre nous y a rejoint. Ils ont pris la banquette et se sont installés cote à cote. Je me suis installée sur le siège en face de la belle mature. Mél est à ma droite.
La quinqua s‘est mise en mode pimpante. Son corsage est largement ouvert, et laisse apparaître la dentelle de sa lingerie. Je plonge mon regard dans son décolleté. Pendu à une petite chaîne en or, un étrange bijou, en forme de clocher à bulbe savoyard, ou comme celui d’une église byzantine est niché profondément entre ses deux seins. Une pensée en appelle une autre. Porte–t-elle son bijou accroché à sa lèvre ? Mon esprit s’égare dans mes souvenirs érotiques. Toute à mes rêves, je vois un ongle rouge écarter la soie du corsage, et dégager la moitié d’une auréole rose foncé, et un téton percé discrètement gonflé.
— Eh bien ma belle, tu exhibes tes nibards.
Je sursaute, Mel vient d’interpeller sa maîtresse?
— Anne So était en train d’inspecter mon décolleté, alors je lui ai montré ma poupoute.— N’importe quoi… Tu es toujours prête à t’exhiber.— Et toi à mater, lui répond Hélène du tac au tac.
Le ton est donné. Pendant tout le diner, les plaisanteries fusent. Après le dessert, nous nous calmons un peu. La belle mature pose sa main à plat sur la table. Pierre glisse sa paume en dessus et leurs doigts se lient.
— Mon chat, qu’as-tu prévu pour ce soir.
Il porte à ses lèvres les phalanges de son aimée, et les baise.
— Ma chérie, tu ne seras pas déçue.

Récit de Pierre
En sortant du restaurant, il tombe un petit crachin. Nous nous partageons les parapluies, Anne-So et Mel, Hélène et moi.Elle m’a demandée de l’offrir en spectacle à ses amies. Nous distançons les deux copines et arrivons avec quelques instants d’avance à la voiture.
— Tu es sûre. On peut laisser tomber, et finir la soirée comme si de rien n’était.— Non, j’ai promis à Mel de l’aider à éduquer Anne-So, Il faut qu’elle sache ce qui l’attend.— Alors une autre fois.— Non, je suis impatiente de savoir ce que tu as préparé pour moi, et elle reprend.— Tu sais si divinement me faire souffrir.
Je la fixe. Elle a remonté le col de son manteau, ses cheveux coulent en deux bandeaux le long de son visage. Elle est belle comme une créature de Mucha, dont elle a les formes.Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est plus attirante à cinquante ans passés que jeune fille. Je l’étreints.
— Eh oh, les amoureux. On est là. — Cinq minutes, les filles. Je me fais câliner, répond ma chérie. Puis doucement, elle s’écarte.— On y va, je suis impatiente.

Récit d’Anne So
Dans le salon d’Hélène, je reconnais le meuble anglais. Je frissonne et je me serre contre Mel. Elle me rassure.
— Ce soir, tu seras spectatrice, me murmure-t-elle.— Il va la punir à cause de moi, fais-je en me rappelant notre conversation en bas de mon immeuble.— Es-tu bête, Pierre ne la fouette que sur sa demande.— Mais alors.— Il s’est un peu moqué de toi, ce soir-là.— Ah bon, il ne s’est rien passé, réponds-je, à moitié contrariée.— Si, il a bien joué du martinet et de la cravache sur son cul, mais c’était pour lui faire plaisir.
Notre hôtesse se tourne vers nous.
— Préparez-moi, s’il vous plait.
Mel déboutonne son corsage, je la débarrasse de sa jupe. Elle dégrafe son soutien-gorge, en accompagnant de ses mains le léger fléchissement de sa poitrine. Je fais glisser sa culotte, dévoilant un cul rebondi, j’en profite pour déposer un petit bisou sur une fesse. Elle ne porte pas son rosebud, mais sa plaque étire sa lèvre.Elle est maintenant en serre-taille en soie brodée, et bas chair dorés. Je respire son odeur intime. C’est un délicat mélange de son parfum et des effluves de son sexe humide. Elle sent si bon.Je lui prends l’avant bras et je l’aide à enjamber la traverse du chevalet. Elle est à plat ventre sur le meuble, elle tend ses mains derrière son dos. Mèl noue un lien dans ses cheveux et y attache ses poignets. Puis elle immobilise ses mollets contre les montants du chevalet. Nous nous installons dans le canapé.
Elle est presque prête. Pierre s’approche, tenant dans une main un bâillon anneau et une boîte plate allongée, en bois rouge.Il lui présente le mors. Elle ouvre sa bouche en guise d’approbation. Il boucle le lien de cuir derrière sa nuque. Il fait pivoter le chevalet.
Hélène est offerte au sacrifice, je suis fascinée par ses seins pendants, ses cuisses et ses fesses ouvertes et sa plaque de soumise.Il lui montre le contenu de la boîte. Elle bat des paupières, approuvant d’avance ce qu’il va lui faire subir
Pierre prend une très fine aiguille d’acupuncture, et s’agenouille devant l’intimité offerte.Il ouvre l’orchidée de sa victime consentante et déploie les petites lèvres, exposant son sexe et son anus.Il pousse une aiguille dans la longueur de la nymphe, elle soupire. Il fait subir le même traitement à sa sœur jumelle.
Il fait tourner le chevalet face à nous. Il glisse sa main gauche sous son cou, elle accompagne ce mouvement en jetant sa tête en arrière.Elle lui tend sa bouche. Il épingle la pulpe renflée de la lèvre inférieure, sur le côté gauche, puis le côté droit est traité de même. Il plante une troisième aiguillette dorée à la limite de la chair rosée et du nez. Sa respiration se fait sifflante et saccadée. Il fait tourner le chevalet.
Il nous présente le compas de la suppliciée. Du pouce, il caresse le périnée, puis l’anus.Il masse le sphincter de la belle, puis il plante une première aiguille dans le bourrelet anal, un petit aie de douleur lui répond. Il recommence avec une autre épingle à l’opposé de la première. La belle poule se contente d’un soupir.
Il la place de profil. Ses seins pendent, alors, lentement, il enfonce le métal dans un téton érigé. Elle tremble légèrement. Une pause, et toujours avec douceur, il perce la chair délicate. Il enfonce complétement le corps. L’autre mamelle est pareillement parée. La belle respire un peu plus fort.
Récit d’Hélène.
J’apprécie beaucoup d’être installée sur le meuble, j’adore y être exhibée, et assez étrangement, je trouve la position confortable. Et puis j’aime cette sensation d’être totalement disponible, je peux tout subir le meilleur comme le pire. Et souvent le pire est le meilleur. Les minces aiguilles d’acupuncture ne m’ont pas fait souffrir, elles sont tellement fines que je n’ai senti qu’une chatouille un peu intrusive. Qu’a préparé mon bourreau pour moi ? Il me présente la boîte à nouveau, il ne reste que deux aiguilles.Pierre se penche et gobe mon clitoris. Une fois gonflé, il le pince délicatement pour le maintenir et pousse les trois centimètres de la tige de métal dans le bourgeon érigé. Je sens l’acier glisser sur mon piercing. Il s’arrête.Il plante son regard dans le mien.
— Ta langue, s’il te plait.
Je la passe à travers l’anneau et je bats des paupières en signe d’accord. Il saisit à deux doigts le bout rose, il y pique la pointe. Il pousse. J’ai comme un goût de métal dans la bouche. Je ne peux plus rentrer ma langue.Il pivote le meuble et me place face à lui, il s’installe en tailleur dans le fauteuil.
Il me laisse en plan. La pose des aiguilles m’a peine chatouillée, mais je suis impatiente de subir le fouet, ou les pinces, voire même l’électricité.J’agite mon croupion, pour le solliciter, il me renvoie un sourire, mais ne bouge pas.
Je ressens comme un picotement dans mon sein droit. Ça se calme, puis ça reprend du coté de ma rosette. Ca s’arrête, puis ça repart sur une de mes lèvres. Comme en écho, c’est mon clitoris qui me picote. Puis ça revient sur ma langue. Mon autre poupoute me chatouille. Puis tout se calme, comme si chacune des aiguilles avait fait son effet.
Une étrange chaleur émane de ma vulve. Ce n’est pas désagréable, c’est même plaisant. Je sens que je coule. Je chauffe aussi de ma poitrine.
Soudainement, une décharge électrique me traverse de l’anus à la bouche. Puis c’est mes seins qui me lancent tout aussi brutalement. D’un coup, je comprends ce qui m’attend. Pierre a placé les aiguilles d’acupuncture de façon à stimuler les centres du plaisir et de la douleur.
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus. Un élancement douloureux me traverse. Puis un autre plus intense. Tous mes piercings m’excitent douloureusement comme si j’étais électrocutée. Je voudrais crier, mais l’aiguille de ma langue doit bloquer toute vocalisation.
Récit d’Anne So.
Le souffle d’Hélène s’accélère. Les extrémités des tiges s’agitent. Elle frémit de plus en intensément.Ses tremblements augmentent. Son corps entier tremble de plus en plus fort, les aiguilles vibrent à l’unisson.Je peux voir son anus palpiter, s’ouvrant et se refermant au rythme des frissons. Malgré son bâillon, je peux entendre son râle continu. Son corps tremble de plus en fort. Et d’un coup, elle s’arque en laissant échapper un énorme soupir.
Pause.
Puis ça redémarre. Je peux suivre le parcours de l’onde de souffrance à travers son corps. D’abord ses lèvres, puis son clitoris, son sein droit, son anus, et enfin le téton gauche.Et le cycle repart, les secousses sont de plus en plus violentes. Elle gémit sans s’arrêterJ’observe Pierre, il ne la quitte pas des yeux, attentif.

Récit d’Hélène.
La douleur court d’un organe torturé à l’autre comme une vague qui se retire puis revient. Mon corps m’échappe, esclave des aiguilles. Les décharges sont de plus en plus douloureuses, je suis effondrée sur le meuble, je geins sans arrêt. Je ne suis qu’une vibration de souffrance, je voudrais m’évanouir, mais ces stimulations continues m’en empêchent.
Pierre se lève et s’approche. Il saisit un des dards plantés dans mes lèvres, et le retire.La stimulation produite par l’aiguille plantée dans mon anus déclenche un spasme, suivi par un premier orgasme parti de mon clitoris. Puis un orage de plaisir parcourt tout mon corps. Je m’écroule anéantie par tant de jouissance.Mon bourreau adoré ôte l’aiguille de ma langue, puis détache le bâillon en O. Je reprends mon souffle. Il continue de me débarrasser, le retrait des aiguilles de ma rosette déclenche un dernier orgasme anal. Je perds pied.Je ne sens même pas qu’il me débarrasse des autres aiguilles.Tendrement, il me soulève, m’entraîne vers notre chambre, et me dépose sur notre lit.Il me couvre d’une couette moelleuse. Je m’endors.

— Réveille-toi.
Mes copines entourent mon lit, puis s’agenouillent sur la place laissée vacante par mon chéri.
— Tu as mal m’interroge Mel.— Non ça va.— Et là, fait-elle en appuyant un doigt sur un téton.— Et ici, ajoute Anne So en caressant mes lèvres intimes.
Je me retourne complétement sur le dos, j’écarte mas bras et mes jambes, et je me livre avec bonheur à leurs attouchements coquins.
Récit d’Anne So
Nous nous jetons sur la chair appétissante de notre maitresse. Nous la tripotons, nous suçons ses seins, son clitoris. Nos doigts envahissent sans vergogne les orifices à notre disposition. Elle ondule sous nos caresses.
— Eh bien, on s’amuse sans moi, lance Pierre en entrant avec le plateau du petit déjeuner.— T’inquiète, mon chaton, il reste toujours une place pour toi, lui répond Hélène.
Et elle gigote pour se placer en travers du lit, le cou cassé en arrière sur le bord du matelas.Le chaton en question dénoue la ceinture de son peignoir. En fait de chaton, c’est plutôt un beau matou.Il place une main sous sa nuque pour la soutenir, et l’autre sur son cou, sous son menton, pour la maintenir.Elle ouvre sa bouche en grand, il s’enfonce progressivement. Puis il entame un aller-retourHélène attrape ses cuisses sous ses genoux et m’offre son périnée et sa rosette. Je plonge. Je lèche son petit cratère. Il se déplisse et s’ouvre. Je glisse ma langue dans son œillet. J’y trouve une substance glaireuse. Je me redresse avec une moue mi- dégoûtée, mi- surprise. Mel croise mon regard. Elle fronce les sourcils et m’intime d’un mouvement de tête d’y retourner.
Je me penche et je ventouse ma bouche à son anus. Je cueille cette liqueur d’un revers de langue. Le goût est fort, mais pas écœurant. Je caresse l’intérieur du rectum de la belle jouisseuse.Elle étale ses bras en croix se livrant totalement. Mel en profite pour jouer avec ses seins, puis embouche un mamelon et l’aspire
Pierre pousse sa verge dans sa gorge, presque jusqu’aux couilles, puis se retire. A chaque fois qu’il force sa glotte, le sphincter de la belle se resserre autour de ma langue. Quand elle respire, son muscle s’ouvre, me libérant. Il se recule, la laissant haleter sous ma caresse et sous celle de ma complice.
Il l’embouche à fond, se poussant au-delà de sa glotte. Son œillet se crispe autour de ma langue. Il l’étouffe. Les mains de la suppliciée s’agitent frénétiquement, mais elle ne cherche pas à le repousser. Elle accepte son asphyxie. Puis il se retire complétement, elle aspire l’air à grande goulée, en criant comme une noyée reprenant son souffle. Et il s’avance à nouveau, mais se bloque une fois son gland dans sa bouche. Elle le tête goulûment. Il se raidit laissant échapper un soupir d’aise, elle déglutit. J’agite frénétiquement ma langue dans son rectum. C’est le moment que choisit Mel pour lui mordre le téton. Elle spasme de bonheur. Elle se cabre et s’abat se dégageant de nos caresses. Elle se roule en boule, les yeux toujours fermés. Elle murmure.
— Mes amours, vous m’avez tuée.
La belle alanguie se redresse sur un coude.
— Les filles, je veux être un peu tranquille avec mon homme. On se retrouve en bas dans une heure.
Mel et moi, quittons leur suite, et nous allons nous nettoyer mutuellement dans la salle de bain attenant à la chambre d’amis. Elle m’interroge.
— Tout à l’heure, tu n’avais pas l’air enchantée.— Il y avait quelque chose dans son cul, j’ai été surprise.— Pierre a dû l’honorer par là. Hélène aime être enculée après avoir été fouettée ou suppliciée, et elle complète.— Tu as goûté le sperme de son homme, un peu mariné.— Mais toi, tu aimes ça ?— Oui, ma belle, tu t’y feras. Au début, tu cajole l’anus de ta maîtresse par soumission. Puis, ensuite, tu apprécies le plaisir que tu lui donnes. Et après tu aimes fourrer ta bouche au milieu de ses fesses et lui bouffer le cul, peu importe ce que tu y trouves.— Et toi, tu l’as déjà fait.— Oui, la première fois, pour la consoler, elle avait beaucoup souffert, et Pierre venait de la sodomiser. Devant son cratère encore ouvert, et baveux, je n’ai pas pu résister. C’était un goût très fort, mais finalement agréable. Et elle ajoute.— C’est même pourquoi je t’ai encouragé à manger Hélène.
Un silence.
— Pourquoi m’avez-vous invitée hier soir? Pas seulement pour un petit spectacle, et une séance d’amour au féminin, je suppose ?— Elle te plait, et tu ne lui es pas indifférente. Et puis elle adore s’exhiber en soumise. Elle sait aussi que toi comme moi, nous aimons le spectacle de la souffrance de notre déesse.— C’est vrai qu’hier ça m’a plu, et excitée.— Je m’en suis rendu compte dans le lit, après, et elle conclut.— Tu sais maintenant ce qui t’attend si nous restons amies.

Après la douche, nous rejoignons nos hôtes dans le grand salon, où Pierre a disposé un brunch sur la table basse. Visiblement, les deux amoureuses appliquent un dress-code : le matin, après la douche, c’est lingerie de nuit, avec dentelles, soie, et transparence.
Et pour le déjeuner, c’est tenue correcte exigée.Enfin tenue correcte !!! Ce sont des robes ou des jupes fluides, longues ou courtes, chemisier à boutons, ou haut très échancré, et dessous un ensemble de lingerie complète : bas, porte-jarretelles, soutien-gorge, et de préférence une culotte, pour le plaisir de se la faire enlever

Hélène est coulée entre les bras de son homme. Seuls ses yeux marqués trahissent les excès de la veille. Elle prend la main de Pierre, et la glisse dans son soutien-gorge, entre sein et dentelle. Mél glisse sa main de la cheville gainée de nylon, vers le mollet
— Chéri, que m’as- tu fait, hier soir ?— Avec les aiguilles, j’ai déséquilibré ton Ying et ton yang, du côté de la douleur. Et les différents nœuds que j’ai stimulés ont amplifié tes sensations, en entrant progressivement en résonnance.— Mais pourquoi de tels orgasmes aussi spectaculaires, questionne Mel.— Quand j’ai ôté la première aiguille, j’ai fait basculer l’équilibre Ying/yang de la souffrance vers le plaisir, et il conclut.— Ta jouissance a été à la mesure de ta douleur.
Un ange passe. Puis Mel prend la parole.
— Pierre, vous pourriez initier Hélène à ce jeu, pour qu’elle nous le fasse subir ?
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