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Hélène

Chapitre 53

La facherie, première partie

Trash
La fâcherie, première partie.

Récit d’Anne So.
Ils sont cinq, deux trentenaires, dont un black bien musclé, un beauf bedonnant, dégarni, avec des rouflaquettes, et deux quadra, ni beaux, ni moches. Ils sont là pour se partager une bourge mature à gros seins, comme ils disent. Ça tombe bien, je corresponds au cahier des charges. Sur le sol, un grand matelas avec une housse propre. Derrière moi, celui qui tient la caméra rappelle les détails de l’annonce :
— Pas d’anal. Ni doigt, ni queue, pas de langue dans le cul. Pour le reste, elle est à vous pour une heure.
Je m’avance au milieu du groupe, les pantalons tombent, je prends une grande respiration, je dénoue la ceinture de ma robe, et j’en écarte les deux pans. Je ferme les yeux. Ça va commencer.

Deux semaines auparavant. Récit de Mel
— Pouffiasse !— Blondasse !— Radasse !— Gros cul !
C’en est trop, je pars en claquant la porte. Anne So ne s’est pas regardée, son derche est quand même plus imposant que le mien. C’est d’ailleurs un de ses charmes
Je n’ai pas répondu à ses appels. Et elle a cessé d’essayer de m’appeler. Maintenant ça fait une semaine que nous sommes fâchées.
J’ai de la peine, Anne So me manque. Alors, je me suis réfugiée chez Hélène et Pierre, ce samedi soir. Nous sommes installés tous les trois dans le grand canapé, dans notre position favorite : ma belle maitresse allongée, contre le torse de son homme. Elle a pris sa main et l’a glissée dans son décolleté. Quant à moi, j’ai posé ma joue sur sa cuisse confortable, j’ai faufilé mes doigts sous sa jupe plissée, jusqu’à la peau au-dessus des bas.

— Tu te rends compte : elle m’a traitée de gros cul. C’est l’hôpital qui se fout de la charité.— Elle n’a pas tout à fait tort, tu sais.— Tu ne vas pas lui donner raison, quand même ?— Ma chérie, dis-toi bien que si tu avais été maigre, je ne t’aurais même pas regardée.— Et puis, complète Pierre, vous n’êtes pas la seule à avoir trouvé l’amour grâce à vos rondeurs.
Je marque un temps d’arrêt et je demande.
— Qu’est-ce que tu me conseilles.— Tu rentres à la maison, tu prends une douche, tu te mets sous la couette et tu l’appelles.— Mais, c’est à elle de m’appeler.— Si tu tiens à Anne So, il faut faire les premiers pas.
Je réfléchis un instant et...
— Tu as raison, j’y vais tout de suite.
Je gare la voiture devant ma porte, et machinalement, je ramasse le courrier. Au milieu des pubs, une enveloppe blanche, sans adresse, avec seulement mon prénom. Je reconnais instantanément l’écriture de mon amie. Dedans, il n’y a qu’une clé USB.Le ventre serré par la trouille, je la connecte au port de la télé, et je lance le visionnage
Le premier plan est celui du pare-brise d’une voiture qui s’arrête. Puis l’objectif descend sur le siège passager, cadrant une paire de genoux bien ronds, serrés l’un contre l’autre, à travers la fente d’une jupe. Instinctivement, je les reconnais, je les avais matés quand elle était montée dans ma voiture. Ceux sont ceux de ma très opulente amante.Elle ouvre sa portière, et descend. La caméra l’accompagne, suivant le roulis des fesses de la belle. Elle ouvre la porte d’un appartement en rénovation. Cinq types l’attendent. Elle s’avance, dénouant les cordons de sa robe. Elle ne porte que le minimum : un redresse sein et une paire de bas auto-fixants. Mais je ne peux m’empêcher de trouver ses formes pulpeuses splendidesLe beauf tend les deux mains et dégage les seins des balconnets, et tire les bouts.
— Eh les gars, matez ces nibards, je me réserve la première cravate de notaire !
Les hommes qui l’entourent commencent à caresser son corps ainsi offert. Le grand black appuie sur ses épaules et l’agenouille face à lui. J’entends un ordre.
— Ouvre.
Elle embouche son gland, s’arrêtant à la moitié de la tige.Les longs doigts couleur café se glissent dans la courte crinière acajou. Il appuie puis relâche la tête de ma chérie. Deux autres mains saisissent chacune un poignet, et les posent sur deux verges demi-molles. Elle agite ses doigts faisant bander les deux autres protagonistes. Je peux entendre clairement des bruits de succion.Les allers retours de la chevelure de ma rouquine s’accélèrent. Brutalement le black lui bloque le visage contre son ventre. Ma belle lâche les deux queues, elle s’étrangle, elle bat désespérément des bras, mais n’essaie pas de s’appuyer sur les cuisses pour repousser son baiseur qui l’étouffe.
Il la libère. Elle pousse un cri de noyée qui reprend son souffle. Les deux quadra la retournent et la couchent sur le dos. J’ai à peine le temps de voir la toison acajou de ma belle qu’un des quadras l’enfile, couvrant de son bide la fourrure soigneusement taillée. Les gros seins naturels de ma mature pulpeuse s’étalent sur son torse. Deux paires de mains s’en emparent, pincent et tire les tétons. Elle n’a pas le temps de crier, que le beauf s’installe sur son torse et enserre sa bite entre ses deux seins Il se masse la queue dans ses mamelles. Un autre bloque la tête de mon amante et lui baise la bouche. Quelques va et vient, et il se dégage. Il agite quelques instants son poireau. Il asperge la poitrine malaxée et les doigts de celui qui la tripotaient.
— Eh t’es con, j’en ai plein les mains.— T’as qu’à t’essuyer sur sa touffe.
Ils éclatent d’un rire gras ponctué de l’éjaculation de celui qui profanait son ventre. C’est le début d’un gang bang général. Ils la prennent et reprennent par ses deux orifices disponibles, elle se laisse faire sans résistance, elle n’est plus que de la viande à baiser. On lui pelote les seins, on lui lèche les tétons, on lui claque les fesses, on lui caresse le clito et on lui enfile des doigts, on lui baise la bouche, on l’étouffe à coup de bite. Elle est assaillie de toute part.
Les cinq males font une pause. Anne So, épuisée, s’effondre doucement sur le sol. Les baiseurs l’entourent et empoignent chacun leur membre. Ils se branlent, recherchant une dernière érection. Le grand black la prend sous les aisselles et la redresse. Il se place derrière elle, et la cale, à genoux. Il croche ses grands doigts dans sa crinière rousse.Il tire sa tête en arrière, offrant son visage et sa gorge. La première éjaculation l’atteint sur la pommette, sous l’œil gauche, et glisse le long du nez, vers ses lèvres. Les autres mictions suivent, souillant sa bouche, ses joues, son front, ses cheveux
— Eh les gars, sa chatte coule.— T’inquiète, on ne va pas laisser perdre.
Le beauf attrape un gobelet plastique et le glisse entre les cuisses d’Anne So, et récupère le liquide blanchâtre qui s’écoule. Il se relève.
— Bloque-lui la tête.
Un des trentenaires se met derrière elle et place ses mains sur ses tempes. Il lui casse la nuque en arrière. Le beauf vide doucement le verre sur le visage de ma soumise. Le mélange glaireux de sperme et de cyprine s’écoule sur la racine des cheveux, le front, les paupières fermées, les pommettes, sa bouche.La caméra s’avance, cadrant le visage maculé en gros plan. Ses yeux grands ouverts, elle fixe l’objectif, ses lèvres souillées s’entre-ouvrent. Je peux entendre distinctement les mots suivants.
— Si tu ne me reprends pas, je recommencerai. Et en prime, je leur donnerai mon cul !
L’écran passe au noir.
Je suis abasourdie, anéantie. Je regarde ma montre. Le gang-bang a duré plus d’une heure. Une heure de sexe crade et dégueullasse.Je prends mon portable, et je pianote frénétiquement un SMS.
— J’arrive, et j’ajoute.— Décrasse-toi à fond.— Et lave-toi les dents.
J’envoie le message. J’attrape mon manteau et mon sac à la volée, avec juste un coup d’œil pour vérifier que j’ai bien les clés de la maison d’Anne So.
Je sonne et je fonce dans l’entrée. J’entends un bruit d’eau. Je traverse le couloir, le salon, la chambre à coucher en me débarrassant de ma jupe, et de mon corsage, je jette mes talons. Je suis en dessous. J’entre dans la douche à l’italienne.
Anne So
Ma maitresse est magnifique. Elle est trempée, elle a gardé ses sous-vêtements, qui lui collent à la peau. A cause de l’eau qui ruisselle sur son corps, sa lingerie est devenue transparente. Je peux clairement distinguer ses tétons percés à travers la dentelle de son soutien-gorge. Elle me lance.
— Salope !!!— Ta salope, ma chérie !
Elle pose sa main sur ma tête.
— A genoux, enlève ma culotte !
Je fais glisser la soie mouillée le long de ses jambes. Elle danse d’un pied sur l’autre pour se débarrasser du linge trempé et le jette loin du receveur. Elle écarte ses genoux, elle glisse ses doigts dans ma chevelure trempée, et tire mon visage vers son sexe. Quelques gouttes éparses tombent sur ma poitrine, puis un jet doré puissant inonde mon visage. Elle m’asperge son urine, elle me nettoie du jus de mes baiseurs.
— Ouvre ta bouche.
Je lui obéis et j’avale sa pisse. Elle me plaque sur sa cramouille. Elle m’arrose les yeux, le nez les lèvres. Je la bois. En me souillant avec sa pluie dorée, elle me purifie.Son flux se tarit, elle me relève et me plaque sur le carrelage de la douche, elle m’embrasse à pleine bouche mêlant nos salives et son champagne. Elle me fouille la chatte avec brutalité. De l’autre main, elle me pétrit mes mamelles.Elle glisse de ma fente à ma raie culière, et m’encule de deux puis trois doigts, elle tord mon téton. J’hurle de souffrance et de bonheur. Mes jambes me lâchent. Je m’écroule ses pieds.Elle se laisse glisser à mes côtés, haletante, et surprise de son propre déchainement. Nous reprenons notre souffle, dans les bras l’une de l’autre.Je dégrafe son soutien-gorge, en me collant à ses seins.Elle me redresse avec douceur. Elle me savonne avec tendresse, appuyant sur mes fesses opulentes, ma poitrine généreuse, fouillant ma chatte, doigtant mon anus. Je suis aux anges.
— A moi maintenant, me commande-t-elle.
Après que j’ai pris soin du corps de ma maitresse, elle m’ordonne.
— Va sur ton lit, et à plat ventre.
Je lui obéis. Elle monte sur ma couche et s’installe à cheval au-dessus de moi.
— Ecarte les jambes.
Je m’ouvre, attendant la fessée. Ses deux mains m’ouvrent les fesses. Elle se penche. Je sens son souffle sur ma raie. Une caresse râpeuse agache mon œillet. Je me détends. Elle fouille au milieu de ma fourrure anale. Elle écarte mes poils et elle dépose un petit baiser sur ma rondelle. Elle pousse sa langue humide dans mon cratère. Elle me fouille le rectum.J’adore.Elle se retire, puis me pénètre à nouveau, m’offrant une deuxième fois le plaisir de sentir mon anus forcé par sa langue. Elle la tourne, sollicitant tout le tour de ma rosette. Je pars dans un râle.Elle me retourne.
— Bouffe-moi la chatte.
Et elle se pose sur mes lèvres. J’empaume ses fesses et je plaque son con sur ma bouche.Elle embrasse ma foufoune, puis entame un cuni voluptueux.Toute la nuit, nous nous occuperons à faire jouir l’autre.Le sommeil nous prend au petit matin.Seule la sonnerie de la porte d’entrée nous réveillera.
— Va ouvrir !— Mais je suis à poil.— Mets tes talons, et va ouvrir, répète Mel.
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