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Hélène

Chapitre 57

Au poil ! , deuxième partie

Hétéro
Hélène : Au poil, deuxième partie
Vendredi soir suivant, j’ai presque oublié cette histoire. Je me suis mise au lit, en déshabillé.J’attaque la lecture d’une revue professionnelle, mes lunettes sur le nez. Et oui, j’ai pris un peu d’âge, et donc de presbytie. J’ai choisi une monture rectangulaire, qui me donne une allure très sérieuse, voire de bourge coincée.J’entends la douche s’arrêter. Un peu d’attente, et Pierre sort de la salle de bain. Comme d’habitude, il porte son drap de bain drapé autour de sa taille. J’ai comme un sentiment bizarre.
— Approche chéri !
Je lui pose la main sur le torse. Il est lisse. Il y a quelques jours, quelques poils blancs se battaient en duel.D’un coup, je tire la serviette.
— Oh, mon dieu, tu l’as fait.
Sous mon regard, son sexe glabre commence à s’ériger. Je lève les yeux. Il a son petit sourire en coin.
— Tu l’as fait tout seul.— Non, c’est ta copine Françoise qui s’en est chargée.— Partout ? le questionné-je.— Partout, à la cire, me confirme-t-il.— Mais dis-moi, ça t’a fait de l’effet.— Un petit courant d’air.— Je ne parle pas de ça.— Tu sais, je ne suis qu’un homme, et Fran a des mains très douces.— Ne me dis pas que…— Si… Elle a pu m’admirer en pleine forme.
— Heureusement, elle est lesbienne !— Peut-être ! Mais son regard s’est embué, et elle a en un léger tremblement de la lèvre. — Oh là là, elle va devoir me donner des explications. Et je continue.— Elle t’a parlé de casse-noisette ?— Oui.— Tu ne lui a rien dit.— Bien sûr, il faut qu’elle continue de croire que je suis un gentleman, pas un pervers.— Mais elle sait déjà que tu es un pervers polymorphe. ..
Je marque un petit silence, puis je change de sujet.
— Tu as eu mal.— Assez, oui, surtout sur mes couilles et mon trou du cul.— Pauv’ chaton…
Je le retourne, à plat ventre, et je me jette sur lui. Je lui écarte les fesses. Son anus imberbe semble me narguer.Je me penche, et je lèche sa raie culière, puis je câline sa rosette, il soupire, son œillet s’ouvre, je faufile ma langue dans son cratère, je la tourne dans son rectum.Je glisse ma main sous son ventre, il se soulève légèrement, et j’entame une lente masturbation.Il se redresse, et se retourne. Je l’enfourne aussitôt.
Je suis fan du sexe de mon homme. Il a de très belles couilles, avec une peau à peine plissée, juste assez grosses pour que je puisse les gober en entier. Mais ce que je préfère, c’est sa bite. Si je me réfère à J&M, sa longueur est dans la moyenne haute. Ce n’est pas Rocco Siffredi, mais elle est bien assez longue pour me chatouiller la glotte. En revanche, elle est plutôt large. Suffisamment pour distendre ma mâchoire, et m’étouffer délicieusement.Et j’adore quand elle force mon anus. Il n’a jamais voulu m’élargir, mais il a travaillé ma rosette pour qu’elle reste élastique et tonique. Comme ça, chaque fois qu’il m’encule, je ressens le plaisir d’être dilatée, comme le jour où j’ai perdu ma virginité anale. Et depuis, je suis devenue accro aux plaisirs sodomites, avec toutes leurs variantes.
J’embouche sa bite, et je l’engloutis jusqu’à ce que mon nez bute sur son ventre imberbe. Je me force à le garder enfoncé jusqu’à ma glotte. Je m’étouffe. Je me recule alors pour reprendre ma respiration. Je libère sa divine queue. Un filet de bave relie son mat et mes lèvresJe repousse la peau de la verge de mon homme autant que le permet l’élasticité du freinSon gland est magnifique. Il a une belle forme oblongue, il est rosé près du méat et légèrement violacé sur la couronne.J’embrasse son priape, et j’entame une fellation, alternant les gorges profondes, et les léchouilles du bout de la langue.
Je l’engloutis en entier. Mon menton bute sur ses couilles. Son pénis palpite légèrement. Prise d’une soudaine inspiration, je me recule, exposant le gland de mon chéri. Je n’ai pas le temps de le renfourner que Pierre gicle.Son premier jet m’atteint sur la pommette, et sur mes lunettes. Une deuxième palpitation, ma joue et mes lèvres sont couvertes de sperme. Il perd un peu de vigueur, et son mat s’affaisse légèrement. Il m’arrose en plein décolleté. Il tend la main pour m’essuyer, je l’arrête.
— Non, je veux me voir.
Et je cours me regarder dans le miroir de la salle de bain. Il y a des trainées blanches sur mes verres, un peu dans mes cheveux. Mon nez a été épargné, mais une coulée glisse de mes lèvres sur mon menton. Mon sein gauche est maculé, des gouttes ont atteint mon aréole.Pierre s’est glissé derrière moi, il se reflète dans la glace.
— Je ne fais pas trop salope.— Si, beaucoup.— Tu n’aimes pas.— Au contraire, tu es très bien en bourge spermée.— Tu sais, c’est ma première faciale.— Il était temps, puis il continue.— Viens, je vais te nettoyer.
J’entre sous la douche.
— A genoux, Chérie.
Je m’agenouille sur le receveur. En moi-même, je pense qu’il a de la réserve. Mais, au lieu de bander naturellement, il prend en main sa verge, et la dirige vers ma figure. Je comprends, et je ferme les yeux.L’urine me frappe en pleine face, elle éclabousse jusqu’à mes seins. J’ouvre les paupières. Je peux voir le méat de mon homme en gros plan. Je m’empare de sa bite. Je dirige le jet doré vers mon front et mes cheveux. Je m’arrose ensuite le visage, et je descends sur mes seins. Je vise mes tétons gonflés. Quelle délicieuse caresse.Je remonte la queue de mon chéri. Sa pisse atteint ma bouche de plein fouet. J’ouvre les lèvres en grand. La pluie dorée frappe mon palais, et me remplis les joues. J’avale ce champagne gouteux.J’embouche le pénis adoré de mon maitre, pour pomper les dernières gouttes.Je reste comme abasourdie de mon audace. Qui aurait cru que j’aurais plaisir à me transformer en urinoir ?
L’eau tiède de la douche tombe sur ma chevelure. Pierre me relève et commence à me shampouiner. Ce massage de mon cuir chevelu m’apaise. Ses mains glissent le long de mon cou, et remonte sur mon visage. Je ferme mes yeux pour éviter d’être irritée par le savon.Puis il s’occupe de mon corps. Ses doigts se faufilent partout pour un nettoyage en profondeur, nichons, chatte, clito, anus, tout passe. Je me laisse tripoter avec bonheur.Une fois lavée, séchée, pomponnée, direction le lit.Pierre s’est endormi. Je repasse les événements de la journée. Comment la bourge coincée s’est-elle transformée en salope avérée, et en soumise heureuse et consentante ?Et puis, que me prépare mon seigneur pour l’avenir.
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