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Hélène

Chapitre 58

Les sept , première partie

SM / Fétichisme
Hélène : les septRécit d’Anne SoJe boucle mes attaches de soutien-gorge sur mon ventre, puis je le tourne, et je glisse mes bras dans les bretelles. J’arrange mes gros seins dans les bonnets emboîtants de ma lingerie. J’agrafe mon serre-taille. Je me penche, j’enfile mes bas, et je les attache à mon porte-jarretelles.
Je fais défiler les cintres dans mon dressing, et je choisis un chemisier blanc bien sage, et une jupe, à large plis, descendant à la moitié de mes mollets.Pas de culotte ! Hier, j’ai reçu un SMS d’ Hélène, pour un rendez- vous shopping, ce soir, avec elle et Mel. Et il se terminait sur cette injonction. Et puis, j’adore me trousser pour m’asseoir le cul nu, et sentir le cuir de mon fauteuil de DRH sous mon croupion.A tout hasard, je glisse mon rosebud dans mon sac à main.Je suis heureuse de leur être soumise. Dans mon boulot, je ne suis qu’une fonction. Et pour mes collègues, une belle femme, que certains rêvent de tirer, pendant une soirée corporate. Quant à mon mari, n’en parlons pas, il ne me voit plus, je suis transparente. Quand nous avons acheté la maison à Chevreuse, il avait déjà dans l’idée de se séparer de moi.
Avec mes deux amies, j’existe, elles me sont attentives. Et même quand elles vont me flageller ou me supplicier, je suis leur unique centre d’intérêt. Et après, elles s’occupent de moi avec douceur.Je ne suis pas lesbienne, mais j’aime l’amour avec elles, elles sont si tendres, et aussi si cruelles.Je me vérifie. La couture de mon bas gauche est de travers, je la redresse. La douce caresse du nylon sur mon mollet et ma cuisse me ramène à cette soirée, quand Mel m’a livrée aux Sept.
Retour en arrièreJe suis impatiente. Ce soir, je vais être livrée à sept maitresses femmes. Mel s’est vêtue d’une élégante robe chemisier bleu nuit, serrée à la taille, jupe ample, ourlet sous le genou, et escarpins.Je sors mouillée de la douche. Ma maitresse me sèche, puis commence à m’apprêter. Elle rectifie ma toison. Sur les ordres d’Hélène, j’ai gardé mon vison, juste réduit au maillot, et je me suis fait teindre couleur acajou.
Je soulève mes gros seins, Mel glisse sous mes aisselles mon corset. Je repose mes nichons sur le cuir. Derrière moi, elle s’affaire avec les lacets, pour assurer une meilleure prise, elle appuie son genou sur mes reins et tire. Je suis presque étouffée, mais elle relâche légèrement les liens. Je respire un grand coup, et tout se place par miracle.
Ma chérie s’agenouille et fait glisser un bas sur ma jambe gauche, elle le fixe aux jarretelles.Elle fait de même de l’autre côté, puis elle me présente mes escarpins. J’y glisse mes pieds.Elle m’enfile une cagoule en dentelle, qui laisse libre ma bouche.

— Ouvre !
Elle pousse un bâillon boule entre mes lèvres et le boucle sur ma nuque.
— Mets tes mains dans le dos, et marche !
Je traverse mon salon jusqu’au miroir de l’entrée. Elle se colle derrière moi.
— Tu es magnifique, et elle poursuit.— J’aime quand tes gros nibards balancent au rythme de ta marche.
Sa main glisse le long de mes reins et soulève une de mes fesses. Un doigt coquin se faufile dans ma raie culière, et force ma rondelle complaisante.
— J’adore ton gros cul, et Hélène aussi. Elle m’a avoué qu’elle aimerait en avoir un comme le tien, pour exciter Pierre.
La sonnerie de l’entrée résonne. Je vais ouvrir, je suis déçue. La silhouette qui s’encadre dans la porte n’est pas celle d’Hélène, mais celle d’une grande femme, noire, aux traits fins de princesse abyssine.
— J’attendais mon amie,— Elle n’a pas pu venir, mais ne vous inquiétez pas, je connais le chemin.
Pendant tout le trajet, je suis dans un état second, repliée en moi-même. Je reprends pied quand nous passons le portail, et que la berline allemande s’arrête devant le perron d’une villa.Notre conductrice nous ouvre les portes de la voiture et disparaît. Mel me tend la main pour m’aider à sortir. Une fois dehors, elle ajuste mon masque, puis boucle un collier autour de mon cou. Elle me recouvre d’une vaste cape et dissimule mon visage sous la capuche. Je la questionne
— Je vais être punie à l’arbre ?— Tu vas à l’arbre, mais tu ne seras pas punie.— Pas punie, comment ça ?— Tu n’es pas une gamine qu’on punit, mais une amante sur le chemin de son initiation, comme Hélène, et moi l’avons été.— Pourquoi, n’ai-je pas les bijoux, ou le rosebud ?— Ne t’inquiète pas, les sept sauront quand même jouer avec tes seins et ton cul.
Je marque un silence, puis je demande.
— On y va ? Je suis prête.— Tourne- toi, s’il te plait.
Elle me menotte, les mains dans le dos, puis elle accroche la laisse au collier. Nous nous mettons en marche, sur le chemin éclairé de quelques torches. Une brise légère plaque la soie de ma cape sur mon ventre et sur mes seins, me rappelant la sensation que j’ai ressentie en sortant de chez Christine.Elles sont bien sept, près d’une table, sur laquelle sont disposées des flutes de champagne, ainsi que le seau pour garder les bouteilles au frais. Mais je peux aussi voir les différents instruments et accessoires de mes supplices.Hélène m’a expliqué que ces femmes sont toutes d’anciennes soumises. Et qu’elles ont toutes connu l’arbre. Et pour certaines, plusieurs fois. Quelques-unes y retournent parfois à la demande de leurs maitresses ou maitres, passant du manche du fouet à ses lanières. Et pour devenir membre de cet étrange club, elles ont dû aussi y amener une amante à initier. Et elle a conclu…
— Tu verras, elles sont plus cruelles que des hommes. Et il n’y a pas mieux pour te faire souffrir et jouir que des ex-soumises. Elles connaissent tous les points si sensibles d’une femme et savent en user et abuser.
Mel m’accompagne sous la ramure basse du chêne. Elle décroche la laisse, et m’abandonne dans le cercle de lumière. Elle disparaît dans l’ombre.Les sept femmes s’approchent de moi. Parmi elles, j’en remarque deux. La première, est très mince, habillée d’un ensemble de cuir qui la gaine du cou à la cheville, sa longue jupe est fendue jusqu’à mi-cuisse, et laisse apparaître la lisière d’un bas sombre. Une longue mèche blanche traverse sa chevelure sombre. Je comprends pourquoi Hélène l’a surnommée Cruella. L’autre, toute aussi brune, est vêtue d’une élégante robe sombre, surpiquée de fil d’or, mais elle s’est masquée d’un loup en dentelle noire dont le côté droit descend jusqu’au cou, cachant sa joue, et rejoignant le col officier de sa tenue. Et pour compléter l’effet d’asymétrie, elle a piqué sa chevelure d’une élégante aigrette noire.
Elles m’encerclent, une des spectatrices fait tomber ma soie, dévoilant mes formes de mature très opulente. Un « oh » admiratif accompagne la chute de mon vêtement.Cruella tend sa main et la place sous mon sein, et le soulève légèrement.
— Il est très beau. Et si lourd ! On va bien jouer avec…
Elle pince mon téton, rentrant légèrement ses ongles dans mon bouton. Ce petit con gonfle d’excitation.
— Vos bouts sont bien excitables, ça va être un vrai plaisir de vous poser les pinces.
Une autre domina caresse ma fourrure intime et glisse ses doigts dans ma fente. Elle se dégage, et renifle ses phalanges.
— Sa touffe est bien soignée, elle sent très bon, et elle mouille déjà.— Elle a été bien dressée, lance une autre.
C’est vrai que depuis que mes deux amies ont pris en main mon éducation, la simple promesse de futurs tourments me liquéfie.L’aigrette passe derrière moi. Un ongle s’appuie sur ma fesse et remonte le long de ma hanche et de mon dos, jusqu’à ma nuque en me griffant légèrement. Ses lèvres se posent sur mon cou. Elle dépose un léger baiser juste en arrière de mon oreille.Ses mains caressent mes fesses. Puis ses doigts remontent à mes poignets menottés et se mélangent aux miens.
— Je vais bien m’occuper de ce si beau cul, me murmure-t-elle doucement, le nez dans ma chevelure.
Je reconnais la voix d’Hélène. Je suis heureuse qu’elle participe et assiste à mes supplices.
— Tu mouilles.— Oui, et je murmure.— Que va-t-on me faire ?— Tu vas voir, tu vas aimer.
Ma reine détache mes menottes. Un anneau descend d’une branche maitresse du chêne.Elle y crochète mes bracelets. Un petit cliquetis, et mes bras sont tirés vers le haut, juste au-dessus de mon front. Je demande à ma maitresse.
— C’est tout, pas de barre pour m’écarter, pas de liens aux chevilles.— Non, on veut te voir danser.
Elle rejoint ses consœurs autour de la table. Une brève conversation, et elles reviennent, chacune avec un instrument en main. Elles m’entourent, Cruella à ma droite, et Hélène à ma gauche.Une légère musique se fait entendre. Ma maitresse tapote sa paume gauche avec le manche de son chat à neuf queues. Elle suit la pulsation, qui monte tout doucement. Ce rythme me rappelle quelque chose. Le son monte légèrement. Je reconnais la batterie de Charlie Watts, et sa façon de frapper ses peaux.
J’entends distinctement l’introduction de la chanson des Stones, la basse de Bill Wyman et la guitare rythmique de Keith Richards se joignent à la partie. Cruella frappe du pied en cadence.Juste avant que Mike Jagger entame le refrain, je reconnais le titre When the whip comes down...Et le martinet s’abat sur mes fesses.Mes bourrelles me fouettent en rythme. Je saute d’un pied essayant amortir les cinglées.Solo de Ron Wood : elles marquent un break trop court.Mister big lips reprend le refrain. Et ça repart, en cadence. Mon cul, mon ventre, mes seins, mes cuisses sont flagellés tour à tour, ou ensemble. Et elles jouent avec moi jusqu’à la fin du morceau.Pause.Undercover of the night. Elles recommencent à me fouetter, toujours en rythme. Tous les hits des Rolling stones y passent. Je pleure, mon corps me brule.J’hurle. Cruella a ciblé mon clitoris. Mes genoux me lâchent. Je prends au bout de mes liens. Une des assistantes me soutient et me relève.Mais pas de pitié, elles iront jusqu’au bout. Et mon supplice reprend, ironiquement accompagné par Satisfaction.

Je suis épuisée, je ne me débats plus, je chouine, pendue à l’anneau.La musique s’arrête. C’est fini, Je n’ai pas été ménagée. Je reprends mon souffle.Ma cyprine coule le long de mes cuisses. Hélène m’avait prévenue. Je ne l’ai pas cru. J’ai mouillé de douleur.
Mais je n’en ai pas fini avec mes bourrelles.

MelLe supplice d’Anne So s’achève, Hélène m’a attirée dans l’ombre, à part, avec une des sept.
— Donne-moi ta robe.— Je m’exécute.— Laisse tomber ton soutif et ta culotte.— Mais pourquoi.— Tu fais ce que je veux, je suis ta maitresse.— Et s’adressant à l’autre femme.— Préparez-la, je reviens la chercher dans cinq minutes….
A suivre
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