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Hélène

Chapitre 59

Les sept , deuxiéme partie

SM / Fétichisme
Hélène : les sept
Deuxième partie
J’ai mouillé de douleur. Mais je n’en ai pas fini avec mes bourrelles.Elles sanglent une large ceinture de cuir, autour de ma taille. Elles crochètent deux câbles aux anneaux dont elle est munie. Un petit bruit de moteur et je suis soulevée, et en même temps basculée en avant. Les bracelets de mes poignets sont liés, dans mon dos, aux manilles de ma ceinture. Mes mollets sont repliés jusqu’à toucher mes cuisses, et attachés. J’ai l’impression d’être troussée comme une volaille. Je suis largement ouverte, laissant l’accès libre à ma chatte et à mon anus.
Un liquide froid coule dans ma raie culière. Deux doigts massent ma rosette, puis s’y glissent. Une des domina me lubrifie. Elle m’appuie une boule de métal sur mon œillet. Elle le force, il s’ouvre, l’ogive passe en me dilatant. Voilà, je suis enculée.
La boucle arrière de mon collier est attachée à l’anneau du crochet anal, me cassant la nuque en arrière.Mes gros seins pendent, offerts, Je ne sais quelles attentions leurs réservent Hélène. Elle embouche mon téton droit dans une ventouse cylindrique, et aspire. J’halète au rythme du pompage. Ma framboise s’allonge dans le tube. Mon bout est aussi long que deux phalanges. L’aspiration s’arrête, Hélène fait glisser un petit élastique sur le verre, jusqu’à la base de ma tétine déformée. Doucement, elle casse la dépression du tube, et libère téton qui reste gonflé par le sang prisonnier. Elle pose délicatement une pince sur mon bouton de rose martyrisé, et serre. Pour finir, elle y suspend un petit peson qui étire mon pauvre nichon.
Elle fait subir le même sort à mon autre sein, puis se recule avec un étrange sourire. J’ai arrêté de pleurer, je geins doucement, sous la douleur lancinante de mes nibards, et la cuisson de mon cul.
Récit d’Hélène.
Anne So est splendide, écartelée, les seins torturés, et pourtant il lui reste encore à souffrir. Je m’écarte et je me recule dans l’ombre.

Anne So
Je perds Hélène de vue. Je pends dans mes cordes, je suis seule avec ma souffrance lancinante de mes fesses et de mes mamelles. On ne me fouette plus, et pourtant le minuteur n’a pas encore sonné, je ne sais combien il me reste à subir.
Puis un brouhaha résonne, l’assemblée se tourne vers la zone d’ombre.
Ma belle maitresse entre dans le cercle de lumière. Elle tient en laisse une silhouette féminine. Je la reconnais sans peine : je l’ai tant aimée. C’est Mel, nue ou presque, seulement vêtue de son serre taille, de ses bas et ses talons. Ses mains sont liées dans son dos. Sa tête est enfermée dans une cagoule de dentelles, mais elle porte aussi un étrange harnais qui lui enserre le visage, laissant sa bouche à disposition. Hélène la tire en face de moi. Cruella lui tend un sexe artificiel dont la tige est prolongée par un embout arrondi. Ma domina préférée s’en empare et force les mâchoires de ma maitresse blonde, puis elle verrouille le leurre sur le harnais, achevant de transformer mon amie en god humain.
On guide Mel derrière moi. On écarte mes lèvres, le leurre me pénètre. J’imagine sans peine la scène.Le visage de ma chérie est poussé entre mes cuisses, son nez, sa bouche, ses yeux s’enfouissent dans ma toison. Elle respire à pleins poumons mon odeur, mélange de sueur, de cyprine, et de restes de mon parfum, et peut-être de quelques gouttes d’urine. J’ai honte, je dois schelinguer. Le sexe de plastique m’envahit, et s’installe dans ma chatte suintante.
On délie les mains de mon amie et on attache ses poignets aux boucles de la ceinture de suspension. Elle ne peut plus se dégager. Je commence à m’habituer à l’envahissement de mon con.Et puis, soudainement le sifflement d’un fouet. Mais je ne ressens aucune cinglée, mais le god s’enfonce brutalement en moi.
Mel
J’ai la tête coincée dans l’entre-jambe de ma rousse, le nez dans sa raie. Elle embaume la mouille. Le membre qui prolonge ma bouche pénètre sa moule trempée.Le martinet cingle mes fesses, me poussant en avant dans la chatte de ma rousse.En un instant, je comprends ce qui m’attend. Mon supplice ne cessera qu’à la jouissance de mon amie.Encore une cinglée, je me cabre, et je pénètre à nouveau la vulve offerte.Les fouettées se suivent, me forçant à baiser ma chérie. J’entends ses râles de fond de gorge.
Anne So
Mes seins douloureux se balancent accompagnant les coups de boutoir de ma maitresse. Une douce chaleur envahit mon ventre. Je geints en rythme avec les coups de god qui me pistonnent le ventre.J’adore la perversité d’Hélène qui me fait prendre mon pied dans la souffrance de ma pauvre amie.Je ferme les yeux, seulement attentive au claquement du fouet, et à la montée de ma jouissance.Deux mains douces s’emparent de mes seins et commencent à les masser. J’ouvre mes paupières Le regard de ma domina brune se fixe dans le mien. J’ai à peine le temps de voir passer une ombre sadique dans son regard qu’elle arrache les pinces. J’hurle, et en même temps, je suis foudroyée par un orgasme fulgurant.

La lumière du matin pénètre dans la chambre, et chatouille mes paupières. Je décille mes yeux. On m’a ramené chez Hélène, dans sa chambre, et surtout dans son grand lit.
— Ça va ?— Je me retourne. Ma déesse est à la tête du lit, toute proche de mon visage.— Viens, je vais t’aider à te laver.
Elle m’entraine sous la douche. La pluie est tiède et douce. Ses mains me caressent en étalant le savon sur tout mon corps, elles insistent délicatement sur les zones martyrisées. Je m’appuie à deux mains sur les parois de la salle de bains, m’offrant complétement à toutes les caresses. Hélène dévisse la pomme de douche, et y adapte un embout tubulaire. Elle l’introduit dans ma vulve, l’eau ruisselle entrainant les résidus de mes sécrétions, Puis d’un coup ma vessie me lâche, déversant une cascade dorée. Elle éclate de rire, et me rince une deuxième fois.
— Tourne-toi, et écarte tes fesses.
Je m’exécute. Elle pousse l’embout arrondi sur ma rosette. Le jet me lubrifie naturellement, et le tuyau me pénètre sans peine.L’eau tiède me remplit le rectum, puis le colon.
— Arrête, je vais exploser.
Elle fait coulisser le tube en arrière, lentement pour que le sphincter se referme, sans fuite.Je trottine en serrant les fesses, jusqu’à la cuvette. Je me vide, et je me soulage avec plaisir. Je tire la chasse sans regarder.
— Reviens, je vais te rincer.
Elle me remplit à nouveau. L’intrusion du liquide tiède est un vrai délice. Je retourne sur la lunette. Je me retourne. Tout est clair. Je suis propre.Je reviens vers Hélène.
— Ca va.— Oui, je suis nickel. Mais je peux avoir encore un petit coup, pour le plaisir.
Elle éclate de rire. Je me tourne, et j’écarte mes fesses. Elle m’enfonce l’embout magique. Je prends le jet dans le rectum avec bonheur.
— Alors, on s’amuse entre filles, sans moi, lance Mel en passant la tête.
J’enlève le tuyau de mon anus, laissant le liquide clair s’écouler. Je brandis le tube vers ma copine.
— Amène tes miches, ma belle, je vais m’occuper de ton trou du cul.
C’est le début de la bacchanale. Nous jouons avec le corps des deux autres, nous visitons nos orifices avec la douche, nous pelotons sans vergogne. Puis épuisées par nos tripotages, nous nous essuyons et nous nous pomponnons. Nous sommes toutes les trois toutes propres et guillerettes. Nos ablutions m’ont fait un bien fou. J’adore ce sentiment de propreté totale que me procure le lavement. Nous retournons nous asseoir sur le lit. Je m’installe en tailleur avec un oreiller dans le dos quand on frappe à la porte.
— Tu peux venir mon ange, répond Hélène.
Pierre fait son entrée, portant un grand plateau, avec plein de viennoiserie, et les pots de café et de chocolat.
— Vous êtes un chou lui lance Mel.
Notre majordome dépose le petit déjeuner au milieu des draps.
— Mon chaton, ça ne te gêne pas d’être habillé au milieu de trois femmes nues.— Non pas vraiment. J’ai l’impression d’être un des personnages du « déjeuner sur l’herbe ». répond Pierre.— Oui mais dans le tableau de Manet, il n’y a qu’une femme nue, et deux messieurs habillés, lui rétorque Hélène.— Oui, mais moi, je suis un petit veinard.— C’est moi qui commande, alors à poil, lui ordonne notre maitresse à toutes les deux.
Pierre s’exécute, et s’installe en tailleur sur le lit. Il se couvre le ventre, mais nos nudités ne le laissent pas indifférent. Je décide de jouer un peu.
— Normalement, après le martinet, on doit être massée.— C’est vrai, ça renchérit Mel.— Pauvres petites chattes, on va s’occuper de vous répond Hélène.— Je choisis Pierre comme masseur, fais-je en me jetant à plat ventre.
Récit d’HélèneMes deux copines sont toutes alanguies après le massage, surtout Anne-So, visiblement heureuse d’avoir été tripotée par mon homme. Je m’allonge prés elle, tête bèche.
— Anne-So, viens sur moi et mange-moi la chatte !
Elle se pose sur moi, je sens ses nichons lourds frotter sur mes hanches. Je me faufile sous son ventre. J’ai le nez dans sa toison rousse. Elle sent très bon.Elle s’active dans ma vulve, mâchouillant mes lèvres, suçant mon clitoris. C’est délicieux, Mais je ne veux pas me laisser aller. J’ai une idée derrière la tête.Je place mes mains sur ses fesses généreuses, et je les écarte, exposant son anus.
— Chéri, encule-la !
Je sens mon amante se raidir, puis se détendre, acceptant son sort.J’ouvre la bouche en grand, mon chéri s’y enfonce, je le lèche et je l’enduis de salive.Il se recule, et présente son gland devant la rosette crispée. Il pousse, l’œillet de la belle cède, il s’enfonce. Anne-So pousse un gémissement, étouffé par ma toisonPierre se recule, puis s’avance en rythme, étirant puis refoulant l’anneau de la belle. Je suis fascinée, c’est la première fois que j’assiste d’aussi près à une sodomie.Ma rousse coule, je lape sa cyprine, je mordille ses lèvres, puis je gobe son bouton gonflé de sang.
Anne SoJ’ai eu un peu mal au début, j’ai essayé de me dérober, mais la poigne impitoyable de Mel m’a plaquée le visage sur le vison de mon autre amante.L’odeur intime d’Hélène envahit mes narines. Je ferme les yeux, et j’imagine le spectacle que j’offre à ces deux voyeusesForcée derrière, sucée devant, le nez et la bouche dans la chatte odorante de ma maitresse, je flotte dans un océan de sensations Mon anus s’habitue à sa dilatation, et la belle queue de Pierre coulisse sans douleur dans ma rosette. Mieux encore, j’apprécie cette sensation d’étirement et de refoulement de mon sphincter. En moi-même, je remercie mes amies de m’avoir dressée analement, et de m’avoir préparée aux plaisirs sodomites.
Mel glisse ses mains sous ma poitrine, elle saisit mes nichons et commence à les pétrir, puis elle pince les tétons en rythme avec mon pistonnage.Je ne suis plus que le jouet dès mon enculeur et de mes deux amantes.Je plane. J’halète. Tout mon corps est parcouru par les ondes de plaisir venant de mon clitoris, de mes seins, de mon cul. Je râle de bonheur. D’un coup sec, Pierre se plaque contre mes fesses, et m ‘empale au plus profond de mon rectum. La violence de son jet me percute et je pars dans un orgasme spectaculaire. Je me cabre, et je m’effondre sur ma suceuse de clito, mon visage s’enfouissant entre ses cuisses trempées.
HélènePierre se retire, j’ouvre la bouche en grand, il m’enfourne. Je suce sa verge avec délice, et je récupère les quelques gouttes suintante de son méat. Il se dégage.Je vois l’anus d’Anne-So en gros plan, devant mes yeux. Il ne s’est pas complétement refermé, le jus de mon homme suinte doucement et coule le long des poils de ma belle rousse. Je ne vais quand même pas laisser perdre ce bon sperme. Je lèche la raie, la toison, et la rosette de mon amante. Sous ma caresse l’étoile bistre s’ouvre, je ne peux pas résister à la tentation. Je ventouse mes lèvres au trou du cul d’Anne So, et j’y glisse ma langue.
C’est un vrai délice, c’est la première fois qu’on me fait une feuille de rose. Je me redresse, et j’écarte mes fesses à deux mains, puis je me pose sur le visage d’Hélène. Sa langue reptilienne me fouille à la recherche de la moindre goutte de son homme.Elle tournicote, léchant tous les recoins de rectum. Je me contracte, je pousse comme si je voulais éjecter les dernières gouttes du sperme de son homme. Je suis trop bien.
Hélène.C’est la première fois que je récupère le sperme de mon homme, dans le cul d’une enculée. J’y retrouve le goût qui m’est familier, mais en plus fort, comme s’il s’était bonifié en marinant dans le rectum de mon amie.Je ne peux m’empêcher de me demander si le cul de Mel à le même goût, il faudra que je fasse le test
Anne So s’est retournée sur moi, nous sommes face à face. Elle se penche, et prend mes lèvres, je m’ouvre, laissant sa langue envahir ma bouche. Elle recherche la liqueur que j’ai récupérer dans son cul. Je la partage bien volontiers, et je la laisse déguster un mélange de salive de sperme, et de ses secrétions anales.
Nous nous séparons à bout de souffle.
— Pierre, s’il te plait tu peux nous préparer un brunch, on te rejoint dans deux heures.
Nous nous retrouvons dans le salon. Hélène a fait installer un deuxième canapé en face du premier. Comme ça, nos deux couples peuvent se vautrer et s’allonger, en restant en vis à vis.Comme j’étais épuisée, Mel m’a accueilli dans ses bras sans oublier de glisser une main dans mon corsage, pour câliner un de mes opulents nibards. Quant à Pierre, il se vautre sur sa compagne, la tête bien calée sur sa poitrine.
— Ça va, ma belle, me lance notre hôtesse.— Vous m’avez tuée de plaisir, mes chéries, je n’avais jamais connu ça avant, et…— Et … Reprends Mel.
Je continue
— Pierre, ça a été une révélation, c’était si bon. Vous êtes un enculeur si délicat, et je poursuis.— Hélène, vous pourrez me prêter votre homme une autre fois.— Ca dépend, seulement si tu es bien obéissante…
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