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Hélène

Chapitre 63

Casse noisette deuxième partie

Erotique
Hélène : Casse-noisette, deuxième partie
Pierre
J’ai à peine ouvert la porte de la maison, qu’Hélène se jette sur moi, me tire vers le salon et me pousse dans le canapé.Elle se colle à moi de toutes ses rondeurs, elle pleurniche.
— Chéri, j’ai cassé ton jouet préféré.— Mon jouet !!!— Oui, je me suis explosé le trou du cul.
Et tout en hoquetant et en pleurant, elle me raconte ses bêtises.
— Tu as estimé les dégâts ?— J’ai essayé, mais je n’y vois rien, je ne suis pas assez souple.— Mets-toi à genoux sur l’assise.
Elle obéit.
— Trousse-toi.
Elle fait voler sa longue jupe plissée sur son dos. Je profite du spectacle de son fessier opulent, emballé dans une culotte noire transparente, et encadré par ses bas et son porte jarretelles.
— Baisse ton slip.
Elle se dégage de sa lingerie. Ma belle a un cul sublime, sa blancheur est mise en valeur par un reste de bronzage qui s’arrête aux reins et à la limite des cuisses. Elle ne bronze jamais en intégral.
— Il faut que tu t’ouvres, je ne vois rien.— Dis tout de suite que j’ai un gros popotin, fait-elle en reniflant.
C’est vrai qu’elle a pris un peu, mais ce n’est pas désagréable à voir. Surtout avec le contraste de ses ongles rouges qui écartent ses fesses.
— Tu as un petit peu grossi. Tu veux rattraper Mel ?— Tu te moques, tu es méchant, me répond-elle, à la limite des larmes.— Au contraire, tu remplis bien tes dessous, et puis comme ça, il y en a plus à fouetter.— Enfin une parole aimable, tu sais parler aux femmes.
Je me penche en avant pour examiner son anneau plissé. Pas de fissure, ni de fistule, il est un peu contusionné, mais pas plus que si je l’avais traité avec vigueur.
— Dis-moi, est-ce que je suis défigurée ?— Défigurée, ce n’est pas le mot que j’emploierai dans ces circonstances.
Je mouille mon index, et laisse couler un filet de salive sur sa rosette. Puis j’enfonce mon doigt.
— Aie, tu me fais mal.— Ma chérie, il faut bien que je procédé à un examen interne.
Je rentre mes phalanges en entier, elle pousse quelques gémissements. Je fais tourner mon index dans son rectum. Pas le moindre déchirement, je continue mon exploration pour le plaisir d’entendre ses petits couinements étouffés. Puis je me retire. Son anus est comme neuf, ou presque. Mais j’ai envie de profiter de la situation et de jouer un peu.
— Alors ? m’interroge-t-elle.— Il va falloir te soigner. Demain, je vais voir un copain pharmacien, il saura me donner ce qu’il te faut.— Tu crois que je vais retrouver mes sensations d’avant.— Le traitement va être peut être un peu long.
Le soir suivant, je sors nue de la salle de bain, et je traverse la chambre. J’adore me balader à poil, devant mon homme, avec juste un turban en éponge, et ma fourrure écarlate. Et bien sûr, mes mules à talons pour cambrer mon cul de mature.
— J’ai les pommades, me lance Pierre, si tu veux on commence.— Chic, comment on s’y prend.— A genoux sur le lit, le nez dans les oreillers, et tu écartes tes miches.
J’adore obéir à ce genre d’ordres, et je m’exécute. Et pour manifester mon impatience, j’agite mon croupion. Une petite claque me rappelle à l’ordre.
— Un peu de sérieux Madame, il s’agit d’une opération de la plus haute difficulté.
Il dépose une noix d’onguent sur mon petit cratère, et le masse pour le faire pénétrer la crème.
— Je vais te faire un peu mal, je vais me livrer à un traitement interne.
Il pose le bout du tube directement sur mon anus et il pousse directement la pommade dans mon rectum. L’irruption de l’émulsion provoque un petit aie de surprise, mais pas de douleur.
— Et voilà un oignon bien farci, et il poursuit.— Maintenant la partie la plus amusante pour moi. Je n’admettrai aucune récrimination de ma patiente.
Il pose un doigt sur mon trou mignon et l’enfonce.
— Ouille.— Arrête de geindre, ou je retire mon index,— Docteur, je vous prie de continuer mes soins.
Il replie légèrement son index et masse l’intérieur de mon sphincter. C’est la partie la plus douloureuse de mon pauvre trou du cul. En fait je n’ai presque pas mal. Il me ferait même plutôt du bien, et je lui fais savoir en roucoulant doucement.
— Bien la pommade est bien étalée à l’intérieur, et il ôte son doigt. — Déjà !— C’est un traitement très progressif. Il ne faut pas risquer d’endommager cette partie si intéressante de ton anatomie. On recommencera demain.
Pierre s’est bien occupé de mon orifice préféré, et il s’est montré plutôt joueur. Un jeudi après- midi, il s’est présenté à la boutique. Après un petit bisou, il m’a ordonné de poser mes coudes sur le comptoir. Puis tranquillement, il a remonté ma jupe sur mes reins, l‘a coincée sous ma ceinture, et il a fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. J’ai dansé d’un pied sur l’autre et elle est tombée par terre. Il a farfouillé dans son sac à dos. Et il s’est penché à côté de moi, comme si nous consultions ensemble un catalogue. J’ai un peu écarté mes jambes et mes fesses.
J’ai senti un contact onctueux sur mon anus, puis il a étalé le baume dans un mouvement circulaire sur ma rosette. Il s’est arrêté, et il a déposé une nouvelle noix de pommade sur mon œillet et il a pénétré mon petit trou. Ça m’a un peu picoté au début, mais ensuite le doigté rectal a fait son effet, et j’ai senti une douce chaleur m’envahir. Ma respiration est devenue plus rapide et hachée. Les yeux fermés, j’imaginais le spectacle : une quinqua salope se faisant doigter et pistonner le troufignon en plein milieu de sa boutique.
Ça n’a pas loupé, ce massage et mes pensées pornos ont déclenché un petit orgasme, et mes genoux m’ont lâchée. Pierre m’a enlacé et m’a retenue. J’en ai profité pour prendre sa bouche et violer ses lèvres. J’étais en train de lui rouler un patin goulu quand la sonnette de l’entrée a résonné. J’ai sursauté et je me suis retournée. Heureusement, c’était Mel, qui a bien rigolé pendant que je mettais un peu d’ordre dans ma toilette.

Ça fait dix jours que le traitement a commencé, et que je suis abstinente anale. Il me tarde de me faire enculer. Depuis avant-hier, je n’ai presque plus mal. Il est temps d’essayer mon trou du cul tout neuf. Après un rapide lavement, je redescends dans le salon. J’ai remis mon tailleur bien sage, dont la jupe moule mon orgueilleux popotin.Je me place entre la télé et mon homme. Ça ne loupe pas, son regard se pose instantanément sur ma silhouette.
— Chéri, c’est l’heure de mon soin.— Ta jupe va nous gêner, débarrasse-t-en.
Je pivote sur mes talons, pour lui présenter mon côté pile, et j’épluche mon derrière. J’entends un petit sifflement admiratif. Pour gagner du temps, je n’ai pas remis ma culotte.
— Ça, c’est du cul, on en mangerait.— Tu peux mordre dedans quand tu veux !— Ne me tente pas, et maintenant mets-toi à genoux sur le fauteuil.
Petite digression. J’aime mon cul, son opulence, sa sensibilité, son moelleux. Alors, je le soigne, et je le fais régulièrement masser pour éviter la peau d’orange, et les capitons.Et puis il est une source de plaisirs incroyablement sensuels quand Pierre le câlineDès qu’il pose la main dessus, je mouille. J’adore toute les cajoleries destinées à mes fesses, que ce soit un simple frôlement sous ma jupe, une fessée entre travers de ses genoux, ou la cinglée du martinet.Et j’adore la flagellation la plus intense qui est pour moi la forme ultime des caresses fessières.
Mais revenons à notre histoire.
— Ça, c’est du cul, on en mangerait.— Tu peux mordre dedans quand tu veux !— Ne me tente pas, et maintenant mets-toi à genoux sur le fauteuil.
Je m’installe. J’adore cette position propice à tous les attouchements coquins.Je remonte mon chemisier afin de bien dégager mon croupion, et pour lui faciliter la tâche.
— Et si tu n’utilisais pas ton doigt pour m’injecter la crème apaisante.— Ne crie pas si tu as mal, parce qu’une fois que tu auras réveillé la bête, je ne pourrais plus l’arrêter.— Tant pis pour moi.
Il dépose une grosse noix d’onguent sur mon anus. Il pose son gland sur mon anneau bistre. Il pousse. Je sens comme un petit picotement et il rentre sa verge jusqu’aux couilles. C’est délicieux. Il s’immobilise, les couilles contre mon cul.
— Ca va ma chatte.— Trop bon mon chaton, mais bouge doucement.
Mon chéri est un enculeur délicat. Il me pistonne avec lenteur, mais il en profite pour fouiller dans mon soutien-gorge, et s’emparer de mes tétons.
— Plus fort, chéri.
Il se cramponne à mes mamelles et m’empale avec vigueur. Puis il accélère son enculage. Je suis aux anges. Il pince mes framboises en rythme avec ma sodomie.Maintenant, il m’encule violement, en écrasant mes bouts. J’adore. Je perds pied, j’halète, je râle. Et finalement je spasme dans un orgasme éblouissant au moment où il éjacule.Nous nous écroulons ensemble dans le canapé. Je reprends mon souffle
— Merci Chéri, j’adore tes soins. C’est aussi bon que la première fois.
Il laisse passer un petit silence, et j’en profite pour ajouter.
— Ce soir, on continue le rodage de mon cul, je crois qu’il faut encore le soigner, et je reprends.— Et il faudra que tu penses à me punir pour ma bêtise !— Te punir ?— Oui, pour avoir failli casser ton jouet préféré.— Je te punirai, c’est promis.— Au chêne.— Au chêne, ou peut-être mieux ou pire.
Pierre m’a remis deux ou trois fois sur casse-noisette, et j’y ai pris plaisir. Et depuis, j’ai un ressenti plus puissant lorsqu’il m’encule. J’ai l’impression qu’il est énorme, et qu’il me prend plus profondément.
Et puis, je suis tellement heureuse d’être redevenue sa salope anale. Pourtant une petite idée me trotte dans la tête. Alors, ce soir-là, dans ses bras, sous la couette...
— Dis, est-ce que je suce bien?— Oui, tu es experte. — Et je suis bonne en gorge profonde ?— Oui, c’est bien agréable, mais pourquoi cette question ?— Tu crois que tu pourrais trouver un « casse-noisette » pour ma bouche ?

Je me suis installée sur le lit, à l’envers, la tête pendante au pied du lit. Pierre finit d’ajuster le harnais sur mon visage. Il noue un bâillon anneau sur ma nuque. Avec douceur, il me bascule en arrière sur notre couche. De moi-même, j’écarte mes jambes. Avec deux cravates, il lie mes chevilles aux montants du lit. Il glisse un polochon sous mes épaules, mon cou est cassé en arrière. Il attache mes bras en croix. Il fait couler ma chevelure en liberté jusqu’au parquet. Il lèche mes pointes et il serre les pinces sur mes tétons. Il aspire mon clitoris et le fait gonfler. Il pose la dernière électrode et écrase délicatement mon bourgeon. Je suis presque prête. Il reste la dernière étape. Il se penche sur mon visage.
— Tu es bien sûre que c’est ce que tu veux.
Je cligne des paupières. Il pousse un petit god gonflable entre mes lèvres, et le verrouille dans l’anneau.
— D’abord, il va gonfler dans ta bouche et écarter tes mâchoires. Ensuite, il va s’allonger et forcer ta gorge. Puis tout va se dégonfler, et tu pourras respirer. La décharge électrique te préviendra du gonflage.
Il marque une pause. Et reprend.
— Ce n’est pas comme avec ton cul. Tu ne ressentiras aucun plaisir, à aucun moment quoique tu fasses. Tu vas seulement souffrir de l’étouffement. Tu le veux vraiment?
Je cligne des paupières. Il glisse ses doigts dans les miens. Je serre sa main. Je suis prête, et même impatiente. Je ressens une petite décharge. Ca va commencer....
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