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Hélène, fabuleux mirage.

Chapitre 1

Mes draps s’en souviennent...

Hétéro
LE POINT DE VUE D’ALAIN.
Durant tout le mois d’avril, la Foire aux vins bat son plein chez Carrefour, quartier Sud. Le plus souvent, on dit Carouf. Pas grand-chose à bricoler ce mercredi après-midi de printemps maussade. Je tente la bonne affaire sur les crus en promo déballés tout le long du hall d’entrée. Flâneur de circonstance, je n’ai aucune idée de l’étiquette magique pour enchanter ma quête du moment. Du Tariquet, pourquoi pas ? Ce blanc sucré du sud-ouest réjouit souvent nos invités, autant en apéritif qu’au cours du repas.Je déambule entre les caisses de rouges, de blancs et de rosés sur lesquelles trône parfois un exemplaire de la « quille » à déguster.-      Puis-je vous aider à guider votre choix, monsieur ? Il y en a beaucoup aujourd’hui, de quoi s’y perdre, n’est-ce-pas ?-      Oui et non ! Je ne sais pas tellement ce que je cherche. Si je m’y colle à vos côtés, nous risquons de passer l’après-midi ensemble... Vous allez vite vous ennuyer ... Une charmante brune, entre deux âges (oui, mais lesquels ?), s’est plantée devant moi. Souhaite-t-elle juste s’occuper ou se rendre vraiment utile ? Préposée à l’accueil, dans l’espace Foire aux vins, elle insiste un peu en feignant de me barrer le passage. Son badge dévoile sans pudeur son prénom : Hélène. Elle est plutôt petite, son regard méditerranéen, noir s’il en est, lance des éclats diamantés captivants. Pas très coquette, sans être négligée, elle a dû se coiffer à l’arrache après avoir enfilé son vêtement de travail. C’est fou l’obstination des grandes surfaces à délaisser le look de leurs salariées en les affublant des pires tenues qui soient, sans aucun doute les moins chères. Les personnels, mal rémunérés, peuvent-il être élégants ? Bonne question. Elle enchaîne aussitôt :— Nous nous sommes déjà rencontrés cette semaine, je crois ? Non ? Vous savez, je peux vous faire déguster n’importe quel vin. Si ça vous dit, bien entendu. En milieu d’après-midi, ce n’est peut-être pas le moment pour vous. Quand j’ai un client sous la main en pleine heure creuse, je ne lâche plus. Le temps me paraît moins long. Elle a débité cette tirade d’un trait. Je sens dans sa voix une légère émotion dissimuler une sorte d’urgence... Urgence de plaire. Pas de séduire, juste de plaire. Quelque chose d’authentique, de très sincère.— En effet, c’est ma deuxième visite... En gros, je vous sauve la mise, quoi ! Pas vrai ? Alors, que peuvent bien faire deux personnes en bonne santé, mais désœuvrées, à part vider tous les échantillons et finir saouls comme des grives ?— Moi, je termine ma journée dans quarante-trois minutes. Je n’ai plus longtemps à souffrir. Depuis ce matin neuf heures, j’aspire à autre chose !— Vous me semblez pourtant d’humeur joueuse. Si je commande maintenant, serez-vous prête à me livrer à domicile cet après-midi ?— Oh ! Comme vous y allez ! Des heures supplémentaires ! Enfin, pourquoi pas ! Vous habitez loin ? Je ferai une exception. Vous êtes trop craquant en play-boy de supermarché...— Au moins cinq cents mètres à vol d’oiseau, pas plus à pied... L’appart’ se situe au douzième...avec ascenseur. Très belle vue...— Le septième me convient mieux en général... Chiche ! J’apprécie votre tac-au-tac. En plus, j’aime les surprises. Le piment du hasard... Vous serez mon imprévu de la semaine... Plus sûr... du mois, conclut-elle, un peu navrée. Je suis troublé par l’engrenage précipité de ces événements. « Play-boy de supermarché » ! Celle-là, on ne me l’avait jamais faite ! Tant pis, à force de jouer, ensuite faut assumer ! À vrai dire, je suis revenu pour engager la conversation. Cette femme m’a captivée, il y a moins de deux jours, au premier regard. Bref, nous échangeons nos coordonnées pour la livraison-prétexte. Enfin presque. Je lui note, sur un emballage d’Anjou Villages, l’adresse d’un meublé dans lequel je réalise des travaux toute la semaine.À l’heure dite, l’interphone vibre dans l’entrée. C’est bien Hélène. Méconnaissable sans son uniforme. Bouteille à la main, ma livreuse exhibe à l’écran une joyeuse binette. J’ai hâte de la retrouver. Je file, par le couloir, l’attendre à la sortie de l’ascenseur. Les portes coulissent. La voilà, sans casquette et sans masque sanitaire, son sourire éclatant, servi à merveille par une dentition impeccable, m’éblouit. La dame a un excellent goût vestimentaire, son jean moulant aux genoux déchirés lui confère une allure de collégienne. Elle porte un petit haut beige à fleurs discrètes. Ses Chelsea boots sans talons suggèrent, l’air de rien, qu’elle assume sa petite taille et sait même en jouer. Hélène me précède dans le couloir, mon regard se porte aussitôt sur ses fesses... Un délicieux popotin de sportive !« Bon sang, mais c’est bien sûr ! » s’exclamait jadis, à la fin d’un feuilleton, un enquêteur de renom : sa taille ! Mais c’est ça ! J’ai flashé sur sa taille. Oui. J’avoue, depuis des mois les petits gabarits attirent mon attention, ils m’excitent. C’est nouveau. Ça demeure un mystère. L’instinct de domination ? Non. L’attirance soudaine sur les fillettes ? Non plus. Bien au contraire. Une femme en modèle réduit ? C’est certain, j’en bande d’appétit ! J’invite Hélène à s’asseoir dans le salon. Perspicace, elle remarque aussitôt le canapé juste débarqué de chez Ikea :
-      En effet, déballé et installé hier. Si on se présentait, moi, c’est Alain, j’ai cinquante-sept ans, je suis en pré-retraite...-      Hélène, ...ante et quelques années. Dis-moi, ce n’est pas ton habitation ? C’est ta garçonnière ? Ton piège à nanas ?-      Qu’importe, Hélène. Nous sommes ici chez moi. Tu n’es pas tombée dans un piège. Tiens, je te donne les clés, si ça peut te rassurer...-      Tu sais, il y a aussi des pièges qu’on espère... Depuis longtemps parfois ...-      Ne me dis pas... Célibataire ? En panne de partenaire ?-      Célibataire, non. En panne de partenaire, oui.  Je ne souhaite pas, maintenant, te détailler cette contradiction. Hé oui... J’ai déjà tenté plusieurs réseaux sociaux... Une catastrophe... Du coup, j’ai confié ma destinée à la chance, au hasard... Aujourd’hui, il fait bien les choses, tu espérais une rencontre, moi aussi. C’est cool, non ?-      Je ne vais pas passer par quatre-chemins, j’ai flashé sur toi au premier regard. Ne me demande pas pourquoi. Je l’ignore. C’est un tout. J’éprouve un intérêt très sensuel pour toi. Chez moi, sensuel, c’est d’abord tendresse et câlins... Sexe, si tout est OK pour nous deux.-      J’apprécie ta manière de voir les choses. Tu me sembles très posé, ça change ! Si tu as des verres, je crois urgent de goûter ce petit Tariquet Premières Grives. C’est une merveille, aux dires de mon chef... Nous trinquons. Hélène dégage l’allégresse singulière des femmes de plus de quarante ans. Une sensualité toute en retenue, malgré la fantaisie de jouer encore les adolescentes, jugulée par le doute de décevoir, par l’incertitude de ce corps perdant, aux yeux des ignorants, une à une toutes les vertus de la prime jeunesse. Tant de quadras croient en cette légende urbaine. Ignorent-elles à ce point le charme irremplaçable des femmes d’expérience ? À tort, elles renoncent souvent à la séduction. Je suis adepte de ces premières rides, de ces quelques indices traduisant sans fard leurs traits de caractère. Ses petites fossettes, juste creusées par le temps et un trop-plein de fous-rires, me fascinent. Je suis un inconditionnel des exquises pattes-d’oie naissantes soulignant les tempéraments très enjoués tout en approfondissant la douceur du regard. J’en redemande !-      Tu ne trouves pas, c’est un peu fou de se retrouver aussi vite en tête-à-tête ? Me demande Hélène.-      Sûrement, mais ça s’est passé de manière si naturelle. Presque entre copains de toujours. Je crois juste qu’un même penchant nous tombe dessus au même moment.-      Tu vois les choses comme ça ? T’es pas très compliqué en fait. Et après, tu en fais quoi en général de ce genre de pulsion spontanée ?-      Je l’assouvis... Ou pas. Parfois, les choses prennent la tournure espérée... Parfois, rien ne se passe. Mais ça n’a aucune réelle importance, l’essentiel réside dans la relation, non pas dans la satisfaction d’une pulsion. Il n’est pas moins vrai, ça... j’ai très envie de toi, de me coller peau-à-peau contre toi... Lorsque rien ne se passe, je sublime la situation par l’écriture... Alors, l’impossible devient une réalité sans limite.-      Tu écris, vraiment ?-      Oui. Je publie sur un blog d’histoires érotiques...-      Ça existe ? Moi, je préfère le concret, le palpable... Tu vois ce que je veux dire ? Je prendrais bien le temps de me doucher, au moins. La journée a été rude, je te dois bien un peu de fraicheur, tant de sincérité force le respect, me lance-t-elle en éclatant de rire.-      Au bout du couloir, les serviettes de bain sont dans le petit placard, lui dis-je en lui indiquant la direction.Je profite de ce temps-mort. Je mets de l’ordre dans la chambre, ouvre le lit, baisse à demi les stores. Je ramène la fameuse bouteille, nos deux verres aussi, sur la table de chevet. Hélène toque à la porte. Elle entre, emmaillotée dans mon peignoir deux fois trop grand. Une petite serviette de bain enveloppe sa chevelure dégoulinante. Elle attrape à deux mains ce linge, brasse avec vigueur sa tignasse, en guise de séchoir. Dans son agitation, la sortie-de-bain glisse, lui tombe aux pieds. Dieu, quelle splendeur. Sous mes yeux, non pas Hélène la vendeuse de grands crus, mais Hélène mon rêve de toujours, mon fantasme favori. Elle existait donc, cette fille tant espérée pour laquelle je bande tant en matant les pornos. Un petit bout de femme... Juste enrobée à ma guise, des seins un peu lourds... Son ventre plat descend vers une toison épaisse à la jonction des deux solides cuisses.-      Encore habillé, grand timide ! Fais-moi une place sur le lit. Je vais arranger ça, laisse-moi faire...-      Toi Hélène, tu as joué au tennis, et pas qu’un peu...-      Ah ! Mes grosses cuisses ne peuvent rien te cacher...-      Je dirais plutôt, tes belles cuisses...-      Laisse-moi faire. Tu veux bien, Alain ? Je veux un homme « rien qu’à moi », une friandise à déguster selon mon bon vouloir. J’aime cette improvisation, elle s’imprègne de l’air du temps, de mon excitation naissante. Tu sais t’abandonner, enfin... Je crois... Laisse... LE POINT DE VUE D’HELENE.Tiens, le revoilà, le vieux-beau d’avant-hier. Il passe là par hasard, ou bien cherchait-il autre chose qu’un grand cru ? Je vais vite le savoir. D’abord, je ne le regarde pas, je le laisse fouiner pour mieux l’attaquer au dépourvu :-      Puis-je vous aider à guider votre choix, monsieur. Il y en a beaucoup aujourd’hui. Il y a de quoi s’y perdre, n’est-ce-pas ?-      Oui et non ! Je ne sais tellement pas ce que je veux. Si je m’y colle à vos côtés, nous risquons de passer l’après-midi ensemble... Vous allez vite vous ennuyer...Je me dis tout de suite : « M’ennuyer, avec ce retraité bien conservé ? Je demande à voir... » Oh là ! Comment il me regarde ! On dirait un setter d’un an sur une poule faisane le jour de l’ouverture de la chasse. C’est qu’il congestionne grave, pépère. Il a la bouche un peu sèche lorsqu’il me parle. Il s’adresse à moi gentiment. Il me parle bien, quelle classe ! Ma parole, il s’imagine croiser Emma de Caunes dans les salons du Martinez en plein Festival. Il me prend pour quelqu’un d’autre. Incroyable autant de tact ! Pourquoi il m’appelle déjà Hélène ? Ah oui, le badge ! Une livraison à domicile... OK, j’ai compris, cette bouteille, il veut la partager et bien terminer sa journée. Pourquoi pas ? Il me tente. Non seulement, j’ai très faim en ce moment, mais il dégage une douceur si rassurante. Le genre de gars bien dans sa peau qui ne pose pas de problème, j’aime ça. Plutôt très direct, il n’aime pas les chichis, moi non plus. Il ne m’a pas contredite sur l’étiquette de « Play-boy de supermarché » dont je l’ai affublé d’entrée. Personne n’a volé la pendule du Carouf durant ma dernière demi-heure de permanence. Je l’ai guettée d’un œil au point d’en subir un strabisme divergent. J’arrive, essoufflée, dans l’entrée de l’immeuble. Je reprends ma respiration et shoot du pouce le bouton 86. S’il répond aussi vite, il doit être au pied de l’interphone ! C’est bien cette impatience, une belle preuve d’attention pour ma pomme ! Mon reflet dans le miroir de l’ascenseur me confirme qu’un rendez-vous galant aurait mérité un peu plus de préparation vestimentaire. Il me prendra comme je suis... Oh ! Déjà là. Oui, merci, bien sûr, je passe devant toi... Relève le nez mon gars, je sais... Je sais... Tu mates mon pétard ? Ça m’enchante... Où se trouve la douche ? Elle fonctionne au moins. Où ? Merci, j’y vais tout de suite. T’inquiète, je n’y passerai pas deux plombes. Prépare la chambre en m’attendant. Oui, ça me convient, cette attention. Oups ! Le peignoir va glisser, il tombe. Oups (encore). Sa mâchoire va décrocher... Parle-moi, Alain, parle-moi vite, tu vas nous faire un malaise... Je dois d’urgence m’approcher...-      Encore habillé, grand timide ! Fais-moi une place sur le lit, je vais arranger ça, laisse-moi faire...-      Toi Hélène, tu as joué au tennis, et pas qu’un peu...-      Ah ! Mes grosses cuisses ne peuvent rien te cacher...-      Je dirais plutôt, tes belles cuisses... ET PUIS...Assis sur le lit, Alain se relève, prend Hélène dans ses bras, il la dépasse d’une tête, elle le sait. Preste, elle saute debout sur le plumard, l’enlace tendrement. Ah, maintenant, bien plus grande, elle le domine... Il sent ses nénés appuyer fort sur son buste. Ses mains se sont posées sans manière sur les fesses dénudées. Un cul du diable, pense-t-il, quelle puissance ! Hélène tient la tête d’Alain, elle couvre sa bouche de petits bisous timides, passe le bout de sa langue sur les lèvres viriles, apprécie bien les grattouilles de sa moustache bien entretenue. Il se laisse faire. Il savoure cette bouffée de tendresse quasi-maternelle. Hélène revient vers son bec, l’entrouvre sans forcer. Elle veut le croquer, le dévorer. Elle laisse aller sa fougue, Alain sait lui répondre. Cette aisance partagée les surprend tous deux. Un abandon digne des couples les plus solides les a investis mutuellement. C’est une vraie rencontre, une bonne affaire ! Hélène glisse ses mains sous le polo Ralph Lauren, elle l’éjecte sans précipitation. Leurs torses entrent en contact, un frisson les parcourt aussitôt. Alain n’a pas à se pencher beaucoup, il engloutit fiévreusement un téton. Un peu surprise, Hélène amorce un recul par réflexe, pas bien longtemps, elle serre aussitôt dans ses bras ce nourrisson d’un âge certain. Son étreinte le rassure, il ne sera pas rationné. HELENE.Prends, Alain, prends tout. Tu veux bien ? Je suis à toi. Oui, plus doucement sur l’aréole. Un peu sensible, mon bourgeon entre tes lèvres, tète, j’aime ça. Où sont tes jolies mains si soignées ? Lâche mes fesses, on verra bien après. C’est ça, derrière mes genoux, remonte un peu, passe entre mes jambes, laisse-toi guider par la chaleur de mon volcan. ALAINDieu ! Ce premier baiser m’a foudroyé. Hélène, je bande comme un dingue. Mon gland aborde le haut de mon pantalon. Le sens-tu entre tes jambes ? Oui, tu l’as trouvé. Ton petit manège de frotti-frotta n’est pas dû à une quelconque musique sud-américaine. Tu me branles, Hélène. Tu me branles de tes genoux, j’adopte la méthode ! Tes mains dans ma ceinture. Le bout de tes doigts à la recherche de ma pine enflammée... Défais-nous des entraves. Déboucle. Déboutonne. Fais tomber le futal. Je ne porte pas de sous-vêtements. Prends-moi en main, tiens ma queue, frotte-la, pas trop fort. Patience, aujourd’hui, je te la réserve, Hélène. Descends vers mes boules. Oh ! Tu sais en jouer. Masse-les, étire-les, fais-les tiennes. Elles sont à toi. Laisse monter le jus. Ton index se balade innocemment dans ma raie, quelle subtilité ! HELENEAlain, tu ne me déçois pas. Joli morceau, ma foi ! Un peu menteur de quelques années sur ton âge (omission pardonnée d’avance), tu disposes d’un beau brin de bite, tu n’en avais pourtant pas vanté les mérites. Pas disproportionnée, ça me va. Chaude, bien tendue. Tu te rases, moi pas. Désolée, ça ne te dérange pas au moins ? Je meurs de sucer ce gland. J’y vais doucement, je ne veux pas passer pour une salope. Du calme Hélène, il ne va pas s’envoler. Ah oui, des bisous dans le cou, sur les épaules, sur son torse épilé. Je vois le reptile, à vingt centimètres à peine. De titiller ses boules chaudes l’a fait doubler de volume. S’il te plait, Alain, juste poser mes lèvres dessus. Je me baisse un peu, les doigts d’Alain entrent au contact de ma vulve. Si jusque-là il n’a pas perçu mon niveau d’excitation, maintenant c’est fait ! Je mouille en femelle inassouvie. TOUJOURS HELENE.Il semble en terrain connu. Du plat de sa main, il glisse sur ma moule d’une douceur de gougnotte avertie. Je lâche la liqueur... Son zob, son braquemart, son andouille à col roulé, sa bite, quoi ! Au fond de ma gorge, de suite, sans préliminaires inutiles. Je sais, il va apprécier. Je l’enfourne enfin. Garde-la au fond, sans bouger. Juste ta langue. Un petit mouvement, à peine perceptible. Une chatouille de petite fille. Continue à jouer de ses belles roubignolles, palpe-les, propose-lui la revue de détail. Près de l’anus maintenant, du bout du majeur. La plupart des gars sont troublés par cette caresse anale, beaucoup sont morts de trouille à l’idée de se prendre un coup de bite. J’en joue allègrement, seuls les plus avertis en raffolent. Quand je l’effleure, je sens son membre se tendre dans ma bouche. Tout doux ma fille, sinon la machine va s’emballer. En sortant l’engin, je salive à pleines eaux... Je dégouline de toute part... Affaire bien engagée... Alain m’invite à m’étendre face à lui... DE NOUVEAU ALAIN.Une perspective idyllique, ce mont de Vénus couvert d’une belle toison brune, soignée... Au loin, plus élevés, deux seins majestueux surmontés chacun d’un coquin piton enfiévré... Le front posé sur les genoux d’Hélène, je baisse un peu la pression de cette pipe royale. Même si l’envie a failli l’emporter, je ne regrette pas d’avoir tenu bon. Je ne cache rien, l’idée de me déverser dans son gosier m’a plus qu’effleuré... Laisse aller tes genoux Hélène... Ouvre-moi le chemin menant à ta grotte, je veux continuer à voyager dans ta galaxie savoureuse, au-delà de toute espérance. La soif de te fourrer hardiment, Hélène, doit m’abandonner un instant. J’oublie ma bite. J’oublie ma teube. Goûter à ta chatte, l’approcher sans précipitation. Honorer cette touffe de poils ajustée au millimètre, la célébrer de bisous câlins, la traiter tendrement, oublier qu’elle sera la porte de ma destinée de cette fin d’après-midi. Ne pas penser à tout à l’heure, ce moment précieux où je vais fondre dedans, rompre d’un coup toutes mes défenses. Non, plus tard, attends Alain.  Quelles senteurs subtiles ! Ma langue s’engage dans l’échange amoureux, elle longe l’aine et frôle les grandes lèvres. Déjà à la source de miel ! Ô cette mouille exquise ! Avide, je m’y désaltère. Je suçote les petites lèvres, le flot ne tarit pas. Hélène tient ma tête entre ses puissantes jambes. Je ne me sens pas prisonnier, mais j’ai bien compris le sens de mon devoir avant d’espérer m’évader. Alors, d’accord, Hélène, je vais te brouter, je pars à la recherche de ton détonateur. Trouvé ! Impossible de le rater, bouffi à la taille d’une cerise, j’en fais le tour, le plus délicatement possible, Hélène soupire.  HELENE, ENTRE DEUX FRISSONS.Alain... Petit malin... Tu as suivi l’école des gouines, ou quoi ? Je n’ai rien à faire, aucune consigne à donner. Cette prise de contact sur mon clito te vaudrait un vingt sur vingt au concours général des gamahucheurs(1). Tu as déjà été une femme dans une autre vie ? Roule-le bien entre tes lèvres, ta moustache pique un peu, ça stimule. Merde ! Je pars déjà. Ça monte Alain, la cocote va exploser. Vas-y... Oui, glisse tes doigts. C’est ça, masse-moi de l’intérieur. Branle-moi. Plus fort maintenant. Ahhhhhhhh ! Continue. Encore. Ton pouce dans mon cul. Juste au bord, là. Pousse sans entrer, fais pression. Ohhhhhhh ! Calme-toi maintenant, c’est intenable. Je n’en peux plus, ça me chatouille trop. Baise-moi plutôt, prends-moi, vide-toi. Alain, ne te fais plus prier, monte-moi en bourrin surchauffé, loge ta bonne bite dans mon alcôve. Je veux la sentir. Malmène ta grosse pouffe en chaleur. Attention, je vais attraper tes couilles par en-dessous, ça va te surprendre. ALAIN, DEBOUSSOLE.Merci, Hélène de m’avoir offert cet orgasme endiablé. De mon côté, rien ne s’est arrangé, te foutre ma queue dépasse mon pouvoir de maîtrise. En levrette, pourquoi pas ! Je ne dirais rien sur ton cul, rien du tout. Je crains trop d’éclater de ma soif de te prendre juste en l’évoquant. Je vais mettre mes mains sous tes cuisses, te relever un peu. Oui, oui, installe le coussin sous ton ventre. J’entre, tu me brûles. Je ne veux pas attendre. Je vais te secouer les entrailles sans réserve, jusqu’à l’explosion. Prends. Prends. Je te promets, si tu reviens ici, ton petit anus y aura droit aussi. Laisse mon pouce le pénétrer. Je sens ma queue dans l’autre conduit. Pourquoi tu m’attrapes les burnes ? HELENE.Je vais te les essorer, viens, jute mon garçon, pense quand même à respirer.  ALAIN.Je viens. J’envoie, Hélène. J’éclabousse. Je te remplis de toute ma gratitude, notre jouissance sera l’acmé de notre rencontre. HELENE.Ah ! Il y en a encore, c’est de la lave en fusion ! Allez, n’en restons pas là ! Lime mon biquet, ramone bien la moule d’Hélène. Voilà, vide-toi bien jusqu’au fond de la réserve. Calme, tout calme maintenant. Tu peux te décaler un peu ? Tu es effondré sur mon dos. Sauve-moi, au secours, je suis en apnée. Là... Couché pépère. Il a bien donné de sa personne. Une petite pelle de félicité et de plénitude ? Tu as perdu un peu de ton enthousiasme. Rassure-toi, je peux comprendre. LE REVEIL D’ALAIN.Ce matin, je suis retourné à Carouf... La Foire aux Vins a été délogée par un Festival de Chocolats Pâques, les Kinders ont remplacé les grands crus. À l’accueil, je demande où est passée Hélène, la jeune femme qui animait les stands de pinard la semaine dernière. Quelle Hélène ? M’a-t-on répondu, l’animateur s’appelle Jean-Pierre, il est notre chef de cave depuis toujours.(1) gamahucher : Exciter une zone érogène avec la langue, en particulier pratiquer le cunnilingus.
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