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Hélène goûte à l’adultère

Chapitre 2

Erotique
Après cette soirée Hélène se sentait coupable, pourtant en rentrant chez elle, elle ne pouvait oublier la douceur de chacune des caresses qui lui avaient été prodiguées, chaque baiser qu’elle avait reçu et cette sensation envahissante de l’orgasme.
Le temps était long, en effet Hélène s’ennuyait de son mari qui ne la regardait même pas. Elle avait multiplié les efforts, entre tenues sexy et provocantes, repas aux chandelles, mais rien n’y fessait. Elle se sentait délaissée et lorsque la nuit arrivait elle ne pouvait s’empêcher de fantasmer sur Etienne.
La semaine c’était donc écoulée nous étions vendredi et en allant faire les courses Hélène croisa Etienne, un simple regard rendit Hélène folle d’envie. Elle le désirait mais ne savait pas comment faire, ils se trouvaient dans une grande surface remplie de gens. Alors qu’il se rapprochait d’elle pour la saluer, son souffle s’accéléra. Il lui glissa un mot à l’oreille qui la fit rougir.
Etienne venait de demande à Hélène de le rejoindre dans les cabines d’essayages. Elle ne savait pas quoi faire se demandant si un employé ne les surprendrait pas. Inconsciemment elle s’était rendu devant les cabines, son bras fut emprisonné et elle se retrouva dans une cabine.
Un simple rideau vert en guise de fermeture, trois miroirs pour s’observer et les doigts d’Etienne chatouillant la fleur humide de ça bien aimée. Héléne sentit une main se plaquer sur sa bouche lorsqu’elle gémissait un peu trop fort. Elle sentait l’orgasme investir chaque parcelle de son corps, elle voulait qu’Etienne la prenne ici. Il ne se fit pas prier et commença à prendre sauvagement sa partenaire. Le jeune amant ne mit pas longtemps à remplir sa conquête, de son doux et chaud liquide. Elle était aux anges.
Il la laissa reprendre son souffle et s’extirpa rapidement de la cabine.
Quelques jours plus tard, elle reçu un texto d’Etienne qui lui demandait de venir chez lui pour le week-end et de se débrouiller pour trouver une excuse. Elle n’avait pas eu de mal à s’éclipser de chez elle, son mari étant plus occupé à vider les bouteilles qu’à s’occuper de sa femme. Elle prévint ce dernier qu’une amie l’avait invitée a un week-end fille et qu’elle ne reviendrait pas avant le dimanche soir.

Elle enfila une jupe noire cintrée fendue sur le coté, une chemise dorée dévoilait la naissance de sa poitrine. Elle ne portait aucun sous-vêtement hormis un porte jarretelles rouges qui retenait des bas noirs. Elle se prépara un petit sac de lingeries provocantes et les plus belles robes qu’elle possédait.

Hélène s’apprêtait à entrer chez Etienne, mais elle se mit à hésiter, devait elle franchir ce palier qui était synonyme de la fin de son mariage ? Avant qu’elle ne puisse frapper, le beau jeune homme lui ouvrit la porte.

Il embrassa fougueusement sa partenaire et caressa chaque courbe de la femme, puis il lui annonça que ce soir ils ne seraient pas seuls. Etienne avait été invité par un de ses clients et il avait annoncé venir accompagner. Hélène se sentant prise au dépourvue accepta avec crainte, une part d’elle-même savait que ce ne serait pas qu’un simple dîner.

Afin qu’Etienne puisse la guider dans ses choix vestimentaires elle installa chacune de ses tenue sur le lit. A chaque vêtement elle se penchait laissant une vue imprenable sur sa croupe rebondit. Etienne passa sa main sur la cuisse de la jeune femme. Elle avait envie de lui, elle le savait, mais voulait se faire désirer. Etienne souleva la jupe qui cachait trop à son gout les fesses charnues qu’ils pétrissaient avec envie, puis sans prévenir il enfonça un doigt entre les lèvres bien humides de la demoiselle. Elle ne put retenir un gémissement de plaisir, Etienne, lui, voulait la prendre sur le champs. Il commença à se déshabiller, sa queue étant déjà bien dure et gonflée, il plaça son gland a l’entrée du jardin d’amour d’Hélène. Il la pénétra sans ménagement, il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort en lâchant de grands râles de plaisir. Hélène le sentant venir se retira et rabaissa sa jupe, elle voulait se faire désirer. Elle se dirigea alors dans la cuisine et il ne se passa que quelques secondes pour que son bel étalon soit derrière elle. Lui ne voulait pas attendre, il déchira avec envie la jupe et le chemisier de la jeune femme et la renversa sur la table. Hélène se retrouva en porte jarretelles, bas et talons haut, Etienne était fou de désir il lui enfonça puissamment son membre durcit d’envie. Il voulait la punir d’être partie sans qu’il puisse prendre son pied. Voyant que l’orgasme de la belle approchait, il la retourna et posa son gland sur sa petite rondelle. Agrippant ses cheveux de sa main droite, il claqua de sa main gauche les fesses bombées qui s’offraient à lui.Hélène, surprise du traitement qui lui était réservée, cria d’abord de surprise et de douleur, mais elle ne pouvait réprimer l’envie qui montait en elle. Elle aimait se sentir dominée comme ça et être punie, quand Etienne accéléra ses vas et viens et augmenta la puissance de ses fessées, elle sentit une vague puissante montée en elle.

Son orgasme fut le plus puissant qu’elle avait connu, elle hurlait de plaisir, elle ne se contenait plus. Entendant sa belle jouir ainsi Etienne ne mit pas longtemps à emplir sa proie.

Il se retira et partit dans la chambre, Hélène, elle, resta allongée sur la table, des spasmes la secouant encore. Lorsque le jeune amant revint il tenait à la main une robe rouge, un string ouvert sur le devant et un soutient gorge push-up. La jeune femme comprit qu’il avait choisit sa tenue pour le dîner du soir. Sous la pile de vêtement elle remarqua que son amant lui avait laissé un œuf vibrant ...

Après avoir pris une douche, Hélène époustoufla son bellâtre. Une robe rouge la moulant à la perfection, avec un décolleté plongeant et un dos nu à faire bander n’importe quel homme. Il savait que le dîner allait se passer comme prévu...
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