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Hélène mon amour

Chapitre 2

Lesbienne
Je veux bien la suivre, j’ai envie de voir ce qui va se passer. Nous nous rafraîchissons un peu et sortons des toilettes. Nous remontons la rue Gambetta, la rue St Ursule pour arriver place de le Bourse et prendre la rue Clémence Isaure ou elle habite. Arrivées chez elle, elle me fait assoir sur un canapé d’angle gigantesque, son salon fait quarante mètres carrés, c’est assez courant dans ces vieux immeubles du centre de Toulouse. Elle nous sert un jus de fruit bien frais.
–Je ne veux pas te brusquer, je ne ferais que ce que tu accepte que je fasse, rien d’autre, je te demande simplement de me faire confiance, je n’ai surtout pas envie de te donner une mauvaise image de moi.–Si je suis venue, c’est pour faire ce que tu veux, mais je ne connais pas mes limites, on verra.–Ok, mais d’abord, je crois qu’on a besoin d’une douche.–C’est vrai.
Elle me guide vers sa salle de bain en passant par sa chambre. Une fois au milieu de la pièce, elle s’immobilise.
–Tu permets que je te déshabille ?–Si ça te fait plaisir.
Elle vient vers moi, déboutonne mes boutons lentement en me regardant droit dans les yeux. Je soutiens son regard, je me sens attirée par ces yeux bleus pâles. Je me laisse faire, je commence à prendre du plaisir à me faire déshabiller par une femme. Ma robe tombe à terre, elle se penche pour la ramasser et en profite pour déposer un baiser sur mon mont de Vénus. Je trésaille. Elle prend une cheville et m’enlève ma chaussure, elle recommence sur l’autre. Elle se redresse, me regarde.
–A toi.
Je déboutonne ses boutons, et ouvre sa robe en passant mes mains sur ses épaules. Je les fais glisser le long de ses bras jusqu’au moment ou la robe tombe. Mes mains sont au niveau de ses seins. Prise d’une soudaine envie, elles se rabattent dessus. Je les enveloppe, elle se laisse faire avec plaisir. J’ai une sensation très agréable, j’aime la texture de la peau de ses seins. Mes mains glissent le long de son corps, caressent le ventre, les hanches, les fesses, les jambes pour finir par ramasser sa robe. Ma tête se trouve au niveau de son sexe qui dégage une odeur enivrante. Je ne peux résister à l’envie de poser mes lèvres sur son mont de Vénus. La peau et douce et chaude, ma machine à cyprine se remet en route. C’est la première fois que mes mains se promènent sur la peau d’une femme, je suis étonnée du plaisir que j’en ressent. Je me redresse, mais cette fois, c’est moi qui m’avance pour l’embrasser. Nous échangeons un merveilleux baiser, doux et voluptueux.
–Tu vois, tu aimes.–Oui, je crois.
Elle m’entraine dans la salle de bain, il y a une grande douche à l’italienne. Elle règle l’eau et nous nous glissons dessous. Elle passe du gel sur tout mon corps, je me laisse faire avec un immense plaisir, je me surprends à aimer ces mains qui parcourent mon corps de la tête aux pieds sans oublier une longue escale sur mon sexe. Je suis au bord de l’orgasme quand je sens ses lèvres se poser sur mon pubis. Je sursaute, mais je me laisse faire, en moi-même, je m’y attendais, je l’espérais. Sa langue se glissent entre mes lèvres, ses lèvres m’aspirent le clitoris, je ne peux plus résister, je laisse éclater un sublime orgasme qui me tétanise, mais là, je me laisse aller à m’exprimer bruyamment, je hurle mon plaisir.
–AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Je m’appuie sur le mur de la douche pour ne pas tomber, je suis dans un autre monde. Elle m’aspire le clitoris jusqu’à ce que je me détende. Je vois apparaitre son beau visage devant moi, grossir pour se poser sur mes lèvres. Un nouveau baiser nous unis avec le goût de ma cyprine, j’adore.
–Tu as aimé ?–Je crois que je t’en ai donné la preuve.–Oui, je le crois aussi.
Elle se recule, je prends le gel douche et commence à la laver. Je prends un plaisir insoupçonné à promener mes mains sur ce magnifique corps. Je m’attarde un peu sur ses seins, mais surtout sur ses fesses plus que de raison, mais ça n’a pas l’air de la contrarier, bien au contraire. Mes mains descendent jusqu’aux pieds pour remonter entre ses jambes. Elle les écarte légèrement. Naturellement, ma main droite se pose sur sa vulve. C’est la première fois que je touche volontairement un sexe de femme. Mon majeur se repli et se glisse entre ses lèvres. Il tombe sur une grotte chaude, glissante et accueillante. J’ai soudain envie de plus. Mes lèvres se posent sur son cou, descendent sur son corps en l’embrassant. Seins, ventre, nombril, mont de Vénus pour arriver sur son sexe. Je me recule un peu, mais l’envie de découvrir est la plus forte. Ma bouche vient se poser sur sa vulve. Je goute, j’aime. Ma langue répète ce qu’elle m’a fait tout à l’heure avec la sienne. Son bassin ondule doucement, je continu, en définitive, j’aime ses lèvres souples sous mes lèvres, ce petit bouton qui bande sous ma langue, j’aime ce que je suis entrain de faire, beaucoup même. Ses mains se posent sur ma tête, elle se raidi, elle jouit.
–Oui, oui, oui, j’aime, encore, oooooohhhhhh oui.
Je m’active sur son sexe jusqu’à ce que je la sente se détendre. Je me redresse et l’embrasse. Je ne suis plus moi-même, je suis une autre femme qui aime jouer avec les femmes, je n’y aurais pas cru la veille. Nous nous rinçons et sortons de la douche. Elle me prend la main, m’entrainant sur une sorte de chaise percée au-dessus d’un grand trou.
–Tu aimes jouer avec ton anus, je crois.–Oui, j’adore.–Il faut le préparer, accroupie toi.
Elle prend une sorte de pommeau de douche courbé et emmanché d’une sorte de petit phallus. Elle ouvre l’eau, glisse l’embout entre mes fesses pour me l’introduire dans l’anus. J’ai l’impression qu’on m’urine dans le rectum, ça me plait, ça a aussi l’avantage de me nettoyer entièrement. Cette eau qui ruissèle de mon anus me met au bord de l’orgasme. Hélène le voit et se penche sur moi. Sa bouche aspire mon clitoris, j’explose. Je joui avec un engin dans le cul qui m’inonde le rectum et une bouche sur mon petit bouton. Encore une nouvelle expérience. Hélène se rend quand même compte que c’est la première fois que j’utilise un tel engin.
–Tu ne connaissais pas ?–Non.–Comment fais-tu ?–J’utilise une poire de lavement.–C’est assez archaïque.–Je te le concède, je pense que je vais investir dans un outil comme le tien, c’est plus rapide, en plus, c’est jouissif.
Une fois qu’elle juge que je suis assez propre, elle me fait lever et se met à ma place. Elle me tend le pommeau.
–A toi de me rendre nickel.
Je présente l’embout contre son anus et pousse, du fait de sa petite taille, il entre sans problème. L’eau ruissèle, très vite claire. Je retire le petit phallus et ferme l’eau.
Nous nous séchons et retournons dans sa chambre. Nous nous asseyons sur le lit.
–Tu ne veux pas l’admettre, mais tu es faite pour l’amour saphique.–N’allons pas trop vite, oui, j’ai aimé tout ce qu’on a fait, mais je ne pense pas que sa suffise à ma libido.–Ce n’est pas le but, simplement, admet que tu es faite aussi pour ça.–Oui c’est vrai, j’aime beaucoup plus que je ne l’aurais cru, je sens que ça va devenir un besoin chez moi. Toutefois, rien ne remplacera une bonne grosse bite bien vivante et conquérante. J’aime les grosses bites, et je ne sais pas si un jour je remplacerais celle de mon dernier mec, il avait une bite de cheval.–Ne t’en fais pas, mon frère est lui aussi monté comme un cheval, et je suis sûr qu’il ne se fera un plaisir de te rende service.–Comment tu le sais ?–Je l’ai vu et nous avons baisé ensemble.–Tu baise avec ton frère ?–Ça nous ai arrivé une seule fois il y a deux ans au Cap, mais c’est fini, ce n’était pas notre trip. Je voulais simplement savoir ce que ça ferait d’avoir un tel braquemard dans la chatte. –Et ça t’a plus ?–Pas spécialement, ça a été difficile, je n’aime pas les très grosses bites.–Et dans le cul ?–Je n’ai même pas essayé, son engin m’a fait peur.–Moi, je suis sûre que ça va me plaire, je préfère les grosses bites dans le cul plutôt que dans la chatte, mais quand tu n’as que ça, tu t’en contente, même pour la chatte. Tu t’es quand même déjà fait sodomiser ?–Bien sûr, et je dois dire que j’aime bien ça. Assez parlé mec, on n’est pas là pour ça.–Au fait, il a quel âge ton frère ?–Comme moi, vingt ans, nous sommes jumeaux.–Super, c’est quoi la suite du programme.–Allonge toi sur le ventre.
Je m’allonge et attends. Elle plaque mes bras le long de mon corps.
–Ne bouge pas.
Elle se met à quatre pattes derrière moi. Je sens sa langue me lécher les talons, remonter le long de mes mollets, une fois à gauche, une fois à droite. Elle me lèche entièrement, n’épargnant pas un centimètre carré de peau. Ce qui prend beaucoup de temps. Elle arrive enfin à la jointure des fesses et des jambes, ce petit pli très sensible chez moi. Sa langue me lèche les plis, je monte un peu mes fesses pour accentuer la pression et mon plaisir. Elle quitte mes plis pour me lécher les fesses, avec vigueur. Une fois mes fesses entièrement léchées, elle finit par se glisser entre elles, je suis dans tous mes états, cette langue qui lèche mon corps me surexcite. Mon bassin ondule légèrement. Sa langue insiste entre mes fesses, remontant du périnée au bas du dos. Deux mains viennent les écarter pour libérer le passage jusqu’à ma rondelle. C’est une zone extrêmement érogène chez moi. La langue se pose sur mon cul, j’ai comme une décharge électrique qui parcoure mon corps.
–Tu aimes ça hein ?–J’adore.
Sa langue me titille la rondelle. Je suis de plus en plus excitée, elle la met en pointe pour l’enfoncer, mais elle ne pénètre pas. Un doigt vient la remplacer, il s’enfonce de quelques centimètres et fait des aller-retours très rapides. Mon sphincter se détend au point que je fini par ne presque plus sentir les aller-retours du doigt. Un second doigt s’ajoute au premier. Mon sphincter s’ouvre de plus en plus, je suis au bord de l’orgasme. Elle s’arrête mais son doigt est immédiatement remplacé par quelque chose de plus gros. C’est un gode.
–D’où sorts tu cet engin.–D’à côté de mon lit, je les ai toujours à portée de main. Je pense qu’il va te plaire.
Elle m’ouvre les jambes au maximum, sa langue vient lécher ma vulve. Le gode la suit et se glisse dedans pour se lubrifier, je sens qu’il est assez gros avec un énorme gland, elle l’immobilise dans mon sexe. Quelques secondes plus tard, une main me badigeonne la rondelle. Le gode sort de ma vulve, glisse sur le périnée jusqu’à ma rondelle. Je le sens forcer l’entrée. Le gland avance doucement en écartant mon sphincter. Une petite douleur apparait avant que le gland ne soit absorbé par mon anus.
–Doucement s’il te plait.–Ok.
Elle s’arrête et recule un peu le gode, elle le fait tourner, mon sphincter se détend lentement. Après un petit instant de ce traitement, je le sens plus détendu.
–Vas-y doucement.
Elle pousse doucement, le gland avance très lentement, mon anneau suit le mouvement jusqu’à ce qu’il se referme sur la tige du gode.
–Ça y est, il est dedans.…/…
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