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Hélène mon amour

Chapitre 3

Lesbienne
Je soulève mes fesses pour qu’elle l’enfonce encore plus. Il entre sur une bonne vingtaine de centimètres, elle commence des va et vient sur toute la longueur du gode. Je me concentre sur mon cul, j’aime cette sensation d’être possédée, cette sensation de subir le bon vouloir de quelqu’un d’autre, j’aime me comporter en esclave quand je fais l’amour, j’ai plus de difficultés quand il faut que je prenne l’initiative. Elle accélère son mouvement, je sens des ondes parcourir mon corps, je ne pense plus, je suis un cul, rien qu’un cul qui veut exploser de plaisir. Je lève de plus en plus mes fesses à la rencontre de ce mandrin qui me perfore le cul. Je ne résiste que peu de temps, je me tétanise dans un énorme orgasme, je serre tellement les fesses qu’elle ne peut plus faire coulisser le gode. Sa bouche vient boire à ma fontaine à cyprine en me léchant ce qui accentue mon orgasme. Je retombe sur le lit, complètement anéantie. Elle retire le gode et me retourne pour m’embrasser d’un tendre baiser auquel je réponds avec passion. Je récupère à peine de mes émotions qu’on entend la porte de l’appartement se fermer.
–C’est certainement Jules qui arrive.–Jules ?–Mon frère, je vais voir ce qu’il veut faire, reste là, repose-toi.
Elle quitte la chambre nue, je l’entends discuter avec son frère, mais je ne comprends pas ce qu’ils disent. Elle revient cinq minutes plus tard.
–Jules va rester pour la nuit, ça te dérange s’il vient dans la chambre ?–Attends, je suis à poil.–Tu sais, mais d’après ce que tu m’as dit, ça ne devrait pas te déranger outre mesure, d’autant qu’il peut se mettre à poil si tu veux.–Comme ça, je pourrais juger de son physique.–Exactement.–Il peut venir, mais à poil.
Hélène retourne le voir, elle réapparait quelques secondes plus tard avec un superbe garçon nu, grand, blond aux yeux bleus très pâles, (c’est une marque de famille je suppose), bronzé, belles tablettes de chocolat se terminant par un pubis glabre d’où pend un sexe comme je n’en ai que très rarement vu, à mon sens plus gros que celui de mon dernier mec. Il entre avec un grand sourire.
–Jules, je te présente Sue, Sue, Jules mon frère. Il est beau n’est-ce pas ?–Très.
Je me redresse, me lève pour aller lui faire deux bises sur les joues. J’en profite pour me coller un peu à lui, je sens sa bite toucher mon bas ventre, il fait presque une tête de plus que moi.
–Et moi ?
Je me retourne vers Hélène, je me mets sur la pointe des pieds pour l’embrasser en la serrant dans mes bras. Ses mains me caressent les fesses. Quand je la libère, je me retourne sur Jules, son sexe est maintenant à l’horizontal, il commence à bander. Je m’approche de lui, je regarde Hélène qui me fait oui de la tête.

–Je peux ?–Bien sûr.
Ma main se saisit de son sexe, je fais quelques va et vient, il est raide en trois secondes. J’ai dans la main un morceau de viande d’au moins quatre centimètres de diamètre sur plus de vingt de long avec un énorme gland. Je le veux dans le fion, je suis bien préparée après ce que vient de me faire Hélène. Il est plus gros que le gode, mais il passera sans problème. Rien que de le caresser, je mouille.
–Ça te dit un cul ?–Lequel ?–Le mien.–Tu n’as pas peur de la bête ?–Ne t’en fait pas, j’en ai vu d’autres.–Si tel est ton désir, je suis ton homme.
Hélène va chercher son pot de graisse, elle me fait mettre sur le ventre en mettant un gros tas de couvertures sous mon ventre. Mon cul est ainsi surélevé et bien ouvert. Elle me badigeonne le fion. Jules se positionne au-dessus de moi, Hélène s’empare de sa bite pour la guider vers ma rondelle.
–Ma modeste contribution.
Jules pousse un peu, mon sphincter s’ouvre sans aucunes difficultés, il m’empale d’un seul coup jusqu’à ce que je sente son pubis sur mes fesses.
–Putain, ça rentre comme dans du beurre.–C’est que je l’ai bien préparée avec ça.
Hélène montre le gode qu’elle a utilisé à son frère.
–Je comprends mieux.–Vas-y au lieu de discuter, défonce-moi le fion.
Jules s’active sur mon cul, il me donne de grand coup de rein à un rythme infernal, j’espère en moi-même qu’il va tenir la distance, je viens de jouir, je vais mettre un peu plus de temps. Hélène s’allonge devant moi en mettant ses jambes de chaque côté de ma tête. Elle avance vers moi, je comprends ce qu’elle veut, quand son sexe arrive sur ma bouche, je lui aspire le clitoris. Je n’avais jamais fait l’amour à trois, jamais plus de deux. C’est encore une première. Ce sont les coups de butoir de Jules qui donnent le rythme. Je suis secouée par ses coups violents, mais j’adore, je sens le plaisir monter lentement, je vais jouir dans peu de temps, c’est plus rapide que je ne le pensais, il faut dire que j’ai le minou d’Hélène à brouter, ce que j’aime de plus en plus. Je sens Jules se raidir, il va jouir, il est devancé par Hélène qui explose la première. Elle se raidie en me soulevant la tête.
–Oui, oui, oui, aaaaaahhhhhh
La bite de Jules palpite, ça y est, il va jouir, un puissant jet de sperme me rempli le rectum, j’explose dans un délire orgasmique.
–AAAAAAAAAAHHHHHHHHH–Tiens, je te donne mon jus, prends.
Nous finissons par retomber dans la réalité, j’ai ma bouche sur la vulve d’Hélène, un corps d’homme sur le dos avec un énorme braquemard dans le cul qui se ramolli lentement pour finir par sortir. Nous restons ainsi deux bonnes minutes, c’est Jules qui émerge le premier, il descend du lit, s’assoie et me caresse le dos et les fesses.
–Je ne suis pas très habitué à ce genre d’exercice, mais je dois dire que tu as un super cul et que j’y reviendrais bien volontiers.–J’espère bien, ta bite me va comme un gant.
Je me redresse, me lève et aide Hélène à se lever.
–A la douche.
Nous la suivons, Jules se met derrière moi et en profite pour me caresser les fesses.
–Je ne me lasserais jamais de ce cul.–Profites en.
Hélène règle la douche, elle est assez grande pour nous trois. Nous nous savonnons en nous caressant. Je m’agenouille devant Jules, sa bite commence à se redresser, je lui gobe pour une super fellation, j’adore sucer une bite et surtout recevoir l’hommage qui en résulte. Il pose ses mains sur ma tête sans appuyer, juste pour la sentir. Sa bite est dure comme du bois, je peux à peine l’emboucher au tiers, mais je lui titille le gland avec ma langue, l’aspire, le mordille. J’y mets toute ma science, et je finis par la sentir palpiter.
–Oui, attention, je vais jouir.
Pour toute réponse, je lui ceinture les fesses et augmente le rythme. Il cède et me rempli la bouche d’un énorme jet de sperme. J’avale juste pour en recevoir un second, suivi d’un ultime un peu moins puissant. Je lui nettoie la bite jusqu’à ce qu’elle pende et me donne sa dernière goutte. Je me redresse, le fait un peu descendre et pose mes lèvres sur les siennes. Il m’enlace, me sert contre lui, me soulève de terre pour échanger un baiser torride. Une de ses mains se pose sur mes fesses pour les flatter. Ma poitrine est comprimée contre son torse, je retrouve des sensations que je connais, je suis aux anges. Nous nous séparons, je me retourne vers Hélène, elle m’attire à elle pour m’embrasser aussi. Une fois rincés, nous sortons de la douche, nous séchons et retournons dans la chambre d’Hélène. Je m’allonge sur le dos. J’ai encore envie de jouir, j’ai découvert beaucoup d’aspects de l’amour que je ne connaissais pas, je veux voir jusqu’où je peux aller.
–Je suis à vous, je suis votre jouet sexuel, faites de moi ce que vous voulez, mais tous les deux en même temps.–Comme tu veux jolie poupée.
Jules m’écarte les jambes et vient poser sa bouche sur mon sexe, je tressaille. Hélène se saisit de son sexe et le masturbe. En quelques secondes, je dégouline de cyprine. Il remonte le long de mon corps, je sens son sexe raide remonter le long de mes jambes. Son gland se présente devant l’entrée des artistes et entre sans frapper. Je suis remplie de ce braquemard d’un seul coup. Il se redresse sur ses bras pour laisser Hélène venir au-dessus de moi, le dos tourné à son frère, et me présenter son sexe ruisselant. Elle descend lentement sur ma bouche, je suis bien, une énorme bite dans la chatte, une vulve sur la bouche. Jules me pistonne à grands coups de rein, je m’occupe du sexe d’Hélène comme je peux sous les coups de buttoir de Jules. Je suis secouée comme un prunier, mais j’aime ça. Je suis leur jouet sexuel, je ne suis rien qu’un objet entre leurs mains et j’aimerais que ça dure un peu. Je me délecte de l’élixir d’amour d’Hélène tout en appréciant l’énorme sexe de Jules qui me laboure. Cette fois-ci, c’est moi qui donne le signal en explosant une fois de plus dans un sublime orgasme, immédiatement suivi par Jules qui me rempli le sexe de son sperme. Hélène jouit dans la foulée. Jules se couche sur moi en évitant de m’écraser. Hélène se lève et vient s’allonger à côté de moi. Nos bouches se soudent. Jules se lève et va dans la salle de bain. Je ne peux plus bouger, je suis crevée, lessivée, anéantie. Il faut que je récupère.
–Repose toi Sue, je vais préparer de quoi manger, il est dix-neuf heures.–Ok, mais il va falloir que je rentre.–Pas question, tu reste avec nous, n’oublie pas que tu es notre objet sexuel, c’est toi qui nous l’as dit.
Elle me regarde en souriant, je peux sentir de la tendresse dans ce regard, moi aussi je la regarde tendrement, je commence à éprouver quelque chose pour elle.
–Ne t’en fais pas, tu peux faire ce que tu veux, si tu veux rentrer chez toi, rentre.–Je préfère rester là et être votre objet sexuel.–Comme tu veux, mais n’ai crainte, nous serons toujours doux avec toi, il m’est impossible de brutaliser un si beau corps.
Elle sort de la chambre pour aller prendre une douche. Je reste sur le lit, allongée sur le dos. Je repense à cet après-midi de plaisir, j’ai bien fait de sortir malgré la chaleur. Je suis une nouvelle Sue, ces quelques heures m’ont complètement métamorphosée, je fais des choses que je pensais impossible ce matin encore, et en plus, j’adore. C’est un fait, j’aime le corps d’une femme, celui d’Hélène, je ne peux pas encore dire si ce sera général pour toutes les femmes, mais celui d’Hélène m’émeut. Je prends du plaisir à jouer avec le sexe de cette femme, à boire à sa source, cette idée me répugnait hier encore. Je prends du plaisir quand elle joue avec mon sexe, me boit, me lèche, me suce. J’aime sentir les mains de cette femme parcourir mon corps, j’aime promener mes mains sur le corps de cette femme, j’aime son odeur, son goût, sa peau, ses lèvres, son sexe sous mes lèvres, j’aime faire l’amour avec cette femme, j’aime me donner à cette femme. Et j’aime aimer ça.
Je suis restée la nuit, puis la suivante, puis la suivante, en fait, je ne suis jamais retourné chez moi, sauf pour y prendre mes affaires. Je suis l’objet sexuel d’Hélène et Jules, mais toujours en privé, que tous les trois. Ils se servent de moi comme ils l’entendent, mais jamais brusquement ou avec violence, c’est toujours avec amour, tendresse et douceur, et toujours pour me faire jouir. Je ne peux plus vivre sans cette relation, j’en ai besoin, c’est ma drogue. Hélène a voulu que j’essaye avec d’autres femmes, ça n’a pas marché, il n’y a qu’Hélène, je l’aime. Elle aime aussi les hommes, comme moi, mais elle ne fait jamais l’amour avec Jules, elle le branle un peu pour le faire bander quand il veut me baiser ou m’enculer, mais c’est tout. Alors, je la fais jouir avec ses godes, mais je sais que fondamentalement, elle préfère faire l’amour avec moi. Jules est mon seul amant, je suis sa seule maîtresse, nos corps s’entendent à la perfection, c’est toujours un feu d’artifice.
Ça fait six ans que ça dure, et j’espère que ça va durer encore longtemps.
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