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L'héritage

Chapitre 2

Erotique
Je suis réveillé par une sensation bizarre au niveau de mon bas-ventre, j’ouvre les yeux, la lumière du jour filtre entre les volets. Je découvre Céline à genoux qui me pompe gaillardement la queue.
— Tu prends ton petit-déjeuner ?— En quelque sorte, je n’ai pas pu résister à la vue de ta queue en érection.— Allonge-toi sur le côté, je vais prendre le mien aussi.
Céline me reprend en bouche, avalant ma queue régulièrement, de mon côté, je glisse ma tête entre ses cuisses pour que ma langue glisse sur ses lèvres qui s’ouvrent facilement pour laisser couler un filet de cyprine. Je la récupère avec ma langue et déguste son merveilleux nectar pour la première fois.
Ma langue fouille sa chatte qui reste légèrement entrouverte, je remonte pour titiller son clito, mes doigts remplacent ma langue dans son vagin. Céline donne de petits coups de reins pour mieux absorber les doigts, son clito se développe pour atteindre un bon centimètre, elle lèche ma verge sur les côtés et l’avale.
Je saisis son clito entre mes lèvres pour l’aspirer, ceci déclenche un début de jouissance qui augmente lorsque mes doigts s’agitent en elle, Céline lâche ma queue pour laisser sa jouissance jaillir de sa bouche en un long feulement et des giclées de cyprine qui arrosent mon visage.
Céline reprend ma queue en bouche pour littéralement la dévorer, je fais jouer mon pouce sur le bord de sa chatte et le fais glisser jusqu’à son œillet, je suis très surpris, celui-ci absorbe mon pouce très facilement. Je l’utilise comme un petit gode, sa bouche devient une véritable ventouse pour aspirer ma queue qui se contracte et éjecte mon foutre dans sa bouche qu’elle s’empresse d’avaler pour créer une nouvelle jouissance que lui donne mon pouce qui lui pistonne le cul.
— Demain matin, je ne te réveillerai pas, je commence le travail à cinq heures.— On va en reparler après le petit-déjeuner, je meurs de faim.
Enveloppés dans nos peignoirs, nous terminons le petit-déjeuner après une bonne douche réparatrice.
— J’ai commencé par te l’expliquer hier, tu restes avec moi, tu deviens ma maîtresse à plein temps, plus besoin de travailler.— C’est trop beau ce que tu me proposes si c’est vraiment ce que tu veux.— La seule chose qui peut te faire peur, c’est notre différence d’âge, mais comme je n’ai pas d’enfant, tu seras ma seule héritière et tu peux finir ta vie sans travailler.— Si tu es vraiment sûr de toi, j’accepte d’être ta femme, ta maîtresse, ta salope.
Céline écarte nos peignoirs pour coller sa peau contre la mienne assise face à moi sur mes genoux, sa bouche dévore la mienne, ce qui déclenche mon érection.

— Tu as encore envie de moi ?— Cela se voit bien non ?— Viens sous la douche et mon cul est à toi.
Échange de baisers de caresses, ma queue est tendue au maximum, mes doigts ouvrent son cul.
— Viens directement en moi, tu n’as pas besoin de me préparer.
Celine appuie ses mains sur le fond de la douche, tend sa croupe vers moi, les jambes bien écartées. Je pose mon gland sur sa rondelle, même pas besoin de pousser, ma queue disparaît au fond de son rectum s’enfonçant jusqu’aux couilles. Je lui saisis les hanches pour la posséder à fond à grands coups de reins, sa jouissance commence rapidement.
Je cesse mes mouvements, la laissant récupérer avant de recommencer mes pénétrations, je délaisse ses hanches pour saisir ses tétons et les étirer, ses cris augmentent en puissance. Elle se laisse tomber à genoux sur le carrelage, terrassée par le plaisir, et encore secouée de spasmes.
— Tu es vraiment ouverte, ma queue est entrée toute seule.— Je ne vais pas te mentir, au travail j’ai deux collègues qui ne me baisent pas, mais me sodomisent presque tous les jours, tu vois que je suis une petite salope est-ce que tu veux toujours de moi ? — Aucun problème, cela me plaît beaucoup, j’ai toujours rêvé de partager ma vie avec une petite salope, donc tu es disponible où et quand je veux.
Elle a contacté son travail pour donner sa démission, nous sommes sur une route qui longe la côte, sa robe est ouverte jusqu’au nombril, j’ai les doigts qui plongent dans sa chatte gluante. Cette petite salope a avancé ses fesses au bord du siège et a les cuisses écartées au maximum. La route devient sinueuse, je cesse mes caresses pour conduire à deux mains.
— Tu m’abandonnes ? — Désolé, mais la conduite est primordiale, caresse-toi toute seule, je vais te regarder jouir.
Une main virevolte entre son clito et sa chatte, et de l’autre elle joue avec ses tétons ; elle écarte les cuisses au maximum et introduit sa main dans sa chatte, l’activant avec force, elle étire ses tétons l’un après l’autre, beaucoup plus fort que je le fais, son corps se tend, sa jouissance éclate, sa cyprine gicle dans tous les sens sur le tableau de bord, les sièges, enfin partout.
— Je découvre que tu es encore plus salope que je ne le pensais, tes jouissances sont incroyables tellement tu cries et que ta chatte crache comme si j’ouvrais un robinet.
Arrêt devant une auberge, Céline reste la robe ouverte jusqu’à son entrejambe, les cuisses maculées de sa cyprine, nous déjeunons en terrasse sous la voûte d’un arbre, elle se plaint d’avoir les fesses gelées, sa cyprine refroidie laisse voir des traces blanchâtres le long de ses jambes. Nous reprenons la route avant de stopper sur un petit parking avec des tables de pique-nique, je m’assoie et attire Céline pour la coucher en travers de mes genoux, je lui relève sa robe et lui donne une fessée, comme elle ne proteste pas, je continue mes claques un peu plus fortes, ses fesses virent au rouge.
Je la relève en remarquant que des larmes ont coulé sur ses joues, sans en tenir compte, je l’appuie contre une table pour prendre possession de sa chatte pleine de mouille. Je suis surpris, d’un côté des larmes, et de l’autre, la chatte gluante, deux réactions différentes et opposées à la fessée.
Ma queue est à peine dans sa chatte qu’elle commence à jouir, elle relève ses jambes pour me ceinturer la taille, ouvrant encore plus sa chatte que je possède sans ménagement. La bouche grande ouverte, elle jouit, je la remets debout pour la retourner et l’allonger sur la table et rentre ma queue dans son cul, mes couilles claquent sur son vagin, ses cris de plaisirs redoublent et continuent un bon moment après lui avoir rempli le rectum de foutre.
L’après-midi se passe en balade sur un petit sentier côtier, plusieurs personnes ont profité de la vision de la chatte et du cul de Céline qui m’avoue que de s’exhiber la fait mouiller comme une folle. Je stoppe devant un hôtel dans une petite station balnéaire pour réserver une chambre et nous nous dirigeons à pied vers un restaurant distant d’une centaine de mètres, le vent coquin fait voleter sa robe découvrant son entrejambe, assise à table, elle laisse tomber trois fois sa fourchette lorsqu’un serveur n’est pas trop loin, bien entendu, il se précipite pour la ramasser et Céline lui fait profiter de la vue de sa chatte luisante de cyprine.
— Tu es une vraie petite salope presque une petite pute, tu as une conduite de fille dévergondée, une femelle en chaleur.— Tu veux te faire sucer par une salope ou baiser une femelle en chaleur ou sodomiser une pute ou les trois ?
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