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Héritage.

Chapitre 1

Bilan de succession.

SM / Fétichisme
J’ai perdu mon père il y a maintenant un mois. Accident de la route. Mort sur le coup. Beaucoup de monde à son enterrement. Il était très connu. Ma mère, son ex-épouse n’a pas pu venir car elle vit à l’étranger depuis qu’elle l’a quitté. En dix années elle a refait sa vie. Il y avait Alice sa compagne actuelle, ses enfants d’un premier mariage et moi bien sûr, son fils unique et mon épouse, Rose.Je n’ai rien à reprocher à mon père, mais les liens s’étaient distendus. Je crois que cela s’est fait au départ de ma mère. Séparation qui ne s’est pas faite facilement, papa refusant que maman le quitte. J’avais été élevé par un couple aimant. Pourtant, même si maman ne m’a pas fait de vraies confidences, un jour, en larme elle m’avait avouée :
Gabriel, ton père a changé. Il n’était pas comme cela avant. Il veut des choses… Fait attention. Méfie-toi de lui.
Rien de plus, rien de moins.Depuis j’ai rencontré Rose. On s’est marié. Pour l’événement ma mère est revenue. Elle a fait connaissance d’Alice. Étrangement elles ont sympathisé. Pourtant le jour et la nuit. Maman toujours réservée, élégante mais chic. Alice exubérante, élégante aussi mais plus dans le faire valoir, décolleté plongeant, robe toujours près du corps, corps qu’elle a magnifique je dois reconnaître surtout pour son âge.L’arrivée de Rose avait retendu des liens avec mon père. On se voyait plus souvent. Surtout pendant les vacances. Je rejoignais ma femme dans la maison de campagne. Rose, Alice et papa sont enseignants et donc beaucoup, beaucoup plus de congés que moi. Pendant les vacances d’été et parfois les autres, Rose passait un moment avec eux. Lorsque je pouvais me libérer je les rejoignais. On passait quelques jours ensembles et puis Rose et moi on partait pour être un peu seuls.Je n’ai pas de problème avec Alice. Elle n’a pas vraiment pris la place de ma mère, j’étais trop âgé quand papa nous l’a présentée. Ils vivent, pardon, ils vivaient ensemble dans la maison de mon père, mais sans lien administratif.
Gabriel, laisse-moi un peu de temps pour que je m’organise et je vais te laisser la maison. Le temps de faire quelques travaux dans mon ancien appartement.
La succession s’est faite facilement. Papa n’a laissé qu’une assurance-vie à Alice. La même chose pour maman d’ailleurs, comme s’il voulait équilibrer. Tout le reste me revenait.La maison m’intéressait. Elle était très bien placée et surtout le sous-sol pouvait être aménagé. Je m’y voyais déjà, espace massage, espace gym et musculation, sauna et peut être jacuzzi. Je pouvais diversifier mon offre. Je croulais déjà sous le travail, mais j’aurais pu "monter en gamme".
S’il te plaît, attends un peu. J’ai plein de choses à moi entreposées dans le sous-sol. Je fais du rangement et tu pourras mieux faire tes mesures.
Je connaissais bien sûr, mais j’en avais des souvenirs d’enfance et cela déforme tout.
Je décide de passer discrètement. J’ai un jeu de clé. Je connais, par Rose les horaires d’Alice. Il ne me faudra qu’une heure ou deux, le temps de tout mesurer pour pouvoir faire les premiers plans.Arrivé en bas des escaliers, je constate que tout semble différent. Avant c’était un très grand espace. Maintenant un couloir conduit à trois portes. A gauche la buanderie, machine et repassage. En face, une petite pièce. Agencement simplissime. Une étagère, un bureau, un fauteuil, un ordi. Qui travaille ici ? Papa ? Mais il a déjà un bureau à l’étage, pièce autrement confortable que celle-ci, petite et aveugle. Alice ? Pourtant la maison est grande et elle peut travailler ses cours ou corriger ses copies dans un endroit plus agréable. Mystère.A droite. La porte est à double battant. Avec un peu de chance elle est assez grande pour que mon équipement puisse entrer. Il fait nuit noire. Je trouve le bouton.La pièce est grande… Grande et pourtant malgré le plafond assez haut pour un sous-sol, oppressante. Les murs sont cachés par du tissu, sauf par endroit où il y a de grands miroirs et un autre avec un espalier, mais ce n’est pas tout. Tout est étonnant, dérangeant. Ce lit en métal avec des menottes fixées. Tout ce qui pend du plafond, ces cordes, cette barre, ces anneaux, ce cheval d’arçon trop bas pour le sport, avec des appuis bizarres, cette croix, cette armoire remplie d’objets…
Une salle pour pratiquer le SM ou BDSM, je ne connais pas les nuances. Voilà ce que c’est !Mon père !Alice !Qui ?Une chose est certaine, ce n’est pas improvisé, la réalisation d’une fois. Non, c’est organisé, planifié, à commencer par la nouvelle répartition du sous-sol. Partie classique, buanderie, bureau. Un autre pour… Oh mon Dieu… Maman ! Est-ce que c’est de cela dont elle voulait me parler. Enfin juste pour prévenir. Elle avait dû le quitter à cause de cela. Pourtant à l’époque le sous-sol était "classique". Donc cela devant se passer ailleurs, dans leur chambre, ou dans une autre pièce. Déjà à l’époque je revenais rarement… Donc, avec Alice… Alice serait donc… Ou bien mon père…Merde, j’entends des voix là-haut. Alice serait revenue ? Elle n’est pas seule. J’ai laissé la porte ouverte. Vite je vais la fermer. Elle ne va pas venir ici, mais on ne sait jamais. La lumière aussi. Je suis dans le noir.Merde les voix se rapprochent. Je me colle contre le mur. J’essaie de me glisser derrière une tenture. Je me fais…Merde la cloison cède sous mon poids. Non, c’est comme un ressort. Je suis ’passe muraille". Noir complet. La cloison s’est refermée. Je n’ose bouger. Peut-être qu’il y a une cage, une fosse, tout est possible après ce que je viens de voir !De la lumière. Pourtant je n’ai touché à rien. Non, cela vient de…Deux pas de côté. Je me retrouve dans la grande pièce. En réalité Non, je suis dans une autre pièce, petite, exiguë. Un fauteuil, rien d’autre.Alice ! je vois Alice qui est de l’autre côté. Mais elle n’est pas seule. Elle parle… Rose lui répond. C’est ma femme, Rose. Que fait-elle en ce lieu ? Alice vient-elle lui montrer ce que mon père…Je m’assieds. Le miroir… Sans tain ne va pas jusqu’au sol. A mes pieds un écran. Un écran sur lequel, des images… Quatre images… La pièce de l’autre côté… Quatre vues sous un angle différent.S’il y a une chose qu’il faut reconnaître à mon père, c’est sa rigueur. Il m’a appris que lorsqu’on décide de faire une chose, on se doit de la faire bien, de son mieux, ne rien laisser au hasard.Je comprends. Miroir sans tain… Caméras et probablement enregistrement automatique… Siège pour que le voyeur, ou la voyeuse puisse assister sans être vue…Il a dû s’en passer des choses !
Tu as bien regardé ?Mais oui.C’est Rose qui pose la question. Elle ne semble pas dérangée par ce qui habille la pièce. Je décide de ne pas bouger. Je suis pris à mon propre piège.
Je sais qu’il filmait mais je ne savais pas qu’il gardait tout.Personne le savait. Juste moi et encore parce qu’il ne pouvait pas faire autrement. Mais jamais il ne m’a rien montré. C’était son plaisir. Il en faisait des montages.Tu as regardé dans ses ordis ?Bien sûr. Dans celui d’à côté j’ai bien retrouvé une liste de fichiers récents dont les titres ne prêtent pas à confusion, mais si je cherche à les regarder, il me dit qu’ils ne sont pas là. Manifestement il stocke tout ça ailleurs. Ailleurs mais où ?Ici ? J’ai déjà regardé, mais si je t’ai demandé de venir c’est pour qu’un autre regard vérifie. Les déménageurs arrivent dans deux heures.Tu va mettre tout ça où ?Pas chez moi, je n’ai pas la place. J’ai loué un emplacement. Il faut que je libère la place pour ton mari. Je verrai après. Probablement le revendre.Ce genre de truc ne doit pas se mettre sur n’importe quel site.Oh, je ne suis pas inquiète. Je trouverai bien. J’ai déjà des contacts avec certains amateurs.Il est vrai que vu le nombre de personnes qui sont passées ici.C’est vrai.Ça ne va pas te manquer ?J’ai déjà des contacts.Donc tu vas continuer ?Quand on a gouté à ce genre de chose, difficile de revenir en arrière. Et toi ?
"Et toi ?"  Alice pose cette question à Rose. Une question comme si elle aussi participait… Ce n’est pas possible… Pas Elle… Pas ça… Pas avec mon père… C’est comme un inceste… La femme de son fils… Son beau-père… Sa belle-fille… Et Alice aussi…La réponse tombe comme un couperet qui balaye toutes mes questions, apportant la preuve irréfutable que…
Évidemment que ça va me manquer. Ce salaud m’a donné le virus et toi aussi, sa complice. Vous faites… Vous faisiez un sacré couple de pervers…Je reconnais. Je me souviens comme cela a commencé.Tu savais ce que tu faisais en me dénonçant à lui.Oui, mais rien n’était certain. Tu aurais pu refuser. Il n’aurait rien dit de toute façon.Ce n’est pas l’impression qu’il donnait. Sa menace m’a semblé bien réelle.Mais il savait détecter les failles parmi ses futures victimes. Enfin quand je dis victime, victime l’espace d’un instant, une séance au plus. Après, de victime tu es devenue "victime volontaire" et plus encore. C’était sa force !Je reconnais. Mais moi je ne suis pas libre. Tu oublies que je suis mariée.Cela ne t’a pas dérangé avec nous.Ce n’est pas sympa.Pour toi la transgression a été capitale. Coucher avec ton beau-père et moi… Et d’autres, mais toujours avec lui ou moi présent. Tu auras plus de mal. Si tu veux je te contacte dès que je trouve un bon candidat.Non, je veux redevenir une femme fidèle.Comme tu veux, mais permets-moi d’en douter. Avec ton tempérament !Bon, on n’est pas là, pour faire des plans sur l’avenir. Tu imagines si les fichiers sont retrouvés par d’autres…
Elles cherchent. Et pendant qu’elles cherchent, je gamberge. Oh, je n’ai pas besoin de beaucoup d’imagination. En quelques mots les deux femmes m’ont tout dévoilé, du moins en "gros". Il est manifeste que Rose est une familière du lieu… De ce lieu mais aussi… En vacances, juste eux trois, sans mari qui pourrait déranger.Le fumier ! Le salaud ! C’est donc cela l’avertissement de ma mère. A l’époque Rose n’existait pas, mais j’avais des amies, amies toujours très bien accueillies à la maison, mon père d’un naturel rigoureux acceptant qu’elles rester coucher. Mon Dieu… déjà à l’époque… Non, aucune ne s’est plainte d’une attitude équivoque.
Elles cherchent mais ne trouvent pas. Pourtant elles explorent méticuleusement, cherchant des cachettes. Le cheval d’arçon a une cachette mais pour y stocker des accessoires…
Écoute, il n’y a rien ici, du moins dans les meubles. On vérifiera après que les déménageurs aient emmené tout ça. Tu as regardé dans l’armoire.Oui, mais de toute façon je garde ce qu’elle contient. Ça je peux l’emmener avec moi. Je pourrais en avoir besoin.Je vois que le décès de mon beau père ne t’a pas trop affectée.Bien sûr que si mais ce qui nous liait n’était pas de l’amour au sens où on l’entend normalement. Plutôt une complice, un gout pour ces jeux, le plaisir de partager, ce qui nous rapprochait et faisait de nous un couple.
On entend une sonnerie. Sonnerie répétée.
Ils arrivent.Quelqu’un est déjà venu faire une estimation ?Non, j’ai pris un forfait pour éviter les indiscrétions.Mais ils vont bien voir.Impossible de l’éviter. Je suis contente que tu sois avec moi, on ne sait jamais…
Alice quitte la pièce. Rose s’assied sur le canapé qui est près de mon miroir.
Bonjour Madame.Bonjour Messieurs.
Ils sont deux. Ils saluent Rose mais n’ont d’yeux que pour ce qui occupe la pièce. Le moment n’est pas à rire après la découverte de l’infidélité honteuse et traîtresse de mon épouse et pourtant je ne peux me retenir de sourire en voyant la surprise de ces hommes.Celui qui parait être le chef questionne en essayant de retrouver son calme.
Vous voulez bien nous montrer ce qu’il faut prendre ?
Alice s’exécute. Mais chaque chose qu’elle montre ne fait que pointer l’usage qui peut en être fait. Elle essaie d’être "indifférente" mais :
Si je comprends bien, tout y compris l’armoire, mais pas ce qu’elle contient.C’est cela et aussi certains accessoires que je vous indiquerai à mesure que vous les enlèverez. Ah.
Un long silence. Les deux hommes se regardent. Le grand noir, qui n’avait pas parlé jusqu’à maintenant demande :
Vous habitez ici ?Moi, oui, pas mon amie.Ah, alors c’est vous qui…
Alice sourit.
Oui.Oh. Je déménage. Mon compagnon est décédé. Oh, mes condoléances…Merci
Un nouveau silence.
Alors c’est lui qui…Oui… Mais pas seulement.Ah. Et ce truc cela sert à quoi ?
Alors suis une série de réponses qu’Alice apporte aux questions qui se succèdent, simulant parfois une position, expliquant le pourquoi et le comment.Les hommes découvrent un autre monde.
Et vous Madame vous avez aussi…
C’est le petit gros qui questionne Rose, restée silencieuse.
Parfois.Oh!!!
Et puis Alice qui veut reprendre le but de cette visite.
Bien entendu Messieurs nous souhaitons une parfaite discrétion. Comme vous le savez j’ai choisi le forfait afin que le minimum de personnes ne soient au courant. Vous avez bien prévu un emballage afin qu’en sortant de cette maison les voisins ne puissent voir ces objets ?Oui, tout est dans le camion. Pour ce qui est du reste nous devons déclarer les objets transportés ? C’est valable aussi pour le garde-meuble. Un problème d’assurance.Oh, c’est très fâcheux. Vous comprenez. Si cela se savait. Ma réputation.Nous ferons pour le mieux mais difficile de garder le secret.
Alice est évidemment perturbée par cette réponse. Le risque de fuite est augmenté.Mais le grand noir parle à l’oreille de celui qui est manifestement le chef.
Tu es fou. Jamais elles…Que vous a dit votre ami ?Une possibilité, mais… Dis-leur puisque c’est toi qui a eu cette idée.
L’homme hésite. Alice insiste :
Monsieur, je vous en prie.Euh. C’est-à-dire que personnellement je pourrais rester très discret si… Je pense que toi aussi, Roger, n’est-ce pas ?Je pourrais évidemment. Mais encore faut-il que…Vous pourriez nous faire une démonstration avec ce meuble ?
Le meuble qu’il montre est cette sorte de cheval d’arçon.
La chaise a fessées ?Ça s’appelle comme ça ? Oui ? Et on fait comment ?Vous voulez que je vous montre ?Oui, avec Madame (Il pointe son doigt vers Rose).Si on respecte votre demande, de votre côté, vous promettez de rester très discret ? De n’en parler a personne ? Je vous donnerais une liste qui serait assez vague pour ne pas éveiller la curiosité.Oui.Oui.
Alice hésite à peine.
Rose vient on leur montre.
Rose se lève. Elle se dirige vers le meuble. Elle va l’enjamber, mais l’homme dit :
Vous gardez vos vêtements d’habitude ?Non, bien sûr que non.
Le silence est parlant. Les femmes se regardent. Elles comprennent que l’homme veut une vraie démonstration. Rose enlève son chemisier et son pantalon. Elle apparaît en lingerie. Lingerie classique mais qui renforce encore sa beauté, la salope a conservé son corps de jeune femme, la maternité ne l’a pas marqué, nous n’arrivons pas à avoir un enfant et pour une fois j’en suis heureux.Mais l’homme attend encore. A nouveau elles comprennent.Soutien-gorge et petite culotte. Elle ne fait aucun geste de pudeur. Dans cette pièce la pudeur n’est pas de mise.
Et vous Madame vous restez habillée d’habitude ?
C’est l’autre homme, le petit gros, le chef d’équipe qui vient ajouter son grain de sel. Alice ne répond pas. Elle a compris que cela ne sert à rien. Elle, c’est une robe qui tombe aussitôt suivie du reste. Je l’ai vue en maillot. J’ai même su par Rose qu’elle s’était faite refaire les seins mais les piercings qui traversent ses tétons sont une découverte comme elle l’est pour les deux hommes. Elle sourit. Elle est habituée manifestement au regard des autres et sait pertinemment ce qu’il pense :"Voilà une sacrée salope.".Mais les femmes dans un ballet bien réglé commencent la démonstration alors que les deux hommes avancent pour mieux voir. Ils me cachent le spectacle. Mais l’écran qui reçoit l’image des caméras remplacent avantageusement. Il a tout prévu. Celui ou celle qui était à ma place pouvait tout voir. Mieux la télécommande posée dessus permet de choisir un plein écran et de même de zoomer. Tout s’est déclenché automatiquement. Cela a dû se passer à l’ouverture de la porte ou à la mise en route de l’éclairage. Quel pervers. Tous les vices. Les femmes ont dit qu’il filmait et faisait des montages. Il filmait, c’était automatique et le boîtier à côté de l’écran avec sa petite lumière verte qui clignote doit être l’enregistrement.Depuis tout ce temps il doit en avoir des enregistrements, des fichiers ou lui, Alice, Rose et probablement plein d’autres se montrent en plein action. Je comprends les femmes. """Et si quelqu’un tombait dessus. Un quelqu’un mal intentionné qui pourrait ruiner la vie de tant de personnes à commencer par celle de Rose… Donc de la mienne. La mienne car si cela se savait je "tomberais" avec elle :Son mari ne savait pas ? Avec son père ? Quelle honte. Quelle famille…"""
Alice immobilise Rose sur cette chaise à fessées. Les poignets, les chevilles, le cou, les reins. Elle est totalement prisonnière dans une position odieuse, la croupe cambrée par une excroissance du meuble.
Et après vous faites quoi ?
Rose ne le voit pas mais Alice va se saisir d’une sorte de martinet. Elle regarde le grand noir. Elle doit voir dans son regard un ordre ou au moins un souhait appuyer mais elle hésite.
Je vous jure que je ne dirai rien. Toi aussi Roger.Je le jure.
Alors elle le fait. Elle claque le dos, les reins les fesses de Rose. Même la caméra montre le rosé de la peau pourtant dorée par le soleil d’été.La salope, cet été avec eux elle a du baiser, baiser alors que moi je bossais. Pourtant lorsque je suis arrivé c’est une femme amoureuse qui m’attendait, amoureuse et chaude. La chienne, la garce, la traînée, il lui en faut tant que cela pour se satisfaire.En attendant c’est elle qui gémit sous les coups.Mais le grand noir enlève son tee-shirt. Sa peau d’ébène luit de sueur. Tous les regards vont vers lui. Il ne s’arrête pas et continue avec son short, short vague mais qui montre un slip bombé. Il bande. Personne ne peut en douter maintenant qu’il est nu. Un beau mandrin, long, racé, en engin comme beaucoup d’hommes aimeraient en avoir.Tout le monde le regarde. Comme il est en face de Rose, elle aussi voit l’excitation que son jeu procure à cet homme. Je ne sais s’il le fait de son propre chef ou s’il a vu dans le regard dans la chienne attachée ou que ce sont ses lèvres qui se sont entrouvertes, mais il avance. Il avance le dard bien horizontal. Il n’a pas besoin de le guider, la bouche entrouverte l’attire.Alors, alors l’ambiance lourde semble changer. Alors que Rose suce, de toute façon immobilisée comme elle est, sa seule défense serait de garder "bouche close", mais elle ne le fait pas. La sale pute. Elle le suce ou plus exactement il lui lime la bouche.Alors l’autre homme se déshabille aussi. Petit râblé mais sexe aussi bien tendu. Un sexe qu’Alice se fait un devoir de prendre en main.Deux hommes. Deux sexes tendus. Deux sexes sucés. La pièce se remplit du râle des hommes. Et puis Alice bouge. Elle va vers l’armoire et en revient avec deux capotes. Elle se charge d’en recouvrir le sexe de l’un. L’autre s’en charge lui-même.Le grand noir fait le tour. Rose ne peut pas bouger mais elle doit deviner ce qui va se passer.Des mains noires sur ses hanches dorées.Un sexe sombre que le latex transparent ne dissimile pas.Une croupe que la chaise propose cambrée, cuisses écartées.Un dard qui remplit mon écran.Une queue qui avance, écarte les chairs, se glisse si facilement, la preuve supplémentaire que la chienne en avait envie.Alice n’est pas inactive. Elle entraîne le petit vers le canapé, canapé qui est très près de moi, du miroir. Elle le fait s’assoir. Elle monte sur lui et s’empale tout en regardant vers moi. Il y a de la nostalgie dans son regard. L’ombre de son compagnon et complice plane au-dessus d’elle. A quoi pense-t-elle ? Toutes les fois où son complice, mon père était le voyeur, le voyeur des baises de sa compagne, la laissant jouer le rôle de l’épouse infidèle alors que de l’autre côté du miroir, il regardait et filmait.Mais le plaisir la rappelle. Elle s’empale alors que l’homme joue avec ses seins et ses piercings.Aussi son partenaire a envie de plus. Il veut comme son copain "baiser" les femelles. Rose est prisonnière mais Alice se laisse guider pour se retrouver à genoux sur le canapé, la poitrine en appui sur le dossier. Alors l’homme se libère. Avec ce qu’il a vu il a compris que les deux femmes ne sont pas de simples maîtresses. Elles demandent plus à leur amant. Un peu plus loin son copain bourre la plus jeune, lui arrachant des cris. Lui se charge de la plus vieille, de la plus salope. Bientôt elle aussi gémit et gronde. Il ne peut douter, comme son copain un peu plus loin, que les deux femelles ne regrettent pas de "céder" à ce chantage. Chantage prétexte. Elles en avaient envie.
Voilà, c’est enfin terminé. J’ai dû rester jusqu’à la fin, piégé dans ce cagibi. Rose est partie. J’ai bien l’impression qu’elle a échangé son "06" avec son baiseur. La salope. Je me vengerai, je me vengerai. La chasser ? Non, trop facile. La punition et d’ailleurs est ce que ce serait une punition ? Cocufier ainsi son mari montre bien que son amour pour lui est parti. Je me vengerai ! Oui, mais comment ? Lui dire que je sais tout et la voir se débattre avec cette réalité ?
Ils sont partis. Les déménageurs d’abord. Puis Alice. En éteignant la lumière tout redevient noir dans mon cagibi. Même l’écran s’est éteint. Ne reste que la petite lampe verte qui après quelques secondes disparaît aussi.Mon téléphone permet de me repérer. Un interrupteur, lampe très faible, me montre les limites du cagibi. Pièce étroite. Je devine la porte qui m’a laissé passer, mais derrière moi une autre, plus classique.La maison est silencieuse depuis un moment. J’ose la pousser. Elle donne dans le petit bureau, la pièce qui donne dans le couloir. La porte est en réalité cachée par la petite bibliothèque. Mon fumier de père a agencé son lieu de perversité avec les talents d’un prestidigitateur.Les fichiers ? Elles les ont bien cherchés dans la grande salle et probablement qu’Alice a aussi regardé dans ce cagibi et le bureau. Le bureau c’est certain puisqu’elle dit avoir contrôlé le disque dur.Je retourne derrière le miroir. Je scrute, déplace même le fauteuil, l’écran et le boîtier. Dans le bureau. Bureau d’ascète. Pas beaucoup d’endroits pour cacher ce qui doit tout de même tenir un peu de place. Des années de vice, des vidéos, des gigas et des gigas. A moins qu’il garde tout sur un Cloud. Non, trop risqué. Pas un Cloud ou si c’est le cas au moins avec des sauvegardes. Pourquoi ce bureau ? Pourquoi pas à l’étage dans une ambiance plus chaleureuse. Il n’avait rien à cacher à Alice sa complice. Alors pourquoi ?J’essaie de me mettre à sa place. Je m’assieds sur le fauteuil, face à l’écran, la tour à mes pieds.Revue des fichiers sur le disque dur, même les fichiers cachés. Le système, des logiciels, en particulier logiciel de chez Adobe pour faire des montages vidéo. Donc il travaillait ici. Je retrouve ce qu’a déjà vu Alice, la liste des fichiers récents. Mais en effet ces fichiers ne sont pas, ne sont plus sur le disque dur. A chaque fois qu’il voulait faire ses montages il devait venir avec son disque dur ?Non car Alice saurait ou il stockait tout cela.Alors ? Alors où ? Un endroit facilement accessible. Pourtant rien dans la pièce. Les murs, le sol, sous la table, dans la tour… Rien de rien. Bordel papa ou cachais-tu ? La meilleure cachette est la plus visible. Il me disait alors que nous jouions à cacher un jouet.Alors où ?Le fauteuil. On est assis dessus… Je le renverse. Dessous un bouton. J’appuie…Bingo, le siège se soulève et sous l’assise, une cache… Disques durs bien alignés, calés afin que même en déplaçant le siège rien de bouge. Des disques durs et des petits cahiers."Il ne faut pas faire confiance à sa mémoire. Elle est faillible. Il faut noter, noter."Cher Père, que tu brûles en enfer mais au moins tu m’auras appris les bases…
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J’ai tout caché dans notre cave.Je dois attendre le lendemain, je me suis fait porter pâle, alors que je sais Rose au Lycée pour la journée, afin de commencer a regarder.
Évidemment la première chose que je cherche c’est Rose. Facile, il y a un petit carnet rien que pour elle.
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((((Pouvez vous bien mettre en évidence les parties que j’ai marquées par """. Celles du carnet. Merci)))

"""Rose. 15 Décembre 2018. Première fois.
Disque 09. Vidéos brutes 15/12/18 a et b. Montage. Disque Rosebud. Fichier 01. Première fois 15/12/18."""
(Oh, mon Dieu depuis plus de trois ans. Les dates sur le carnet font un pointillé de luxure pendant toutes ces années. Je lis ce que mon père a écrit : )
"""Elle n’a même pas cherché à nier. Il est vrai que j’avais bien préparé cette rencontre. Alice m’avait bien aidé.Sa surprise devant le spectacle que j’avais préparé a été un moment délicieux. On peut lui reconnaître du caractère. Mon fils l’a bien choisie. La première fois que je l’ai vue j’ai pensé que sous ses airs de jeune fille sage se cachait une femelle, une vraie.Alice m’a fourni le coin que je peux glisser dans la fissure de son infidélité et faire sauter la carapace. Quand je pense que c’est le hasard qui a tout organisé. Si Alice n’était pas passée dans cette rue de l’autre côté de la ville, qu’elle n’a trouvé à stationner qu’en face ce petit hôtel, jamais elle n’aurait remarqué que Rose en sortait. C’est sur ma demande qu’elle a été se renseigner auprès du gérant. Une bonne pipe et le mec a commencé à tout déballer. La promesse de son cul et il s’est chargé de rassembler le plus de preuves possibles. Non seulement Rose avait un amant qu’elle rencontrait discrètement, mais ce n’était pas le premier. Elle avait ses habitudes depuis au moins deux ans. Deux ans cela signifiait qu’elle cocufiait mon fils à peine cinq années après leur mariage. La garce. S’il y a une chose que je ne supporte pas c’est ce genre d’infidélité. Une fois de temps en temps, à la rigueur, cela ne prête pas à conséquence mais de cette façon, régulièrement, elle avait le feu au cul. Elle n’a pas nié mais m’a tout de suite supplié de ne rien dire à son mari. J’entends encore ses supplications. Elle disait qu’elle l’aimait… Qu’il ne lui pardonnerait pas… Etc. Du pain béni ses supplications. Évidemment elle n’avait pas idée du marché que j’allais lui proposer. Cela a été facile, même trop facile. Alice dit que j’ai un don pour trouver la faille chez les autres, mais je ne m’attendais tout de même pas à ça.Cette Rose, une Soumise en devenir. Un diamant brut que j’imagine déjà tailler et polir afin que la lumière y pénètre et se réfléchisse, m’éblouissant par sa pureté.Une Soumise qui s’ignore. Je vais l’appeler Rosebud. Tout un programme.Mon fils je t’ai appris beaucoup de chose mais je ne t’ai malheureusement pas transmis ni enseigné ce qui transcende la sexualité. Tu es comme ta mère, trop franc, trop intègre. Mais je vais te venger."""
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Ces quelques lignes m’enlèvent toutes illusions, si j’en avais encore après les échanges entre les femmes et la façon dont elles avaient accepté de "payer" le silence des déménageurs.Je connecte le disque, Disque Rosebud. Fichier 01. Le "01" dénote un état d’esprit, un ego démesuré, la quasi-certitude qu’il faille prévoir plus que de 1 à 10. Un rapide examen des fichiers sur ce disque manifestement uniquement consacré à ma femme enfonce encore un peu plus le clou de la honte. Oui, plus que 10…
"Fichier 01. Première fois."
Je reconnais tout de suite le salon. Personne dans le champ, mais des voix, des voix et puis leur arrivée :
Je t’en prie assieds-toi.Merci, mais vous voulez bien me dire pourquoi vous n’avez pas voulu me parler au téléphone ? C’est grave ? Gaby a un problème ? C’est vous ? Alice ?Mais non, rassure-toi, rien de très grave, en tout cas rien qui ne concerne la santé d’aucun d’entre nous.Alors, c’est quoi ?Laisse-moi te servir un verre. Un whisky, ça te va ? je sais que tu aimes bien.Plutôt de l’eau.Non, crois-moi, un alcool fort. Tu en auras besoin. D’ailleurs moi aussi.
Elle va parler mais mon père s’est levé et va chercher deux verres avec une bouteille de whisky. Oh, le tourbé 16 ans d’âge. Uniquement pour les grandes occasions. Rose le remarque. Il la sert. Un grand verre.
C’est trop. Vous savez bien que je ne supporte pas l’alcool.Allez bois, ne fait pas ta gamine, pas avec moi.
Le ton est sec. Elle est surprise, mais comme il s’est servi aussi, qu’il tend son verre pour trinquer, elle ne peut pas refuser.Quelques secondes. Déjà l’alcool fait monter le rose aux joues de ma femme.
Alors maintenant vous allez me dire ?Oui. Écoute. Juste une question.
Un silence. Elle est toute ouïe.
As-tu déjà trompé ton mari ?Mais non, bien sûr que non.
C’est venu tout de suite, sans réfléchir comme l’est une phrase préparée depuis longtemps.
Alors tu vas pouvoir me dire ce que tu faisais dans cet hôtel, rue des Ganidodes ?Euh, ou vous dites ? A oui, j’ai rendu une visite à une amie.Tu vas la voir tous les mardis ?Euh…
Il la piège, lentement, doucement comme une souris dans les pattes d’un chat. Elle s’enfonce dans le mensonge, mais petit à petit il lui arrache toutes les informations, remplissant devant moi les cases des amants successifs et même pendant un mois de deux en parallèle. Elle est vaincue. Elle sanglote. Mon père a su lui tirer toutes les informations, les noms, les lieux, presque le comment.Elle sanglote et le supplie.
S’il vous plaît ne dites rien à Gaby. Il ne comprendrait pas. Je suis heureuse avec lui et lui aussi. C’est un bon mari…Qui manifestement ne te satisfait pas sexuellement ?Si, si…Tu mens, si c’était le cas tu n’irais pas voir ailleurs. Pourtant toutes les filles qu’il a ramenées à la maison semblaient satisfaites. J’ai été vérifier en écoutant et elles donnaient toutes des signes de plaisir. Alors ?Ce n’est pas lui le problème, c’est moi. Gaby est un très bon amant mais…Quoi, pas assez souvent, pas assez résistant ?Non, tout va bien. C’est autre chose.Je vais t’aider. Changer la routine ?Oui.Changer de partenaire ?Oui.Avec eux te lâcher totalement sans avoir peur du jugement de Gabriel ?Oui.Accepter ou leur demander de te "baiser" et pas seulement faire l’amour avec ton mari.Baiser ?Le sexe pour le sexe. Chercher le plaisir à tout prix même s’il faut transgresser certaines règles.Oui.Ne pas se contenter d’une possession avec un sexe protégé mais demander très vite que ces hommes se vident en toi. Sentir leur semence ?Oui.Tu te protégeais au moins ?Oh, oui j’exigeais un test chaque mois.Tu veux que je ne dise rien à mon fils ?Oh, oui, s’il vous plaît.Tu me jureras de ne pas recommencer ?Oui, bien sûr, plus jamais.Tu mens. Au mieux tu te mens à toi-même. Au pire tu me mens en parfaite connaissance de cause. Tu viens de me dire que tu avais besoin de ça… Alors je dois lui dire la vérité. Mon fils ne peut pas vivre avec une femelle qui se donne au premier qui se présente.Pardon, pardon. Je ferai tout ce que vous voulez…
Voilà, voilà le résultat de tout ce cheminement. En reconnaissant… Mon Dieu, elle vient de reconnaître que son plaisir était, entre autres, que ses amants se vident en elle… Alors qu’à cette époque nous essayions par tous les moyens d’avoir un enfant. Elle aurait pu tomber enceinte et j’aurai été le père d’un…
Nous verrons. J’ai peut-être une solution pour toi. Personne d’autre que moi et Alice ne seraient au courant. Ton mari, mon fils serait épargné de cette honte que tu lui infliges. Je vais te montrer. Suis-moi.
Il se lève. J’ai juste le temps de voir qu’elle aussi avant que sa main se saisisse de son téléphone.
Une seconde de noir, pas plus, l’image revient mais le lieu a changé. C’est la pièce du sous-sol. C’est lui que l’on voit, juste devant la porte, tourné vers le couloir.
Entre.
Elle apparaît. La caméra choisie montre sa surprise. Elle regarde tout autour d’elle, mais bien vite elle est hypnotisée. Mon père la prend par la main.
Avance.Mais…Quoi ? Tu veux partir. Tu veux que mon fils sache que son épouse est une putain.Oui… Non… C’est Alice…Bien sûr que c’est Alice. Tu ne la reconnais pas ?Si, mais.Elle est là pour toi.Pour moi ?Tu ne veux pas te venger de celle qui t’a dénoncée. Ton amie, ta collègue de travail.Non, enfin, euh. Pourquoi vous lui faites ça. Je n’ai rien demandé.Pour le plaisir. Regarde autour de toi, tout ce qui est rassemblé ici, l’est uniquement pour le plaisir.Pourtant…Tu ne sais rien sur le plaisir. Tu n’es qu’une petite putain qui le cherche en prenant des amants. Moi, je sais le donner. Tu verras.Maintenant enlève-lui son bâillon.
Il faut dire que la scène est étonnante. C’est Alice en effet, mais une Alice que Rose n’avait jamais vue. Moi non plus d’ailleurs.Elle est nue. Les poignets et les chevilles attaché à des barres, une qui est reliée au plafond, l’autre au sol. Elle est attachée, bras et jambes écartés. De sa bouche on devine un objet rouge retenu par une sangle qui fait le tour de sa tête. De ses tétons (Tiens elle n’a pas les piercings que j’ai vu hier) pendent des objets qui les tirent au sol.
Je ne peux pas, c’est trop.
Elle ne s’attendait pas à la gifle. Elle est sidérée en portant une main à sa joue.
Si c’est trop, alors quitte cette pièce.Oui mais…Choisis. Punir et te venger de celle par qui tout cela t’arrive, ou bien rentrer et attendre ton mari. L’attendre, à chaque moment te demander s’il sait, si son père lui a dit que sa femme est une trainée. Oh, ne va pas t’imaginer que tu pourrais nier, lui dire que c’est moi qui veux briser son couple. Tu ne pourrais pas nier car j’ai des preuves. Les noms, les adresses de tes derniers amants et même quelques photos avec ce beau black dont tu avais l’air de beaucoup apprécier son bel engin.Martial ? Vous avez des photos de moi avec Martial.Mais oui. Pourquoi tu ne demandes pas à Alice. Elle va te répondre, crois-moi.
Alors on sent qu’elle est anéantie. Elle détache avec bien du mal le bâillon. C’est une boule rouge qui occupait la bouche de sa "belle-mère". Des lèvres libérées coulent de la salive. Les deux femmes se regardent.
Demande-lui comment elle a découvert tes infidélités ?Comment vous avez su ?
Mais Alice ne répond pas. Rose se tourne vers mon père qui sourit.
Il manque la ponctuation.La ponctuation.Oui. Regarde je te montre.
Il se saisit d’une sorte de martinet qui est sur la table basse. Il se place de côté et frappe les reins d’Alice.
Tu vois. Avant de poser chaque question. Mais aussi après si tu en a envie, pour punir…Je…Approche. Regarde comme je fais. Le poignet bien souple. Le coup doit être assez fort, mais pas trop. Juste pour préparer le plaisir…
Il lui montre. Il la laisse. Elle hésite et puis elle frappe :
Plus fort, ce n’est pas une caresse. Repose ta question et frappe.
Elle le fait.
Comment vous avez su ? (Le coup est un peu plus fort.)Je t’ai vue sortir de l’hôtel.Vous me suiviez ?
Pas de réponse. Alors elle comprend et frappe. Le sourire de mon père est radieux alors qu’au même moment il croise le regard de sa compagne, compagne qui participe à la mise en condition de ma salope d’épouse.
Alors le jeu des questions et des réponses s’enchaîne. Rose prend de plus en plus d’assurance. Elle se laisse même emporter. Lorsqu’Alice avoue avoir obtenu des informations du gérant de l’hôtel en lui faisant une pipe, elle demande comment. Elle est sidérée d’apprendre qu’Alice suçait l’homme alors que justement elle passait devant son comptoir. De la même façon elle la questionne sur la façon dont elle a obtenu des photos d’elle avec ce Martial. Elle "punit" plus fortement Alice lorsqu’elle apprend que c’est par un trou de serrure entre deux chambres jumelles que les preuves sont enregistrées et que pendant ce temps le gérant baise Alice. La phrase :""C’était excitant de te voir avec ce beau black, que je savais être prof de sport et qui te soulevait comme un fétu de paille pour mieux que tu t’empale sur sa belle bitte""déclenche même plusieurs coups.
Mon fumier de père a gagné. Rose ne pense plus à la raison de sa présence alors que pourtant chaque mot rappelle ses infidélités.Elle acquiesce lorsqu’il lui dit que les aveux d’Alice méritent une récompense et qu’il lui donne un gode vibrant afin qu’elle lui apporte le plaisir et la jouissance.Elle obéit alors qu’Alice se tortille sous la puissance du plaisir et qu’il lui demande de l’embrasser sur la bouche, de lui caresser la poitrine.Elle hésite à peine alors qu’il lui demande se s’agenouiller devant sa belle-mère pour finir le travail du gode et apporter une jouissance qu’Alice exprime sans retenue.
Il a gagné lorsqu’elle ne proteste pas alors qu’il est d’une clarté totale sur ce qu’il attend d’elle.
Je veux te voir ici, la semaine prochaine à la même heure. Je te laisse le choix encore une fois. Tu viens et je te montrerai comment le plaisir peut suivre des chemins tortueux. Tu n’auras plus besoin de tes amants de pacotille. Moi je te fournirai tout ce dont tu as besoin et même encore plus. Tu m’obéiras. Je ferai de toi ma Soumise et je te promets des jouissances que tu n’imagines pas.Tu peux aussi refuser. Tu es libre. Mais à tes risques et périls. Avec moi, cela ne sortira pas de la famille (Son petit rire est une pure provocation).Si tu viens tu seras "Rosebud", je trouve que cela te va bien. Tu sais ce que c’est un Rosebud ?Oui, un gode anal.Très bien. C’est cela, un plug. Tiens je te donne celui ci. Chaque jour tu m’enverras une photo de toi qui le porte. Je saurais alors que tu acceptes. Tu as compris ?Oui.Alors détache Alice. Sache que la prochaine fois ce sera peut-être toi… Ou pas… Ou une autre… A moins que je choisisse la croix de saint Andrée… Ou la chaise à fessée…
Rose suit du regard chaque objet que son beau-père lui montre.
A-t-elle déjà pris sa décision ? Il faut dire qu’il ne lui donne pas le choix. Enfin c’est ce qu’elle veut bien croire. Pourtant à cet instant il lui était encore possible de venir me voir et de m’avouer ses infidélités. J’aurais peut-être pu la comprendre, si ce n’est lui pardonner. Elle aurait pu jouer sur le côté "besoin incontrôlable", sur des pulsions, sur une nymphomanie. Comment aurais-je réagi ? Je ne sais pas ! Mais si elle avait ajouté que mon père avait essayé de la faire chanter en m’expliquant le piège qu’il lui avait tendu, alors j’aurais pris sur moi et mari aimant, fils répudiant son propre père, nous aurions trouvé une solution.Mais je sais qu’elle n’a pas fait ce choix. Le carnet "Rosebud" avec ses nombreuses pages remplies sont des preuves tangibles qu’elle bien revenue. Et si elle est revenue, ce n’étais pas pour tricoter. Il faut reconnaître à mon salaud de père qu’il a été honnête avec elle et si elle est revenue c’était en toute connaissance de causes.
Je feuillette le carnet. Des dates, des lieux, des noms, de longues tirades qui accompagnent des fichiers, fichiers manifestement de vidéos qui pouvaient être que des compilations....Compilation c’est le mot correct. Compilation comme on trouve des compilations de "gorge profonde", de "avaleuse de foutre", de "prise par le cul" sur le net…

A suivre
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