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De l'héroïne à l'esclave

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’écris ce texte selon les ordres et désirs de mon maître, et selon les consignes qu’il a dicté. Il s’agit d’une histoire fictive à caractère sexuel qui ne s’adresse pas à un jeune publique. Ce texte fait partit des devoirs que mon maître exige de moi et ne pas le rédiger serait m’exposer à une sévère punition.

"De l’héroïne à l’esclave…"

Mon maître partage avec moi ses appartements, il est souverain d’un domaine étrange et parfois effrayant ou de multiples esclaves sont à son service. Des dominatrices, des dominants, mais surtout des dominés, ses partenaires préférés. Je passe ainsi mes journées dans une vaste chambre, cherchant sa présence et son parfum dans les draps de satin dans lesquels je dors. Je passe une longue partie de mes journées à attendre son arrivée, à fixer la fenêtre et à voir le temps défiler. Ma frustration et mon impatience grandissent d’heures en heure, je n’espère rien d’autre que de voir le ciel décliner dans les nuances de pourpre et de rouge qui annoncent le crépuscule, et nos retrouvailles.
J’étais très loin d’être une soumise, ou de songer avoir cela en moi avant de le rencontrer. Mon univers se cantonnait à la grande ville aux hautes murailles dans laquelle je trouvai refuge entre plusieurs missions de mercenaires. J’étais entêtée, refusant toute autorité, fière d’être têtue et insoumise. Je prenais plaisir à défier l’autorité de tout ce qui venait à me faire face, avant.
J’ai accepté une mission dans une auberge ou j’aimais m’aviner en fin de soirée, je devais retrouver une jeune paysanne, une femme simple et sans réel charme appartenant à une famille tout aussi simple. Je ne me doutais pas alors de ce vers quoi allait me conduire cette demande. Les dernières traces de la demoiselle laissaient entendre qu’elle s’était rendue vers la falaise au nord de la campagne. Plus d’une disparition y avait été signalée, que des femmes, ou de jeunes hommes à l’allure délicate et au caractère doux. C’est en suivant les traces et les indications de ceux que je croisais que j’ai fini par trouver la tour. La tour se perd dans des hauteurs à donner le vertige, tout en pierre sombre, le soir des soupirs qu’on pourrait confondre avec le vent portent jusqu’aux habitations les plus reculées.
Je passais plusieurs jours devant la tour, mes compagnons m’avaient accompagné. Sacha et Sebastian... Deux hommes qui n’ont rien de soumis, deux hommes avec lesquels je partage ma couche et un amour sincère... comme je regrette de leur avoir demandé leur aide aujourd’hui. Je n’ai pas même le droit de les voir, seulement à quelques nouvelles que la favorite de mon maître se presse à me raconter, murmurant les délicieux tourments qu’elle leur fait subir à travers la porte de la chambre de mon maître.
J’ai fait l’erreur de m’endormir pendant ma garde, avec le recul, je ne suis pas certaine de m’être endormis naturellement. Un sort m’a sans doute sonné, c’est dans la chambre que je ne peux plus quitter aujourd’hui que je me suis réveillée. Mon maître se tenait dans l’encadrement de la porte, le visage à demi-caché par l’ombre. Ses yeux sont d’un bleu sombre, tirant presque vers le noir lorsqu’il se fâche contre moi, il n’est pas spécialement grand, mais sa présence ferait baisser la tête aux plus déterminés. Des cheveux noirs, court, une barbe parfaitement taillée qui met en valeur la beauté de ses traits.
Il était en veston, un veston noir et rouge tombant sur un caleçon noir, en cuir. Ses vêtements ne me sont pas resté longtemps en mémoire, je ne savais à l’époque rien de lui, si ce n’est qu’il était certainement coupable des enlèvements dans la région. C’est lorsque je me suis redressée pour lui faire face, tenant à lui montrer que je n’étais pas impressionnée, que j’ai réalisé que j’étais attachée, de solides bracelets de cuir aux chaînes longues me maintenaient prisonnière de sa couche. Un collier de cuir me ceignait presque douloureusement le cou, trop serré, avilissant et dérangeant.
Les règles sont simple... - sa voix avait le don de faire frissonner ma peau avant même qu’il m’est touché, il exerçait une fascination déroutante sur moi, une fascination dont je ne voulais pas et à laquelle je ne pouvais qu’être soumise - J’organise régulièrement une sorte de « jeu » entre mes soumises, la plus convaincante se voit gratifier de l’honneur d’être ma favorite...Je n’ai aucune envie d’être vôtre favorite.Ponctue tes phrases par un maître.
Je n’ai pas pu m’empêcher d’afficher un sourire méprisant, et arrogant, riant presque de sa demande. « Maître », et pourquoi pas mon seigneur tant qu’il y était. Ma mimique a répondu pour moi ce que je pensais de son ordre. Mon sourire s’est fané lorsque j’ai senties le coup de cravache me cingler le dos. Cuisant, pas assez fort pour me faire réellement mal, mais assez pour faire chauffer ma peau, m’arracher un gémissement qui n’était pas totalement due à la gêne ou à la douleur. Je commençais déjà à réaliser qu’il y avait un certain contentement à éprouver une douleur fugace...Et surtout, un contentement à le savoir si désireux de faire de moi sa chose. Le visage de mon maître s’est éclairé d’un sourire en coin, un rien malsain, plus amusé qu’autre chose. Il semblait lire mes pensées, ce qui n’avait que le don que de m’exaspérer d’avantage.
Les règles donc... J’ai plus d’une candidate pour ce rôle, il comporte des privilèges, et comme tu t’en doute, des devoirs.Je me cogne royalement des privilèges et avantages que vous me proposez, je ne vous obéirais pas.
La cravache à cette fois frappé mes reins, brûlant délicieusement ma peau. Il s’est rapproché du lit, se redressant au-dessus de moi et m’empoignant les cheveux pour me maintenir sur les oreillers. Il a passé sa langue sur mes lèvres, murmurant tout contre mon oreille.
Tu y viendras, crois-moi, tu y viendras... Tu me supplieras de m’intéresser à toi, de te toucher, de te satisfaire, et je te rappellerai alors ce moment où tu m’as défié.
J’ignore si c’était son parfum, son murmure, ou le sentir plaqué contre moi... Mon souffle était plus court, je n’arrivai à me concentrer que sur la bosse sous le cuir de ses sous-vêtements, appuyant contre mon corps, le rouge me montait aux joues. Je le voyais sourire, ce sourire amusé de l’homme qui savait déjà comment les choses allaient se terminer. Je m’agitais légèrement sous lui, ce qui ne fit qu’accentuer la pression de son sexe contre le mien, m’arrachant un autre soupir gêné.
Pourquoi je vous obéirais... ?Tu en as envie, même si tu ne le l’avoue pour le moment pas... Et...
Il a claqué des doigts, et la femme est entrée dans la pièce. J’avais du mal à réaliser celle qui se tenait devant moi, ses courbes étaient parfaites, son visage angélique, un fouet entourait ses hanches nues, et presque rien ne cachait ses seins, de fines lanières de cuirs ressemblant à un harnais.
Si tu n’es pas plus conciliante, ma favorite se chargera de s’occuper de mes deux autres invités, elle s’occupera d’eux, encore... et encore... et encore... jusqu’à ce qu’ils crient grâce.
La jalousie me rongeait, si on me considéré comme jolie, je n’arrivais pas à la cheville de cette femme aux cheveux couleur feu et aux lèvres maquillés de rouge sang. Si elle exerçait sur eux le même désir que celui que mon maître faisait naître en moi, ils finiraient sans doute par la préférer... Je la haïssais de tout mon cœur. Elle devenait en un instant ma rivale, ma Némésis, son détestable sourire arrogant confirmant qu’elle me vouait la même haine, certainement parce que mon maître était toujours plaqué contre moi.
(Suite à venir, n’hésitez pas à commenter)
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