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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 7

Travesti / Trans
Émile me sourit. Il pilonne le cul de Malika et cela ne me fait rien. Pas une once de jalousie. Une ombre s’approche de moi. C’est mon chirurgien. Il est impeccablement habillé, pas comme les autres couples. Il sort de sa poche deux petites seringues remplies d’un liquide translucide.
— Je vais t’injecter ce produit dans tes couilles. Ne t’inquiète pas, dans l’état que tu es, tu ne sentiras rien. C’est juste pour augmenter le volume séminal, et vu la taille de tes couilles, ça va couler.
Il s’agenouille et une des deux danseuses lui tend une compresse imbibée d’alcool. Il me frotte les bourses et approche la première aiguille. Il me pique le testicule, maintenu en position par la deuxième danseuse. Il appuie fortement sur le piston et une chaleur intense m’envahit. Il réitère la même opération sur le second.
— Voilà, tu as été bien sage et ça mérite une récompense.
Il me contourne et j’entends le zip d’une fermeture Éclair. D’un coup il s’enfonce en moi, sans préparation, sans lubrification. Merci mon plug. Il doit être au bord de la rupture quand il me dit de regarder ma queue. Un liquide coule en permanence et les deux danseuses en récupèrent dans des verres à liqueur et les placent sur un plateau de service. J’hallucine, je ne comprends pas.
— Te voilà devenu un bon toutou. HUMPH, et une bonne chienne. OUIIIII...
Je sens son sperme se répandre en moi. Il se retire, vite remplacé par une autre queue. Je me retourne. C’est le frère. Il a les mains attachées dans le dos et c’est sa sœur qui le guide. Il est plus virulent que mon docteur. Je me prends à tendre mon cul vers cette verge. La sœur sirote un petit verre et s’en lèche les lèvres. Aussitôt son verre finit, elle est resservie par une fille que je ne reconnais pas. Petite et enrobée, mais si, c’est Caro. Elles trinquent et avalent cul sec. Caro, en repartant, s’approche de moi, se dresse sur la pointe des pieds et m’embrasse. Je ne cherche pas à résister. Je lui rends son baiser.
— On peut trinquer ensemble ? Me demande-t-elle.
— Oui... AHHHH... HUMMMM... Si... HUMMMPPPHHHH.... Vous voulez. Lui dis-je.
Le frère est un sacré baiseur. Endurant. Une queue pas trop grosse, mais d’une longueur plus que respectable. Sa sœur lui donne de petites fessées. Il ahane. Caro porte à mes lèvres un verre.
— Tchin-tchin, ma grande. J’ouvre la bouche et avale, d’un trait, ma liqueur.
- A tout à l’heure pour les saillies. Coquine.
Je compris que la soirée n’était pas finie, et loin de là. Le flot de semence, de liquide séminal ou quoi que ce soit d’autre, n’arrêtait de s’écouler de mon méat et avait même augmenté. La chaleur de mes testicules avait, elle aussi, augmenté. On remplissait toujours les verres et on s’en délectait dans l’assistance. Je jouissais en permanence. De temps en temps, une chienne tenue par son maître venait me lécher les couilles et se servir à la source. Le frérot continuait à me défoncer. Sa sœur l’avait abandonné et détaché les mains. Ses coups de reins étaient plus bestiaux. Il me tenait par les hanches.
— Prend ça salope. Sale chienne....
Je regarde vers Malika. Elle est à quatre pattes sur la table et se fait des shooter de mon jus. Elle me regarde avec envie, avec amour. Émile n’est plus là. Ah, si, il est un peu plus loin en train de prendre sa fille en levrette. Cela m’étonne à peine. Un homme approche de Domi, queue dressée. Elle le gobe jusqu’à la garde. Je le regarde. C’est le frérot ! Mais qui me sodomise alors ? Je me retourne et un très jeune type me défonce comme un beau diable. Il est en laisse. La dame qui le tient n’est autre que la plantureuse cliente de Domi. Je la regarde. Elle me fait un clin d’œil et boit une gorgée d’élixir. Une forte odeur de sperme, de cyprine et de transpiration remplit la salle. Tout n’est que luxure et dépravation. Je me doute que je suis le centre de toute cette perversité. Pas violente, non, juste surréaliste. On place une petite estrade devant moi. Je regarde plus attentivement. Non, c’est un prie-Dieu en Skaï rouge. Une femme vient se positionner dos à moi, s’agenouille et s’appuie sur ses avant-bras. Une danseuse guide mon sexe vers sa chatte. La femme s’empale sur mon sexe et exulte, jouit instantanément. Une dizaine d’allers-retours puissants faisant claquer ses fesses sur mon ventre et je jouis. Je sens mon sperme inonder la matrice de ma partenaire. Elle se déboite. Mon jus coule abondamment. Une autre femme la remplace. Même rite, même conséquence. Une dizaine de coups et ma jouissance arrive remplissant son sexe. Elles font une pose mais j’expulse toujours un jus beaucoup plus épais qu’au début. Je le sens dans mon conduit. Ça frotte, s’en est presque une jouissance permanente. Je n’ai plus "d’enculeur" mais je sens que l’on s’est vidé copieusement dans mon cul. J’aperçois Caro et lui fait signe de venir.
— Oui, ma puce.
— J’ai soif.
— Il est vrai avec la quantité de liquide tu dois avoir soif, mais que de l’eau.
— Je m’en fous, j’ai la bouche sèche.
Elle revient avec une bouteille d’eau minérale. Elle me fait boire. La première gorgée me fait mal. Ça a un goût abject, comme la pilule.
— Salope. Lui dis-je.
— Tu vas te sentir bien. Tu vas voir.
Je bois quasiment le litre et demi.
— Je te laisse, j’ai deux ou trois queues qui m’attendent. Si tu as encore soif, demande à l’une de mes filles.
— Vous êtes de la même famille ?
— Curieuse.
Elle dandine son gros cul ferme et, ma foi, fort joli. Vanessa, où est Vanessa. Ah, je l’aperçois. Elle est en train de se faire casser le cul par le p’tit jeune. Elle est en appui sur la table, la tête enfouie dans l’entrejambe de la dame qui tient le collier du jeunot. Les saillies reprennent au même rythme. À chaque fois, je jouis. L’odeur âcre de mon sperme prend le dessus sur toutes les autres.
— A mon tour, étant la propriétaire des lieux, je me dois de te finir.
Me dit la pulpeuse Caro. Elle se positionne. Du sperme coule déjà de sa moule. Une moule bien baveuse, une ! Une des deux nanas me guide, l’autre me détache. Je suis libre de mes mouvements. Je pose mes mains sur ses hanches et la prends plus violemment que les autres. Pour retenir le prie-Dieu, une des filles s’est mise devant Caro. Mon sexe, nos sexes sont détrempés. Je jouis en permanence en expulsant une quantité phénoménale de foutre. La baise est bestiale. On transpire comme des bêtes. Je me penche sur Caro et lui lèche le cou. Elle gueule sa jouissance.
— C’est bien ma chérie. Me dit-elle. Oui, encore, je veux ton foutre au fond de mon trou... Oui, OUIIIII.... C’est trop bon.....
Une des filles, celle qui m’a détaché, s’est glissée sous Caro et s’abreuve à la source. Cette vision est surréaliste. Je ne peux plus m’arrêter. Je prends le cou de Caro et la serre. Pas trop fort, mais assez pour la faire devenir rouge pivoine. Une vague de froid me prend au dépourvu. Quelqu’un nous a balancé un seau d’eau glacée. Je tombe à genoux le nez devant le sexe de ma femelle. Je la renifle. Je la lèche. Elle se remet difficilement de notre accouplement. La source s’est tarie. Je tombe inerte sur le côté sous les applaudissements des spectateurs. Trou noir.
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