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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 18

Le désir de ma nouvelle famille.

Travesti / Trans
On est réveillée par Domi. Elle nous dit qu’il est 14 h 30 et que nous devons nous préparer pour le repas. David entre à son tour avec trois espèces de ceintures. Il nous les passe autour des hanches.
— Ce sont des compresses qui contiennent une lotion apaisante et cicatrisante. Il ne faudrait pas que vos brûlures vous empêchent de vous aimer, non ? Je regarderai demain pour vous les enlever.
— T’es un chou, David. Lui dit Théna.
— Elles sont imperméables, donc à la douche. Dit Domi.
Après nous être douchées, maquillées et parfumées on monte sur la plage arrière. On file à toute allure et on ne ressent rien, aucun roulis ni tangage. Seul le bruit discret des moteurs et du sillage laissé derrière nous, nous indique la vitesse folle du navire. On pousse l’immense baie vitrée et on rentre dans le salon d’intérieur. Ils sont tous là, sauf Adélia. Émile s’avance vers nous. On dirait un gamin qui découvre ses nouveaux jouets. Ce que nous sommes en fait.
— Ah, mes beautés, bien reposées ? Venez manger... David, elles en ont pour combien de temps avec ces ceintures ?
— Je contrôlerai, mais demain matin je pense pouvoir leur enlever.
— Très bien, David, très bien. Vanessa, mon cœur, vient par ici, j’ai à te parler.
Il m’entraîne à l’autre bout du salon.

— Demain nous ferons escale à Palavas. Je veux que vous alliez dans les lieux que tu fréquentais quand tu étais encore... Euh...
— Je vois, Émile, je vois. Lui dis-je en rigolant.
Il me donne une claque et comme ce matin, je pousse un cri de gonzesse. Toute l’assemblée se retourne et éclate de rire.
— Coquine. Bon, ensuite tu iras dans cette boîte (il me tend une carte de visite). Un chauffeur de taxi que tu connais bien, fit-il en me faisant un clin d’œil, vous emmènera toute la journée. Ne lui dis rien, on verra s’il est capable de te reconnaître. Je laisserai à Théna une carte de crédit. Il va de soi que si tu craques sur une tenue ou autre, tu la prends. Tu es la reine de cette croisière. En boite je veux que vous lâchiez, faites la fête les fofolles, draguez les mecs, les nanas. À la fin de ta soirée je te veux morte de fatigue, ivre et heureuse... Parce qu’après...
— Après quoi ?
— Tu devras prendre ton rôle de Géniteur...
— Génitrice, Émile, Génitrice...
— Oui, enfin bon, tu m’as compris...
— Oui, Émile, oui. J’ai bien compris. Et le montant que l’on peut dépenser ?
— Indécent, Vanessa...
Là, il réalise et m’envoie un aller-retour sur mes fesses. Mon cri est strident, on éclate tous de rire même les serveuses. Je rejoins mes deux femelles. Elles me questionnent sur ce qu’il m’a dit. Je leur fais un topo et en montrant la carte de la boîte, Théna éclate de rire.
— Hihihi, c’est une des boîtes de Caro...
— Et c’est aussi...
— Sexe que la première que tu as visitée ? Oui, mais en moins bestiale. Mais ça baise de partout. Mec-nana, nana-nana, mec-mec... J’en connais une qui risque avoir du succès... Hihihi.
L’après-midi se passe à la cool. Domi et Caro font bronzette sur la plage avant. J’en profite pour la questionner sur "sa boîte".
— Pourquoi cette question ?
— Émile nous a dit d’y aller demain soir.
— Ah, le p’tit vicieux, le p’tit coquin... Tu sais ce qui ci passe ?
— Plus ou moins, Théna m’a briffée.
— Je téléphonerai et donnerai mes consignes.
— Je crois, mais Émile veuille que l’on y aille incognito.
— Haaaaaa, laisse-moi rire. Théna y est connue comme le loup blanc... haaaaaaa
— Alors pourquoi ?
— Il veut que tu sois heureuse, ma belle, tout simplement. Me répond Caro. Et ne t’inquiète pas, tous mes clients sont clean et triés sur le volet. Tous doivent avoir un test de dépistage du jour, le sexe rasé et l’anus aussi pour l’odeur et les bébêtes.
— Eh oui, il est tombé amoureux de toi, mais aussi de la belle Malika. D’ailleurs allons voir où elles sont. Dit Domi
On fait un coucou de la main à la passerelle. Émile et David sont aux commandes et en grande discussion. On retrouve nos deux furies et Maria en train de se faire dorer la pilule, plage arrière.
— Personne n’a fin, moi j’ai la dalle.
— Théna... Ton langage... L’apostrophe la belle vieille.
— Et Hooo, moins de gaze Tatoune, c’est pas moi qui criais des "PUTAIN", des "SALOPES", et j’en passe quand tu baisais sur le banc, un ?
— Rhooo, tu ne peux pas retenir ta fille toi ?
— Que veux-tu, Maria, les chats ne font pas des chiens... Hihihi. Lui répond Domi.
— Puisque c’est comme ça, je vais faire mon sport. Dit-elle d’un air faussement courroucé.
On éclate de rire quand...
— Vanessa est demandée à la passerelle...
Étonnée, je regarde l’ensemble des filles. À leur sourire en coin, je sens qu’il y a anguille sous roche, voir baleine sous gravier. Je me dirige vers l’échelle qui me mène à la passerelle.Le piège s’appelle Adélia. Elle a les yeux pointés sur l’horizon. De profil, elle est tout aussi belle que de face. Je m’approche d’elle. Elle sait que je suis là, l’odeur de mon parfum a dû me trahir. Elle appuie sur un bouton rouge et ses mains quittent la barre.
— Madame Vanessa, arrêtez de me regarder comme cela. Vous me gênez.
— Tu es si belle...
— Vous aussi. Vous êtes la première... Euh...
— Shemale, transsexuelle ?
— Oui, mais c’est pas votre bite qui m’attire, je suis lesbienne.
— Je sais et arrête de me vouvoyer.
— D’accord.
Elle se tourne face à moi. Ses seins sont magnifiques, petits, en forme de poire, à croquer. Son bronzage intégral fait ressortir son regard vert. Envoûtant.
— Qu’est-ce qui te plait en moi ?
— Ta plastique, ta bouche, tes seins, tes hanches...
— Mais pas mon sexe ?
— Euh...
— Tu n’as jamais touché de sexe masculin ?
— Si mais...
Je lui prends la main et la pose sur Popol. Elle hésite mais l’enserre sans serrer. Elle me regarde et se pince les lèvres.
— Tu n’es pas vierge au moins ?
— Non... Dit-elle... Mais...
— Tu n’as jamais fait ça avec une bite vivante, qu’avec des godes ceintures ?
Elle hoche la tête. J’approche ma bouche de la sienne. Elle ferme les yeux.
— Non, regarde-moi.
Je prends son autre main et la pose sur mon sein. Elle le palpe, le soupèse. Nos lèvres sont en contact. Nos langues sortent de leur cachette et entament une reconnaissance discrète. Ma bite fait un soubresaut. Elle sert plus fort. Le baiser est plus fort, plus passionnel. Nos dents claquent, nos langues tournoient dans la bouche de l’autre. J’ai une main dans son dos qui lui flatte les fesses, la seconde lui caresse son mont de Vénus. Elle fléchit les jambes qui ne la portent plus.Je la soulève et la pose sur le fauteuil du capitaine. D’instinct, elle pose ses cuisses sur les accoudoirs et elle avance son bassin. Je m’agenouille devant ce fruit du paradis. Ses lèvres suintent, sa liqueur s’évade. Je la lèche de haut en bas pour récupérer ce nectar. Le goût est insipide comparé à celui de Malika. Je pince, entre mes dents, son clitoris qui sort sa tête.
— Han, ouiiii...
C’est timide, mais je ne m’avoue pas vaincu. Je pénètre son fourreau et lui fouille ses parois.
— HUMMM, OUI... HAN.
Son jus vient me noyer le menton. Je l’aspire, la bois, la mange. Je la baise avec ma langue.
— HUMMM... OUIIII... VAS-Y... C’EST BON... OUIIII... FOUILLE-MOI... CONTINUE... JE PARS... OUIIIIII...
Elle se cabre, j’ai du mal à suivre ses mouvements désordonnés. Je m’agrippe à ses cuisses. Soudain je suis prise de spasmes. Je jouis à mon tour. Je tourne la tête. Malika s’est jointe à nous. Je tremble. Adélia la voit et gueule encore plus. Moi aussi.
— PUTAIN DE SALOPE DE NÉGRESSE... Tu N’AS PAS PU T’EN EMPÊCHER... MA CHÉRIE... ENCULE-MOI... DÉFONCE-MOI... OUIIIIII...
J’en peux plus, je m’effondre à terre, secouée par l’orgasme que m’a donné ma tendre Malika. Cinq bonnes minutes se sont écoulées avant que je puisse me relever. Malika, cette grosse cochonne, et en train d’embrasser à pleine bouche la chef d’équipage. Adélia, toujours en position offerte, ne peut me voir. Je pointe mon gland à l’entrée de sa grotte trempée et pousse ma verge dans son conduit.
— NON... SALOPE...
Malika étouffe ses jérémiades par un baiser torride. J’y vais lentement, doucement. Je ressens les mêmes sensations. J’ai l’impression de jouir en continu. Je comprends ce que ressentent les femmes. Une sorte de plénitude intense.
— HUMMM... HUMPH. HAN... HAN...
— Alors c’est mieux qu’avec tes godes, ces bites factices ne te font pas le même effet, hein, salope. Ma nana est en train de te défoncer.
— OUI... NON... JE VIENS... OUIIIII...
Je lui bourre la chatte. Je sens mon jus bouillonner dans mes couilles. La délivrance est proche. Malika me met un doigt dans le cul.
— Putain... Attends, j’en ai pas fini... Avec... Avec elle.
Je prends les jambes d’Adélia et lui ouvre son compas, je l’écartèle. Malika a compris et dirige ma queue sur l’anus de la suppliciée.
— Pas comme ça, pas là me supplie Adélia.
Je ne l’écoute pas, je pousse d’un mouvement lent mais continu. Adélia a la bouche grande ouverte, Malika lui donne sa salive. Elle déglutit et garde la bouche ouverte. Ma panthère recommence l’opération et m’enfonce profondément un doigt. Elle me masse la prostate. Là c’en est trop. Je suis en apnée, Adélia aussi. Elle doit sentir ma bite gonfler. C’est en silence, les yeux dans les yeux, que l’on jouit. Je ne m’arrête plus de jouir. Mes jambes ne me portent plus et c’est, à terre, que Malika me finit. Aussitôt la source tarie, elle bondit pour partager mon sperme avec le maitre d’équipage. Je récupère en arrière, en appuis sur mes bras tendus. Qu’elles sont belles ! Je me relève, tant bien que mal, et je rejoins cette joute de langue.
— Merci, Vanessa... C’était...
— Chut... Ne dis rien.
Je lui fais un petit smack, elle rigole...
— Au plaisir, lui dis-je.
On redescend au pont de la plage arrière. Je suis accueillie sous un tonnerre d’applaudissements. Sur le grand écran du salon, on peut voir Adélia de dos en train de reprendre la manœuvre...
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