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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 36

Après Malika, Théna...

Travesti / Trans
Je m’étire et Axiana est toujours là. Je me pose sur un coude et admire ses courbes, son visage agréable, ses légères rondeurs, ses seins aux larges auréoles, sont petit ventre qui fait le charme des Nord-Africaines, ses cuisses musclées, son mont de Vénus proéminent. Elle est jolie, moins que mon Africaine de Malika, mais quand même. Une envie de pisser me prend à la gorge. Je me lève, elle se réveille.
— Où tu vas ?— Faire pipi.— Attends, je viens aussi...
Cette réponse m’étonne, mais enfin bon. Elle m’accompagne à la salle de bain. Je vais pour me soulager qu’elle m’interrompt.
— Non, sur moi. Dit-elle en se mettant à genoux dans la douche. Et vise bien ma bouche, j’avale.
Étonnée mais pas choquée, je dirige Popol vars sa petite gueule. Pas évident de pisser quand vous êtes en train de bander. Je me concentre et la douche dorée peut commencer. J’urine sur une charmante créature, dans sa bouche, sur ses cheveux, ses seins et je remonte pour me finir sur sa langue. Une fois ma miction finie, elle me gobe le gland et me l’aspire.
— MWHOUAAA !! Presque aussi bon que celle d’Adélia... Brrrrr, hummmm.
Elle se frotte le corps avec ma pisse en guise d’huile de massage. Son regard est lubrique et ses yeux ont rougi. Malgré tout, elle reste bandante.
— Tu veux essayer ? J’ai envie. Pour une première fois, je ne viserai pas la bouche.
Je me surprends à m’asseoir dans ma pisse et à ouvrir la bouche au-dessous sa chatte. Une petite attente et le jet arrive. Au début hésitant, mais très vite dru. Elle se contorsionne pour m’en enduire le corps. Je me masse le corps et je la bloque en lui prenant les fesses. Je veux la boire à la source, ne pas mourir idiote. Le goût est indéfinissable. Mi-acre et mi-acide, petit relent de sucré-salé. J’en avale une bonne partie. Quand le jet s’arrête, elle s’agenouille et m’embrasse. C’est dingue, mais on se mange la bouche. On tombe et on se couche dans notre urine, c’est dégueu, mais Dieu que c’est excitant.Je vais la baiser un nombre de fois que je n’ai pas retenu. On s’est re-pissées dessus au moins trois fois en se remplissant la vessie au lavabo. Je l’ai niqué debout, assise, en levrette, de dos, de face. J’ai éjaculé de partout, sa chatte et son cul débordent. L’apothéose fut quand on s’est urinées dessus, imbriquées l’un dans l’autre. On s’est embrassées à se mordre les lèvres et s’est le bip-bip de l’interphone qui nous sort de notre combat sexuel.
— Il est vingt heures, alors si vous avez faim... Ou soif, on est prêtes.
On se regarde hébétés. J’ouvre la douche et le jet libérateur nous sépare. On se lave tranquillement, nous promettant de remettre ça, avec Malika. Elle m’apprend que Malika et Adélia en sont fans. Cela m’étonne à peine.
Le repas fut excellent, comme d’hab. Deux des sœurs sont descendues pour refaire la literie de ma cabine. Glagla et la troisième sont en train de nous débarrasser.Je monte en passerelle avec Axiana, on attend le retour des filles. J’en profite pour fumer une clope. Axiana m’en demande une. Je la prends dans les bras et lui fais un bisou dans les cheveux. Elle se penche en arrière.
— Merci Vanessa...— Merci de quoi ?— De m’avoir respecté.
Je tire une bouffée et la serre un peu plus. Elle me caresse les fesses... Réaction de gonzesse, j’émets un petit cri aigu, elle en rigole sans s’arrêter de me caresser. On se câline, caresse, taquine. Elle me parle d’Adélia et de sa peur de la perdre. Je la rassure, je parlerai à sa chérie...Ce tendre moment est interrompu par le bruit d’un moteur. Mes, nos, trois gonzesses sont de retour. On se fait un dernier p’tit bisou et on descend pour les accueillir.Malika est la première à me sauter au cou.Elle m’embrasse de partout. Elle met ses jambes autour de ma taille, je mets mes mains sous ses fesses. Adélia et Théna sont un peu moins démonstratives, plus câlines. Elles me tirent chacune par un bras vers les transats. Axiana descend la coupée, elle va mettre un peu d’ordre dans l’embarcation.
— On a une grande nouvelle pour toi, me dit Malika en fouillant dans sa pochette, regarde...
J’ai sous les yeux trois tests de grossesse, tous positifs. Je m’assieds et des larmes de joie coulent sur mes joues. Je prends les trois têtes dans mes bras. Je respire leur odeur. Je suis heureuse, fière, contente... Toutes ces sensations se bousculent dans ma tête. Je suis toute retournée, apeurée aussi un peu. Je les regarde toutes les trois.
— Je vous aime mes femmes... Il faut arroser cette bonne nouvelle.— Plus d’alcool pour nous... Nous dit Théna.— GLADYS !!!
La petite boulotte arrive en courant. Je lui demande trois jus d’ananas et une bière, non, deux. Axiana ne devrait pas tarder. Elle est d’ailleurs de retour et mise au courant. Elle saute de joie au cou d’Adélia et l’embrasse amoureusement. Celle-ci me regarde étonnée. Je prends la grande girafe à part et lui explique :
— j’ai fait l’amour à Axiana cet après-midi enfin on a baisé (elle me regarde avec interrogation). Oui, ça a été pour elle une révélation. Elle ne m’a pas avoué être amoureuse de toi, mais il y a quelque chose qui mûrit entre vous deux. Cette nuit tu ne dormiras pas avec nous. Vous devez avoir une bonne discussion et quoi de mieux qu’un oreiller moelleux ?— Mais, je ...— ADELIA, tu es ma petite sœur, j’essaye de faire tout mon possible, tout ce qui est bon pour toi, pour notre famille. Arrange-toi pour mettre au clair cette situation. Tu ne l’aimes pas, elle ne te plait pas ?— Si bien sûr, mas je ne m’attendais pas à ça, pas maintenant...— Bon, tu mets les choses en ordre. Je ne veux pas que cela pourrisse la joie et l’amour qui règnent dans notre famille. T’es une brave fille, j’ai confiance en toi... J’ai déjà assez de soucis avec Gladys. Et puis je veux que mes bébés grandissent dans une atmosphère sereine remplie d’amour et de joie. Ai-je été clair ?
Je lui fais un bisou à la commissure des lèvres. Elle me répond par un "oui, chef" timide, entre respect et amusement. Je la prends par la main, nos doigts s’enlacent. Je la regarde, elle me sourit.Je retourne auprès de Malika. Je lui explique ma journée, sans rien lui cacher. Elle rigole et me dit que je n’ai pas dût m’ennuyer. On quitte ce petit monde. Une nuit réparatrice s’annonce nécessaire. Entre Malika et Théna, je m’endors très vite.Je me réveille seule, encore !!! Je décide d’aller voir si tout se passe bien avant même ma douche. Je passe devant la cabine d’Emile, elle est ouverte. Je pousse la porte en grand.
— EMILE !!! — Ma fille, doucement... Chut, personne ne sait que je suis là, mise à part toi... Rentre il faut que je te parle.
Là je suis inquiète. La première fois que je vois Emile si sérieux, à part lors de notre première rencontre. La porte de la cabine s’ouvre et Maria apparaît, trempée comme une soupe.
— Ah, Vanessa tu es là, ça tombe bien. On a des choses à te dire avant d’annoncer notre présence aux filles. Assieds-toi là, dit-elle en posant les affaires d’Emile du lit.
En fait ils sont tous les deux trempés. Je leur demande s’il pleut. Emile éclate de rire.
— Non, on est venue à la nage...Hihihi.— Rhooo, je peux avoir un peu de sérieux...— Oui, oui, ça va...— Voilà. Bon, commençons par le début. On a demandé un coup de main auprès d’un ami et de faire une enquête concernant Gladys. Il s’avère qu’elle est bien ce qu’elle dit. Les parents de Gladys l’exploitent. Son voyage à Ibiza, enfin tout cela est vrai. Nous avons, enfin, Emile à fait jouer ses relations. Une enquête est en cours, mais cela risque de prendre du temps. Gladys, pour sa sécurité doit retourner orphelinat. Son adoption a été annulée. J’ai décidé, on a décidé, toute la famille a décidé d’adopter la petite Gladys. — Super Emile...— Non, ce n’est pas Emile qui va être encore une fois père, mais moi...
Je saute au cou de Maria, qui tombe sur le lit. Je la couvre de bisous. Elle en pleure de rire. Le petit vieux sourit tendrement. La famille va s’agrandir. Je leur explique ma journée d’hier, surtout la partie avec Notre Glagla... Familiale. Maria n’en peut plus, elle fonce aux toilettes. Emile est Hilare. Quand il reprend son souffle, je lui dis :
— Pose tes fesses Emile car tu vas être grand-père, et par trois fois...— C’est pas vrai, t’as entendu Maria, je vais être grand-père, JE VAIS ÊTRE GRAND PÈRE...
Il s’effondre dans mes bras en chialant comme une madeleine. Maria vient le rejoindre et on tombe tous les trois dans le grand lit. Quand Emile reprend un peu de contenance, il part fouiller dans sa garde-robe.
— Maria, les toges, où sont ces foutues toges...— Là, devant tes yeux... Pôvre vieux, tu ne verrais pas une vache dans une coursive !
Je les regarde se chamailler. Emile me tend une étoffe richement décorée.
— Voilà, ma fille, je te nomme gardienne des traditions, patati et patata. On fera la cérémonie plus tard. Maria ta toge, dans ta cabine, Vanessa va mettre ta parure et ton collier. Tu es in décente de te présenter nue devant moi...Hihihi.
Je cours m’apprêter. Une matelote est dans ma chambre en train de faire notre lit. Une idée me vient. Je lui file la toge de notre première cérémonie. Elle est tout affolée. Je la calme en lui administrant une magistrale fessée sur la fesse droite. Je lui explique son rôle, elle m’écoute attentivement en se frottant la fesse. Je me pomponne, je maquille la petite.
— comment t’appelles-tu??— Déborah, mademoiselle, Déborah... Hihihihi ...
Je lève les yeux au ciel. On se passe les toges, j’ajuste celle de Déborah. Elle m’aide religieusement à mettre mes chaînettes, le plus marrant c’est de la voir passer la langue lorsqu’elle doit passer à mon Prince Albert. Je mets mon collier. La toge que m’a donnée Émile est resplendissante de couleur bleu azur. Une phrase y est brodée de fil d’or, mais indéchiffrable pour moi.
— Déesse ou Dieu de l’amour, de la procréation, ou quelque chose comme cela. Me dit Déb.— Tu parles le grec??— Je suis Grec.... Hihihi... Une pure. Je connais bien ce genre de cérémonie... C’est un peu kitsch, mais bon.... Hihihi.— Allez, tu m’expliqueras plus tard.
On sort et on va rejoindre nos deux merveilleux petits vieux. Maria est habillée d’un voile blanc transparent, sexy à souhait. Elle porte un diadème, ravissant. Émile, quant à lui, porte une toge rouge toute brodée de fil d’or.Émile est hilare en voyant Déb. On remonte silencieusement.
— Allez Déb, à toi de jouer... Dis-je en lui tapotant le cul.
Elle s’avance religieusement jusqu’au milieu du salon d’intérieur.
— Mia mikri prosochi parakaio (un peu d’attention s’il vous plait, me dit Émile). En cette journée pluvieuse (elle invente là, ce n’était pas prévu. Dis-je à Émile. Pas grave, laisse la faire), j’ai été désigné par la déesse de la procréation de vous annoncer la venue du dieu de l’amour et de sa prêtresse.
Les cinq filles étaient en train de dévorer leur petit-déjeuner, elles se bloquent à ses paroles et regardent avec étonnement. Déb qui se retourne vers nous et se met en position de prosternation, accroupie, un genou au sol. Elle pousse même le vice un peu plus loin. Elle ouvre sa toge. Son sexe imberbe et sa poitrine sont ainsi dénudés. La salope. Émile me susurre qu’elle sera la première à passer à la casserole.J’entre donc, toge ouverte sur les recommandations d’Emile, suivis du petit vieux et de Maria. J’aurais donné cher pour avoir un appareil photo. La tête des filles, à mourir de rire. Elles sont comme figées, plus un son. Je m’avance vers la table.
— Émile et Maria ont une annonce très importante à vous faire. Mademoiselle Gladys, veuillez vous avancer, Maria à quelque chose à vous annoncer.
Penaude, Gladys s’avance et stoppe devant moi, je m’écarte. Maria prend la parole.
— En ce jour, je te déclare, devant notre famille, comme étant ma fille. Tu peux t"agenouiller.
Elle s’agenouille, l’air égaré. Maria s’avance et lui passe un fin collier, identique aux nôtres, mais noir.
— Par cette marque, je te fais mienne. Tu peux te relever.
Maria lui tend les bras. À une vitesse folle, Gladys s’effondre sur la poitrine de Maria. Elle s’embrasse, non pas comme mère et fille, mais comme amantes. Elles sont belles. Émile me prend par le bras et m’amène à part de ces effusions. Il appelle Malika, Théna et Adélia. Il se pose sur son fauteuil.
— Mes filles, je connais votre état et j’en suis heureux et fier. Désormais vous portez notre descendance. Je laisse à Vanessa les rênes de votre famille et je te donne les pleins pouvoirs sur l’éducation de ta famille. Que ta bienveillance et ta gentillesse soient aussi grandes que ta beauté. Vanessa, Theâ aâamesa stis Theés.
Théna, qui comprend parfaitement le grec, pose un genou à terre et me traduit en levant ses bras vers moi.
— Vanessa, Déesse parmi les Déesses, puis rajoute, s’agàpo (je te vénère).
Adélia et Malika se prosternent devant moi.
— Non, Malika, pas toi, tu vas être l’épouse. Tu ne dois pas t’incliner, la femme est un être supérieur... C’est ça papoune??— Oui, c’est ça. J’ai honoré Vanessa à cause de son courage, de sa détermination et de sa beauté. Tu seras mère et père à la fois. Par ta force de caractère, je sais que tu seras à la hauteur. Maintenant, à toi de décider, de diriger ta petite famille. Je n’ai plus d’autorité sur elle. Je te fais confiance comme tu m’as fait confiance.
Théna me fait signe de me prosterner devant Émile, ce que je fais avec joie. Il pose sa main sur ma tête.
— Merci Émile...— Chut, C’est normal, Vanessa, c’est normal. Allez, allons fêter cela.— Euh, j’ai une question, demande Adélia en s’adressant à Émile.— Tu ne m’as pas compris Adélia, ce n’est plus à moi de décider. Réglez vos problèmes, j’en ai assez comme cela. Adresse-toi à Vanessa... Dit le p’tit vieux tout en s’éloignant avec Théna et Malika.— Je t’écoute Adélia.— C’est un peu gênant...— Et, ho, pas de ça entre nous, c’est pas parce que j’ai été désigné déesse de je ne sais pas trop quoi que je ne vais pas te baiser autant que les autres. Alors...— Axiana... Elle m’a demandé en mariage et j’ai répondu...— OUI?!
Elle incline la tête en signe d’affirmation. Je la prends par la main et je me dirige vers Émile. J’appelle Axiana. Je leur donne leurs mains.
— Émile, Papoune, ce n’est pas une noce qu’il va falloir organiser, mais deux.
Émile se prend la tête entre les mains et regarde au ciel...C’est dans une immense joie que se passe cette journée. Maria et Gladys l’ont passée à se bécoter, Adélia et Axiana sont restées coller l’une à l’autre, Émile s’est occupé de Déb et pas qu’une fois. Ses deux sœurs, nous servant et débarrassant. À la fin de la journée, tous les couples s’en vont dans leur cabine respective. Malika me regarde heureuse. Elle me dit qu’elle est fière d’être l’épouse d’une déesse.
— Je suis fier d’être l’épouse d’une princesse.
On avait presque oublié Théna. Elle est assise au bar, pensive.
— Qu’est-ce qu’il y a ma puce?? Dis-je.— Hein, rien... Enfin si. Il y a une chose qu’Emile a oublié de te dire...— et c’est quoi cette chose??— Dans la Grèce antique, quand quelqu’un demandait en épousailles une déesse, il devait l’honorer le soir même, mais là, il y a un problème...— Ah, je t’écoute.— Voilà, Malika va devenir ton épouse.— Oui, et??— Adélia va s’unir à Axiana.— Oui, bon, bin, accouche...— Et moi dans tout cela???? Je fais quoi ? Je veux faire partie de ton clan.— tu veux devenir ma femme??— Oui. — Il faut que je demande à Émile?!— Plus besoin, toi est la seule personne à décider de l’avenir de ta famille.
Je regarde Malika qui est morte de rire. Je réfléchis.
— Oui, je vais t’épouser si Malika est d’accord. Et tu penses à quoi pour conclure cette soirée??— Que tu nous honores de ta précieuse semence, dès ce soir.
Je m’assieds sur un tabouret. Ma toge s’ouvre sur une bite plus tendue que jamais. Ok, je me sens en forme, même plus qu’en forme. Malika est toujours pliée de rire. Ma décision et prise.
— Ok, je vais vous faire l’amour ce soir, mais à une seule condition. Que vous soyez attachées et soumises à tous mes caprices.— Tes désirs sont des ordres, Vanessa.— je te prends donc pour épouse??— Oui— Malika ! T’en penses quoi au lieu de rire??— Je... suis... Hahahaha... D’accord... Hihiihihihi.
Je me lève et je prends Malika et Théna par la main. Elles sont inquiètes, mais il est trop tard pour reculer. On trouve Adélia et Axiana dans leur cabine. On leur explique la suite de la soirée. Elles nous suivent en silence.On est dessous la plage avant. J’ai attaché mes conquêtes à plat ventre sur des bancs. Tous leurs trous sont disponibles. J’aurai pu dire leurs orifices, mais mon côté bestial me domine. Je commence à tourner tel le loup dans sa meute de femelles en chaleurs. Je me gave, me drogue de leur odeur. Bientôt je me retrouve à quatre pattes et tel le mâle dominant, je renifle, lèche ces bénitiers qui me sont offerts. J’embrasse tour à tour mes femelles, car oui, à ce moment-là elles ne sont plus que des chiennes en chaleur que je dois monter. Leurs seins pendent, je les lèche. Elles commencent à réagir. Rien qu’à l’odeur, je les identifie. Je perds la tête, non, je suis un animal fou qui tourne autour de quatre femelles en chaleur. Je lape leurs cuisses, leur cul. Je mange leur bouche. Je m’excite, mon liquide séminal se repend en cercle autour d’elle. Mon territoire est marqué. Je grimpe ma première proie, qui s’avère être Malika. Je me radoucis. Mais cela ne dure pas... Je ne sais plus qui je baise, qui j’encule, qui me suce... L’orgie a dû durer longtemps. Je me sens vidée de mes fluides et s’est couchée sur le flanc que j’admire mon œuvre.Quatre corps recouverts de foutre, de liquide séminal et de cyprine. Je me calme, respire cette odeur. Je rebande. Mais non, la raison l’emporte. Je détache Malika.11h00; le réveil est douloureux. Les quatre filles sont lovées contre moi et dorment profondément. Je m’extirpe de cette partouze de bras et de jambes en essayant de ne pas les réveiller. L’odeur de sexe est plus que présente. Je les regarde, elles sont toutes couvertes de mes sécrétions. Joli tableau. Je me dirige vers la salle de bain. Hummm, un peu de fraîcheur. Après m’être apprêtée comme une déesse digne de ce titre, je monte pour prendre un sérieux petit déjeuner.
Il n’y a personne. Table rase. Je vais en cuisine et y trouve les deux sœurs de Déb.
— Bonjour les filles... La table n’est pas prête??— Si, plage avant, ordre de Monsieur Émile.
Je leur fais la bise, ce qui les fait rire et part plage avant.Il n’y a qu’Emile. Absorbé par la lecture de son canard, il ne m’a pas entendu arriver. Je m’assois sur ses cuisses. Il sursaute.
— Arrête, Vanessa, tu vas me tuer...
Je rigole et l’embrasse avec toute la passion que je lui porte. On est sorti de notre baiser par la douce vois de Maria.
— Bonjour vous deux. Elle nous fait deux petites bises bien chastes.
Elle tient Gladys par une longue laisse attachée au cou sur un large collier noir. Elle porte aussi les bracelets empruntés à Malika. Elle se retourne pour nous faire voir ces fesses rougies par les coups de paddle, j’imagine. Elle me regarde cherchant mon consentement.
— C’est ta vie, si c’est la condition de ton bonheur...
Elle me saute au cou, mais vite rattrapée par Maria. Elle se met dans une position qui doit être inconfortable, accroupie, jambes largement écartées et main dans le dos.
— tu as ta petite chienne?? Demande Émile.— Oui, et elle me comble.— Et toi, Gladys, que penses-tu de la situation?? Poursuit-il.
Elle regarde sa Maîtresse comme pour attendre l’autorisation de s’exprimer. Maria lui sourit et hoche la tête.
— Je suis à ma place. Je ne suis qu’une petite femelle en chaleur. J’aime les coups que me donne Madame Maria, je les préfère aux coups que me donnaient mes ex-parents. Ceux-ci, ils sont donnés avec amour et passion.— Hihihi, connaissant ma sœur, tu vas ramasser.
Maria se sert un café et autorise Glagla à venir s’asseoir à table. Elle détache la chaîne, signale qu’elle peut reprendre son rôle de matelot. Je me lève des jambes d’Emile. Elle nous sert un café et s’en va en cuisine, je suppose.
— Au fait, c’est pas deux noces que l’on doit préparer, mais trois...— Co... Co... Comment, s’étrangle Émile.— Théna m’a demandé en mariage.
Maria éclate de rire et Émile s’écroule sur la table.
— Bon je vous laisse, je vais voir mes femelles si elles sont réveillées. — Un peu de retenue, Vanessa?! Me jette Maria.— Quoi, vous vouliez un membre reproducteur, vous l’avez. Mais n’ayez aucune crainte, je suis une louve qui protège ses petits...— Elle a raison, Maria, elle a raison... Et avec quelle passion, avec quel amour... Murmure le vieux. Allez va...
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