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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 41

Travesti / Trans
De retour à l’institut, Domi me sourit. Je dis à Kathy de se mettre à genoux et d’attendre sa patronne. Elle ne bouge pas. Je m’en vais voir les tatouages de ma Gladys. Ils sont magnifiques, bien que sanguinolents. Trois Peggy. Une tête au-dessus du pubis et deux grandes truies sur l’intérieur des seins. Sublime ! ! ! Quant aux piercings, les deux tétons sont piercés ainsi que ses lèvres intimes et son nombril et arbore de jolies chaînettes et deux cœurs. J’adore particulièrement ce dernier. Elle me passe la langue et je peux voir un très joli bâton doré orné de deux boules orange. Ravissant.Je demande à Domi de m’attendre dans le salon où elle m’a accueilli pour la première fois. J’appelle Kathy, qui rapplique en vitesse. Je m’installe sur la table de massage, non sans en avoir ôté le bouchon.
— Domi, dis-je, tu vas me masser. Quant à toi, petite catin, tu vas amorcer la pompe. Tu as intérêt à t’appliquer.
Domi, en grande professionnelle, me masse le corps en insistant sur mes fesses et mon petit trou. Je suis dans un état presque... Indéfinissable. Je jouis du cul... Incroyable. Quant à Kathy, elle me fait reluire la queue doucement, délicatement. Je lui lâche un flot de pré-sperme qu’elle récupère avec délice.
— Brave petite, je crois que Domi va faire de toi une bonne chienne.
Je me retourne, privant Kathy de mon jus. Domi a compris l’invite et monte sur la table. Elle empoigne mon rostre et se l’enfiche au plus profond. Je ne bouge pas, je lui laisse l’honneur de mener la danse. Mon pré-sperme inonde sa matrice. Elle part en transe.
— PUTAIN VANESSA, QUE TU ES GROS... JAMAIS RIEN SENTI DE PAREIL... OUIIIII.
Kathy me titille l’anus par le trou de la table, je grogne, je jouis du cul, encore une fois. Domi se déchaîne. Elle se triture les seins et le clito. Le tableau que me renvoie le miroir est des plus obscènes. J’accompagne les mouvements de ma Tatie en poussant mon bassin à chaque descente de son vagin. L’extase me gagne et je jouis à flot. J’inonde l’intérieur de ma Domi. Du sperme coule sur la table et passe par le trou. Kathy s’en régale.
— Putain, Vanessa, c’est trop bon de baiser avec toi...
— J’en ai pas fini avec toi, ma cocotte.
Je la fais descendre de la table et la positionne debout au bout de celle-ci. Je prends la petite chienne de Kathy et la mets à plat dos, la chatte offerte au bon vouloir de Domi.
— Amusez-vous ! ! !
Je pourfends ma grosse de tante qui réagit très vite.
— Putain de salope, Vanessa, doucement, je ne suis ta tante, pas ta pute...
Mais rien ne m’arrête. Je continue mes vas-et-viens ardus dans le con de Domi. Elle n’en peut plus et plonge dans la conque de Kathy. Je lime, je ramone, je baise la chatte de ma Tatie. Son souffle, plutôt ses cris sont étouffés par le sexe de la petite chienne. Attirées par nos suppliques, Maria et ma Peggy nous rejoignent. Qu’elle est belle ma petite truie avec ses tatouages et ses piercings. Elles viennent toutes les deux me titiller l’anus. Effet garanti, je jouis de l’anus et de la queue. J’inonde la matrice de ma grosse Domi. Maria et Gladys récupèrent nos sucs avec délice. Les papillons arrivent et je n’arrête pas de me déverser.
— Arrêtez, j’en peu plus... Me crie Domi.
C’est sur un dernier coup de langue de ma Glagla que s’arrête cette petite sauterie.
Il est décidé que Kathy logera, dès ce soir, dans un petit studio au-dessus de l’institut, ce qui me réjouit. Domi part l’installer et nous rejoindra plus tard. Quant à nous trois, on regagne avec le gros 4x4 Mercedes la villa, ma villa.
Une fois la douche réparatrice prise, je rejoins ma Malika. Elle n’a pas été en reste. Elle a forniqué toute l’après-midi avec son papa et son oncle. On se prend dans les bras, épuisées, mais heureuses. Malika s’amuse avec mon prince Albert, le faisant tourner du bout des doigts. Je ne mets pas longtemps à réagir. Ma bite se gonfle, se gorge de sang. Elle en rigole.
— Tu veux me baiser, me dit-elle ?
— Non, te faire l’amour...
— Non, bébé, j’ai envie d’être ta chose, ce soir...
— On a envie d’être tes choses, me dit Adélia, accompagnée d’Axiana et de Théna...
Je n’ai pas mon mot à dire, qu’elles sont toutes les quatre sur moi, me caressant, me branlant, m’aspirant les tétons et Malika me suçotant le bout de ma verge. Plaquée contre le mur de la salle de bain, je suis crucifiée. Aucune partie de mon corps n’est épargnée. Je jouis comme une pucelle en criant des "OUI" des "HAN". Elles se partagent mon pré-sperme qui coule abondamment. Elles en rigolent. Même mes aisselles ne sont abandonnées. Les papillons refont leur apparition. Comme des mouches sur un pot de miel, elles m’astiquent de partout, même mes pieds sont léchés, sucés par Théna. Je m’affale sur le sol de la grande douche italienne et Axiana Vient au-dessus de moi pour m’arroser de son urine. Elles sont pliées de rire quand elles me voient accepter le jet doré dans ma bouche. J’en avale le plus possible et c’est suivi d’Adélia. Elle a un jet plus dru que sa compagne, je ne peux tout avaler. Elle est très vite remplacée par Théna, qui n’avait as envie et qui me lâche deux ou trois gouttes. Quand vient au tour de Malika, perverse comme jamais, elle se positionne accroupit au-dessus de son réceptacle, ma bouche. C’est avec délectation que la reçois. Pas une goutte n’est perdue. À la fin de sa miction, je lui bouffe la chatte. Surprise, elle tombe à la renverse. On part tous dans un fou rire communicatif.
— Allez, mes salopes, à votre tour de me boire, leur dis-je, et j’ai une très grosse envie.
Elles se bousculent, se chamaillent en rigolant en se mettant à genoux. Elles sont toutes devant moi, bouches grandes ouvertes. Je me concentre, pas facile de pisser en pleine érection. Axiana, experte en la matière, appuie sur mon pubis et derrière les couilles. Ça y est, je pisse sur mes quatre femmes. Je vise leur bouche, elles déglutissent. Elles ont toutes les yeux fermés, sauf Axiana qui me sourit.Une fois fini, on prend une douche, sérieuse pour une fois et on rejoint notre famille.
Émile nous interpelle, Malika et moi. Il nous dit que son ami est dans son bureau, accompagné de sa femme et de sa fille et qu’ils ont quelque chose à nous demander. On lui demande si on doit s’habiller, il nous répond que non, vu que lui aussi est nu. Soit, on le suit. On rentre dans son bureau.
— Monsieur Georges et Madame Elodie Rastapopoulos et leur fille, dit Émile. De très bons et fidèles amis. Ils ont quelque chose à vous demander.
Étonnamment, ils sont habillés. Lui, d’un costard de luxe. Elle, d’une robe légère mais de marque. Leur fille c’est un peu plus, comment dirais-je, plus sexy. Une mini-jupe plissée blanche et un tee-shirt blanc, sans manche. Émile les invite à s’asseoir sur le divan, sauf leur fille qui doit rester debout, au milieu du bureau. Le père prend la parole.
— Comme vous devez le savoir, Mademoiselle Vanessa ? Pour votre mariage avec Mademoiselle Malika, il va vous falloir une Demoiselle d’honneur. Je viens vous présenter ma fille adorée. Si vous...
— Tssttt, tssttt, fis-je avec un certain dédain, pas de Mademoiselle, s’il vous plait, ou plutôt s’il te plait Georges. Pas de vouvoiement inutile. Mais poursuis, je t’en pris...
Émile est mort de rire, il piaffe comme un jeune ado, il est tout rouge, mais reprend un peu de contenance et arrive à dire :
— Tu vois Georges, je t’avais prévenue... Elle est terrible...
— Oui, je vois ça... Lui répond son ami. Et il poursuit. Bon, ma fille, si elle devient votre Demoiselle d’honneur, doit connaitre son premier émoi avec vous... Deux. Vous devez l’initier aux choses de la vie. C’est les traditions et Émile m’a dit que les traditions seront conservées.
— En somme, vous voulez que je dépucelle votre fille, mais pourquoi avant le mariage ?
— Pour une Demoiselle d’honneur, c’est indispensable. Il faut qu’elle connaisse ton sexe afin de t’honorer après les noces... La tradition.
Je regarde Malika qui est morte de rire ainsi qu’Emile. Elle lève son pouce et me fait oui de la tête. Était-elle au courant ? Je suppose que oui.
— Bien, si cela est la tradition, j’accepte ta fille comme Demoiselle d’honneur, et comment cela se passe-t-il ?
— C’est simple, dit Émile... Elle est à vous pendant les mois à venir. Faites-en une catin, mais surtout ne l’engrosse pas.
Le vieux Georges va vers sa fille qui n’a pas bougé d’un iota. Il l’embrasse sur le front et s’en va, accompagné de sa femme.
— Merci, Vanessa, c’est un immense honneur. Me dit la charmante Elodie.
Ils sortent du bureau, accompagnés d’Emile. Je regarde Malika. Elle me sourit en me disant :
— Et oui, ma chérie, tu vas devenir la déesse du sexe. Telle est ta destinée. Mais occupons-nous de cette petite, elle me semble terrifiée...
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