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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 42

Travesti / Trans
— Et oui, Ma chérie, tu vas devenir la déesse du sexe. Telle est ta destiné. Mais occupons-nous de cette petite, elle me semble terrifiée...
Effectivement, la jeune fille me semble apeurée. Je lui demande son prénom.
— Geneviève, me répond-elle.
Je lui demande de se mettre nue. Après hésitation elle s’exécute timidement. J’en souris. Elle est très jeune au vu des courbes de son corps. Ses cheveux blonds, lui tombent en cascade sur ses épaules. Elle a un nez mutin, en trompette. Les yeux sont verts émeraude. Son cou est joli, un appel a la morsure. Ses seins sont quasi inexistants, juste deux œufs sur le plat, mais de jolis tétons qui bandent fièrement. Un ventre plat et un nombril piercé orné d’une chaînette. Son entre-jambe et des plus ravissant. Juste une cicatrice se dessine entre ses cuisses.Je tourne autour. Ses hanches sont bien marquées. Ses fesses sont d’un gabarit appétissant. Ses cuisses et ses mollets sont bien dessinés et ses pieds, bien que petits, sont ravissants.
— Bien, Geneviève, un peu trop long comme prénom. Je te rebaptise Gény. Cela te convient-il??
Un petit sourire se dessine et un petit "oui" sort de sa bouche.
Puis j’appelle Gladys qui rapplique rapidement.
— Oui, que veux-tu Vanessa??
— Emmène cette jeune fille dans sa chambre et interdiction de la toucher.
— Même pas un petit bisou de bienvenue??
Je lui souris. Ma petite Peggy a compris. Elle s’empresse de poser ses lèvres sur celles de Gény, qui s’étonne, et l’emporte en la tenant par la main.Le ventre de Malika gargouille. On part rejoindre les filles qui nous ont attendues.
On se gave des mets succulents préparés par nos deux cordons bleus.

— Où est Papoune?? Demande Malika à Maria.
— Il est parti déjeuner en ville avec ses amis. Il ne rentrera pas car ensuite il va sur Lyon.
L’après midi se passe bien. Farniente au bord de notre plage, papouilles, câlins et caresses avec mes trois femmes et la future femme d’Adélia, Axiana.Le coucher et tout aussi calme, mais mon envie de baiser revient au grand galop. J’essaie de réveiller Malika, sans succès. Je décide d’aller me griller une clope à l’extérieur. Je m’allonge sur un transat. J’allume ma cigarette. Le plaisir d’être seule sous la voûte céleste est divin. Je tire sur ma cigarette et forme des volutes en forme de cercles. Je repense à ma vie d’avant et à l’actuelle. Je suis une princesse au milieu d’un harem, que dis-je, je suis une déesse, la déesse... Du sexe et de la luxure. Je me perds dans mes pensées, dans ma vie, dans mon devenir...
Mon réveil est des plus doux. Malika m’a retrouvé endormie sur le transat. Elle est radieuse, comme toujours. Elle me sourit et me demande si je veux déjeuner. Je ne lui réponds pas, je saute du transat et je pars accompagnée de ma douce rejoindre les autres femmes et Émile. Je regarde l’heure : midi.
— Bonjour Vanessa, assieds-toi... Dit Émile. L’heure n’est plus aux préparatifs... Je dois partir pour Londres lundi, les noces seront célébrées ce dimanche, soit dans deux jours... Qui sera ton témoin??
Abasourdie, pas tout à fait réveillée, je fixe Émile...
— Quoi, dans deux jours??
— Oui, tu m’as très bien compris, dans deux jours... Alors, ton témoin??
— Gladys... Lui répondis-je, hagarde.
— Bien, abstinence totale. Gladys t’apportera ton repas et ceux à venir dans ta chambre. Elle sera la seule personne que tu côtoieras jusqu’au mariage. Mange, bois mais pas de relation sexuelle. Gladys devra te branler le soir et le matin, pour l’hygiène. Elle t’apportera ta tenue de cérémonie demain soir, samedi... Des questions??
— Euh, oui... Pourquoi cette précipitation??
— Les affaires, Vanessa, les affaires... Bientôt tu m’accompagneras.
Effectivement, je fus enfermée dans ma chambre, ne côtoyant que ma charmante petite boulote de Peggy. Le jour de la cérémonie arriva. Vite expédié, bâclé?? Non. Belle cérémonie, tous en toge, Émile fier comme un pape, m’en ayant offert une brodée de fil d’or, que je porte avec classe et fierté.Une fois trois fois mariée, j’ai conclu les noces par l’union d’Adélia et d’Axiana. Comme le veut la tradition familiale. La suite de la cérémonie fut courte. Adélia et Axiana partirent à Ibiza avec pour ordre de veiller à la bonne conduite des travaux.
Émile est parti comme prévu pour Londres. Caro et David sont rentrés chez eux et passent de temps en temps. Domi est à son salon, accompagnée de Gladys, qui y fait merveille. Maria est restée, les travaux sur le bateau ayant pris du retard. Malika et Gény sont au petit soin pour moi, sans oublier et Théna. Quant à Gény, elle n’a pas eu encore mes faveurs. J’attends de ne plus pouvoir monter mes trois épouses pour m’occuper d’elle.
Les ventres des quatre jeunes femmes s’arrondissent. Thena attend des jumeaux monozygotes. Elle a sauté de joie quand David lui a annoncé la nouvelle. Elles sont toujours très demandeuses. Malika sort du lot en ayant l’exclusivité de ma couche.Huit mois de baise intensif, ça épuise. Malgré les pilules fournies par mon docteur de tonton, j’ai un passage à vide. C’est pourquoi je suis parti m’isoler à Ibiza avec Gény et Maria laissant à regret Malika et Gladys. Je serais de retour après les accouchements. Tradition antique, le géniteur étant écarté...
Installée dans notre chambre d’Ibiza, je demande à Gény d’y venir s’y installer, Maria ayant rejoint la sienne.
— VANESSA, hurle Maria, JE VAIS EN VILLE POUR LES COURSES, BESOIN DE RIEN??
— NON... MERCI... SI, DES CLOPES...
— OK, A TOUTE...
Je remarque que Gény est un peu perdue. Je la prends dans mes bras, par derrière, coinçant mon rostre entre ses petites fesses. Elle pose sa tête sur mon épaule et me regarde.
— J’ai envie de toi, Gény. Je vais te prendre comme la petite salope que tu es...
— Je ne suis pas une salope...
— Tu ne le sais pas encore, c’est tout. Je vais te dévergonder, te procéder, faire de toi une petite traînée dont ton père et ton futur époux seront fiers. Agenouilles-toi Et regarde-moi.
— Mais...
— Chut?! Lui dis-je en appuyant sur ses épaules. Vas-y, amuse-toi, elle est à toi.
Doucement elle saisit mon chibre à deux mains et commence de lents vas-et-viens tout en ouvrant la bouche.
— Tu vois, c’est naturelle. Avec ta langue maintenant, lèches?!?!!
Timidement, elle sort sa langue et va directement jouer avec mon anneau. Hummm, douée la petite. Elle prend de l’assurance et me gobe le gland. Je la laisse faire. Je lui interdis de me quitter du regard. Elle me pompe avec désir et envie. Je bouge mon bassin. Je ne lui infligerai pas la gorge-profonde, pas maintenant. De temps en temps, je sens ses dents. Je ne lui dis rien. Elle accélère le mouvement de ses mains, de sa bouche. Je vais venir, alors je la bloque sur ma bite et décharge dans sa bouche. Ses joues gonflent, du sperme est expulsé par ses narines. Elle est belle ainsi souillée. Je la relève et l’embrasse. Elle s’étonne de mon geste. Je lui dis que c’est normal, que l’on partage tout. Elle me sourit. Je la fais mettre à quatre pattes. Elle me regarde avec peur.
— C’est gros, me dit-elle, ça ne rentrera pas.
— Ne t’inquiètes pas, je vais y aller doucement. Ne craints rien.
Je m’agenouille derrière elle et commence à la renifler, la sentir. Elle peut se voir dans l’immense miroir. Elle est inquiète mais ne dit rien. Je passe sur son flanc. Je lui gobe ses petits tétons. Elle ferme les yeux. "CLAC", une petite fessée sur sa fesse. Je continus en faisant le tour de ma proie. Je l’embrasse, lui lèche son visage. Elle ouvre la bouche pour soupirer d’extase. Je lève une jambe et lui fait goûter à mon pré-sperme. Hésitante au début, elle finit par accepter mon offrande. Elle s’en délecte, même. Je poursuis mon travail de sape, m’allongeant sous elle pour avec accès à son petit abricot glabre (merci Gladys). Je rampe avant de me positionner sur son dos. Elle grimace en se forçant à me supporter.
— Gény, tu vas devenir ma chienne, ma salope...
— Hummm, me répond-elle.
Je donne des coups de bassin dans le vide, ce qui a pour effet de caresser son clitoris. Elle me regarde avec envie, avec amour. Je lui pince ses tétons. Elle part en transe. C’est le moment que je choisis pour l’enficher. Mon gland rentre avec une certaine résistance. Que c’est bon, une petite chatte serrée. Elle me rappelle celle de Théna. Je me retire. Elle me regarde suppliante. Je la pénètre en forçant l’accès, lentement, avec douceur. J’y vais jusqu’à la garde, jusqu’à ce que mes couilles viennent buter sur son bouton d’amour.
— Tu es mienne... Je te fais mienne.
— C’est, tu es trop bon... Bonne... Vanessa...
Je ressors presque entièrement, laissant mon gland bien au chaud. Elle se mord les lèvres.
— Lâche-toi, jouis si tu veux, je vais te faire décoller.
À ces mots, c’est moi qui me lâche. J’y vais gaillardement. Elle s’affaisse sur ses avants-bras. Je ne me retiens plus, elle non plus. Poussant des "Han", des "Ho" non retenus. Je la prends par les hanches et la ramone à un rythme fou. Elle jouit en permanence. Je suis fière de moi, fière d’elle. Il ne lui a pas fallut longtemps pour m’accepter.Dix minutes, vingt minutes de ce traitement et je jouis à grand flot dans ce petit con. Mes giclées vont au plus profond de sa chatte, directement dans son utérus. Inconsciemment, je lui griffe les fesses, lui mors le coup. Elle jouit certainement comme jamais. Mon flot ne se tarie pas. Mon sperme s’écoule de son con sur ses cuisses. Elle s’effondre en m’entraînant.
— "CLAP, CLAP, CLAP"... C’est Maria qui est revenue. Beau, très beau spectacle... C’est quoi comme clopes??
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