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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 43

Travesti / Trans
— "CLAP, CLAP, CLAP"... C’est Maria qui est revenue. Beau, très beau spectacle... Au fait, c’est quoi comme clopes ?
Je me retire, à regret, du petit sexe de Gény.
— Sale voyeuse, dis-je en rigolant à Maria, des Marlboro light longues... S’il te plait, et peux-tu passer à cette boutique et me prendre ceci, poursuivis-je en lui tendant un post-it.
Maria ale visage qui s’illumine et part fissa en me disant d’être sage.Gény s’est relevée. Elle est belle avec ses cheveux en bataille, mon sperme lui coulant le long des cuisses et ses seins rougis par mes traitements. Je lui demande de se remettre en position et de bien se cambrer, je n’en ai pas fini avec elle. Un peu inquiète, elle s’exécute.
— J’aime ton corps d’androgyne. Il me fait bander. Maintenant je vais m’allonger et tu vas venir t’empaler et tu te, me donneras du plaisir. Il faut te lâcher, me montrer que tu me mérites. Compris ?— Oui, Mademoiselle Van...— Non ! Je suis Madame maintenant. Hihihihi... Allez, viens !
Une fois en position, elle prend les rênes, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle dirige ma queue vers son sexe gluant de nos sécrétions. Elle se laisse descendre lentement, pensant qu’elle allait s’arrêter à mi-chemin, elle continue jusqu’à la garde. Je sens son utérus, plus rigide que son vagin, m’enserrer la bite. J’espère ne pas la déchirer. Elle a le visage concentré sur sa descente, se pinçant les lèvres et en me souriant. Je la maintiens dans cette position par les hanches. Elle veut remonter, je lui interdis.
— Reste comme cela, Gény, c’est trop bon... Je vais te remplir de mon jus... Tu sens ?— Hummm... Oui, c’est trop bon, trop fort, mais... Mais... Comment fais-tu ?— Chut, concentre-toi sur notre jouissance. Je te dirais quand tu pourras bouger.
Elle hoche la tête et me regarde droit dans les yeux. Je sens mon présperme s’écouler le long de ma tige et venir se déverser sur mes couilles, poursuivre son chemin entre mes fesses et finir sa course sur le carrelage.Elle ahane. Comme une chienne en chaleur, elle passe la langue. Ses yeux sont révulsés, ses narines se déforment au gré de sa respiration. Que dire de son visage qui c’est empourpré et ses veines déforment son cou. Elle est entre souffrance et jouissance, qu’est-ce qu’elle est belle. Je l’imagine dans d’autres positions plus scabreuses les unes que les autres. Je la remonte lentement et le bruit de succion est terriblement obscène, mais elle ne l’entend pas. Je laisse mon gland bien au chaud et la repousse pour la refaire redescendre à fond. Elle piaffe de joie, me remerciant.
— Je te laisse donner le rythme. Pose tes mains sur mon torse... Voilà, doucement...
D’elle-même, elle imprime des mouvements amples et rapides. À chaque fois, elle se laisse choir sur mon sexe qui fournit toujours le liquide séminal. Elle me regarde sans me voir, toute à sa jouissance qui arrive. Elle se penche et vient m’embrasser, me manger la bouche tout en hurlant son extase.

— OUIIII... VANESSA... JE SUIS TA CHOSE... PUTAIN... ARGH... OUIIIIIIIII...
Elle s’affale sur moi avec mon gourdin au fond de sa matrice, les jambes repliées sur mes flancs. Je prends ses petites fesses et lui donne des grands coups. Elle me mord les lèvres, elle est en transe. Elle transpire, on transpire. On nage dans une immonde flaque de sécrétion et de transpiration. Ses cheveux se collent à mon visage. Elle se déchaîne, la petite. Puis son corps se raidit. Elle jouit en sentant ma semence l’envahir au plus profond de son utérus. Je jouis aussi, intensément mais silencieusement. Aucun son ne peut sortir de ma bouche. C’est une véritable sangsue qui me dévore la bouche. Je me cambre, me cabre pour ne la plus faire toucher terre.Épuisées, on roule, on glisse sur le carrelage. Je me déboîte et la regarde droit dans les yeux.
— Alors petite catin, tu aimes le sexe, mon sexe ?— Oh, oui, Vanessa... Avec toi, c’est... Bestiale...— Et tu n’as rien vu... HAHAHA... Allez, à la douche, mais je n’en ai pas fini avec ton apprentissage.
On a lavé le sol, Maria l’aurait sans doute fait, mais par respect, on l’a fait. Puis douche qui a été quelque peu tourmentée. Elle se collait à moi comme un nourrisson au sein de sa mère. Je me régalais de ses caresses, de ses baisers et de ses attouchements peu farouches. Quand on fut stoppées par Maria.
— Allez, les enfants, venez plutôt m’aider en cuisine. Tiens, tes clopes et...— Chut, donne... Hummm, parfait... Hihihihi.
Je tenais dans la main un rosebud de taille moyenne.
— Gény, viens par ici...
Je lui glisse l’objet dans la bouche. Elle se met à le sucer avec délectation. Je lui demande si elle veut le porter. Pour toute réponse, elle se retourne en se cambrant et en écartant les fesses des deux mains. Bonne élève, j’en suis émue. Je badigeonne le plug de gel et l’introduis dans son fondement, non sans forcer. Elle grimace.Pour lui monter que j’ai apprécié son geste de soumission, je m’en introduis un qui traîné dans l’armoire de la salle de bain. On éclate de rire. Quand Maria nous appelle par l’interphone...
— Les filles, j’ai préparé un petit en-cas, vous avez faim ?
Sans répondre, on file rejoindre Maria qui nous attend en cuisine. Gény est subjuguée par la beauté des lieux. Surtout par l’immense patio intérieur. Elle fait vraiment gamine entre Maria et moi. Les rondeurs de la vieille Grecque contrastent avec le corps fluet de Gény. Que dire de la comparaison entre elle et moi et mon mètre quatre-vingt. Un faon égaré entre une gentille maman ours et une grande girafe. On grignote debout, pendant que Maria prépare le repas de ce soir. Je lui demande si l’on a des invités. Elle me répond :
— Oui, mon amant et sa femme, La non moins magnifique Sélam...
Je me réjouis de revoir la belle black, la sœur de sexe comme l’appelle ma chérie. Maria a un petit sourire qui en dit long. Elle me tapote les fesses, ce qui me fait réagir sous le regard étonné de Gény.
— Tu as encore beaucoup à apprendre sur notre déesse, lui dit Maria, elle peut jouir aussi bien au masculin qu’au féminin. Attends, je te montre.
Mêlant la parole au geste, elle me gratifie d’une caresse subtile sur mes fesses, s’égarant vite sur mon plug. Je réagis immédiatement en fermant les yeux et en gloussant. Gény n’y croit pas et vient me caresser la queue. Une onde électrique me parcourt l’échine. Je chope la tête de chacune et leur roule, tour à tour, une pelle d’anthologie.
— Tu comprends mieux ?— Comment est-ce possible ?— Peu-être un jour, Gény, peu-être. Bon, allez faire un tour en ville, j’ai à faire. Retour pour 21h00, nos invités sont attendus pour 21h30, donc pas de folie... La Ferrari est dans le garage, Émile a pensé que...— Sacré Papoune, aller, viens on va s’habiller.
Sautillant comme deux gamines, on se sauve sous le regard ému de Maria.
— Comment t’habiller, laisse-moi regarder ce que tu as emmené...
Je fouille dans son armoire et ses valises. Rien de bien intéressant. Je l’emmène dans l’ancienne chambre de Théna.
— Voilà, lui dis-je en ouvrant la penderie de ma seconde épouse, ici tu trouveras de quoi te saper convenablement. Tu as un quart d’heure et n’oublies pas la douche. Il faut être propre pour la soirée. Poursuivis-je en lui caressant ses fesses.— Bien Vanessa.
Une fois mes ablutions faites, plug posé, collier à poste, habillée d’une courte robe en satin blanc, de mules de la même couleur, je me maquille discrètement et me dirige vers la chambre où Gény doit se préparer. Une charmante petite fille délurée se dresse devant moi, habillée d’une mini-jupe noire, d’un bustier blanc, de petites chaussures en toile et de socquettes blanches. Ravissante. Maquillage léger. Parfaite, j’en fais le tour et là, catastrophe, la marque d’un soutien-gorge.
— Tu crois qu’avec le peu de poitrine ce truc est nécessaire, lui dis-je en faisant sauter l’attache. J’espère que tu n’as pas de culotte ?— Non, me répond-elle timidement et j’ai remis le...— Parfait, Gény, parfait. Tu apprends vite. Mais assez jacassé. On y va.
On passe vite fait embrasser Maria qui nous regarde à peine, trop occupée par ses innombrables petits plats qui embaument la cuisine.Une fois au garage, je me dirige vers la rutilante Ferrari. Gény ne relève même pas, elle doit être habituée à ce genre de bolide, vu que ses parents sont avocats de richissimes armateurs grecs.Un post-it avec un cœur, signé Émile sur les compteurs, je le déplace sur la console centrale en souriant.
— Il doit t’aimer comme un fou ? — Et moi aussi, lui dis-je en appuyant sur le bouton "START".
Le doux bruit du V12 se fait alors entendre. J’enclenche la première et laisse la bête nous amener hors de la propriété. Une fois sur l’asphalte quasi neuf de la route qui nous emmène à Ibiza (refait par les fonds propres d’Emile). Le doux bruit du moteur me rappelle celui du ronronnement d’un lion prêt à rugir. Inutile de jouer au Fangio, les routes ne le permettent pas.On arrive paisiblement devant le resto de Monsieur Roger, l’ami d’Emile, celui de Malika et le mien par la même occasion.
— Oh, mais qui voilà, la charmante Vanessa et...  ?— Bonsoir Roger, je te présente Gény, une élève... Lui dis-je en lui posant un smac à la commissure de lèvres.— Alors petite, on ne dit pas bonjour à tonton Roger ?
Gény, rouge de honte, lui fait la bise. Je lui demande une table en terrasse. Il nous invite à nous asseoir dans de confortables fauteuils dans une espèce d’alcôve faite de vigne vierge. Il me regarde et me demande :
— Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?— Une bouteille de rosé bien frais, tu as ?— Et du meilleur, me dit-il en tournant les talons.— Un peu rustre, mais très gentil.
Gény n’a pas l’habitude de sortir le soir, et surtout dans cette tenue. Elle a l’impression que tous les mecs la regardent. Je lui dis, pour la rassurer, qu’elle ne craint rien, qu’elle se détende. On boit un verre ou deux et on rentre. Maria n’aimerait pas que l’on lui pose un lapin.Roger revient avec la bouteille et trois verres.
— C’est pas dans mon habitude de trinquer avec les clientes, mais avec deux aussi jolies demoiselles, je ne peux résister.
Il nous sert, on le ressert. On parle de sa vie et de sa rencontre avec Émile. C’était il y a une cinquantaine d’années. Émile était déjà directeur adjoint de sa société, Roger était maçon. Il était riche, lui sans le sou. Quand il lui a proposé de travailler pour lui, de bâtir la maison de Montpellier, son sang ne fit qu’un tour et il a accepté. Puis s’est enchaîné la maison d’Ibiza, du cap corse et bien d’autres. Puis quand fut venu le temps de la retraite, Émile lui a offert ce restaurant et lui a fait construire une magnifique villa sur les hauteurs. Bref, Émile est un dieu au regard du patron. Émût par tant de révélations, il s’essuie la larme qui perle. Il nous avoue qu’ils se considèrent comme deux frères, qu’ils partagent tous. Là, je reconnais bien mon Papoune d’amour.
— Tu connais Maria, alors ?— Oui, très bien, mais là, pas touche. On parle de la sœur d’Emile.
Je lui demande de nous servir, mais la boutanche est vide. Mais pas de soucis. Il hèle une charmante femme, la quarantaine.
— Chérie, s’te plait, une autre... Ma fille, nous avoue-t-il.
C’est la copie conforme de Cherilyn Sarkisian La Pierre, Cher pour les novices, des années 70. Une bombe quoi ! Grande, élancée et féline, elle nous apporte le nectar de Bacchus. Elle gratifie d’un sourire éclatant et un petit clin d’œil. Son père lui dit de retourner au boulot, elle gonfle les joues et repart en lui passant la langue. Charmant.L’heure tourne, on doit quitter Roger et sa bienveillance. La petite Gény, plus joyeuse et plus libérée qu’à notre arrivée, gratifie Roger d’un furtif baiser sur ses lèvres. Roger essaie de m’en faire autant, mais c’est la joue que je lui tends.
— Coquine, me glisse-t-il à l’oreille.— Je suis le fils d’Emile, n’oublie pas.
Arrivée à la Ferrari, je demande à Gény si le début de soirée lui plait. Pour toute réponse, j’ai le droit à une gamelle en règle. Décidément, elle me plait cette petite. M’embrasser dans la rue bondée, chapeau. On a même droit à des sifflets et des applaudissements. On éclate de rire. On rejoint très vite l’extérieur de la ville et je m’arrête sur le bord de la route.
— Je te préviens. Sélam est une fille, comme moi. Ce soir, je ceux que tu sois très, très sage. Tu m’obéiras en tout. Est-ce bien compris ?— Oui Madame.— Bien, en route... Dis-je après l’avoir tendrement embrassé.
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