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De Hervé à Vanessa, chienne soumise

Chapitre 49

Travesti / Trans
Je suis en train d’embrasser Fréd, en train de me faire lécher la bite par Malika et Marion. Mais où est Gény. J’ai failli à la promesse faite à Papou. De veiller sur sa petite future épouse. Elle est là, la petite garce en train de se faire ramoner la chatte avec un jeune serveur. Bon, bien, les chiens ne s’accouplent pas avec pas des chats. Elle s’éclate, c’est le principal. Je me lève et vais la rejoindre. Ce n’est pas sa chatte mais son cul qu’elle est en train de se faire démonter. Hummm, elle a de l’avenir. Je rejoins Malika, Marion et Fréd. Elle est debout avec l’intrus derrière elle. Il y va sans retenue. Toute à son affaire, elle a les yeux fermés et ne voit pas m’agenouiller devant elle. Je lui bouffe l’abricot. Surprise, elle me regarde et me sourit en me caressant la tête. Elle mouille fort. Son odeur m’enivre. De mon pouce, je joue avec son clito. Elle geint, gémit, tressaille. Le pieu qui lui martèle le cul n’est pas très volumineux mais il me semble long et courbé vers le haut. De mon autre main, je tire ses couilles velues qui sont bien pleines. Le jeunot, en sentant ma caresse, redouble de vigueur.
— Oh, fit-il en m’apercevant, c’est bon Madame. OUIIIIII...
Il décharge dans le fondement de Gény, non pas en s’y bloquant mais en continuant ses coups de reins. Que fait-il ? Il a de la ressource le petit. Il y va moins gaillardement, mais fait des mouvements amples, laissant juste son gland bien au chaud. Il râle une seconde fois et reste bloqué au fond du cul de la petite.
— Oh... OUIIIII... J’adore votre cul, Mademoiselle.
Elle se démanche et vient me rejoindre pour m’aider à lui laver la queue. À deux langues, c’est rapide et c’est dans un baiser passionné et amoureux que l’on finit allongée l’une sur l’autre.
— HUMMM, Vanessa... J’aime la queue... Me dit-elle en me flattant la bite du revers de la main.
Mais on est vite sortie de nos pensées par Fréd. Il faut que l’on parte, il y a une fenêtre qui s’annonce, il n’y en aura pas d’autre avant trois ou quatre jours. C’est une véritable nuée d’oiseaux qui remonte vers nos chambres.
20 h 30, on arrive à Lyon. On est pris en charge par une équipe de la société. Vu l’heure tardive, on sera logé dans les appartements au-dessus de l’entreprise. On se retrouve donc, Malika et moi, dans une vaste chambre, digne du "Georges IV". On prend une douche et c’est nus que nous descendons d’un étage pour nous restaurer. Le repas est frugal. Pain, jambon, fromage divers et variés. Émile nous explique que les formalités seront vite réglées. Qu’ensuite il partira avec Gény pour une destination qu’il ne nous révélera pas. Je m’endors avec Malika, la tête sur ma poitrine et une de ses mains refermée sur ma bite en signe d’appartenance.
— Ne t’inquiète pas, chérie, elle est à toi.
— Je sais...
On se réveille le lendemain frais comme des gardons. On se douche une nouvelle fois, je m’habille avec les vêtements fournis par Émile. La jupe bleue et tout le tralala. N’étant pas conviées à la réunion, Malika et Gény vont faire un peu de shopping. Aïe.
Émile vient me chercher et comme un père attentionné, il rectifie mon col de chemise, me tape sur la fesse et me guide vers l’ascenseur.
— Tu es parfaite, ma petite Vanessa.
Ma seule réponse est un bisou sur son front. L’ascenseur s’arrête et les portes s’ouvrent
— Pros ta empros, o bampas. (en avant, papa)
Il me regarde, étonné. Tout le conseil d’administration nous attend. Le père de Gény vient à notre rencontre et s’excuse de l’absence de sa femme, problème médical. Émile s’inquiète de sa santé, rien de bien grave.On s’installe autour de la grande table et Émile me présente à l’assemblée. Effectivement, vite fait, vite expédié, je n’ai eu qu’à signer deux formulaires. On est de retour à l’étage et comme prévu, Émile et Gény s’en vont voguer sur d’autres flots.
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