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Hésitant, pressée.

Chapitre 1

Divers
Gentille dans la vie, animatrice de soirée, extravertie la nuit. Elle m’avait séduit avec son sourire et ses manières.
Je l’avais vue au milieu d’un groupe d’amis déjà formé, auquel on m’introduisait. Son ex l’avait repoussée, et elle avait fini par me ramener moi. « On ne laisse pas une femme rentrer seule ! » C’était notre prétexte. Mon bras autour de sa taille et le sien sur mes épaules, nous avons arpenté les rues. Je ne savais pas où elle habitait, ce soir-là, elle non plus ne savait plus bien où elle allait. On a donc fait quelques boucles. Les gens nous prenaient pour un couple, on riait. Elle préférait marcher pieds nus dans les rues pavées. Même sans ses talons, je ne lui arrivais pas au front.
Chez elle, elle retrouvait ses repères. Ne perdant ni son temps ni son objectif, elle m’avait fait asseoir sur le canapé pour me déboutonner. Directive, sa gentillesse s’était fait voler la place par une forme d’autorité sadique. Elle sur moi, je ne pouvais plus partir. Sa robe avait glissé, pas entièrement, seulement par endroits, les moins sujets aux complexes. C’est pourtant bien l’idée de ses formes inacceptables qui me faisait bander.
Elle m’avait chevauché, les yeux fermés. Sans un regard, elle avait joui. Pas moi. Mon sexe n’avait pas retrouvé sa taille initiale qu’elle dormait déjà. Par peur de la gêne du lendemain matin, j’étais rentré chez moi, sans faire de bruit.
Cette pièce eut lieu plus d’une fois, se convertissant souvent en sketch. Toujours saoule ou presque, toujours en plan B. Toujours écartée par son ex. Une nouvelle robe à chaque soirée. Une balade nocturne plus ou moins écourtée selon la virulence de l’envie. Des ébats plus ou moins dénudés selon le taux d’alcoolémie.
Après ça, je rentre chez moi, je me masturbe en repensant à ses formes, en imaginant celles dont elle me prive. Je crois me souvenir de ses fesses. Mais je les redécouvre à chaque fois. Je pense toujours me souvenir de la texture de sa peau, du poids de son corps sur le mien. Mais à chaque rapport, je perds ma virginité.
Cette fois, c’est elle qui m’appelle. Elle n’avait jamais répondu aux miens, m’ayant donné son numéro uniquement par convenance. Un bref échange et je cède à l’invitation. Une fois arrivé, je la découvre agacée. Ses sourcils sont froncés, elle ne me prête que peu d’attention.
Vêtue d’un simple t-shirt un peu large sous lequel je devine un string, elle me tire par le col pour m’amener dans sa chambre. Je me rassure en me répétant que, sans doute, je suis meilleur au lit que le jouet qui vibre sur ses draps.
Elle allait me sucer, je l’ai vue, mais je bandais déjà, alors elle s’est dévêtue, m’a tourné le dos.
J’embrassais pour la première fois ses hanches houleuses. À la vue de sa cellulite, je me sens privilégié, car on en voit que sur les femmes, pour de vrai. Sa pudeur antérieure laisse place à un « encule-moi ! », prononcé en position adéquate sans « s’il te plaît ».
Je me penche sur ses muqueuses que je n’osais pas imaginer. Sa souplesse de hanches me relègue au rang de jouet sexuel. Ses remous se fendent sur mes crêtes iliaques, et mes mains se perdent autant que mes yeux, dans les profondeurs de ses creux.
Tempétueuse, elle crie. Je ne sais plus si elle me gronde ou si elle jouit. Celui-ci engloutit, comme dépossédé de mon sexe. Elle le manipule, du fond de son épithélium, sans latex. Sur la vitre, je devine son reflet grimaçant. Mais sans l’ombre d’un essoufflement, sa main rejoint son entrecuisse. Ses plus longs doigts dans son vagin, quelques ongles me griffent le scrotum.
Ses derniers coups de reins ont surpassé mon endurance. J’éjacule en elle, sans rien oser dire. Elle poursuit.Ma raideur s’affaiblit, je finis par me retirer, laissant son anus à nu. À genoux, le sexe mou, je la regarde se donner du plaisir. Ses yeux sont clos, son corps et sa voix tremblent. Le sperme coule entre ses cuisses, recouvre ses doigts puis s’écrasent sur le matelas.
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