Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 79 J'aime
  • 4 Commentaires

Un hétéro aisé, charismatique et intimidant.

Chapitre 1

versus moi. timide et rougissant.

Gay
2015, je suis au lycée, c’est la rentrée, 1m75, 65kg, profil normal/sportif, je viens d’avoir 18 ans. Depuis ma première année de lycée, j’arrive plutôt bien à cacher mon homosexualité. Je me suis mis au sport donc j’ai plus d’amis garçons qu’avant, et je dois avouer que mes masturbations quotidiennes se passent à merveille en me remémorant les corps nus des garçons et hommes des vestiaires.
Je n’ai jamais eu de rapports sexuels. C’est assez compliqué, on passe son temps à essayer de sonder les garçons du lycée pour savoir si peut-être, sur un malentendu il pourrait être intéressé par les garço... Ah non il vient de se mettre en couple avec une fille... Bon, malgré tout mes pulsions me donnaient toujours la force le soir après les cours de parler de "pote à pote" avec les plus beaux garçons à qui je n’osais même pas adresser la parole en vrai. Il suffisait d’inventer une question à lui poser: "Eh toi aussi tu as été à la soirée..." "Eh tu es un ami de ... non ? Elle m’a parlé de toi", et puis il fallait broder pour tenir la conversation le plus longtemps possible en espérant une petite phrase ou un mini rapprochement qui n’arrivait jamais bien sûr.
Et puis un jour il y a eu Romain. Je le connaissais d’amis en commun. Romain était on ne peut plus hétéro. Du haut de ses 1m80, il était particulièrement apprécié des filles qui le trouvaient très charmant. Cheveux courts bruns, taches de rousseurs, yeux brun foncé, il s’habillait différemment des autres et assumait son style plus "homme d’affaires", "garçon de bonne famille". Il faut dire qu’il aimait montrer qu’il avait de l’argent. De jolies montres, toujours avec des habits chers, il faisait également du golf et aimait les belles voitures. Il affirmait également son côté très "de droite" avec une certaine forme de racisme et d’homophobie.
Je l’avais rencontré quelques fois lorsqu’il sortait avec une de mes amies, et nous avions un peu parlé parce qu’il connaissait des amis du sport à moi. Je n’avais bien sûr aucune chance avec lui. Ce qui me faisait souvent préjudice c’est que je pouvais être très bavard et avenant par message, mais lorsque je parlais à un garçon en vrai, j’étais très timide et je me sentais inférieur, j’avais peur que l’on m’affiche comme "le gay du lycée".Mais lors d’une pulsion du soir, cela ne m’empêcha pas d’essayer de le draguer. Je commençai alors avec lui une discussion via messenger, en apportant une fois de plus des sujets bateau et il était plutôt réceptif et amical! Plus je me sentais à l’aise et plus je plaisantais dans la conversation, jusqu’à ce que l’on parle d’un film d’horreur qui venait de sortir au cinéma.

Romain: " Mais oui! J’ai vu la bande-annonce il a l’air trop bien, vraiment!!"Moi: " Moi qui regarde beaucoup de films d’horreur, je confirme, il faut absolument que j’aille le voir ahah"Romain: " Si tu veux qu’on se fasse ça, ce serait grave cool!"

Mon cœur s’enflamma. Romain, qui me propose à MOI, d’aller voir un film, avec LUI. Dans ces moments-là, je me relâchais complètement et je m’imaginais que OUI, enfin, il allait être attiré par moi, qu’il allait vouloir me faire l’amour, qu’en me proposant d’aller avec lui c’était une sorte de première approche. Alors je m’enflammais par message.

Moi: " Grave, ça me ferait trop trop plaisiiiiiiiir" Romain: " Ben vas-y, c’est quand tu veux."Moi: " C’est quand tu veux toi ahah, j’écoute tes directives."Romain: " C’est bien ça, tu es obéissant ahah. J’adore les salles de cinéma quand il y a pas grand monde."Moi: " Oh moi aussi, ça laisse plus de liberté."

Oh non, qu’avais-je dit, était-ce la fin? Allait-il me trouver bizarre et se braquer? Allait-il me trouver gay ???

Romain: " C’est clair, quand il n’y a pas trop de monde j’adore me faire sucer ahahah"

OMG. Si ça c’était pas un petit clin d’œil, une première avance, alors qu’est-ce que c’était ?? Bon j’arrête la voix off et je vous laisse la suite de la conversation, ne jugez pas, je m’emballe beaucoup.

Moi: " Ah oui, d’accord ahah, bon après pour niquer une salle de cinéma c’est pas ce qu’il y a de plus pratique et plus discret."Romain: " Oui tu n’as pas tort, après ça se passe aux toilettes ahah. Ce week-end je suis pris mais peut-être celui d’après si tu veux! Et sinon, j’ai vu que tu avais déménagé sur les réseaux, tu es ou maintenant ?"Moi: "Ahah. Ouiiiiiiiii j’ai déménagé, je suis dans les nouveaux immeubles de l’autre côté du pont." Romain: " Ah ouais, c’est tout neuf c’est cool!! Il faudra que tu me fasses visiter!!! "Moi: " Une fois de plus c’est quand tu veux!!! On se fait un grec un midi et tu viens chez moi !"Romain: " Eh mais on n’est pas obligés d’attendre le week-end pour ça, on peut se faire ça un midi, pourquoi pas demain ?"Moi: "Mais grave je finis à 12h en plus!" Romain: " T’es sérieux? Je finis à 13h, mais vas-y on se fait ça demain direct."
Bon comment vous dire mon état d’excitation mais surtout de stress. Un stress immense. Jamais je n’avais passé un moment seul avec un garçon qui m’excitait. Romain était homophobe je le savais, je l’avais déjà entendu. Il venait demain chez moi parce que par message il pensait avoir trouvé un ami bon délire avec qui passer du temps à jouer à la PS4, parler de filles et manger des grecs." Honnêtement, je pensais à plusieurs reprises annuler sa venue en inventant une fausse histoire car je ne savais pas comment faire... J’allais être si nul, j’allais rougir, je n’allais pas savoir quoi dire... Il allait comprendre, il allait me trouver bizarre, on ne se connaissait pas vraiment en vrai!! Comment faire ? Cette fois-ci je pris mon courage en main et ne déclinai pas.
Le lendemain, j’étais particulièrement stressé évidemment. Je lui avais passé ma commande pour le grec, il passait les chercher en terminant les cours avant de venir chez moi, où je l’attendais. J’étais dans un état de panique totale. Je ne me rappelais même plus de sa voix tant on se connaissait peu. J’avais peur.
Il arriva et sonna à l’interphone:
"Ouais mec, c’est moi !" Sa voix était masculine et magnifique."Oui."
Un simple "oui". Coincé et gêné, n’importe quoi. Il fallait que je sois cool. Il était maintenant dans l’ascenseur, je l’attendais devant ma porte dans le couloir. Il sortit de l’ascenseur, le sourire aux lèvres, décontracté, avec une tenue ... à tomber. Il avait une petite chemisette d’été blanche, rentrée dans son jean Levi’s parfaitement taillé qui moulait presque un peu son entrejambe, une petite ceinture en cuir marron et des sneakers un peu de style golf (évidemment puisqu’il en faisait). Il était parfaitement taillé, il s’entretenait mais sans excès. Un petit fessier parfait. Des jambes pas trop maigres, un ventre où l’on décèle juste un peu les tablettes de chocolat. Des bras imposants mais pas sculpté. Il me faisait beaucoup d’effet.

Romain: "Hey, ça va bien? J’ai trooooop faim si tu savais." Moi: " Tranquille et toi? Ohlala moi aussi mais trop."

On rentra dans l’appartement, je sentais la chaleur dans mes joues. Il s’installa dans le canapé du salon et commença à déballer nos sandwiches.

Moi: " Attends je vais chercher des verres et du coca."Romain: " Oh cool, merci!! "

J’étais dans ma cuisine, mon cœur battait vite, je devais me remettre de mes émotions. Je m’en tirais pas trop mal mais nos phrases étaient courtes, il y avait déjà des blancs, ce n’était pas très naturel.

Lorsque j’amenai les verres au salon. Il mangeait son grec dans le canapé, avec une posture très décontractée. Les bras tendus le long du canapé, les jambes écartées.Je m’assis à côté de lui et commençai à manger à mon tour. Tout à coup, je tournai ma tête vers lui. Il était en train de me regarder avec un regard joueur. Je le regardai à mon tour... mon cœur battait. Un grand moment de silence s’installa. Gêné, je lâchai un petit sourire innocent. D’un mouvement lent, il ramena son bras droit vers sa braguette, et l’entrouvrit. Il claqua des doigts et me montra son entrejambe.Je me mis à genoux par terre et d’un geste maladroit, je commençais à le malaxer. Petit à petit, une bosse se formait. Son gland était énorme, comme sa bite, puisque je voyais son contour à travers le jean. Tout à coup, il sortit son engin, toujours à travers sa braguette seulement. Il n’avait pas de sous-vêtements. Le bouton de son jean était toujours mis. Sa bite était énorme, particulièrement large. Son gland également. Il était tout humide de liquide préséminal. Je regardai alors Romain et je compris qu’il était très excité. Son visage doux et détendu laissait place à une petite rougeur au niveau du haut des joues et il avait désormais un regard sombre et agressif.
Je pris alors son engin à deux mains et commençai à le sucer. Je m’étais beaucoup entraîné sur des objets du quotidien mais c’était bien loin de ce que j’avais pu m’imaginer. C’était luisant, visqueux et chaud, c’était si agréable à prendre en bouche, une odeur très sauvage se dégageait de son pénis. Alors que je donnais tout pour que ce soit sa meilleure fellation, je le vis commencer à lâcher quelques râles, il était assez expressif et poussait quelques gémissements.
Romain: " T’aimes ça ma grosse chienne, hein?"Il me prit par les cheveux et m’enfonça sa tige encore plus profond pendant plusieurs secondes. Il faisait des va-et-vient dans ma gorge, et de la salive me coulait de partout. Sans m’en rendre compte, j’avais baissé mon pantalon et laissais à sa vue mes petites fesses.
Romain: " Oh mais tu mouilles ma petite princesse!"
Effectivement, une grosse trace d’humidité s’était formée sur mon caleçon, cela ne m’était jamais arrivé avant. Comme si mon corps me criait "Vas-y on t’a autolubrifié tu es près, fais-toi enfourner!"
Romain, toujours affalé tandis que j’étais à quatre pattes par terre, le cul relevé, m’attrapa le trou et commença à me malaxer l’anus avec douceur. Sa façon de faire était à la fois violente et romantique. Et puis tout d’un coup, il en voulut plus. Il attrapa ma cuisse droite avec son bras pour me faire signe de monter sur lui. Et je m’exécutais une fois de plus.
J’étais maintenant face à lui, à genou, mon trou juste au-dessus de son énorme bite. Les deux s’attirèrent comme un aimant. Il me transperça l’anus avec son engin luisant et la situation nous laissa tous les deux pousser un cri brisant le silence. Son engin était profondément ancré en moi. Et nous arrêtions un instant tout mouvement. Il était en moi. On ne bougeait plus. Nos regards se noyaient entre eux. Il approcha ses belles et grosses lèvres des miennes, et nous nous embrassions comme jamais. Il n’y avait pas particulièrement de langues et de bave, mais juste deux bouches qui se faisaient l’amour. Il entreprit alors les va-et-vient, je sentais et entendais le liquide visqueux de son pénis, entrer et sortir de moi. A chaque nouvel aller-retour, il m’enfonçait encore plus profondément son attribut. C’était si profond, les mouvements étaient si grands. Je devais voler à 20 cm au-dessus de lui tellement il me propulsait en l’air grâce à ses coups de bassin. L’atmosphère était électrique et moite. Je l’embrassais et mes mains entouraient ses joues. Lui tenait fermement mes fesses, il les agrippait et les écartait vers l’extérieur comme pour agrandir mon orifice.Ce moment dura plus de 10 minutes, j’avais parfois l’impression de faire un malaise, mon corps partait d’un côté et de l’autre dans la sensation était forte. Nous étions comme des bêtes. Il avait toujours son jean et ses chaussures et j’avais agrippé sa chemise qui était devenue toute froissée et qui n’était du coup plus rentrée dans le pantalon. Romain était en sueur, je le faisais beaucoup travailler, lui qui était toujours en position de force. Il mettait toute sa hargne dans mon cul. Je m’étais mis entièrement nu contrairement à lui. J’étais nu comme un ver en train de me faire exploser sur un garçon habillé comme un homme sur ces vêtements si soignés.Au bout de 15 minutes intenses, il m’attrapa le dos de tous ses bras et me colla bien fort à lui. Il entreprit alors des mouvements de va-et-vient beaucoup plus courts mais beaucoup plus violent dans mon anus. Il me perforait chaque seconde. Je fus pris d’un orgasme si intense et si long que j’éjaculai de nombreux jets sur sa magnifique chemise blanche, alors que je ne me touchais même pas la bite. Il poussa des gémissements virils comme si toute sa violence sortait de son corps et dans une douleur très forte, il projeta tout au fond de moi sa semence chaude et très consistante. Je la sentais au plus profond de moi. Je la sentais couler le long de sa verge qui restait plantée en moi. Nous étions souillés, sales et transpirants.
Tous les deux dans mon salon, moi qui le soir d’avant ne m’imaginais même pas dans mes rêves les plus fous faire l’amour avec un garçon aussi magnifique que Romain que l’était.
Il s’agit ici de ma première histoire, c’est un exercice intéressant et cela m’a pris du temps. Je me suis laissé guider par mes envies et mes idées pour écrire c’est pour cela que ça part sûrement dans tous les sens, mais je sais qu’en la lisant tu te laisseras également te balader entre les lignes pour t’amener à ce que tu recherches alors j’espère que tu le trouveras.
Diffuse en direct !
Regarder son live