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Hétéro devenu bi. Comment tout a commencé

Chapitre 1

Ma première fois

Gay
Cette histoire est totalement vraie et vécue. Il s’agit de ma toute première expérience avec un homme de façon inattendue.

PARTIE 1
Je m’appelle Julien et j’ai 35 ans. Je suis un garçon caucasien, mince, imberbe, brun aux yeux marron, 1 mètre 78 pour 75 kilos. Des années ont passé depuis cette fameuse nuit, et je me suis décidé à raconter comment tout a commencé.
À ce moment-là j’avais 19 ans, et j’étudiais dans un lycée professionnel hors de ma région. Je logeais dans un internat, et pour le payer je travaillais le lundi et le jeudi soir dans un bar comme serveur. Je rentrais rarement chez mes parents le week-end, car je n’avais pas assez de sous.L’aile de mon internat était réservée aux personnes déjà majeures. Le rez-de-chaussée était pour les filles et le premier étage pour les garçons. Il y avait des chambres de quatre et de deux personnes.
Par chance, j’occupais une chambre de deux, et je m’entendais très bien avec mon colocataire.
Au bout du couloir se trouvait une chambre individuelle, celle du surveillant. Il s’occupait aussi bien de l’aile des majeurs que celle des mineurs. À la différence d’eux, nous pouvions entrer et sortir comme bon nous semblait à toute heure du jour et de la nuit. Il y avait bien sûr quelques règles. Pas d’alcool dans les locaux, et pas de bruit après 22 heures même si on voulait prendre une douche. Aucune restriction par contre, pour aller aux toilettes.
Tout le monde respectait cette règle des 22 heures, mais pas celle de l’alcool, et il y en avait de caché quasiment dans chaque chambre. Souvent de la bière.
À ce moment-là, jamais je n’aurais pensé avoir une relation avec un mec. Un jour, au détour d’une conversation avec un collègue serveur qui lui était bi, il m’avait posé la question de savoir si j’aimerais sucer une bite si l’occasion se présentait. Je lui avais répondu que non, car je n’étais absolument pas attiré par les hommes. À vrai dire, je ne m’étais même pas posé la question moi-même. Je respectais ceux qui le faisaient, mais ce n’était pas pour moi.
Jusqu’à ce fameux soir...
C’était une soirée d’été et on avait décidé d’aller boire un verre pour le départ d’un collègue barman. Ce soir-là je ne bossais pas, mais j’étais dans le bar où je travaillais.
Au bout de quelques heures, je n’étais plus très frais. Pas ivre, mais j’avais assez bu pour être éméché. Il était déjà 1 heure 30, la fatigue se faisait ressentir et mon collègue barman était complètement bourré. J’avais environ trente minutes de marche et il habitait sur mon chemin. Je me suis donc proposé de le raccompagner pour l’aider à marcher. En arrivant chez lui, il n’a plus réussi à se retenir et a vomi le trop-plein d’alcool qu’il avait en lui. J’ai été surpris et je n’ai pas eu le réflexe de me retirer à temps. Il avait réussi à m’en mettre sur le pantalon. Je l’ai couché dans son lit, et je me suis essuyé brièvement le pantalon avant de repartir à mon internat.
Une fois sur place, je suis passé devant la porte du surveillant, et j’ai vu de la lumière en dessous de sa porte. Je me suis dit : Merde, mais il ne dort jamais celui-là !

J’étais seul dans ma chambre cette semaine-là. Mon colocataire étant malade, il n’était pas rentré après avoir passé le week-end chez lui. J’ai enlevé mon pantalon, mais je me sentais sale, alors je me suis dit qu’il me fallait prendre une douche.
C’était interdit la nuit, mais si je le faisais rapidement je ne serais sans doute pas pris. Dans la salle de bain, il y en avait deux sortes, les cabines qui fermaient où les douches alignées au mur sans rien pour se cacher. La nuit, l’eau chaude était coupée pour les cabines afin de nous dissuader, mais pas pour celles au mur. Je me suis dit que l’internat étant silencieux, tout le monde devait dormir sauf le surveillant.
Allez, je fais vite et au dodo !
Il n’a fallu qu’environ trois minutes pour que la porte de la salle s’ouvre brusquement. C’était Éric le surveillant... Il avait environ 45 ans, à peu près ma taille, mais plus costaud et avec du ventre. Il était dégarni, portait une barbe de trois jours, propre sur lui, mais toujours habillé de façon négligée. Avec un survêtement ou en short et des vieux tee-shirts. Il était autoritaire et les filles du rez-de-chaussée le traitaient d’obsédé, car il les matait et ça se voyait. On avait même des doutes, sur le fait qu’il nous matait également.
Bref j’étais nu sous la douche à quelques mètres de lui. Il m’a regardé de la tête aux pieds et c’était très gênant. J’ai remarqué la bosse qu’il avait sous son short. Je me suis posé la question de savoir si cet obsédé jubilait de cette situation. En remontant mes yeux vers les siens, je sus immédiatement qu’il avait remarqué. Puis il m’a dit d’un ton sec :
— On ne connaît plus le règlement ?
J’ai tenté de lui expliquer ma mésaventure, mais il m’a interrompu immédiatement :
— Je ne veux pas le savoir. Vos chambres sont équipées de lavabos, alors tu n’avais qu’à t’en servir.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, la fatigue et l’alcool sans doute, mais j’ai lâché tout bas :
— Pauvre connard...
Il m’a aussitôt repris :
— Comment ? J’ai peur de ne pas avoir bien entendu. Allez, tu as gagné. Tu te rinces et inspection de ta chambre dans deux minutes.
Et merde, il allait chercher si on cachait des trucs qu’on ne devrait pas avoir à l’internat. J’ai mis une serviette autour de ma taille et je l’ai rejoint dans ma chambre. Il ne m’a pas fallu attendre plus d’une minute pour qu’il trouve une bouteille de vodka, sous le lit de mon colocataire. Super planque... bravo à lui. Même si elle ne m’appartenait pas, c’est moi qui allais prendre à sa place.
Avec son regard autoritaire, le surveillant m’a dit :
— Tu me suis dans ma chambre, tout de suite.
J’ai enfilé un short et un tee-shirt que je mets habituellement pour dormir, et je l’ai suivi dans sa chambre. Il allait me mettre une sanction écrite, et j’espérais que ce serait un simple avertissement.
Lorsque je suis entré dans sa chambre, j’ai remarqué que son PC portable était allumé, mais en veille, et un paquet de mouchoirs posé à côté.
En prenant ma douche, je devais avoir interrompu quelque chose... Le surveillant m’a dit :
— Assieds-toi. Je te rédige ton bon de sanction. Tu seras renvoyé de l’internat une semaine, à partir de lundi prochain.
Mince ! J’allais faire comment pour me loger maintenant ?! J’ai tenté ma chance :
— S’il vous plaît. Si vous faites ça, je ne saurai pas où dormir. Vous me mettez vraiment dans la merde, là.— Je ne veux pas le savoir. Tu es grand, tu te débrouilles.
Il a continué de rédiger son bon de sanction, et quand il a eu terminé, il a posé maladroitement son stylo sur le clavier de son ordinateur. Celui-ci est sorti de son état de veille, et surprise, un film de cul a repris là où il en était avant qu’il n’intervienne dans les douches.
C’était un film gay, et on y voyait un mec sucer un autre mec. Ça ne m’excitait pas du tout, mais ne me rebutait pas non plus. En fait, j’étais tellement surpris que je suis resté le regard figé sur l’écran. Il s’est précipité pour remettre le film en pause.
Un silence pesant s’en est suivi. Il était très gêné, mais je ne l’ai même pas remarqué. Mes yeux étaient restés sur l’écran, en fait, j’étais tout aussi gêné que lui.
Il s’est repris, puis a recommencé à me parler :
— Ça te plaît, on dirait ?— Non, pas du tout. Je trouve la situation très bizarre, là.— Bon écoute. On va dire que tu n’as rien vu et j’oublie ta sanction. On est d’accord ?
Mais je ne répondais plus. J’étais choqué par la surprise de la découverte que je venais de faire au sujet de mon surveillant, et je fixais toujours l’écran.
Puis il a repris :
— OK, ça suffit, au point où on en est. Je suis sûr que ça ne te laisse pas indifférent.
Comment ça au point où en est ? Pensais-je. Il s’est levé, j’ai tourné la tête, et en un rien de temps il a sorti sa bite à demi molle de son survêtement, et l’a présentée à quelques centimètres de ma bouche. J’étais encore plus estomaqué, je ne bougeais plus.
— Allez ouvre la bouche. Je sens que tu en meurs d’envie, et moi aussi à vrai dire.
Je ne sais pas ce qui m’a pris. Le choc, l’alcool ou la fatigue vu l’heure qu’il était, mais je lui ai ouvert mes lèvres machinalement consentantes. Il me l’a mise direct en bouche et commencé des va-et-vient. Je ne pensais plus, ne réfléchissais plus. J’avais la queue de mon surveillant en bouche et je ne réagissais pas. Je sentais son sexe se raidir au fur et à mesure de ses allers et retours. Il m’a dit :
— Suce-moi bien, je ne vais pas tarder à venir !
En effet il s’est arrêté d’un coup, est sorti de ma bouche et s’est branlé énergiquement au-dessus de mon visage. Et soudain, il a éjaculé en un festival de jets saccadés sur mon visage. Quand il a eu fini, il m’a tendu mon bon de sanction et m’a dit en rigolant vulgairement :
— Tu n’as qu’à t’essuyer avec ça !! Haha. Allez, tire-toi on est quitte. Et si tu parles, je ferai courir le bruit que tu m’as bien sucé.
Je suis parti sans un mot et j’ai regagné ma chambre. J’en avais partout en fait. Je pense qu’à ce moment-là, je n’avais pas pris conscience de ce qui venait de se produire. Étais-je sous le choc ? Je me suis nettoyé le visage au lavabo, me suis changé et me suis couché. Le sommeil m’a emporté aussitôt.
Le lendemain matin, le réveil a été difficile. J’ai repensé à ce qui s’était passé, et je suis parti en cours en n’arrivant pas à chasser ça de mon esprit. Ça paraissait totalement irréel.
J’avais sucé une bite ! Celle de mon surveillant ! Je n’avais pas dit oui, je n’avais pas dit non, mais surtout je n’avais pas résisté. Pire j’avais été consentant.
Est-ce que je devais en parler à quelqu’un ? Garder ça pour moi ? Est-ce qu’une part de moi avait aimé ça ou étais-je dégoûté ? Qu’est-ce qui se passerait quand je le recroiserais ? Tout plein de questions m’ont envahi l’esprit toute la matinée, la plupart d’entre elles sans réponse. Puis j’ai pris ma décision. Je n’allais pas le dénoncer, je garderais tout ça pour moi et j’allais tenter d’oublier cette histoire.
La journée s’est achevée, et je suis rentré à l’internat.
J’étais avec des potes dans leur chambre, et on regardait la télé. Éric est passé pour nous demander de baisser le son, mon regard a croisé le sien, mais il a m’a complètement ignoré. Comme si rien ne s’était passé. À ce moment-là, j’ai été soulagé, c’était mieux comme ça, c’était un épisode, c’était fini. Je ne serais pas viré de l’internat la semaine d’après, et personne ne saurait rien. Je me suis dit que nous allions mettre tout ça derrière nous.
Au bout d’un moment, j’ai quitté mes amis pour m’absenter aux toilettes. Dans le couloir et j’ai croisé Éric, on était seuls et il m’a dit :
— Ce soir à 22 heures 30, tu viendras frapper à ma porte. Si tu ne le fais pas, on passera définitivement à autre chose. Si tu le fais, ça sera de ton plein gré.
Et il est reparti...
Cet enfoiré venait de relancer toutes les questions auxquelles je m’étais efforcé de ne plus penser. J’ai essayé d’oublier cette conversation, car il était hors de question que j’aille frapper à sa porte. J’ai passé la soirée avec mes amis, jusqu’au repas du soir, et j’ai décidé de remonter dans ma chambre vers 21 heures 30. Je n’ai croisé personne dans les couloirs. Je me suis mis à regarder un film sur mon PC, pour volontairement oublier de penser à l’heure.
Le film était terminé, il était 23 heures, et j’ai décidé de me coucher. Une fois au lit, les questions sont revenues. Impossible de dormir et il fallait que je lui parle pour clôturer le sujet définitivement. Je suis sorti de ma chambre pour aller frapper tout doucement à sa porte, afin de ne pas être surpris par mes camarades d’internat.
— Entrez !

À suivre...
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