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Hétéro, je me laisse tenter par un gay

Chapitre 2

Gay
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, ce garçon ne m’attirait pas, il était même un peu repoussant. Mais en me remémorant le plaisir que m’avait procuré cette fellation, il m’arrivait de me branler dans mon lit en pensant à lui. J’attendais avec impatience le rendez-vous de la semaine suivante. Qu’allait-il me proposer ?
Le jeudi soir après les cours, il me susurra juste à l’oreille ces quelques mots :
— N’oublie pas de venir demain, je t’attendrais avec impatience.
La cloche tinta et nous sortîmes chacun de notre côté. J’ai eu du mal à m’endormir, mon sommeil fut mouvementé. Dès que je fermais les yeux, les images de ma queue éjaculant dans la bouche de mon partenaire me revenaient sans cesse. Le lendemain, je ne pris même pas le temps de prendre mon petit-déjeuner. La matinée qui d’habitude passait rapidement ne fut jamais aussi longue que ce jour-là. Enfin, 13H sonna à la grande pendule, j’étais même arrivé un peu en avance à mon rendez-vous.
Mon partenaire me saisit comme la dernière fois par le bras et me fit entrer. Il chercha d’emblée ma bouche, faisant pénétrer sa langue bien profondément. Je ne refusais pas cette intrusion, bien au contraire, ma langue se mêla à la sienne dans un voluptueux ballet.
En même temps, il s’attaqua à mon pantalon et défit la ceinture. Le pantalon tomba au sol, il descendit mon boxer pour enfin se saisir de ma queue qui avait pris une belle dimension. Il se mit à genoux devant mon totem et pratiqua cette fois encore une fabuleuse fellation. Mais au bout de deux minutes, il se releva et il entreprit de faire tomber son pantalon. Me prenant par la main, il m’attira vers lui.
— Prends-moi maintenant, enfonce-moi ta queue dans le cul, il y a si longtemps que j’attends ce moment.
Il se plaça à genoux sur la lunette des toilettes, il mit ses bras autour de la cuvette des chiottes et me tend ses grosses fesses poilues.
— Allez qu’attends-tu ? N’aie pas peur de forcer, j’en ai l’habitude, le chemin est praticable, dit-il en riant franchement.
N’ayant pas l’habitude de ce genre de rapport, je m’approchais doucement. Je ne pouvais plus reculer. Mon partenaire écartait bien les jambes et remuait ses grosses fesses. Prenant ma queue en main, je mis mon gland contre la rosette poilue en prenant appui sur mes deux jambes. Je poussais doucement, les premiers centimètres furent aisément franchis. Mon partenaire tortillait du cul pour faciliter la pénétration, il m’encouragea à aller plus loin et plus vite.
Obéissant à ses ordres, je donnais un grand coup de bassin et ma queue se retrouva entièrement avalée par la grosse rosette poilue qui frétillait. Mes couilles venaient s’appuyer sur ses fesses, j’accélérais la cadence sans m’occuper des gloussements de plaisirs qui sortaient de la gorge de mon partenaire qui prenait vraiment son pied en recevant ma queue dans son fondement. C’était une sensation totalement différente de ce que l’on ressent quand on pénètre une petite chatte, mais cette impression de domination ne me déplaisait pas, bien au contraire.
Tout à coup, un déferlement de jouissance monta du fond de mes entrailles et je lâchais dans le cul de mon partenaire de longues giclées de foutre. Mes derniers coups de semonce furent tellement puissants que mon partenaire fut déséquilibré et il se fracassa le nez contre la cuvette des chiottes. Quand mon vit retrouva l’air libre, de longues traînées blanches s’écoulèrent du trou du cul qui s’ouvrait sous mon nez. Nous prîmes deux minutes pour nous nettoyer conjointement. Le bout de ma queue fut essoré par une bouche avide de foutre, je lui rendis la pareille en léchant le sperme qui sortait de son cul.

— Putain, ce fut bon, me dit-il. Il nous reste encore une semaine de cours et je te promets pour finir en beauté, un final en apothéose vendredi prochain.
Chacun s’en retourna à ses occupations. Le soir dans mon lit, je tentais d’analyser la situation. Comment ce garçon avait-il réussi le tour de force de me faire apprécier ces pratiques qui ne me tentaient pas du tout il y avait encore quelques semaines ? De plus, j’en tirais un plaisir extrême. Je n’osais pas imaginer ce qu’il me préparait pour la semaine suivante.
La semaine fut bien longue, le jeudi, mon partenaire ne fut pas présent aux cours. Est-ce qu’il en serait de même demain ? Je ne pus trouver le sommeil cette nuit-là et le lendemain matin, j’étais un peu raplapla quand le moment de partir en bus arriva. Je me posais plein de questions. Serait-il présent à 13H ? Tout mon corps l’espérait. La pendule semblait prendre plaisir à ralentir son décompte. Chaque heure étant plus longue que la précédente.
Enfin, 13H arriva et ce fut presque en courant que je me rendis à mon rendez-vous. Les lieux semblaient déserts, pas un bruit. Tout à coup derrière moi, une porte s’ouvrit. Il était bien là mon partenaire, mais cette fois, c’est dans les toilettes pour handicapés qu’il me fit entrer. Ceux-là étaient bien plus grands. M’attirant vers lui, il me dit :
— Cette fois, c’est à toi de me faire une pipe, si tu la fais bien, tu auras une belle récompense.
Il fit descendre son pantalon et son slip. Et là devant moi se dressa une queue beaucoup plus impressionnante que la mienne. Quel calibre ! Le gland violacé pointait son nez vers moi. Pas trop longue, mais très épaisse, elle était parcourue par une grosse veine rougeâtre qui palpitait.
Encore une fois, c’était un exercice que je n’avais jamais pratiqué. J’allais devoir prendre exemple sur le modèle qui m’avait procuré tant de jouissance. Je me mis à genoux devant le monstre. Je fis connaissance avec la « bête » en passant doucement ma langue du bas vers le haut puis en tournant autour du gland, j’enfonçais également ma langue dans la petite fente centrale. Ma main ne fut pas inutile pour maintenir en place ce gourdin. Je me décidais finalement à l’engloutir, non sans l’avoir bien lubrifiée avec ma salive.
Ma bouche était à peine assez large pour faire entrer le gland monstrueux, ma langue entreprit un ballet sensuel en tournant tout autour du méat qui laissait sortir quelques petites gouttes de plaisir. Encouragé par mon « maître », j’entrepris un lent va-et-vient sur toute la longueur de cette queue ivre de plaisir. Après quelques minutes de ce traitement, mon partenaire prit ma tête à deux mains et se mit à donner de grands coups de bassin m’enfonçant son calibre dans la gorge. Il allait de plus en plus vite quand il me propulsa plusieurs giclées au fond du gosier tout en criant son plaisir. Je ne pus avaler le tout sans avoir un haut-le-cœur qui me propulsa en arrière en lâchant l’objet du délit. Mon estomac se rétracta et je ne pus m’empêcher de vomir sur le carrelage.
Le garçon se pencha vers moi, m’aida à me relever et me dit :
— Tu m’as sucé comme une reine, tu as bien mérité ta récompense. Viens finir ton éducation.
J’étais un peu retourné par les évènements, je me laissais faire quand je me rendis compte qu’il me faisait prendre la même pose que lui avant que je le suce. Les deux mains appuyées contre le mur près de la cuvette des chiottes, les jambes écartées, il s’approcha de moi.
— Ne t’inquiète pas, comme dirait un de mes amis, « au début ça pique les yeux, après on s’habitue », me dit-il en riant. Mais comme tu es encore vierge de ce côté-là, je vais me lubrifier.
Il avait sorti de je ne sais où une petite bouteille en plastique qu’il ouvrit. Il déversa sur sa queue une bonne dose de lubrifiant et me badigeonna la rosette jusqu’à l’intérieur en y faisant entrer deux doigts.
— Détends-toi, ça va y aller tout seul.
Il m’écarta un peu plus les jambes, car il était plus petit que moi et s’installa tout contre mon petit cul. Je sentais son monstre palpiter entre mes fesses. Il appuya doucement le gland contre ma rosette et poussa légèrement. La tête chercheuse peinait à trouver l’entrée de mon petit tunnel, je sentais bien que l’engin commençait à rentrer, mais il n’allait pas bien loin. Je tendis un peu plus les fesses vers lui.
Mon partenaire commençait à s’impatienter, il ressortit sa queue et lui remit une bonne dose de lubrifiant. Il me fit tourner légèrement et cette fois il prit un appui un peu plus stable en s’appuyant contre le mur. La poussée fut beaucoup plus franche et cette fois l’engin pénétra franchement en me tirant un cri de douleur.
— Le plus gros est passé, maintenant tu vas voir, ça va devenir beaucoup plus agréable.
J’en avais les larmes aux yeux tant la douleur avait été forte. Mais maintenant, en effet c’était moins douloureux. Il commença un lent mouvement de va-et-vient tout en me tenant fermement par les hanches. Puis progressivement, il accéléra son rythme. Je ne pouvais m’empêcher de laisser sortir de ma gorge des feulements de plaisir. Il me pénétrait entièrement en poussant de petits grognements. Pour parfaire mon plaisir, je me branlais en même temps. Nous parvînmes au même moment à l’extase. Il m’envoya dans le cul de belles giclées de foutre pendant que j’arrosais copieusement le mur en face de moi. J’avais des étoiles dans les yeux, je faillis tomber sans connaissance tant la jouissance fut dévastatrice.
Il me serra entre ses bras, toujours planté dans mon cul, nous restâmes ainsi de longues minutes. Enfin, il se retira, il me fit pivoter vers lui et me fixa dans les yeux pour me dire :
— Mon bel amant, j’espère au moins que tu garderas un bon souvenir de notre courte relation. Je pars la semaine prochaine à l’autre bout du monde, on ne se reverra jamais. Pour ma part, tu auras toujours une petite place dans mon cœur et à chaque fois que j’enculerai un partenaire, j’aurai une petite pensée pour toi. Merci pour ces bons moments.
Il s’habilla et s’en alla sans un regard en arrière, me laissant là, seul, avec pour unique souvenir de lui, de longues traînées de sperme qui coulaient le long de mes cuisses ...
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