Grâce à cette nouvelle rencontre, toujours via le site internet, Sylvain pouvait prolonger cette expérience sexuelle avec un homme et continuer à découvrir de nouveaux plaisirs. Il n’avait pratiquement plus de nouvelles de Pascal. La rencontre avec Pierre était finalement bien tombée. Les échanges sur le site avec Pierre étaient maintenant beaucoup plus réguliers, libres et osés que lorsqu’ils avaient été l’un en face de l’autre. Ils avaient échangé des messages et des photos ce qui avait eu pour effet d’exciter fortement Pierre. Ce dernier était impatient de recommencer pour sentir cette semence chaude et abondante au fond de sa gorge pour un plaisir incommensurable. Après ces multiples échanges, Pierre et Sylvain ont convenus de se revoir au même endroit que la fois précédente. Sur le bord de la petite route départementale, dans le sous-bois, au niveau de la clairière. Sylvain était arrivé en avance sur l’heure prévue comme chaque fois qu’il avait un rendez-vous. Puis Pierre était arrivé à son tour. Il était comme sur les photos et dans les souvenirs de Sylvain : grand, plutôt mince, cheveux rasés et grisonnants, petits sourire et yeux gris pétillants. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’était la météo. Le ciel était gris, presque noir et il pleuvait de plus en plus à grosses gouttes. Vu le mauvais temps, il n’y avait personne d’autre qu’eux, mais il fallait trouver un coin au sec. Sylvain proposa d’aller en voiture un peu plus loin, sur un chemin de terre. A une centaine de mètre de la route il y avait une zone où ils pourraient se garer, rester dans une des voitures tout en étant à l’abri d’un éventuel regard. Arrivé sur place, les voiture garées, invisibles depuis la route départementale. Ils se retrouvèrent à l’arrière de celle de Pierre. Il avait un long break, spacieux au niveau de la banquette arrière. Dehors il faisait presque nuit et dans la voiture la lumière était comme tamisée. Assis l’un à côté de l’autre, ils avaient enlevé leurs chaussures et leur veste pour se sentir plus à l’aise. Ils reparlaient de la fois précédente et de ce moment très agréable pour tous les deux. Pierre était très excité par ce qu’il s’était passé : « Je me suis branlé en y pensant ». Sylvain commençait à bander. Il enleva son pantalon pour se retrouver en boxer, l’atmosphère était électrique. Pierre avait glissé une main sur puis entre les cuisses de Sylvain. Il senti la belle protubérance qui continuait de grossir. Il le regardait en souriant. Il tendit les lèvres et se pencha vers Sylvain pour l’embrasser qui lui offrit sa bouche. Il caressait maintenant le sexe à travers le boxer. Sylvain mis à son tour sa main au niveau du sexe, effleurant le tissu au même rythme que les caresses reçues sur son propre sexe. Il défit la boucle de ceinture de pierre et baissa la fermeture éclair. Pierre se souleva légèrement ce qui lui permis de baisser le pantalon jusqu’aux pieds. Tout en continuant à s’embrasser, Sylvain sorti le membre de Pierre pour le branler le plus doucement possible. Puis, il s’écarta légèrement, lâchant par la même occasion le sexe. Il retirera son boxer et libéra son sexe maintenant très dur, tendu, le gland gonflé et perlant une belle goutte de liquide pré‑séminal. Puis il repris le sexe en main pour recommencer les délicates caresses.Pierre se pencha de nouveau pour l’embrasser et attrapa le sexe tendu pour le branler délicatement. Il utilisa son pouce pour étaler la goutte sur tout le gland. Ensuite, il se dégagea et recula sur la banquette pour se pencher davantage vers l’entre cuisses. Sylvain s’allongea sur la banquette en repliant ses jambes. Il posa un pied sur le dossier de la banquette arrière et un pied au niveau de l’appuie tête des siège avant. Il s’offrait complètement au caresses et à la bouche de Pierre. Tandis que Pierre pelotait copieusement ces belles grosses testicules de toute la paume de sa main, il branlait tout doucement la bite, gonflée, dure comme de la pierre. Il approcha le gland turgescent de sa bouche, quelques gouttes s’en échappaient. Il les goutta par petites touches avec sa langue. Il provoqua chez Sylvain un petit soupir : - « Hmmm ! c’est trop bon ! » Pierre engouffra la bite dans sa bouche grande ouverte et malgré ça, il en avala seulement une partie. Sa langue s’extirpa de sa bouche pour venir titiller les couilles. La réaction du corps l’engagea à continuer. Puis il reprit la queue dans une main et de l’autre lui caressa doucement le gland du bout des doigts, après les avoir bien trempés avec de la salive. Les doigts glissaient sur ce mélange de salive et de liquide pré-séminal. - « hmmm ! … tu me fais beaucoup de bien. Hmmm ! » bafouilla Sylvain entre deux petits gémissements. — « C’est toi qui m’excite. C’est un régal de sentir ta queue dans ma bouche. Je veux que tu gicles dans ma bouche. » — « Continue comme ça et tu va avoir ta friandise. Rapproche toi que je te branle. Je veux bien que tu me caresses l’anus, voire y introduire un doigt pour stimuler ma prostate... ». Pierre se releva, déplaça son bassin vers la tête de Sylvain pour qu’il puisse lui attraper son sexe. Il se penche à nouveau entre les cuisses, mais dans l’autre sens cette fois, comme pour un 69. Il humecte ses doigts et commença à caresser l’anus d’une main. De l’autre, il attrapa le sexe, l’engouffra dans sa bouche et se mit à le pomper en accélérant la cadence au fur et à mesure. Il n’était plus question maintenant de délicatesse. Il enfonça le sexe le plus profondément possible dans sa bouche et dans le même temps fraya un passage à son doigt dans l’anus. Sylvain avait l’impression d’être une jeune fille qui pour sa première fois se faisait doigter à l’arrière d’une voiture. La tête sur l’accoudoir de la portière, les jambes écartées, il s’offrait pour son plus grand plaisir. Il branlait maintenant cette bite à portée de main sans délicatesse, comme pour donner le signal de ce qu’il voulait subir. Il sentait cette bouche qui coulissait sur son sexe. Il donna des coups de reins pour encore accélérer la cadence. Il sentait ce doigt qui maintenant, sans délicatesse le fourrageait. Il était au bord de l’implosion. Pierre pompait autant qu’il pouvait. Entre la salive et le liquide de lubrification, le sexe coulissait parfaitement. Dans l’autre main, son doigts faisait des aller-retour dans l’anus maintenant bien lubrifié et s’enfonçait tout en entier. Il enfonça le sexe jusqu’à l’étouffement, ses lèvres touchaient le pubis. Il faisait gémir de plus en plus fort son partenaire mais ce dernier ne jouissait toujours pas. Sylvain branlait frénétiquement le sexe de Pierre comme si cela allait lui-même le faire jouir. Plus il excitait ce membre, plus il sentait en retour que Pierre pilonnait son cul et sa bite. Pierre alterna ensuite de gober juste le gland avec ses lèvres, faisant des mouvement de langue et avaler le sexe en entier. Il martyrisait maintenant le cul avec deux doigts. Il suçait, il branlait, il pénétrait, Sylvain souffla, gémit : « Oh oui ! Je vais jouir ! » Il ne résista pas longtemps et lâcha un cri puissant accompagné de spasmes et se vida dans la bouche. Un flot épais, visqueux et continue se déversa comme s’il voulait remplir cette bouche ravie de l’accueillir. Pierre avala tout et enfonça le sexe dans sa bouche pour ne rien en perdre. Il gémit à son tour. Dés les première giclées cela déclencha chez lui une réaction en chaîne, il gicla à son tour appuyant son bassin contre Sylvain qui maintenait toujours fermement son sexe. De sa langue il lèche le sexe de Sylvain, pour avoir la dernière goutte
