Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 160 J'aime
  • 3 Commentaires

L'heure de la revanche

Chapitre 5

Erotique
ENTRETIEN PERVERS


Les jours qui suivirent la douloureuse soirée de madame Constant chez Jean-Jacques furent aussi difficiles. Catherine était en permanence la proie des désirs de son subordonné. Souvent il s’invitait dans son bureau à moment de la journée, sortait son énorme queue et exigeait de se faire sucer. D’autre fois, il la prenait rapidement sur le rebord de son bureau ou par derrière contre une cloison. Elle était humiliée de se soumettre au bon vouloir de Jean-Jacques qui la traitait comme la dernière des salopes, elle craignait aussi que quelqu’un les surprenne et accentue encore sa honte. Pourtant, elle essayait de résister presque à chaque fois, mais finissait par céder tant la peur de perdre sa position dans l’entreprise et de risquer la prison l’emportaient.
Afin de faire bonne figure, Catherine s’efforçait de ne rien changer de son attitude vis-à-vis de ses autres collègues. Chaque matin, elle saluait les membres de son équipe en faisant le tour des bureaux sous le regard moqueur de son tourmenteur.
Aussi fut-elle surprise de trouver plusieurs jours de suite à son arrivée au bureau, la chaise de Jean-Jacques vide. Elle prit alors contact avec le service des ressources humaines qui lui apprit que Jean-Jacques avait soudainement quitté l’entreprise sans lui donner plus d’explications. Quelques jours, plus tard Françoise la comptable qui lui avait administré une odieuse fessée déculottée dans son propre bureau quittait elle aussi brutalement l’entreprise.
Catherine n’en crut pas ses oreilles, était-elle délivrée de son chantage ? Pendant plusieurs semaines, elle se refusa à y croire de peur d’être déçue. Elle guettait sa réapparition ou un coup de téléphone qui la replongerait sous sa coupe.
Cependant, les semaines puis les mois passèrent sans aucune nouvelle de son bourreau. Petit à petit, elle finit par se détacher de cette période qui lui semblait maintenant avoir été un mauvais rêve. Bientôt, Madame Constant reprit confiance en elle, elle prenait de nouveau plaisir à porter de beaux vêtements qui mettaient en valeur son corps de femme plantureuse. Elle reprit aussi ses habitudes de petit dictateur menant toute son équipe à la baguette et n’hésitant pas à les rabrouer à la moindre erreur.
Elle retrouvait son arrogance et obtenait d’excellents résultats qui positionnaient son service parmi les plus performants.
Le temps avait passé et les fêtes approchaient, Catherine avait maintenant totalement rangé aux oubliettes sa mésaventure avec Jean-Jacques. Comme d’habitude, elle arrivait à son bureau autour de neuf heures et après avoir salué son équipe déjà installée à son poste de travail, tout retard faisant l’objet de sévères remontrances, elle se préparait un café serré et regagnait son bureau.
Confortablement installée, elle ouvrait sa boîte mail et consultait les derniers courriers reçus.
Au milieu de la masse habituelle des dossiers en cours et des réunions à organiser, elle repéra un email adressé par Luc Dechartier, le conseiller personnel du président du groupe. Elle le consulta en priorité, curieuse de connaître le contenu de ce courrier. En effet, Luc avait la réputation d’être très influent auprès du dirigeant et principal actionnaire du groupe, approcher un tel personnage ne manquerait pas de donner un nouvel élan à sa carrière. A la lecture de l’email, son enthousiasme était encore renforcé, Luc lui proposait en effet de la rencontrer demain à son cabinet afin d’échanger librement sur son avenir au sein du groupe.

Toute la journée, madame Constant était portée par cette perspective, elle prépara un dossier sur ses plus belles réalisations et ses arguments afin de présenter son travail sous son meilleur jour. Le soir, elle s’endormit en rêvant de promotions fabuleuses.

Le lendemain matin, son émoi n’était pas retombé, elle se leva, décidée à faire la meilleure impression possible et commença par choisir sa tenue avec soin. Après plusieurs essayages, elle enfila une paire de bas et opta pour un tailleur jupe bleu et ses escarpins avec les plus hauts talons. Elle se maquilla soigneusement et se para de ses plus beaux bijoux.
Très satisfaite de son apparence, elle restait un moment à s’admirer dans son miroir. Elle était convaincue que son côté chic et légèrement sexy allait contribuer à séduire son interlocuteur.
Lorsqu’elle se présenta à l’accueil du cabinet Dechartier au troisième étage d’un bel immeuble parisien par un après-midi ensoleillé, elle ressentit un mélange de stress et d’excitation qui l’électrisa un peu.
La secrétaire de la réception était au téléphone et sa conversation s’éternisait. C’était une petite femme mince d’une quarantaine d’années au physique insignifiant. Avec ses cheveux noirs un peu filasse, ses lunettes et ses fines lèvres, son visage n’était pas très avenant.
Madame Constant, impatiente l’apostropha d’un ton très sec :
— Madame, je suis Catherine Constant, pourriez rapidement m’annoncer auprès de monsieur Dechartier ? Nous avons un rendez-vous très important, j’ai l’impression que vous ne faites pas bien votre travail !!
Un peu surprise, la secrétaire raccrocha en lui lançant un regard noir :
— Vous permettez ! Je ne peux tout de même pas éconduire mon interlocuteur !
Reprenant son combiné, elle joignit Luc Dechartier :
— Votre rendez-vous est arrivé... oui, Madame Constant... très bien, je la fais entrer.— Voilà, la prochaine fois, gérez mieux vos priorités, insista Catherine !

Elle pénétra enfin dans le grand bureau de monsieur Dechartier, les baies vitrées du sixième étage offraient une vue magnifique sur Paris. L’ensemble était élégamment meublé. Un grand bureau vitré, des fauteuils confortables, un magnifique canapé et une table basse occupaient la pièce. Catherine se sentait importante dans ce magnifique décor. Tout sourire, Luc s’avança vers elle et lui tendit la main ; c’était un bel homme d’une quarantaine d’années, grand et svelte. Son visage régulier lui donnait beaucoup de charme.
— Bonjour madame Contant ! enchanté de faire votre connaissance.— Bonjour monsieur Dechartier, moi de même.— Mais ne restez pas debout ! Nous avons beaucoup à nous dire.
Catherine s’installa sur un fauteuil face au bureau de Luc, ce dernier retourna prendre place derrière son bureau.
— Chère Catherine, savez-vous que j’ai beaucoup entendu parler de vous ! Je peux vous appeler Catherine ?— Avec plaisir ! Je ne pensais pas que mes modestes réalisations étaient parvenues jusqu’à vous, j’ai d’ailleurs apporté avec moi un dossier expliquant mes dernières missions.
Elle tendit le document à Luc qui le feuilleta négligemment.
— Impressionnant ! Cependant il manque certaines choses...— Bien sûr, je vous ferai parvenir des compléments.— Oui, et j’espère que vous n’oublierez pas le récit de vos aventures avec Jean-Jacques Tiver.— Pardon ?— Jean-Jacques Tiver, un des anciens employés de votre service...— Ah oui, il me semble me souvenir de lui, balbutia Catherine.— Lui s’en souvenait parfaitement... il nous a décrit vos relations avec beaucoup de détails.
Madame Constant resta interloquée, ne sachant que répondre.
— Je vois que la mémoire commence à vous revenir... mais ne vous inquiétez pas, monsieur Tiver ne vous harcèlera plus, nous avons solutionné ce problème.— Merci beaucoup, je peux tout vous expliquer.— Vous savez les choses sont claires pour nous, vos indélicatesses vos petites malversations. J’avoue que cela a attristé notre président. Vous ne connaissez pas monsieur Laporte, mais c’est un homme sensible qui déteste la trahison...
Catherine essayait de trouver des arguments pour se justifier, tout se bousculait dans sa tête, ses détournements, les punitions imposées par Jean-Jacques.
— Cependant, vous avez de la chance, monsieur Laporte est un homme âgé, il a de l’expérience et il sait donner une seconde chance à des profils qui le méritent, reprit Luc en souriant.— Oui, je vous assure qu’à l’avenir, je serai irréprochable et qu’il pourra compter sur moi pour travailler dur !— Nous verrons, voyez-vous monsieur Laporte m’a chargé de tester vos capacités afin de savoir si vous êtes digne de rester parmi nous. Il veut des employés dévoués corps et âme...— Bien sûr ! Il ne sera pas déçu.— Parfait, commençons donc tout de suite si vous le voulez bien. Auriez-vous l’amabilité de vous déshabiller ?— Pardon ?— Oui complètement, comme je vous le disais monsieur Laporte a été séduit par vos qualités... Et il m’a demandé de les vérifier, c’est un homme puissant, je suis sûr que vous ne voudriez pas le décevoir...
De nouveau, Catherine comprit qu’elle était piégée si elle refusait de se soumettre, son avenir risquait de se limiter à un licenciement et peut-être de la prison. Lentement, elle se leva et en baissant le regard, elle retira sa veste et déboutonna lentement son chemisier avant de l’ôter. Puis, défit la fermeture éclair de sa jupe et la laissa glisser. Elle s’arrêta un instant et releva la tête en direction de Luc qui d’un regard lui fit signe de continuer. Madame Contant dégrafa son soutien-gorge offrant ses gros seins lourds aux tétons sombres puis elle descendit sa petite culotte laissant apparaître une toison fine et sombre.
— Parfait, reprit Luc, vous pouvez garder vos bas, escarpins et bijoux c’est plus élégant, ne trouvez-vous pas ?
Catherine rougit de honte, ses hauts talons et ses bas sur son corps nu accentuaient encore l’impudeur de la situation et elle tentait maladroitement de cacher ses parties intimes.
— Redressez-vous ! Il faut vous montrer à votre avantage si vous voulez que le rapport soit favorable, reprit Luc en souriant.
Il s’approcha et palpa à pleine main les gros seins, puis il agaça les tétons du bout des doigts. Il prenait son temps, jouait avec les colliers de sa proie, cherchant à faire monter le plaisir chez madame Constant. Catherine n’osait se soustraire à ses caresses, elle restait immobile, les bras ballants. Malgré elle, elle se sentait déjà excitée, sa chatte commençait doucement à mouiller. Les tétons de Catherine pointaient maintenant franchement, Luc avait l’air satisfait et prit du recul pour admirer son œuvre. Il saisit alors son téléphone et commença à photographier le buste de Catherine.
— Mais que faites-vous !! réagit Catherine en cachant sa poitrine avec ses mains.— Madame Constant, je vous l’ai dit, je constitue un book pour monsieur Laporte, il veut juger sur pièces avant de vous rencontrer, s’il estime que vous en valez la peine...
De nouveau vaincue, Catherine libéra ses gros seins et laissa Luc poursuivre son shooting.
— Ecartez donc les jambes, très bien, reprit Luc, nous allons pouvoir poursuivre
Catherine obéit et desserra ses cuisses.
Luc tournait autour de Catherine, photographiant ses belles fesses larges et rebondies, il s’attardait sur sa chatte, réalisant plusieurs gros plans de la fine toison. Puis il s’approcha et glissa sa main entre les cuisses de Madame Constant, il posa ses doigts sur les grosses lèvres de son sexe et les écarta. Elle ne résistait pas et bientôt Luc introduisit un doigt puis deux dans la fente baveuse. Malgré la honte d’être nue et fouillée par un homme qu’elle rencontrait pour la première fois, Catherine sentait l’excitation monter. Elle était venue en espérant une promotion et elle se retrouvait à poil avec deux doigts au fond de sa chatte ! Elle mouillait tellement que Luc s’amusait à faire des clapotis dans son vagin.
Enfin, il retira ses doigts poisseux et les passa sous le nez et sur les lèvres de Catherine qui fermait les yeux.
— Vous avez vraiment l’âme d’une salope ! Je vous oblige à vous mettre nue devant moi et vous mouiller comme une chienne en chaleur dès que je vous touche la chatte ! Je commence à croire que toutes les vantardises de Jean-Jacques étaient exactes ! Bien, allez-vous asseoir sur le canapé s’il vous plaît et écartez bien vos cuisses.
Mortifiée d’être traitée comme une pute, Catherine obéit, elle était tellement excitée qu’elle souhaitait presque qu’il la prit sauvagement tout de suite. Toujours armé de son téléphone, il photographia en gros plan la chatte de sa victime. Il tourna alors l’écran vers Catherine afin de lui montrer ses œuvres. Elle était horrifiée de l’indécence des clichés, ses grosses lèvres charnues et brunes, ses petites lèvres fines et le fond de son vagin luisant de mouille étaient totalement offerts.
— Voilà, maintenant nous allons enregistrer un petit message pour monsieur Laporte ! Soyez convaincante, vous avez vraiment intérêt à lui plaire...
Prenant un peu de distance, il passa en mode vidéo. Catherine restait silencieuse, elle sentait les larmes lui monter aux yeux. Luc s’impatienta.
— Je crois que votre éducation reste encore à faire, faites de votre mieux, redressez-vous et gardez vos cuisses bien ouvertes, à ce stade, vos seins et votre chatte sont vos meilleurs atouts !
Prenant la position, Catherine bafouilla :
— Bonjour monsieur Laporte, je m’appelle Catherine Constant, je sais que ma conduite a été inqualifiable, mais je suis disposée à vous servir et vous satisfaire...— C’est un peu léger, reprit Luc, mais je suis sûr que monsieur Laporte acceptera de vous rencontrer. Comme je vous l’ai dit, il fonde de grands espoirs en vous. Et il m’a d’ailleurs chargé de vous offrir un cadeau.
Luc se dirigea alors vers son bureau et actionna l’interphone.
— Virginie, pourriez-vous avoir l’amabilité de m’apporter le paquet que vous avez à la réception.
En entendant ces mots, Catherine paniqua, elle ne supportait pas l’humiliation de se trouver dans cette tenue devant la petite secrétaire qu’elle avait tancée à son arrivée. Elle se leva précipitamment et chercha ses vêtements dans la pièce. Malheureusement pour elle, elle n’eut pas le temps de faire deux pas que Virginie poussait déjà la porte du bureau. Elle portait un carton emballé et ne semblait pas étonnée de voir une femme dans cette tenue dans le bureau de son patron. D’ailleurs, elle ne se priva pas de fixer Catherine qui une nouvelle fois tâchait de cacher ses seins et son sexe.
— Allons Catherine, ne soyez pas timide ! Je voulais justement avoir l’avis de ma secrétaire sur votre potentiel, elle est souvent de bon conseil. Marchez un peu qu’elle puisse juger.
Catherine s’exécuta à nouveau, ses hauts talons et ses bas sur son corps nu la rendaient terriblement excitante. Luc lui demanda d’accentuer son déhanchement, elle obéit et fit plusieurs fois le tour de la pièce. Lorsqu’elle arriva près de Virginie, cette dernière lui dit en souriant :
— C’est pour te promener à poil et nous montrer ton gros cul que tu étais si pressée.
Catherine restait immobile sans répondre, tête basse.
— Virginie, reprit Luc, ce paquet est un cadeau pour Madame Constant, vous pouvez le lui remettre.
Virginie, un petit sourire sadique aux lèvres, s’avança vers Catherine pour lui remettre ce présent. Sur ordre de Luc, Catherine s’attela à défaire l’emballage sous le regard amusé de Virginie qui matait ses grosses fesses. Le carton contenait un plug anal argenté dont l’embout portait les initiales CC.
— C’est une délicate intention ! Il me semble que vous aimez les bijoux et je suis sûr que celui-là va vous plaire ! D’ailleurs vous devriez l’essayer ! Virginie va vous aider à l’enfiler.
— Non ! pleurnicha Catherine, pas ça ! C’est trop humiliant !
Mais, déjà Virginie s’était  saisie de l’objet et le manipulait d’un air vicieux.
— Bien monsieur, reprend Virginie avec plaisir ! Je peux procéder.— Faites donc ! Et vous Catherine soyez gentille de lui obéir, sinon...
Virginie saisit alors Catherine par le bras et l’entraîna vers le canapé.
— Mets-toi à quatre pattes les mains sur le dossier !
Doucement, Catherine obéit, Virginie approcha et écarta largement les fesses de sa victime.
— Elle a vraiment un cul de salope, ricana-t-elle en souriant à Luc.
L’anus mauve était maintenant bien visible au-dessus de la fente rose et toujours dégoulinante. La secrétaire introduisit le plug dans la chatte de Catherine et le tourna pour le recouvrir de sa mouille. Catherine les yeux exorbités se retenait de jouir.
Le plug était maintenant très humide, la secrétaire le présenta doucement en face de l’anus contracté. De son autre main, elle continuait à pincer le clitoris tout dur de sa victime. Par légère pression, elle enfonçait lentement l’objet dans le derrière de Catherine, en quelques minutes, l’anus commença à se décontracter. Sans s’en rendre compte, Catherine remuait ses fesses pour aller à la rencontre du plug. Lorsqu’il pénétra complément son cul, madame Constant poussa un petit cri. Satisfaite, Virginie caressa les fesses de Catherine jouant à les ouvrir et les fermer. Luc s’approcha et prit une dernière photo obscène de ce cul ouvert ou brillait l’embout du plug.
Satisfait, il s’adressa à sa secrétaire.
— Très bien Virginie, vous pouvez disposer.
Elle sortit du bureau en souriant : à votre service monsieur !!
Sur ordre de Luc, Catherine se releva et se tint debout devant le bureau, elle sentait le gros plug bien installé dans ses belles fesses.
— Très bien madame Constant, reprit Luc. — Vous pouvez vous rhabiller, mais laissez-moi votre culotte, je la remettrai avec les clichés à monsieur Laporte. Je vous recontacterai bientôt, en espérant que votre prestation séduira notre bon PDG !
Une fois revêtue, Catherine sortit du bureau, elle portait encore le plug qui l’élargissait et lui donnait une démarche curieuse. Elle croisa une dernière fois la secrétaire qui tout sourire lui souhaita une bonne fin de journée. Catherine ne répondit part et sortit rapidement la tête basse.
Diffuse en direct !
Regarder son live