Ce récit n’aura pas de deuxième chapitre, c’est une erreur de ma part qu’il est impossible de corriger. D’avance pardon. Je me suis toujours demandé pourquoi ma mère (Valérie 57 ans) n’a jamais essayé de refaire sa vie, à l’âge qu’elle a, on a encore une libido normalement. Je sais qu’elle se masturbe, car je l’ai surprise une fois sans qu’elle s’en aperçoive. Je lui ai souvent demandé sur le ton de la plaisanterie si les hommes ne lui manquaient pas, et la réponse a toujours été la même : je n’ai eu qu’un homme dans ma vie, et c’était ton père. J’étais assez dubitatif, elle aimait mon père certes, même si leur divorce était consommé, mais elle restait une femme désirable avant tout, et une femme a des besoins sexuels naturels comme tout le monde à vrai dire. Un soir, ma mère nous sert un apéro, et c’est à ce moment-là que tout bascule, elle s’approche de moi et me dépose un tendre baiser sur le bout des lèvres auquel je réponds tout naturellement. Je regarde ma mère avec la plus grande des tendresses puis l’enlace passionnément et introduis ma langue dans sa bouche. Le plaisir est immense pour tous les deux, là, elle me prend la main pour aller dans sa chambre, tout le long de ce grand couloir, j’ai le cœur qui palpite comme pas possible. Une fois dans la chambre, elle se déshabille et me demande de faire pareil. C’est la première fois que je vois ma mère nue, et en fait elle est vraiment très bien foutue. Quelle belle vision s’offre à moi, nos deux corps entièrement dénudés l’un à côté de l’autre sur le lit sans rien dire dans un silence glacial, mais à l’atmosphère assez brûlante. Elle prend les devants et me couvre de bisous, puis descend le long de mon torse pour me lécher, je gémis déjà, puis stoppe en relevant sa tête, elle me fait comprendre avec son regard qu’elle en veut beaucoup plus. Maman se délecte alors de mon sexe avec délicatesse, je suis vraiment ailleurs, mais j’aime ça, il faut avouer qu’elle sait y faire. Juste un petit non attend de ma part, et elle comprend que déjà ma jouissance se fait sentir. Ni une ni deux, elle se positionne sur moi, s’empale sur ma verge toute dure et bien chaude pour effectuer des va-et-vient tantôt lents, tantôt rapides, ses seins ballotes dans tous les sens, et quelle vue magnifique là encore. L’excitation aidant, la rupture n’est pas loin et je la sens gémir de plus en plus souvent et de plus en plus fort. Elle accélère la cadence à un point qu’elle se met à hurler littéralement, moi toujours au bord de l’explosion finale. Puis dans un dernier cri de sa part, je me répands sans préservatif pour la première fois de ma vie totalement en elle. Nous restons ainsi l’un sur l’autre, et moi toujours dans maman un long instant. Ses yeux pétillants de bonheur, et moi heureux d’avoir rempli d’amour la femme qui m’a mis au monde il y a maintenant 36 ans.
