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De hier à finalisation

Chapitre 3

Zoophilie
Colette. Qui aurait dit, qu’à son insu je l’aurai associée aux fortes jouissances que me procurait JUIN. Ses allégations sur le sexe y étaient pour beaucoup, mais rien ne prouvait qu’elle était aussi libertine et libérée qu’elle semblait le dire. N’empêche que de faire allusion à elle aux moments forts de mes plaisirs me poussait de plus en plus à vouloir la tester, mais encore fallait-il trouver le moyen ou le scénario qui l’emmènerait à peut-être vouloir être participative de ma sexualité humaine. Pas facile, d’autant que depuis plus de deux années maintenant qu’elle s’occupait de faire mon ménage, je ne l’avais vue autrement qu’en femme modèle et stricte, et à vrai dire, elle n’était pas vraiment mon type. Mais et il y avait un "mais" d’importance, elle avait su m’exciter à me faire débordant de cyprine. Donc depuis, je décidais de multiplier des démarches que je voulais gagnantes. Je me faisais impatient d’attendre chaque mercredi, trouvait le temps long pour chacune de ses venues.
Je profitais de ses heures de présence pour la taquiner encore et toujours et elle se montrait réceptive de plus en plus aux insinuations les plus salaces que je pouvais émettre ? Profitant d’une matinée d’été, alors qu’elle repasse mes vêtements installés dans la buanderie, je lui dis de se mettre à l’aise si elle a chaud. Comme à son habitude dans sa façon d’agir en toute franchise et liberté d’expression, spontanément, tout en me regardant droit dans les yeux, elle enlève d’un coup le polo qu’elle porte, dévoilant sa poitrine opulente que nul soutien-gorge ne retient. Et me voilà encore épaté, stupéfait de tant de volonté première. Ses seins ont encore de la tenue et présentent des aréoles foncées qui démarquent bien ses tétons érigés de la blancheur de ses gros seins. Me snobe-t-elle à reprendre son repassage comme si de rien n’était ? Je ne peux l’autoriser à penser cela et me voilà proche d’elle, dans son dos.
Mes doigts frôlent son épaule, courent sur son avant-bras, suivent la ceinture de sa jupe et remonte jusqu’à sa nuque en suivant sa colonne vertébrale. Elle ne me fuit pas, réceptive. Elle a posé le fer à repasser sur son support, ce qui confirme bien qu’elle est consciente que je la caresse, que je la touche. Je me colle à elle, torse contre son dos, saisissant ses seins à pleines mains. Elle gémit, ses tétons sont érigés et durs, ils bandent de mon toucher. Ses larges aréoles se bordent de petits picots d’excitation et son souffle s’est fait haletant. Je me colle encore plus à ses fesses, lui faisant sentir la dureté de ma colonne de chair, et là, d’elle-même elle relève sa jupe sur ses reins, me révélant qu’elle ne porte pas de culotte non plus, et avec un commandement plus qu’une invitation qui résonne encore à mes oreilles me dit : "Prends-moi".
On ne peut pas faire mieux en matière de volonté, mais avant que de lui donner satisfaction, je prends le temps de bien mater ses belles fesses rebondies, les écarte pour apprécier la profondeur de son sillon fessier. Penchée en avant, les seins écrasés sur la table de repassage, elle creuse ses reins pour en accentuer encore plus la cambrure. Je frotte mon gland dans son sillon qui me montre qu’elle mouille incroyablement. Sa fente vaginale semble m’aspirer et je la pénètre sans résistance ; sa chatte est profonde, incroyablement trempée que je n’ai même pas la sensation d’en toucher les bords. Colette gémit quand je commence à la besogner. Je la tiens aux hanches pour bien aller loin au fond de son vagin à chaque coup de reins que je fais de plus en plus violent. Sans aucune préparation préliminaire, elle se montre disponible. L’instant est quasi sauvage dans la manière de faire pour cette première fois. Colette se montre participative physiquement et oralement, incitative.
Et d’un coup, la voilà partie dans une longue plainte alors qu’elle atteint l’orgasme. J’ai l’impression qu’elle pisse tellement son vagin me délivre une quantité énorme de fluide et je ne lui résiste pas plus quand dans un coup de reins qui me fait me planter loin contre son utérus, je crie aussi. Les yeux fermés, j’imagine nos foutres qui se mélangent. On n’échange pas un mot et c’est elle qui décide de mettre un terme à notre baise en me repoussant légèrement tout en rabattant sa jupe. Puis comme de rien, elle enfile son polo et reprend son repassage. Drôle de bonne femme non ? Combien auraient été faire une toilette comme si elles auraient été souillées ? Voilà encore quelque chose qui m’a plu. Je lui propose une boisson rafraîchissante qu’elle accepte et nous nous retrouvons au salon pour nous désaltérer. Il n’y a pas besoin qu’on se la raconte, mais elle me dit un "merci" qui en dit long sur sa satisfaction. Merci que je lui renvoie comme preuve aussi qu’elle a été à la hauteur.
Nous devisons de tout et de rien et finissons par aborder quand même cette première fois. En confidences sincères, elle m’avoue que, plus d’une fois elle avait imaginé que je devenais son amant, mais dit-elle sans autres exigences ou espoir que je ne le sois que selon mon bon vouloir. Je la trouve spontanée et vraie dans ses propos et elle se montre d’une exceptionnelle assurance que j’en fais autant. Je te baiserai bien encore lui dis-je car je veux te connaître mieux et elle, elle sourit tout en me répliquant:" Encore maintenant là ?". Eh oui encore maintenant, mais débarrassés de tous nos vêtements et aptes à s’adonner à des caresses buccales. Je veux te bouffer la chatte et je veux que tu me suces. Elle rit et me répond : "D’accord, mais pas devant ton chien quand même".
A mon tour de rire franchement et de lui dire que JUIN a toujours été là au moment de notre baise et que de toute façon, il ne bougerait pas, à moins que je l’y invite. "Ah oui" dit-elle, "ainsi il t’obéit et ne fais que ce que tu lui ordonnes". Mieux qu’un enfant lui dis-je et en plus doué aussi. Il ne tient qu’à toi qu’il te le prouve, pour ma part, je puis te dire que je sais son intelligence et ses énormes capacités. Portant son regard vers JUIN, attentif à nos propos, Colette toujours rieuse l’interpelle en un "c’est vrai ça le chien ?). JUIN consent en un jappement qui veut sans doute dire oui.
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