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De hier à finalisation

Chapitre 4

Zoophilie
Et Colette s’est montrée plus que disponible même en présence de JUIN. Je lui ai ôté ses vêtements, l’ai fait s’installer dans un fauteuil et lui ai demandé de placer ses jambes sur chacun des accoudoirs, fesses au bord du coussin. Je me suis alors jeté à genoux dans le "V" de ses cuisses largement écartées et j’ai commencé à lui bouffer le minou encore dégoulinant de nos foutres mélangés. Colette a un beau tablier de sapeur de poils noirs et soyeux, bien entretenus, qui recouvre tout son pubis. Mes coups de langue dans sa fente les ont repoussés de chaque côté de ses grandes lèvres, comme si j’avais creusé un sillon pour marquer encore plus sa fente. Sa chatte a un goût de noisette et je découvre qu’elle a un clitoris assez proéminent, résultat, me dit-elle, de longues séances de masturbation solitaire, mais aussi du fait qu’elle utilise souvent une pompe à vide pour l’aspirer et le faire gonfler avant de se masturber.
Il est formidablement bon à suçoter son berlingot, et hyper-sensible avec ça. Elle se montre, là encore, participative en écartant ses grandes lèvres de ses mains et en se pénétrant de plusieurs doigts de temps à autre, comme pour faire couler sa chatte un peu plus. Elle a ça de formidable de rendre chaque instant intime beaucoup plus bandant en s’exprimant sans gêne et croyez bien que j’ai peine à ne pas accéder à ses désirs quand elle déclame :
— Fourre-moi bien ta langue, avale ma liqueur, bouffe-moi la chatte, tu m’affoles, et comme ça, toutes les belles invitations qui peuvent lui passer par la tête et elle n’en est pas avare.
Elle semble apprécier le cunnilingus et le clame lorsqu’elle soulève ses hanches au moment où je la fais jouir. Elle m’agrippe la tête à deux mains et me plaque le nez dans sa touffe généreuse. Elle est ce que l’on peut qualifier de femme fontaine et le cuir du fauteuil peut l’attester, lui qui reçoit ses franches coulées.

Je bande à mort quand je lui dis de se mettre en levrette et sans rechigner, elle se met en position sur le fauteuil. Elle a de véritables belles fesses que je caresse avec envie et émotion. En écartant ses lobes, je vois son anus qui lui aussi semble avoir connu plus d’un gode ou d’équivalent sexe, tant il me paraît bien marqué par autant d’auto-pénétrations subies. Alors j’y vais sans autres formes de bienséances que mon envie de l’enculer à sec. Je n’ai pas à beaucoup forcer pour me glisser dans son œillet et son ampoule rectale est aussi trempée que sa chatte l’a été. Je me plante loin dans son cul, en savoure la moiteur et la profondeur un moment puis je m’active en longs coups de reins qui lui arrachent des plaintes de plaisir. Colette se pâme et se lâche. Ses propos sont délires de mots excitants, incitatifs, invitant à ce que je la défonce.
Je m’y emploie avec application jusqu’au dernier coup de reins qui amène à ma délivrance et là, elle sent ma queue qui se congestionne en elle, qui gonfle à la dilater un peu plus et elle me commente ses sensations.
— Tu vas gicler mon salaud, alors remplis-moi les boyaux, tellement longtemps que j’ai besoin d’une vraie bite et de sentir du foutre se stocker dans mon cul.
Moi, vaincu plus qu’obéissant, je lui donne ce qu’elle demande et elle sait y faire en contractant les muscles de son conduit anal pour me vider totalement. Je reste planté en elle, appréciant qu’elle me reçoive jusqu’à la dernière goutte, continuant à la fourrer doucement pour entretenir mon érection. Colette n’est pas du genre à abandonner sa position et reste disponible, me laissant faire.
Tout en lui caressant les fesses, il me plaît de voir ma queue plantée en elle et les contractions musculaires de son orifice anal encore frémissant de l’assaut subi.
— Tu m’en as mis plein, je le sens, c’est trop bon d’imaginer ton foutre qui me tapisse tout mon intérieur et qui se mélange au mien. — Ah oui, dis-je, mais le meilleur des hommes ne peut donner que ce qu’il a et je ne peux faire mieux contrairement à d’autres amants particuliers.— Tu en connais qui coulent plus en abondance ?— Ben oui, et il n’y a pas à aller chercher bien loin.

A ce moment-là, comme JUIN, dressé comme il se doit, et répondant toujours au geste d’invite que je fais pour le commander lorsque je veux qu’il soit mon amant, je me tape sur la fesse et voilà mon chien, obéissant qui se lève et vient me renifler les fesses. Il sent aussi les miasmes de la jouissance vaginale et anale que vient de connaître Colette et bien entendu, comme je le souhaitais, il lèche la chatte de Colette. Elle a ressenti la belle langue lécheuse et surprise tente de se dégager de mon étreinte. D’une main en appui sur son dos, je la fais rester dans sa position de chienne et la rassure :
— N’aie crainte, c’est JUIN, il va te donner du plaisir, n’en sois pas dégoûtée et il te fera connaître les plus belles sensations que tu n’as jamais connues.
Pendant ce temps, plus que mes paroles censées la rassurer, ce sont les coups de langue du chien qui semblent la convaincre et je la vois s’alanguir et se détendre tout en marmonnant "c’est pas vrai, c’est pas vrai".
Et pourtant, de plus en plus, les coups de langue appuyés de JUIN la transportent et voilà Colette qui s’évertue à écarter plus les jambes pour mieux les ressentir. Elle semble délirer en un murmure de satisfaction continuel, alors, je me retire de son cul, offrant ainsi son trou dilaté à la langue experte de JUIN. Colette gigote des fesses et les tend vers le museau expert qui l’explore. Debout à côté d’elle, je lui écarte les fesses, facilitant le passage plus insistant de la langue nettoyeuse. Tout d’un coup, Colette s’affaisse sur ses appuis et jouit en criant l’immensité de son plaisir. JUIN insiste encore un peu pour la lécher, mais elle a resserré ses jambes, vaincue par la puissance de sa jouissance et sans doute trop réceptive à la sensibilité de son clitoris et de son cul finement et excellemment léché. Je commande à mon chien de s’éloigner, ce qu’il fait en bon obéissant.
Sa pine est juste un peu sortie de son fourreau, bout effilé tout rouge qui laisse gicler un peu de foutre.
Il ne réclame rien de plus que le plaisir qu’il vient de donner et même de prendre contrairement à l’humain qui lui s’offusquerait de ne pouvoir en faire plus. JUIN, se couche à sa place et tranquille se lèche le sexe.
Je prodigue quelques caresses à Colette qui semble revenir sur terre.
— Tu dois me penser folle ou salope pour avoir accepté ce que tu m’as imposé, mais je ne le regrette pas.
Quel satisfecit pour moi que de l’entendre accorder à mon chien un savoir-faire qui lui a convenu. Alors, je lui rappelle que c’était en pensant au chien que je lui avais dit que le meilleur des hommes ne donne que ce qu’il peut en matière de quantité de jouissance et que JUIN était intarissable et hyper-abondant lorsqu’il éjaculait.
— Comment le sais-tu ? me répond Colette.
Sa question semble ne laisser aucun doute de sa part quant à l’usage que je fais de mon chien et donc elle semble deviner que j’ai une relation des plus intime avec lui. Pris de court, je ne sais quoi répondre ni trop quoi faire.
— Tu te fais prendre par ton chien ? Sinon comment tu peux savoir ça ?
Il ne semble pas y avoir de colère ou de dégoût dans son propos tant que je les considère comme assez motivants pour me confesser. Oui, lui dis-je, et je me laisse aller à lui raconter l’histoire de cette envie de coït avec un chien, installée en ma mémoire depuis ma prime jeunesse jusqu’à sa réalisation. Elle m’écoute attentive et compréhensive peut être conquise, elle aussi, depuis peu par le plaisir atteint grâce à JUIN. De fil en aiguille, nous nous comprenons, elle me comprend et dit ne pas avoir à me juger puisque agissant en adulte responsable. Je vois bien que notre discussion nous mène vers une excitation non feinte et nous recommençons nos attouchements. Elle se penche sur ma queue et l’embouche loin.
Sa succion est experte, et alors que je me livre un peu plus à elle, elle délaisse ma queue, porte deux doigts à sa bouche, les humidifie en me regardant droit dans les yeux, puis replonge sur ma queue dressée tout en m’enfonçant les doigts dans le cul.
— Ben dis donc, c’est facile, il doit être gros la pine de ton chien pour t’avoir élargi comme ça. — Oh que oui, surtout quand il me verrouille et que son knot me soude à lui. — Tu devrais essayer lui dis-je, tu as des dispositions toi aussi, il me semble. — Je ne sais pas, pas encore, pas cette fois en tout cas.
Bien excitée quand même, Colette s’active de plus belle sur ma queue en me fourrageant le cul que je me déverse dans sa bouche. Satisfaite, elle se lève et déclare qu’il est temps pour elle de rentrer chez elle tout en se rhabillant.
Je l’accompagne, toujours à poil, jusqu’à la porte, suivi de JUIN à qui elle délivre une caresse. En partant, avec un clin d’œil, elle me dit — Ne reste pas frustré et occupe-toi bien de ton chien. Tu me raconteras.
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