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De hier à finalisation

Chapitre 6

Zoophilie
Colette est très attentive à mon récit de copulation avec Juin, et me pose pas mal de questions.
En tout état de cause, elle semble intéressée de s’informer et toutes mes réponses sont faites pour la rassurer sans rien lui cacher des craintes que j’avais pu avoir lors de ma toute première fois. Il est certain que l’on se pose la question de savoir si on va avoir mal et s’il y a véritable danger à être verrouillé.
Si une certaine littérature traite bien du sujet, si à regarder des vidéos, on entend quelques cris de douleur, la finalité de l’acte démontre le plaisir pris et c’est bien là l’essentiel lorsqu’il s’agit du rapport femme/chien.
En tant qu’homme, n’ayant pas eu loisir de lire sur le rapport homme/chien où l’homme serait le partenaire passif, il m’a fallu passer à l’acte sans trop de questionnement. Ne pas douter d’assumer l’envie et les conséquences probables sont les meilleures décisions.
Ainsi, sans tricher, je raconte à Colette que la première fois, sans doute craintif et contracté, j’ai eu un peu mal surtout quand Juin percevant que le bout de son pénis était dans mon anus s’était mis à me donner de violents coups de reins. J’avais eu l’impression que son sexe se faufilait en moi avec une progression fulgurante tout en prenant de l’épaisseur. La rigidité de son sexe, fort de son os pénien, procure une sorte d’irritation continuelle le temps du nouage. Une fois que l’on est verrouillé, tout s’estompe comme pour apprécier la présence de sa queue qui devient volumineuse et qui délivre à chaque contraction une quantité de foutre incroyable par saccade ressentie. Le seul danger étant en cas de retournement du chien, de se faire traîner et ainsi risquer une déchirure anale en cas de sortie forcée du nœud.
A l’usage et après pénétrations, la crainte disparaît, la pénétration tant souhaitée devient plus acceptée puisque les dilatations successives du forçage de l’anus font que les muscles s’adaptent comme en une mémoire de forme.
Le plaisir lui est toujours renouvelé et les sensations différentes chaque fois, en fonction de l’excitation du chien, de la quantité de sperme émis, mais aussi par la durée de l’accouplement et de notre désir de se faire monter.
Colette, en confidence, et apparemment conquise par mes explications franches, me confie alors qu’elle avait superbement joui du léchage attentionné que je lui avais fait subir en l’incitant à ne pas fuir la lange de Juin le mercredi précédent. Que depuis, elle s’était masturbée en y pensant et que, oui, sa jouissance avait été plus forte. Je n’en étais pas peu fier, car elle avouait ainsi que la pratique zoophile n’était pas pour la dégoûter. De plus, lui dis-je, tu as été léchée en levrette et sans que tu t’y attendes. Ce sera encore mieux face au chien, bien installée dans un fauteuil et ainsi le voir faire. Tu veux essayer maintenant ? Colette se montra plus hésitante qu’indécise et j’en profitais pour faire venir Juin, tout heureux de retrouver une connaissance. Je ne le retins pas quand il posa son museau sur la cuisse de Colette qui, elle non plus, n’eut de crainte à lui caresser la tête.
Il me paraissait évident que Colette mouillait déjà et parce qu’elle ne portait pas de slip, l’odorat de Juin avait senti que la femelle était prête. Il frétillait de la queue tout en me regardant, comme s’il attendait plus un ordre de moi qu’une invitation directe de Colette pour aller plus loin.
Mais même mon chien avait droit à des préliminaires. Je proposais à Colette de lui faire un shampoing et ainsi être au contact direct avec lui. Juin aimait le bain et c’est ainsi que nous sommes vite allés dans la salle de bain. Juin dans la baignoire, je laisse Colette faire le nécessaire et l’incite à bien lui laver sa jolie hampe et ses couilles et elle le fait sans hésitation. Pendant que je finis de le toiletter, je demande à Colette d’aller s’installer au salon et d’être prête quand je ramènerai le chien. Un instant plus tard, revenu au salon, Juin sur mes pas, je trouve Colette superbement salope, jambes posées de part et d’autre des accoudoirs du fauteuil, en train de se caresser le minou. Beau spectacle qui n’est pas pour déplaire au chien qui a le regard fixé sur cet entrejambe qui doit dégager des effluves subtils qu’il perçoit mieux que moi.
D’une pression derrière sa tête, j’invite Juin à aller rejoindre sa femelle ouverte et disponible comme une friandise irrésistible. Docile mon Juin, s’approche de Colette, la renifle avant de plonger sa longue langue dans la fente trempée. Il lèche avec application toute la raie profonde de Colette allant de son anus vers son clitoris. De temps à autre, en inclinant un peu sa tête, il insère sa langue dans son vagin comme pour en recueillir les belles coulées émises. Colette se détend de plus en plus et commence à émettre des sons qui ne cachent rien du plaisir ressenti.
Les yeux fermés, elle semble conquise et sans gêne, fait part de son excitation en ne se retenant plus de décrire les sensations qu’elle reçoit.
— Viens, me dit-elle. C’est avec une que raide et douloureuse à la main que je m’approche d’elle. Elle m’embouche avec force tellement je crois qu’elle veut m’avaler jusqu’aux couilles. Il y a une réelle reconnaissance dans ses yeux et je vis cela comme une invitation à me montrer un peu brutal en la besognant la bouche comme il se doit.
Juin semble insatiable et lèche sans discontinuer une chatte qui doit lui paraître exquise à couler autant. Colette se pince les tétons, se malaxe les seins dans une gestuelle de femme consentante. Alors, je prends ma queue à pleine main et commence à me masturber au même rythme de ses incantations de satisfaction. J’ai à peine le temps de lui dire "ouvre ta bouche" que la première giclée de foutre gicle sur son menton. Je lui en donne plein pendant que ses doigts ont trouvé son clitoris pour une masturbation accélérée, alors que mon bon Juin ne s’offusque pas que des doigts agiles font couler encore plus cette fente qu’il lèche avec application. Colette crie en même temps que moi. Elle est magnifique dans sa jouissance et encore plus quand elle soulève ses fesses pour que Juin lui lèche l’anus.
Quand elle retire ses jambes des accoudoirs, Juin comprend que son cunnilingus est terminé. Je lui désigne son tapis et il va se coucher. Colette s’installe alors à genoux dans le fauteuil, reins cambrés et me fait craquer en m’invitant d’un "encule-moi". Je la prends sans autre forme de procédé et c’est avec une queue délicieusement douloureuse d’une première coulée émise que je m’insinue dans ses fesses que Juin a tant excité.On arrive en même temps. Elle me procure des sensations superbes en contractant les muscles de son rectum et elle extrait de moi jusqu’à la dernière goutte de sperme disponible. Quand je me retire d’elle, son anus reste ouvert de la dimension de ma queue et mon foutre est là abondant.
Sans plus lui demander son accord, d’une claque sur ma cuisse je fais venir Juin qui sait ce que j’attends de lui. Quand il pose sa truffe sur l’anus de Colette, il sait pouvoir y trouver les liqueurs combinées de nos foutres mélangés. Alors il se régale.
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