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Hina

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
HinaHina est une jeune fille de dix-neuf ans d’origine japonaise, elle travaille à mi-temps pour payer ses études. Elle n’est pas particulièrement ravie d’exercer le métier de serveuse dans un fastfood de renom, mais ses parents veulent l’habituer à se débrouiller sans leur aide. L’oiseau a quitté le nid. Elle a un studio à Vannes avec une vue sur le port de la ville. Il est modeste en termes de superficie, mais il est confortable et se situe au troisième étage sans ascenseur. Ce qui est agréable pour son voisin qui a la vue sur elle quand elle monte les escaliers. Hina a pour habitude de porter des jupes courtes ou des leggings. Voir les fesses de sa petite voisine remuer à chaque marche est un ravissement pour les yeux concupiscent de son charmant voisin. Hina sent le regard de son admirateur fixé sur ses fesses, et bien sûr, elle accentue son déhanchement.
Hina s’amuse à laisser tomber ses clés, et se penchant pour les ramasser, propose le spectacle de son petit cul de jeune fille bien rond, faisant naître une érection dans le pantalon du sexagénaire. Combien de fois ne s’est-il pas masturbé en rentrant chez lui après avoir vu ces deux pommes bouger comme des flancs dans le tissu ajusté qui laisse deviner qu’elle porte un string ou rien sous son legging. Il sait que, lorsqu’elle porte une minijupe, elle a un string. Il suffit de quelques manipulations pour éjaculer dans son entrée. Hina aime bien s’exhiber, elle possède un beau petit corps, la faisant ressembler à un manga ado. Deux citrons pointus percent sous son top, ses petites fesses, son abricot moulé dans son legging donne envie à beaucoup d’hommes dont certains de ses collègues. Pourtant, Hina est encore vierge, elle n’a pas encore trouvé l’homme à qui elle dédiera sa petite fleur.
Bien sûr, elle se laisse souvent caresser par les garçons, appréciant de les laisser peloter ses charmes pendant de longs baisers langoureux. Quand elle sent qu’elle va craquer, elle interrompt l’exploration de son corps. Pour ne pas frustrer le peloteur, elle consent à le masturber, ou bien quand il est mignon, lui pratiquer une fellation de débutante. Elle adore voir jaillir la semence des hommes, sur sa main, ou dans sa bouche. Ce liquide épais, semblable à un volcan en éruption, laisse échapper de longues giclées qui s’amenuisent et finissent par se tarir dans un dernier souffle et gémissement de l’homme ainsi soulagé. Évidemment, en rentrant chez elle, son string humide vole dans la pièce, et allongée sur la moquette, elle se caresse énergiquement la minette pour jouir rapidement, créant une belle tache de cyprine sur la moquette. Ensuite, une deuxième fois en faisant durer le plaisir.
Elle ignore que son voisin a installé deux caméras chez elle lors de la réparation de son lave-linge. Elle lui avait confié ses clés. L’une est dans le studio, l’autre dans la salle de bain. Quand Hina jouit, elle est bruyante, par conséquent, Raymond, son voisin, entend tout et se jette sur son écran. Alors, il se masturbe en s’imaginant couché sur elle, son sexe enfoncé dans sa chatte, la chaleur de son vagin réchauffant sa queue. Raymond peine à ne pas jouir trop tôt devant cette adorable créature qui se caresse le clitoris. Un zoom sur sa petite chatte lui permet de voir qu’elle est luisante de plaisir, il imagine même le bruit des doigts s’enfilant dans cette grotte humide. La respiration de la jeune fille s’accélère, elle gémit fortement. Elle se cambre, offre encore plus sa vulve à l’objectif de la cam. Raymond voit la minette se mettre à pleurer des larmes de cyprine entre les doigts. De son côté, son œil de cyclope laisse jaillir de beaux jets de foutre blancs sur le sol.
Hina reste un long moment à terre, agitée de soubresauts, puis titubante, elle se relève, Raymond l’aperçoit en train de se lécher les doigts. Il passe sur la cam salle de bain et assiste à la toilette de la jeune fille qui en se nettoyant le minou, insiste de plus en plus et rentame une lente masturbation avec son gant de toilette. Raymond est admiratif devant le physique de la jeune fille, sa peau mate, ses petites fesses, ses adorables citrons ornés de bourgeons violacés, lui redonne de l’énergie. La jeune fille tremble de tout son corps, elle pousse de petits cris aigus et se met à faire des mouvements de bassin qui laissent deviner qu’elle vient de jouir. Raymond la désire ardemment à ce moment-là. Jamais il ne penserait que cette petite merveille du pays du soleil levant est vierge. Raymond assiste au bichonnage de la statuette japonaise matin et soir.
Le matin, il a la trique en la matant, il se vide abondamment, il prend soin d’utiliser un sopalin, car la moquette commence d’avoir de belles taches. Ainsi, il est au courant de ce qu’elle possède dans sa garde-robe. Hina semble ne pas connaître le port de soutien-gorge, sa poitrine ferme n’en a pas besoin, bien que cela ne laisse pas ignorer la nudité de ses seins au travers de son top. Aucun des étudiants, ni aucun de ses collègues de travail, ne s’en est plaint. Même quelques filles lui font les yeux doux, sûrement le désir de connaitre l’exotisme. Hina s’en amuse, le plaisir saphique, elle connait, animatrice en camp de vacances pour ses dix-huit ans, elle s’était acoquinée avec une directrice du double de son âge. Une plantureuse Franco-Allemande. Une paire de mamelles dignes du salon agricole, une croupe altière.
Avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, elle n’est pas la femme que les hommes oublient facilement, et cela inclue la jeune Hina qui adore le charisme de cette splendide femme franco-teutonne. Jusqu’à ce qu’un soir, Greta l’invite à partager une coupe de champagne pour célébrer son anniversaire. Hina, est abasourdie quand elle entre dans la chambre de Greta et la trouve en petite tenue. Portant un soutien-gorge à armature qui maintient fermement ses gros seins, ainsi qu’une petite culotte noire, elle semble déjà avoir consommé des boissons alcoolisées. À peine Hina referme la porte derrière elle que Greta la prend dans ses bras et colle ses lèvres aux siennes. Hina se sent minuscule dans les bras de la blonde, comme le roseau près du chêne. Malgré tout, elle prend un énorme plaisir de sentir Greta lui fouiller la bouche d’une langue agile. Hina, juste vêtue d’un short et d’un top, sent une main se glisser entre son ventre et le tissu.
Un petit mouvement de recul, vite réprimé par la force de Greta qui la maintient fortement du bras. Hina décide de se laisser aller. Son short se retrouve vite au sol avec son string, elle lève les bras pour que Greta fasse voler son top par-dessus la tête. Elle est nue contre le corps de sa supérieure. Hina, se refusant à passer pour une vierge effarouchée, défait l’attache du soutien-gorge de Greta, libérant deux énormes seins aux larges aréoles roses et à de gros tétons qui lui jaillissent au visage. Étant plus petite, Hina se retrouve nez à nez avec les deux masses de chair chaude et douce. La main de Greta se faufile du ventre à l’entrecuisse de la jeune fille, inconsciemment par reflex, celle-ci les écarte afin de faciliter l’accès à sa fente lisse comme une peau de pêche. Un doigt commence à frotter son clitoris le faisant bander. Greta sent rapidement ses doigts se recouvrir de cyprine par sa jeune conquête.
Elle enfonce un peu plus les doigts dans le vagin de Hina et la masturbe rapidement. Hina accrochée aux épaules de Greta pleure de bonheur en poussant de petits cris étouffés par la bouche de la dominante. La femme essuie les larmes salées de sa proie avec la langue en l’apaisant par des mots qui n’occultent pas la suite des débats.
— As-tu déjà fait manger ton minou par une femme ?
Hina fait non d’un signe de tête, tout en continuant de s’abandonner aux caresses de sa maîtresse. Greta abandonne le corps de la jeune fille pour ôter sa petite culotte, puis elle reprend la masturbation de sa soumise en lui demandant de faire de même avec sa chatte. Sauf sa propre minette, Hina n’a jamais touché de chatte. Mais, la pratique de la masturbation n’est pas un secret, puisqu’elle jouait souvent avec son clito sous les draps en imaginant le prince charmant. Les deux femelles en chaleur se masturbent réciproquement. Leurs bouches, leurs mains se promènent partout, Greta entraine Hina sur sa couche et vautre son visage entre les cuisses fuselées de la jeune fille. Hina laisse faire sa compagne, et se cambre quand la langue de Greta entame une danse effrénée sur son clito. Greta lui mordille son bouton de chair bien érigé, elle enfile deux doigts dans la minette serrée de la jeune fille.
Greta a envie de voir à quelle limite la jeune fille se laissera faire, elle dissocie un doigt de la chatte et tournicote autour de la rosace de la Nipponne. Hina se cabre, puis se laisse redescendre, faisant pénétrer le majeur de Greta dans son rectum en gémissant. Branlée par les deux trous et le clito dévoré par sa maîtresse, Hina explose par des jets de cyprine qui inonde le visage et remplissent la bouche de Greta. Greta frotte son visage sur la moule devenue fontaine et se repait du liquide odorant de sa petite compagne. Hina, bras en croix, cuisses ouvertes, n’a pas souvenir d’avoir joui autant un jour. Greta, le visage maculé du jus de sa petite chérie, l’embrasse à pleine bouche, lui faisant partager le goût de la cyprine et de sa salive, tout en lui triturant ses tétons durcit. Puis, elle vient s’accroupir au-dessus du visage d’Hina et lui pose sa chatte béante et juteuse sur la bouche.
Instinctivement, la jeune fille y enfile sa langue pointue et aspire la mouille pour avaler l’excès de plaisir qui coule de l’abricot pulpeux de la femme.
— Hummm, salope, tu es douée, es-tu sûre de n’avoir jamais léché de minou ?
Hina fait non de la tête, et pinçant le clito de Greta entre deux doigts, la fait s’avancer un peu pour placer sa langue dans l’anus de la femme. Greta ne s’attendait pas à autant d’audace de cette chipie, elle ne se dérobe pas à la caresse anale et appuie même ses fesses sur la bouche d’Hina pour se faire introduire un peu plus la petite langue fouineuse. Faire l’amour avec une femme plait beaucoup à Hina, elle sait qu’elle respectera ses désirs et ne la forcera en rien, pas comme les hommes qui souvent ont voulu la forcer à aller plus loin. Le goût légèrement amer de la rondelle ne la rebute pas. Hina crache sur l’œillet et enfile deux doigts dans le rectum de sa compagne qui a l’air d’avoir déjà eu l’oignon visité, vu la facilité avec laquelle ses doigts ne rencontrent aucune résistance pour s’enfiler. Greta semble même apprécier l’initiative de la jeune fille, elle se tortille sur les doigts, monte, descend encourageant la jeune fille à en mettre un de plus.
Hina ne se fait pas prier et accorde un troisième doigt au fondement de Greta qui s’agite de plus en plus, annonçant un orgasme imminent. Greta rend bientôt la pareille à Hina, en lui aspergeant le visage de cyprine. C’est tellement abondant que Hina se demande si elle ne lui fait pas pipi dessus. Malgré son interrogation, la jeune fille absorbe le liquide doré de sa compagne, Greta frotte sa moule sur la face de Hina, la souillant sur tout le visage. Les deux femmes passeront la nuit et les suivantes ensemble, jusqu’à la fin du camp. Voici comment Hina a connu sa première relation lesbienne.
    *****Heureusement, Raymond ignore tout des relations de sa voisine, sinon il ne résisterait pas à son envie de la baiser.Hina soupçonne son voisin de vouloir faire d’elle sa maîtresse, et bien qu’elle trouve cette idée saugrenue, elle ne peut pas s’empêcher de sentir son entrejambe s’humidifier à cette pensée. L’idée d’un sexagénaire qui cueille sa petite fleur est absurde. Raymond, pour un homme de son âge, est en bonne forme physique. Il a une légère bedaine, mais sa haute taille l’atténue. Il est proche du double-mètre. Comme il commence à perdre ses cheveux, il a préféré se raser entièrement, avec ses tatouages sur les avant-bras, il a une allure de baroudeur. Hina ne peut nier que plusieurs fois, alors qu’il lui a maté les fesses dans l’escalier, elle s’est masturbée en pensant à lui qui la prenait de force. Cela lui arrive de mettre un visage sur un homme vu récemment pour stimuler son clitoris, donc souvent Raymond faisait jouir la jeune nippone sans le savoir. Les parents Hina doivent prochainement faire un saut pour venir la voir.
La jeune femme, consciente des tendances maniaques de sa mère, décide de faire le grand ménage. Elle passe l’aspirateur, nettoie les vitres, puis s’attaque aux bibelots. En déplaçant une statuette de Betty Boop, elle découvre une minicaméra collée sous le bras de la statuette. La jeune fille réfléchit et constate que Raymond est la seule personne entrée dans son appartement. Hina, énervée, commence à chercher partout. Les toilettes, la salle de bain, et trouve finalement une petite caméra cachée dans un trou du carrelage de la douche. La jeune femme est outrée et veut se précipiter pour lui demander des explications, ou le dénoncer à la police. Rapidement, elle change d’avis, ce vieil homme l’a vue se caresser, prendre sa douche, elle est fâchée d’avoir été trahie, mais elle ressent une chaleur dans son bas-ventre. Hina se poste à la fenêtre et surveille son voisin, elle sait qu’après avoir passé l’après-midi à boire avec ses amis, il rentre toujours joyeux et prépare son repas.
Quand il apparait au bout de la rue, elle se déshabille et se met suffisamment penchée pour qu’il puisse voir ses mignonnes petites doudounes. Elle fait mine de nettoyer les vitres, Raymond qui voit ses tétons violacés bouger, se précipite pour rentrer dans l’immeuble. La vengeance est en route. Elle entend son voisin monter les escaliers quatre à quatre, sa clé tourner dans la serrure, puis la porte claquer derrière lui. Hina attend quelques secondes, le temps qu’il s’installe. Ensuite, elle vient s’asseoir dans le fauteuil face à la caméra. Hina pose une jambe sur chaque accoudoir, comme chez le gynéco dans les étriers, et écarte ses petites lèvres, laissant le corail rose apparaître. Entre ses grandes lèvres mates, elle sait que pas un homme ne résisterait au spectacle, vierge, mais vicieuse la jouvencelle. Raymond a déjà la queue en main, le pantalon et le slip en accordéon sur les chevilles. Le zoom est réglé sur le petit corps à la peau légèrement cuivrée.
Hina se caresse les seins les faisant sauter dans sa paume, tout raide quand elle les lâche, ils reprennent leur place d’un seul mouvement. Un doigt dans la minette, elle remonte à son clito, écartant bien le capuchon pour que son bourgeon gonflé soit bien apparent. Raymond ne peut plus se retenir et dans un râle expulse une génération de spermatozoïdes sur le tapis. Hina ne le voit pas, mais devine qu’il a déjà joui. Alors le côté salope prend le dessus, elle se doigte énergiquement en criant.
— Hummm que c’est bon Raymond, vas-y jouis-moi dans la chatte, j’ai tellement envie de sentir ta queue se dégorger dans ma minette, bourre-moi avec ta grosse bite, mords-moi les seins. Je suis ta chienne, je jouis mon chéri.
Effectivement, se prenant au jeu, la jeune fille jouit abondamment, laissant jaillir des jets de sa minette bien ouverte. Raymond n’en revient pas qu’elle ait envie de lui, la queue molle et goûtant sur le tapis, il est abasourdi d’entendre la jeune fille le désirer. Hina, elle, est surprise d’avoir pris son pied en pensant au vieux salop qui la mate en se masturbant. Elle reprend le contrôle, saisit son string pour s’essuyer le minou, le passe devant la cam que Raymond voit bien le string couvert de crème et se tourne en se baissant, faisant admirer sa mignonne croupe ronde à Raymond, l’abricot humide bien en vue. Raymond sent popole se redresser, il ne sait que faire, aller sonner chez Hina et la baiser comme une gracieuse salope, ou bien se branler ? Il prend une autre décision, il écrit un mot, il a un plan et après s’être revêtu, le porte dans la boîte aux lettres de la jeune fille. Le lendemain, Hina en prenant son courrier voit le mot anonyme, elle déplie la feuille et lit.
— Petite salope, j’ai envie de te remplir la chatte de mon gros sexe, de te faire déborder ton petit citron de mon jus abondant. Sois nue dans l’escalier devant ta porte les yeux bandés ce soir minuit, n’allume pas la minuterie, je te ferai obéir comme une petite chienne.
Hina est pliée de rire, mais si son esprit rie, son sexe lui réagit à l’excitation des mots. Hina rentre chez elle et tombe sur Raymond, qui sait à quelle heure elle descend chercher son courrier. Elle lui sourit, aguicheuse, se frotte contre lui, l’escalier étant étroit, ses petits seins s’écrasent un peu contre la poitrine de l’homme.
— De bonnes nouvelles, Hina lui demande Raymond qui voit son mot dans la main de la jeune fille.— Une proposition un peu audacieuse de la part d’un admirateur, si vous préférez, monsieur Raymond.— Et vous comptez y donner suite, interroge Raymond, les yeux pétillants de désir ?
Hina lui adresse un clin d’œil et lui dit.
— L’inconnu est une source d’excellente motivation, peut-être le ferai-je ?— Prenez garde, mademoiselle, votre beauté peut attirer les convoitises masculines.
Hina le rassure, il est un bon comédien ce bougre.
— Je vous raconterai, monsieur Raymond, bien sûr, si vous êtes intéressé par mes petites histoires ?
Elle s’éloigne de lui et monte les dernières marches en se trémoussant.Raymond se demande si elle est suffisamment salope pour se plier à sa missive. Il a hâte d’être à minuit.À peine rentrée, Hina se déshabille et commence à faire le ménage, ignorant encore quelle décision elle va prendre pour ce soir. Évidemment, se faire toucher par une personne âgée lui pose des problèmes. En revanche, l’idée de son voisin qui la tripote et la domine la met dans tous ses états. Son entrejambe prend le dessus sur la raison, et sa chatte laisse couler un fluide le long de ses cuisses. Elle s’essuie avec un sopalin, mais cela ne s’arrête pas, elle décide alors de se calmer en se masturbant. La jeune fille s’installe dans le fauteuil, devinant et espérant que Raymond la regarde, et entame la danse du scalp avec deux doigts sur le pourtour de son bourgeon. Cette fois, elle gémit et parle sans contrôler ce qu’elle dit.
— Oh Raymond, mange-moi la chatte, mets un doigt dans mon anus, branle-moi les deux trous vieux salop, je vais te pomper ta vieille queue. La jeune fille délire en imaginant son voisin jouer avec sa chatte.
Raymond, en la voyant se chatouiller, pense qu’elle va tenter l’expérience ce soir, il faudra donc faire preuve de beaucoup de tact pour gagner ses faveurs. Raymond devine que la jeune fille va jouir, elle tend son corps, accélère la cadence et explose dans un cri, arrosant une fois de plus la moquette.
Il est vingt-trois heures, Hina est anxieuse et excitée, un mélange d’émotion qui la rend toute chose, un sentiment qu’elle n’a jamais ressenti auparavant. Pour se rassurer, elle se sert un verre de Baileys, elle ne boit que rarement, mais là un stimulant lui semble nécessaire. Elle se sert un second verre avant que le glaçon n’ait eu le temps de fondre.
La chaleur de l’alcool la détend, elle est même pressée de voir minuit arriver. Les douze coups retentissent. La Cendrillon asiatique se déshabille, elle prend une écharpe et entrouvre la porte, à cette heure tout l’immeuble est endormi. La minuterie est éteinte, elle coupe la lumière de chez elle plongeant le palier dans le noir complet. Elle se couvre les yeux avec son écharpe, ses jambes tremblent légèrement. La jeune fille franchit avec appréhension le pas qui la mène nue sur le palier. Une boule lui noue le ventre. Hina ne bouge plus, elle entend un pas étouffé près d’elle. L’homme referme la porte. Cette fois, il est impossible de faire marche arrière, elle est prise en otage par cet homme. Une main cherche ses seins à tâtons, lui presse ses petits citrons, ses tétons s’érigent immédiatement, une bouche trouve la sienne, une langue au goût mentholé, force ses lèvres. L’homme porte une cagoule, elle sent le tissu quand il l’embrasse.
Elle se laisse fouiller la bouche par celui qu’elle pense être Raymond. Une main lui caresse le ventre et un doigt se faufile dans sa fente, leur salive se mélange. Lentement, le doigt coulisse dans sa minette humide, l’homme doit sentir son excitation. Hina écarte les jambes. L’homme la pousse contre le mur, puis se met à genoux pour lui pratiquer un cunni. La langue se glisse sous le capuchon et découvre le clitoris qui gonfle vite. Hina doit mordre l’écharpe pour ne pas réveiller les voisins par ses gémissements. Voilà la première fois qu’un homme lui lèche aussi bien la chatte. Elle lui appuie sur la tête pour le coller plus fort contre son ventre. l’homme à son plus grand désappointement cesse de la lécher. Il lui prend la main et, contrairement à ce qu’elle croit, l’entraîne non pas vers l’appartement de Raymond qui est à côté du sien, mais bien en direction des escaliers. Hina commence à paniquer, au lieu de la bloquer, elle mouille davantage.
L’homme la tenant contre lui l’aide pour qu’elle ne manque pas une marche. Hina se demande si elle doit prendre la fuite ou se soumettre. L’excitation qui l’anime la pousse à poursuivre. L’homme arrive au rez-de-chaussée et ouvre une porte, poussant doucement la jeune fille à l’intérieur. Il la guide, la fait mettre sur un fauteuil, dune poussée sur les genoux lui fait ouvrir les cuisses, lui prend la main, lui met sur sa chatte et la fait se caresser. Hina ne regimbe pas et se masturbe, devinant l’étranger qui la regarde, ce qui accentue son plaisir. Elle ne pense plus à la présence d’un inconnu et se chatouille franchement, au bout de quelques minutes, elle ne résiste plus et lâche plusieurs jets de cyprine en gémissant. Avachie sur le fauteuil, elle respire fort, puis progressivement le calme revient dans son corps. Alors qu’elle se redresse, un gland vient se coller sur sa bouche, une forte odeur âcre de mâle lui chatouille les narines. Elle ouvre la bouche et le laisse entrer.
Hina appuie sur le ventre qu’elle sent velu de l’homme, il possède un long membre, le gland touche ses amygdales, et il n’est pas entièrement entré. L’homme cesse d’insister et laisse la jeune fille choisir la longueur qu’elle souhaite avaler. En fellation, Hina n’est pas une experte, bien que maladroite vue la rigidité de l’engin, l’homme prend du plaisir. Elle lèche le gland, redescend le long de la hampe, puis d’une main saisit de lourdes bourses pleines, qu’elle malaxe avec douceur. C’est la première fois qu’elle entend la voix de l’homme, ou plutôt, ses gémissements. Le sexe de l’homme commence à se raidir, ses mains se referment sur sa tête pour l’amener vers lui en un mouvement de va-et-vient. Hina sait que le moment est venu où la liqueur de vie va jaillir.
Elle avale un maximum de sperme, mais ne peut pas tout avaler, et laisse couler hors de sa bouche le trop-plein qui pendouille pour s’écraser sur ses petites mamelles en filets. l’homme sort de sa bouche quand ses boules sont vides. Du bout du gland, il récupère le sperme sur les seins et lui fait sucer. Hina ne regrette pas ce qu’elle vit actuellement. L’homme l’embrasse goûtant son sperme. Hina sent qu’il a retiré sa cagoule, elle va pour ôter son bandeau, la main de l’homme l’en empêche. Hina est mise mains dans le dos et menottée en une fraction de seconde.
— Tu n’es pas Raymond n’est-ce pas ? L’homme lui prend le visage et lui fait faire non avec la tête.
Au lieu d’avoir peur, la jeune fille est encore plus émoustillée. l’homme lui met les doigts dans la minette, récupère un jus abondant et lui fait sucer ses doigts, en bonne petite soumise Hina se prête au jeu pervers de l’homme. L’homme fait sauter un bouchon de champagne, Hina entend le bruit du liquide qui remplit les coupes. Elle sent le bord de la coupe à ses lèvres et boit d’un trait, elle se sent un peu éméchée, le mélange avec le Baileys fait son effet, la seconde coupe l’achève. Elle entend claquer un briquet et reconnait l’odeur entêtante de l’herbe, elle en fume de temps à autre. L’homme lui place le joint entre les lèvres, Hina en aspire une grande bouffée. Elle retend les lèvres afin d’en avoir une autre, l’homme lui place la cigarette entre les lèvres et lui laisse la consommer. Complètement stone, elle demande à l’homme en rigolant.
— Tu vas me baiser ? Tu sais, je suis vierge, sois gentil, ne me prend pas ma virginité, je ferai ce que tu as envie si tu me respectes. L’homme est décontenancé d’apprendre que celle qu’il prend pour une petite salope soit vierge. Il la fait se relever, la pousse afin qu’elle se trouve en levrette. Hina se dit qu’à ce moment-là son pucelage est mort. À genoux, elle attend le moment fatidique ou sa membrane va exploser. Contrairement à ce qu’elle pense, elle sent la langue de l’homme lui lécher l’anus, elle trouve cette pratique délicieuse, puis un doigt prend la place de la langue et tournicote doucement pour s’enfiler dans sa rondelle, pendant qu’une main lui saisit l’abricot et chatouille son clito. Cette double caresse la ravit, s’il voulait, elle se laisserait baiser, excitée comme elle est. l’homme enfile un second doigt dans son fondement pour en éprouver l’élasticité. La rondelle oppose peu de résistance.— Je suis aussi vierge par là, dit Hina qui devine les intentions de l’homme.
La voix étouffée de l’homme lui répond.
— Décide-toi, c’est dans ton cul ou ta chatte.
Cruel dilemme pour la jeune fille, tenant à sa petite fleur, elle lui dit.
— Ok prend mes fesses, mais soit doux, tu en as une musclée.
Devant ce magnifique cul bien rond, et le petit trou brun plissé, l’homme rebande ferme. Il donne une légère fessée faisant rougir cet adorable fessier d’ado, puis elle entend l’homme cracher et reçoit un gros glaviot sur son anus. Cela coule sur son trou et sa fente. C’est bien la première fois qu’un homme lui crache dessus, du moins un glaviot. Le gland se pose sur sa petite rosace, elle se crispe, l’homme lui dit de se détendre, que tout se passera bien, et qu’elle en redemandera. Elle en doute, mais sait-on jamais.
Le gland s’ouvre difficilement un passage dans le petit trou serré, heureusement que l’homme lui caresse le clito, cela aide Hina à oublier la douleur de cette bite qui agresse sa rondelle. Hina supplie un peu l’homme, mais cela semble l’exciter encore plus, il la saisit par les hanches et pousse fort, le miracle du corps a lieu, d’un seul coup le cercle anal cède et la queue de l’inconnu se plonge dans l’étroit réduit inexploré de la jeune fille. Hina pousse un cri et sent le morceau de chair dure et chaude envahir son boyau. Le premier pucelage d’Hina est défunt. L’homme entre entièrement en elle et lui dit.
— Alors mon petit citron, tu aimes ça ma queue dans ton popotin ?
Hina ne répond pas, mais elle pensait que ce serait plus douloureux, l’homme commence à lui pilonner le cul en continuant de lui parler.
— Je n’ai jamais baisé une Asiatique, tu es drôlement serrée ma salope, dis-le que tu aimes ça te faire défoncer les miches. On a toute la nuit devant nous, si tu as envie de me donner ta chatte, c’est parfait, tu seras tranquille avec tes pucelages.
La douleur se transforme en un plaisir naissant, il lui branle la chatte avec deux doigts tout en l’enculant. Bientôt, Hina est en mesure de communiquer son bonheur par des cris aigus. Elle envoie des signaux clairs à l’homme, lui faisant savoir qu’elle aime quand on la fesse. Il ne se prive pas et son cul tourne vite au rouge. L’homme accélère la cadence, Hina sent sa queue vibrer dans son intestin et soudain un flot de sperme lui inonde les entrailles. Elle en pleure de joie, même si elle n’a pas atteint l’orgasme. L’homme reste au fond de son anus pendant que sa queue se ramollit pour s’évacuer. Le plaisir de l’homme sort de son cul, coule dans sa fente et sur ses cuisses. Elle reste un bon moment le cul en l’air, merveilleux spectacle. Soudain, elle entend des applaudissements, un autre homme est présent, les applaudissements viennent du fauteuil où elle se trouvait au début, alors que celui qui l’a sodomisé est encore en contact avec ses fesses.À suivre…
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