Hina 4Ce matin, Hina se réveille entre deux hommes, c’est la première fois de sa jeune vie. Raymond et son neveu. Elle s’est bien fait monter hier soir, sous le regard de l’oncle et du neveu, qui sont désormais dans le lit avec elle, en tenue d’Ève. Son corps est toujours teinté des stigmates de sa soirée de débauche, avec trois affamés de son corps. Leurs mains qui ont palpé sont corps ont laissé des bleus tant ils l’ont palpée. Elle s’étire, aussitôt une main se pose sur ses petits nichons. Raymond lui sourit et, en palpant les mamelles de sa jeune maitresse, lui demande si elle a bien dormi. Hina lui répond avec malice, que s’ils ne l’avaient pas touchée pendant la nuit, elle aurait eu un sommeil plus tranquille. — Tu es tellement mignonne ma chérie, qu’il est dur de ne pas être tenté. Ce week-end, je pense que tu vas être comblée, avec Paul, nous avons prévu quelque chose pour toi. Hina veut savoir, Mais Raymond, énigmatique, lui dit qu’elle verra bien, ne pas savoir est tant excitant. Hina tente de le faire parler en lui proposant de le sucer et tout avaler. — Ma belle, n’oublie pas que tu as accepté d’être notre soumise, donc si je souhaite être sucé, j’ai juste à te l’ordonner. Compte tenu du fait que tu m’en parles, cela me donne envie, pompe-moi chérie. Hina lève lentement le drap, et contemple avec satisfaction le désir qu’elle a suscité chez cet homme mûr. La queue étant fièrement dressée, elle caresse la chose qui lui a brisé l’hymen. Ses lèvres rouges s’approchent du gland rose, l’embrassent et entrent en contact. Elle devient vraiment experte en fellation, dès le début Raymond exprime sa satisfaction.— Hummm, salope, tu es réellement une des meilleures à me sucer le nœud, tu es géniale ma puce, tu es la reine de la pipe. Flattée, Hina caresse les grosses boules velues, y passe la langue, récoltant quelques poils au passage, qu’elle s’empresse d’essuyer dans les drapsPaul, réveillé par ses compagnons de lit, voit le petit derrière rond de la jeune fille bouger, sa tête monte et descend, pas de doute, elle suce tonton. Son sexe se met au beau fixe, il écarte les fesses de la jeune nippone et découvre l’abricot encore bien ouvert. Il présente la tête de popole à l’abricot, qui lui dit « entrez, c’est ouvert ». Hina pousse un Hummm de plaisir en sentant la douce et raide tige s’enfoncer lentement, mais sûrement dans son vagin. Paul la serre par la taille et se déplace doucement dans le canal de chair étroit, au climat tropical chaud et humide. Il la baise à la fainéante. Une queue dans la bouche, une dans le minou, un divin réveil, Hina va peiner maintenant à dormir seule dans son grand lit. Raymond lui appuie sur la tête, sa queue tressaute, Hina devine que dans un instant, elle va avaler ses vitamines. Hina tend ses fesses contre le ventre de Paul, afin de ne pas perdre un centimètre de chibre. Raymond rugit tel le roi Lion. Dans un dernier spasme, il se vide dans la gorge de sa chérie, de longs jets, chauds inondent le gosier de la jeune fille, elle avale tant que faire se peut. Elle tousse, et son excès de salive et de sperme tombe sur les boules de Raymond, se mélangeant à ses poils. Après avoir tout avalé, elle se met à nettoyer de sa langue la toison de Raymond. Les poils crissent sous ses dents, mais la queue de Paul qui coulisse dans sa douce minette lui font penser à autre chose que son repas de poils. La jouissance monte dans le ventre de la jeune fille, elle l’exprime en s’adressant à Paul, le nez dans las poils de son gorille. — Mon amour, enfonce-moi plus fort, je pars, fais-moi plaisir, je deviens une parfaite salope. Paul ne se retient plus, il se déchaine dans la moule, pétrit ses nichons tout durs. Dans un dernier coup de rein, il reste planté en elle, ventre contre fesses, et se vide au fond de la chatte de Hina qui se contracte, comme pour extraire tout le jus. Les deux amants restent ainsi de longues minutes, la queue de Paul se ramollit et finit par sortir de son terrier, laissant échapper l’excédant de sperme qui s’écoule sur le drap. Les hommes sont ravis de ce début de journée, ils préparent le petit déjeuner pour servir Hina au lit, pain grillé, café bien fort, thé au jasmin, n’oubliant pas ses origines et un jus de pamplemousse. Hina assise, la chatte poisseuse, se régale de leurs gentilles attentions pour elle. Elle n’a pas trouvé un homme, mais deux qui sont aux petits soins pour elle. Bien sûr, elle sait que tout se paie. Cependant, elle est du genre de fille qui profite de l’instant présent, « que sera sera » est sa devise. Hina est d’accord pour que Raymond installe deux cams de plus chez elle afin de la surveiller. Hina est une femme avec un fort caractère, ce que ses parents et ses anciens petits amis ont très bien compris. Néanmoins, l’attrait pour le sexe qu’elle vient de découvrir la fait se soumettre à ses deux hommes qui ont su lui faire comprendre à quel point elle aime cela, une révélation. Hina est seule dans son studio, ce qui lui semble bien triste. Elle repense aux trois hommes qui se sont repus de ses charmes et immédiatement son tanga devient humide. La jeune fille va chez Raymond et sonne à sa porte, mais personne ne répond, alors in ne lui reste qu’une solution, son jouet. Elle ne voit pas Raymond de la semaine, il est sûrement en voyage. Hina est tentée de se trouver un amant dans ses anciens petits amis. Cependant, elle a un sentiment de trahir la parole donnée à ses amants, être leur soumise, docile et fidèle. Le samedi, son iPhone sonne, la voix de Paul lui fait du bien. — Tu es en forme ma chérie ? Ce soir, tiens-toi prête pour vingt-et-une heures, string, porte-jarretelles, soutien-gorge noir, j’espère que tu sauras satisfaire nos amis.
Hina lui demande combien ils seront, la réponse est, quand on aime, on ne compte pas, quel humour.Hina retourne au sexshop pour acquérir de nouveaux sous-vêtements, le gérant lui fait un large sourire, la troisième fois qu’il la voit, et il est sous le charme de cette petite asiatique au corps d’ado. Sans gêne, Hina lui fait part de ce qu’elle désire. — Patientez dans la cabine, je vous apporte plusieurs modèles, je sais d’avance que tout vous ira à ravir. Hina se met en sous-vêtements, quand le gérant revient, il reste fasciné de la voir en petite tenue. Hina devine son émoi, rien que la bosse dans le pantalon moulant ne laisse pas de doute. La jeune fille s’en amuse, mais est troublée de voir ce jeune homme bander pour elle. Hina a envie de savoir jusqu’où le pouvoir de ses charmes peuvent mettre un homme dans cet état. Elle ôte son soutif, et prend tranquillement un noir qu’Eric le gérant lui tend. En le regardant dans les yeux, elle lui demande. — Comment me va-t-il ? Je devrais l’essayer avec le tanga pour voir l’ensemble, et sans refermer le rideau, elle baisse sa petite culotte. Elle craint que le jeune homme ne fasse une crise cardiaque devant l’abricot tout lisse, et le reflet du splendide petit cul dans le miroir. — Vous allez bien Eric, demanda-t-elle innocemment, je vous perturbe, j’en suis désolée, vous avez déjà vu des femmes nues dans le cadre de votre profession ? Eric peine à avaler sa salive et lui répond. — D’aussi belles que vous jamais, de plus elles n’essaient jamais devant moi. Soudainement pris d’une pulsion, il saisit Hina dans ses bras et l’embrasse rapidement sur les lèvres. Avec ses provocations, la jeune fille s’y attendait, elle ne tente pas de repousser la langue qui lui fouille la bouche. Eric est très actif, sur les petits citrons et sur la mappemonde de sa jeune cliente, un véritable explorateur cet homme, il découvre tout le corps d’Hina en quelques minutes. Lorsqu’il essaie de lui toucher la minette, Hina fait mine de lui retenir la main sans pour autant mettre la force nécessaire pour l’en empêcher. Un doigt suit le dessin de la fente, trouve une fissure et s’y glisse. Bientôt, Eric manipule le clitoris. Lorsque qu’il effleure le bouton du bout des doigts, Hina a l’impression d’avoir mis les doigts dans une prise de courant. Son corps est parcouru de décharges électriques. Oublié son serment de fidélité. Une main sur son mignon derrière, une qui caresse l’abricot, Hina se laisse entrainer dans la salle de projection, près de la cabine d’essayage. La petite cabine est meublée d’un fauteuil rouge cramoisi, sur un écran, un grand noir défonce une petite blondinette qui reçoit une verge de grosse dimension. Hina aperçoit cette énorme bite, pénétrer la moule de la blonde, elle ignore comment un si petit minou peut contenir une aussi grosse queue. Eric la pousse en douceur sur le fauteuil. Il se met à genoux, enfouit son visage entre les cuisses minces, fait mettre les jambes de la jeune fille sur ses épaules et commence un broutage de minou de première classe. La langue agile se faufile partout. Du clito aux petites lèvres avec un doigt qui se promène de sa minette à son anus. Il lui mordille le clito, la faisant hurler. Il ne faut pas longtemps à Hina pour arroser le visage d’Eric de longs jets de cyprine. Le jeune homme se repait de ce nectar. Eric lèche les cuisses et le minou jusqu’à ce qu’ils soient nettoyés. — Hina se lève et fait mettre le jeune homme à sa place. Alors, elle dégage le sexe de son jeans avec peine, il est raide et poisseux, les premières gouttes sont déjà étalées dans le boxer et sur sa queue. Hina se met en position de prière et commence à faire l’éteignoir sur le cierge du jeune homme. La jeune fille prie ensemble pour se faire pardonner son infidélité envers ses deux amants, et surtout pour que la bougie ne s’éteigne pas. Le jeune homme a le sexe entièrement épilé, ses grosses boules sont lisses comme celles d’un billard, seule une petite touffe taillée orne le dessus de sa queue. Hina met sa nouvelle technique de fellation au service du trois pièces du jeune homme. La langue de la jeune fille tel un serpent s’enroule autour de sa proie, l’avale, la relâche pour mieux la ravaler, la pointe titille le frein, l’introduit dans le méat, redescend aux coucougnettes bien lisses et pleines. Le liquide pré-séminal coule, transparent, goûteux, de petits filets se forment de la langue au méat. Hina les déguste jusqu’à remettre le gland dans sa bouche et d’aspirer le nœud tout en faisant tourner sa langue autour comme pour battre un record de vitesse. Eric se tend droit sur le fauteuil et prévient Hina qu’il va lâcher les amarres. Hina se colle davantage à sa queue en gorge profonde, ses amygdales frottent le gland, Eric explose, ses jets cognent au fond du gosier de la petite fleur de nénuphar qui s’emploie à ne pas en recracher une goutte. Le sperme s’écoule le long du tube digestif pour être digéré dans l’estomac. Hina a l’impression d’être amoureuse de cet homme si attrayant, il est tendre, bien bâti, doux, et un physique à la Brad Pitt. Cette jeune fille aux yeux légèrement bridés, ce visage d’enfant, son corps d’adolescente, inspire à Eric des sentiments qui vont au-delà du sexe. Eric et Hina sont enlacés, une personne vient d’entrer dans la boutique. Eric remet l’objet du délit dans son jeans et dit à Hina de prendre ce qu’elle désire, c’est un cadeau. Hina opte pour la parure noire, se rhabille et remonte. Le client est un homme âgé, intéressé par des vidéos de la sulfureuse Clara Morgane. Eric fait un baiser de la main à Hina, qui l’attrape et le pose sur son cœur. Le vieil homme se retourne et, regardant les fesses de la jeune fille, dit à Eric.— Quel mignon petit derrière, le garçon qui honore cette poupée ne doit pas s’ennuyer. Eric confirme. Le souvenir de la jeune femme nue fait redevenir son sexe d’une belle dimension, emprisonné dans son jeans, il se trouve à l’étroit.Hina rentre chez elle, le goût de son nouvel amant encore en bouche. À peine arrivée, elle dépose ses achats, et file aux toilettes, le seul endroit sans cam, Raymond voulait en mettre une, mais elle a refusé tout net, se réservant un endroit d’intimité. Elle s’assied sur le siège, le couvercle baissé, elle n’a pas remis sa petite culotte en sortant du magasin. Hina commence à se toucher, elle pense à Eric, le jeune homme l’a vraiment perturbée. Raymond de son appartement ne voit pas Hina, mais il l’entend crier. Il comprend que la jeune fille est sur le point de leur échapper. La soirée qu’il lui a organisée risque d’être la dernière.
