Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 71 J'aime
  • 4 Commentaires

Histoire alternative

Chapitre 1

Divers
Il est des moments dans la vie ou celle-ci peut basculer du tout au tout sur un oui ou un non ou un peut-être. Et notre vie aurait pu être complètement différente. Nous avons tous vécu peu ou prou ce genre d’événement.
J’ai une vie calme, conventionnelle, bien rangée. Marié, des enfants, des petits enfants. Et pourtant tout aurait pu être différent si à la suite d’un événement marquant je n’avais pas immédiatement après rencontré celle qui deviendrait mon épouse. Mais si je ne l’avais pas rencontrée ?
Cet événement est celui que nous avons tous subi : le dépucelage. Le mien ne s’est pas fait de façon courante . Ce fut même très particulier. Mais l’histoire est vraie. Enfin presque, puisque par commodité, je la transpose à notre époque et dans des lieux différents de là ou elle s’est passée.  Je vais donc commencer par vous la raconter dans ce chapitre. Puis les suivants raconteront ce qui « aurait pu être »
Pau, capitale du Béarn. Je suis célibataire et je viens de commencer une carrière de chimiste dans un laboratoire d’analyses et d’ingénierie. La paye est bonne, le travail intéressant, des collègues sympathiques et je n’ai aucune contrainte. Je suis plutôt joli garçon dit-on, relativement fin. Mais j’ai un lourd handicap : une myopie catastrophique qui m’a empêché de faire bien des choses dont j’avais envie dans ma jeunesse. Quand j’étais gamin, je voulais être pilote de chasse ! Raté… J’ai du également renoncer au rugby, je ne parvenais même pas à apprécier la trajectoire du ballon en l’air ! Idem coté foot, je passais plus de temps à chercher la ballon qu’à taper dedans.
Rajoutez à ce tableau le fait que je fait fort peu attention à mon look et que je porte des grosses lunettes d’écaille. J’ai tout de l’intello rat de laboratoire, pratique sur le plan professionnel, mais idéal pour prendre des râteaux auprès des filles. Je suis naïf, timide, un peu renfermé… mais avec les désirs et les envies de tout jeune adulte. Du coup je suis un garçon qui fantasme beaucoup mais qui reste fondamentalement complètement coincé. Bref cette myopie me pèse lourdement et ne provoque au fil du temps que des frustrations répétées.
Et je veux m’en débarrasser à n’importe quel prix ! Je suis prêt à faire n’importe quoi. Mais voilà : une opération ? J’ai un peu la trouille… Des lentilles ? Un peu contraignant.
Je ne me rappelle plus dans quelles circonstances j’en suis venu à entendre parler de ce guérisseur. Il paraît qu’il est très fort, qu’il y a un monde fou qui se bouscule pour se faire traiter. Pourquoi, me dit-on, ne pas essayer ? Bof… Au point ou j’en suis…
L’homme s’affiche comme « Radiesthésiste - Magnétopathe ». Il doit avoir pas loin de la soixantaine, assez corpulent, les cheveux gris. Il soigne par imposition des mains, transférant son énergie à l’organe malade et il se fait fort de ramener ma vision à 10/10 en six mois. On est au mois de mai. Ça fait deux mois à présent que je le vois une fois par semaine. Chaque séance dure une vingtaine de minutes pendant lesquelles il alterne le contact de ses mains sur mes yeux, mais aussi sur l’arrière de mon crane, là ou se trouve les centres de la vision. Et c’est vrai, il me semble que ma vue s’améliore.
Lui par contre n’est pas satisfait. Il considère que çà ne va pas assez vite. Je suis un cas rebelle. Du coup me dit-il, on va commencer un travail de fond sur l’ensemble de l’organisme. Lors de la dernière séance, il m’a fait mettre torse nu et en plus de la séance habituelle, m’a longuement promené ses mains sur tout le corps. Et j’avoue que j’ai beaucoup aimé parce qu’en prime il a les mains très douces.
Ce jour là, je suis son dernier rendez-vous. Il n’y a plus personne. Il me fait enlever mon tee-shirt, asseoir sur un tabouret comme il le fait à chaque fois. Il met le sien derrière moi, s’assoit, se colle à moi et pose ses mains sur mon torse. Et je frissonne car il les a posées sur mes tétons… et je suis chatouilleux. C’est son habitude. Chaque « imposition » dure en moyenne une trentaine de secondes. Puis il descend ses mains, les pose sur mon ventre juste en dessous du nombril. Un nouveau déplacement, cette fois plus bas, ses doigts passent sous la ceinture de mon bermuda. Je rappelle qu’on est en Mai, il fait déjà chaud.
J’ai un sursaut. Ce contact n’est pas habituel. Mais bon, c’est lui le spécialiste, il sait ce qu’il fait. Le problème c’est que mon service trois pièces réagit instantanément et que mon sexe éprouve une furieuse envie à prendre du volume ! Là suis gêné… Je ne sais pas comment cacher ou empêcher cette érection. Et il descend encore ses mains, ces dernières à présent au contact de ma toison pubienne.
Heureusement, il change de position, se met face à moi, me prend à bras le corps, me serre contre lui. Ses mains se posent en bas de mon dos et là encore, les plonge franchement mains dans mon bermuda, très bas sur mes fesses ! Là, je ne sais plus comment réagir. En plus il a posé sa joue contre la mienne. Il bouge à nouveau sa tète, les coins de nos lèvres presque en contact, et ses mains descendent encore… Je suis pétrifié. Je ne comprend pas ce qui se passe. J’ai la tète vide, avec seulement un mélange d’angoisse et d’excitation.
— Ouvre ta bouche, me souffle t-il soudain.

J’obéis comme un automate. Il se décale à nouveau. Je sens sa bouche s’ouvrir, sa langue pénétrer mes lèvres… Il souffle comme un phoque, il est rouge d’excitation. C’est à peine si je me rend compte que je suis en train de me faire embrasser par un mec. Il me demande de lui donner  ma langue. J’obéis à nouveau… Il s’en empare goulûment, la suce comme un fou. Je me demande alors s’il va s’arrêter, ou jusqu’où il va aller. Dans ma semi inconscience, je ne comprend qu’une chose, c’est qu’on n’est plus du tout en train de faire une séance médicale.
Il me fait lever. D’un geste rapide, il tombe mon bermuda. Mon sexe se dresse aussitôt. Il se jette dessus, le prend à pleine bouche. J’y crois pas, il me fait quoi ??? Je sens sa langue, sa salive sur ma queue, il fait des grands mouvements de tète. Je suis submergé de sensations. Ma bite à des frémissements incontrôlables. J’ai des ondes de chaleur qui me parcourent de la tète aux pieds. C’est pas croyable, jamais je n’ai eu des sensations pareilles !
Il se relève en haletant.  D’un geste rapide, il ouvre sa braguette, sors sa bite de son pantalon. Il m’appuie fermement sur l’épaule, me fait mettre à genoux. Je comprend ce qu’il veut, mais je ne sais pas quoi faire. Je suis a deux doigts de tourner de l’œil tellement je suis noyé sous les sensations. J’hésite. Sa bite est molle, flasque avec une odeur acre de transpiration. Devant mon hésitation, il prend l’initiative.
— Ouvre ta bouche ! Dit-il à nouveau.
J’obtempère. Il me fourre sa queue dans la bouche. Il me prend la tète à deux mains, fait de petits mouvements de bassin. Je ne sais plus ou j’en suis… Mais bizarrement, j’ai envie de… quelque chose. Alors je décide de faire comme lui. J’active ma langue. Je lèche son organe, ce n’est pas désagréable. Et… j’aime ça. Je l’entend pousser des gémissements de plaisir. Je sens sa bite s’affermir, grossir dans ma bouche, devenir énorme. C’est moi qui lui fait çà ? Oh putain ! Alors je m’applique. J’ai envie de lui prodiguer les mêmes sensations que celles qu’il m’a donné. J’ai juste un haut-le-cœur lorsque sa bite vient frapper le fond de ma gorge.
Du coin de l’œil, je le vois se débarrasser de sa chemise. Son pantalon est tombé sur ses chevilles. Soudain, il me relève, prend ma tète entre ses mains, et m’embrasse à nouveau. Puis il a enserre nos deux bites dans une main tout en continuant à m’embraser. Quand il s’écarte, il halète toujours, et j’ai la surprise de le faire également. Je ne sais pas ce qui va se passer maintenant, mais j’attends la suite avec un mélange d’excitation et d’appréhension.
— Tu es vraiment trop mignon, me dit-il. Çà te plaît ? Viens, on va passer à autre chose, tu veux ?
Laissant nos vêtements sur place, il m’entraîne vers un divan, me fait asseoir. Il m’écarte les jambes et engloutit à nouveau mon sexe. Il recommence ses suçotements, mais cette fois tout y passe. Le gland, la tige, mes boules… Je sens même sa langue descendre plus bas, vers mon anus, ce qui me fait sursauter. J’ai presque envie de me dégager, mais il a saisi ma queue dans sa main, et me branle fermement, me provoquant de nouveaux spasmes. Je sens sa langue insister sur mon anus. J’ai des crispations, répétées, mais soudain, je cède. Je sens sa langue s’insinuer en moi, c’est pas possible !
— Je peux me joindre à vous ?
Je sursaute ! C’est une voix de femme qui s’est faite entendre. Je la vois. C’est sa femme, je l’ai vue parfois. Elle fait office de secrétaire, c’est elle qui prend les rendez-vous. Elle est proche elle aussi de la soixantaine, assez enveloppée. Je l’ai toujours vue en jupe et chemisier. Mais là, elle est a moitié nue, ne portant plus sur elle qu’un soutien-gorge sur une poitrine volumineuse. Elle se caresse sa chatte d’une main, l’autre pétrit ses seins. Je suis effaré. J’ai envie de m’enfuir en courant tellement j’éprouve un sentiment de honte.
— Mais oui bien sur, répond-il, viens, il est mignon ce petit.
Je n’ai pas le réflexe de me retirer. Je suis toujours pétrifié. Elle s’agenouille a coté de moi et me suce à son tour, pendant que son mari continue à forcer mon anus. Oh putaiiiiin ! C’est trop bon… Je suis prêt à défaillir. Mais lui se redresse sans qu’elle, cesse sa fellation. Lui me caresse ma raie, appuie de ses doigts sur mon anus, et soudain, je sens autre chose. Oh non, il ne va pas faire çà ? Aaaaaah ! Il m’écarte ! Il m’ouvre, il s’enfonce ! Noyé sous les sensations, je n’ai pu esquisser un geste de défense. Il m’encule ! Je suis submergé sous  un mélange de douleur et de plaisir. Puis la douleur diminue progressivement alors que  les spasmes de plaisir augmentent en parallèle.
Je ne peux plus rien faire, j’ai capitulé. Je vais mourir. Lui a entamé des mouvements d’avant en arrière qui m’arrachent des gémissements de douleur. Elle, suce ma bite comme une folle me rendant dingue de plaisir. Je suis secoué de tremblements, comme si tout mon corps appelait à l’aide ou s’apprêtait à exploser. Elle s’interrompt juste quelques secondes.
— Tu me le prêtes ? Il est trop bon !— D’accord ! Aller petit, à ton tour de faire gémir ma vieille !
Il m’a libéré. Sa femme s’assoit à coté de moi les jambes largement écartées. Je devine confusément ce qu’on attend de moi, mais je ne sais pas comment faire, je ne l’ai jamais fait.  Ils me guident, me mettent en position, à genoux devant elle, ma queue raide dingue devant sa chatte. Elle m’attire vers elle ; lui me pousse en avant. Je pénètre en elle. C’est dingue ! C’est doux, c’est chaud. Je suis effroyablement sensible, je vis un rêve. Ou un cauchemar ? Je ne sais pas, car lui, s’est agenouillé derrière moi et me pousse en avant. Je sens sa bite au contact de mes fesses. Instinctivement, j’avance comme pour échapper à ce qui va se passer. Inutile ! Une seconde fois, je ressens la poussée, l’écartèlement, la déchirure !
Son corps frappe contre mes fesses. Il me projette toujours plus loin à l’intérieur de sa femme à chaque poussée. Je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains, entre leurs mains. Je ne réagis plus, je me laisse faire. Mon anus devient brûlant, se crispe, des spasmes me secouent, tout tourne autour de moi. Oh punaise, j’ai envie de pisser ! Il ne faut pas mais… oh merde, je… ne vais pas pouvoir… résister… Tant pis, ils l’auront voulu, je me lâche ! Un terrible spasme me parcourt. Je pousse un cri, je me vide, c’est brûlant ! Mais ? Je… je n’ai pas pissé, c’est… c’est autre chose. Qu’est-ce que ? Elle s’exclame.
— Oh regarde chéri, c’est trop mignon, il vient de décharger!
Je viens de quoi ? Je m’écroule. Je viens subitement d’être vidé de toute mon énergie. Oh mon Dieu, j’ai joui ! C’est la première fois ! Quelle sensation… Elle m’attire vers elle, pendant que lui quitte brutalement mes fondements. Il vient positionner sa queue à quelques centimètres de nos visage en se masturbant frénétiquement. Un jet de… vient frapper nos visages, un liquide visqueux, blanchâtre que j’essuie instinctivement d’un revers de main. Puis il tombe à son tour à coté de nous...
Quelques minutes plus tard, après avoir fait un tour par le cabinet de toilette, je me rhabille en tremblant encore d’émotion. Elle termine un brin de toilette et se rhabille à son tour. Lui a simplement revêtu une robe de chambre. Félicitations petit, tu as été merveilleux. Alors çà t’a plu ? En rougissant, je dois avouer que oui, çà m’a plu. Je viens de vivre un événement auquel je ne m’attendais pas et que je pensais réaliser plus tard avec une fille. Mais c’est en dessous de la vérité. J’ai encore des spasmes au niveau de ma bite, j’ai encore envie de jouir, et je sens mes fesses qui en redemandent ! Oh oui, malgré l’étrangeté du moment, j’ai adoré ! Alors on se revoie ? Oui, avec plaisir, en début de semaine prochaine, OK. Non pas de problème, tout çà restera notre petit secret.
Je rentre chez moi, mais j’ai la tète en feu. Je me précipite dans la salle de bain et me masturbe frénétiquement. Je me fais jouir une, deux, trois… je ne sais plus combien de fois. Oh quel bonheur ! Mais çà ne me suffit pas. Je veux retrouver toutes les sensations de cette soirée. Alors je met à contribution un manche à balai, et je continue…
Je compte les jours. A chaque moment de libre, je me prodigue de nouvelles jouissances. Quel bonheur d’être jeune et ardent ! Quelles découverte, quelle merveille ! J’attends le jour de nos retrouvailles avec impatience. C’est ce soir. Mais je me retrouve décontenancé. La porte est fermée… Il y a des scellés qui sont posés dessus ? Qu’est-ce qui se passe ?
Des voisins m’apprennent alors que le couple est parti, en fuite. Ils sont recherchés avec « au cul » une bonne douzaine de plaintes pour viol… Je suis stupéfait. Je n’arrive pas à comprendre comment çà peut être possible…
Diffuse en direct !
Regarder son live