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Histoire avec ma soeur

Chapitre 2

Inceste
La soirée était bien avancée quand nous nous sommes retrouvés dans le lit de ma soeur.Couchée sur le côté, me tournant le dos, serrée contre ma poitrine et mon ventre. Moi derrière elle, mes mains posées sur ses seins, doucement j’en malaxais les tétons raidis et durs.L’une de ses mains enserrait mon pénis et le masturbait en lents va et vient, l’autre caressait sa chatte.Nous ne parlions pas pour mieux savourer notre plaisir...En douceur et décrivant des cercles, mes mains se faisaient caressantes pour descendre vers l’entrejambe de Josette. Elles s’attardaient un moment sur son ventre pour explorer les abords de son nombril avant d’arriver à l’orée de sa forêt velue où elles étaient guidées par la main de ma soeur. Mes doigts "frisottaient" ses poils et se faisaient encore plus caressants entre ses lèvres intimes d’où s’écoulait cette mouille témoignant de son excitation."- Attention à mon bouton, après ce qu’il a subi cet après-midi, il est devenu très sensible... me dit-elle.— c’est quoi et où est-il ce fameux bouton dont tu me parles?— Il est là... Tiens, touche... doucement."Me prenant un doigt, elle le guida en haut de ses petites lèvres. Elle appuya doucement le bout de mon doigt en lui faisant faire des petits cercles. Effectivement, je sentais une boulette, comme un petit pois, sous les chairs...Je continuais ce lent massage qui avait l’air de bouleverser ma soeur. Elle forçait ses fesses contre ma queue, en soubresauts incontrôlables..."- Mais il grossit ton bouton!... Et il me semble que ça te fait du bien....— Ho oui! C’est bon! Tu me fais beaucoup de bien!... Oui! Mon bouton grossit... Tu le sens mieux...— Le toucher et voir comme tu apprécies mes caresses, cela me procure du plaisir aussi... Tu sens comme mon chibre est tendu, raide et dur?— Ho oui! Je le sens bien... Tu me le mets dedans?"Ma soeur s’allongea sur le dos, écartant très largement ses jambes pour m’inviter à la pénétrer. N’ayant pas lâché mon membre, elle le guidait vers son fourreau... "- Attends, je veux le voir ce bouton...— C’est là, me dit-elle en pointant un doigt dessus une petite excroissance violacée. C’est mon clitoris, le point le plus sensible chez les femmes. C’est lui qui me donne tant de sensations et de plaisir quand je le chatouille...— Comment tu le sais? Tu te chatouilles souvent?— Oui, il y longtemps... Quand maman m’a appris à faire ma toilette, elle me disait chaque fois de bien me laver la fente car, en grandissant, je risquais d’avoir mal et de sentir mauvais... Comme les gants de toilette étaient raides et me grattaient, je me savonnais et me frottais à main nue... C’est comme ça que j’ai trouvé que si je me frottais longtemps, ça me faisait des choses agréables dans tout le ventre...— C’est comme moi quand je me lave la queue, si j’insiste un peu trop sur le bout, c’est très sensible, ça me chatouille et elle devient toute raide.... Comment tu sais que ton bouton s’appelle clitoris?— C’est marraine qui m’a expliqué lorsque j’ai eu mes premières règles... Et puis, quand j’allais au foyer des jeunes travailleurs, les filles en parlaient souvent... Le soir, au dortoir, certaines se caressaient. Il y en avait qui s’enfermaient à deux ou trois dans les wc pour se chatouiller entres-elles... Il y en avait même qui se léchaient...(Petite précision : Ma soeur a obtenu son CAP de secrétariat/comptabilité par apprentissage en alternance. Elle travaillait dans un cabinet d’assurances pour apprendre la pratique et allait une semaine sur quatre suivre les cours théoriques au centre de formation des apprentis (CFA) de la chambre des métiers. Pendant cette semaine, l’hébergement était assuré dans un foyer des jeunes travailleurs en chambrées de six ou huit lits)— Ha oui? Peut-être que c’est bon?... Tu n’as jamais essayé?... C’est quoi tes règles?...— Non, je n’ai jamais osé en présence des autres... Maman, marraine et les tantes m’ont toujours dit que c’était mal de se toucher et que je risquais de devenir idiote... Les règles, chez les filles, c’est quand elles peuvent avoir des bébés. Dans notre ventre, il se forme comme une demi graine. L’autre demi graine se forme dans les couilles des garçons. Si un garçon ne rentre pas son zizi dans celui de la fille pour y déposer sa graine (le sperme), celle des filles est évacuée en saignant de là (me montrant l’intérieur de sa fente). Cela nous arrive tous les mois... Je te ferai voir... C’est la même chose entre le taureau et la vache, la chèvre et le bouc, le chien et la chienne et chez tous les animaux... on dit que la femelle est en chaleur..."Mon regard ne pouvait se détacher de cette moule grande ouverte... Je ne pouvais résister à l’envie de l’embrasser et de lécher ce jus que je voyais s’accumuler dans l’entrée...
Je prenais donc son clitoris entre mes lèvres et, d’un coup de langue, j’essuyais toute cette mouille dont j’appréciais le goût...Ma soeur était si surprise ou la sensation était si forte qu’elle avait un soubresaut en poussant un cri... Inquiet, je lui demandais si je lui avais fait mal..."- Ho non! Bien au contraire, c’est bon... J’ai eu comme une décharge électrique très puissante... Tu devrais continuer... S’il te plaît..."Je ne me faisais pas prier pour aspirer ce bouton de chair et boire à la source ce breuvage sublime. Pour me plaire, cela me plaisait fortement et me procurait un plaisir nouveau que je ne connaissais pas. Je ressentais des vibrations dans tout mon corps et surtout je sentais mon membre grossir comme jamais.J’étais à genoux entre les jambes de ma soeur quand elle me demanda de m’approcher pour me faire la même chose "sur la partie la plus sensible de mon corps"... C’était ainsi que nous nous retrouvions dans la position, dite du soixante neuf, excitant mutuellement nos sexes en feu.C’était en même temps que nous jouissions. M’étant retiré de sa bouche, je déchargeais en longues giclées sur la figure de ma soeur. Me retournant, je la voyais s’essuyer d’un doigt qu’elle suçait pour avaler. Comme elle avait l’air d’apprécier, je finissais sa "toilette faciale" en quelques coups de langue... C’est ainsi que je goûtais mon sperme... Un peu acre, le goût n’était pas si mauvais...Nous nous serrions dans les bras l’un de l’autre en un long baiser passionnel, mélangeant nos liqueurs sexuelles dans la danse effrénée de nos langues.Nous ne bougions pas en appréciant ce repos dans l’attente du sommeil.Au bout d’un moment, il me semblait que ma soeur sanglotait. Passant une main sur son visage, je sentis des larmes rouler sur ses joues. Inquiet, je la fis se retourner pour qu’elle me regarde et lui demandais d’où venait son chagrin..."- Je suis heureuse... et j’ai honte...— Si tu es heureuse, pourquoi tu as honte ?— Je suis heureuse parce que je suis bien avec toi qui m’as faite femme en me donnant beaucoup de plaisir... Je suis heureuse parce que je t’aime et que tu m’aimes... Mais j’ai aussi honte parce que tu es mon frère et ce que nous venons de faire est mal et sale... J’ai honte parce que nous ne pourrons jamais vivre ensemble ou que nous serons obligés de nous cacher... Oui ! J’ai honte parce que j’ai trouvé que l’amour comme nous venons de faire depuis cet après midi est très bon et que j’ai envie de recommencer...— Ne pleure pas, soeurette, nous sommes un homme et une femme et ce que nous avons fait, c’est naturel... Regarde autour de nous, tous les animaux s’accouplent entre frères et soeurs, père et filles, mères et fils... C’est la nature... Il n’y a que chez les humains que c’est interdit... Mais si nous y trouvons du plaisir tous les deux, il n’y a pas de mal entre nous... Je sais que ce n’est pas bien... Mais ça nous donne tellement de plaisir... C’est tellement bon... Ce sera notre secret...On se tut. On n’avait plus rien à se dire; entre nous c’était inutile. On en savait assez l’un de l’autre. Et pour tout ce que nous ne savions pas, on s’entendait sans les mots.Bouleversé de la comprendre, je l’attirais contre moi, l’enlaçant passionnément à pleins bras comme elle m’enlaçait aussi. Refermant nos étreintes, nous restions ainsi, nous berçant du bonheur d’être deux, ensemble, dans le silence de la nuit, dans une plénitude qui nous faisait même oublier ce silence et cette nuit. Nous nous sentions protégés de toutes les menaces du monde.Mais cette pureté du bonheur ne comblait pas nos sens ni notre besoin affolé de tendresse. Elle exacerbait notre fièvre, cette avidité de la première fois où on s’était pris avec tant de violence, cette nécessité de s’aimer sans cesse réprimée par l’attente d’une occasion.Nous glissions doucement, nous écartant l’un de l’autre, sanglotant de désir, pendus au bord des yeux l’un de l’autre d’une imploration muette. Cette reconnaissance animale de l’autre nous unissait plus sûrement que le bonheur ... Je me repris, tendis la main vers elle."- Viens, n’aie pas peur -la suppliais-je humblement.— Non! Je n’ai pas peur! Je veux vivre! Je veux aller et venir en liberté! Je veux le droit de te voir, de te toucher... Je m’appartiens ... — Je m’appartiens aussi. Viens... Il y a les conventions et la dignité, les apparences. On doit se cacher à tous... Entre nous, il y a les autres, tous les autres. Ces réalités basses dont il ne faut pas parler... Elles sont laides...Mais je n’ai pas honte de te vouloir. Tu ne dois pas avoir honte de me vouloir... Nous sommes loin de tous ici... Nous n’avons de comptes à rendre à personne...— Ici ou ailleurs, tu es un homme toi... Que risques-tu à me prendr? Et moi à y consentir, à me laisser faire? Mon corps est à moi... Je veux en faire ce que je veux, quand je veux et avec qui je veux!!! Je ne suis pas à vendre. Mais je suis une femme et je risque d’être enceinte... C’est ça aussi qui me fait peur... Je voudrais que l’on puisse se donner du plaisir sans y penser...— Tais-toi, je ne t’achète pas... Je n’oublie pas le risque que tu cours, le risque que nous prenons... J’ai honte de rien et peur de rien... Tu es vivante, je suis vivant... Les autres n’ont que l’existence que nous leur reconnaissons... Aime-moi parce que je t’aime... Aime toi assez pour m’aimer ma chérie, ma soeur bien-aimée...— Moi aussi je t’aime et j’aime tout le plaisir que tu me donnes..."Je la sentais encore raidie par cette révolte qui englobait tout, d’être femme, d’être sans force face à l’adversité, les puissances de la société, la méchanceté glacée inscrite au fond de l’humanité qui foulait aux pieds la flamme du coeur, la flamme de l’amour humain, cette bonté sensuelle du corps, du sexe interdit.Elle revendiquait la liberté impossible, sans contrepartie, de s’abandonner complètement (mai1968 couvait déjà en elle...). Petit à petit elle céda, se décontracta, fondit contre moi...Je caressais ses seins dont les bouts sont durs et raides, pointant fièrement et d’un air implorant vers mon regard. Mes lèvres remplaçaient mes mains qui allaient explorer ce corps chaud en descendant vers son ventre, ses cuisses, forçant le passage entres elles pour remonter, caressant ses fesses en passant, suivant la courbe des hanches et des reins pour revenir sur cette poitrine attirante avant de repartir encore et encore en une lente caresse de plus en plus douce...Malgré elle, elle se cambra, m’appela, écartant ses jambes pour mieux faciliter le passage sur son intimité secrète et humide. Je la touchais où elle voulait. Elle attendait que je vienne la faire frémir en ondoyant suivant le flux et le reflux de sa nervosité.Elle poussa de petits cris d’étonnement, qu’elle n’entendit pas, comme blessée à chaque passage de mes doigts. Elle referma ses cuisses pour freiner la montée du désir.Tout contre mon visage, elle interrogea le plaisir que je lui donnais... Ses yeux plongés dans les miens, elle jouissait autant de la caresse de mes mains que d’être exposée à ma vue sans pudeur et sans défense...Quelle cruauté se serait d’arrêter maintenant, si je l’abandonnais... Elle rendit l’extrême convulsion qui déferlait en elle... Cela venait de si loin, qu’elle en resta inerte et sans conscience, pleine de la pure beauté, immense, épuisante victoire qui ravissait l’esprit et les sens...C’était cela qu’on pouvait se donner sans se perdre, s’accorder sans honte au-delà de la faute et du mal, sans remords et sans blessure d’amour-propre. On pouvait inventer tant d’autres gestes pour faire ce bien ineffable, anéantissant et terrible, dispensant la prodigieuse jouissance à nos corps sevrés de plaisir...On pouvait se regarder dans les yeux sans rougir de l’amour et du respect pour la liberté qu’on se donnait...Elle souriait. Nos lèvres s’unirent en un long baiser passionnel...Couché sur le dos, mon membre raide pointant vers le plafond, j’attendais de pouvoir faire éclater mon bonheur.Comme si elle avait lu dans mes pensées, ma soeur fit quelques mouvements pour enjamber mes cuisses et venir s’empaler sur ce pieu de chair qui n’attendait que ça.Nos sécrétions intimes, en se mélangeant, facilitaient le glissement de nos chairs... Très vite, Josette se mit à pousser ses petits cris de bonheur qui montaient crescendo avec son plaisir.Moi même, je sentais mon membre se gonfler de plus en plus.Restant passif, c’est ma soeur qui donnait le rythme et la profondeur de cette pénétration.Dans une ultime descente, elle cessa tout mouvement, elle se cabra, rejetant sa tête en arrière, fermant les yeux, criant son bonheur, elle savoura sa jouissance. Simultanément je ne pus retenir les spasmes libérateurs de longues giclées de sperme chaud et épais au fond de son trou.Le calme revenu, nous nous sommes allongés, l’un à côté de l’autre, l’un dans les bras de l’autre, nos sexes toujours "emboîtés" l’un dans l’autre... C’est ainsi que le sommeil nous a surpris pour le reste de la nuit...
Peu avant midi, ce dimanche, nous nous sommes réveillés, nos corps encore douloureux de nos ébats.Après une bonne douche, un bon casse croûte, c’est frais et dispos, toujours nus, que nous avons rangé la maison, effaçant toutes traces pouvant laisser deviner nos activités lubriques, avant de nous habiller...
En fin d’après midi nos parents sont revenus porteurs d’une nouvelle qui allait "bouleverser" notre vie : Mon oncle (frère de mon père) et ma tante (sa femme) acceptaient de m’héberger quelques temps dans l’espoir de me faciliter la recherche d’un emploi avant mon départ au service militaire.Cette situation, me séparant de mon amante de soeur, me permettait de mieux faire connaissance de mon oncle et surtout de ma tante...Mais cela est une autre histoire...
Petikokin
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