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Histoire coquine d'une femme libérée

Chapitre 1

Hétéro
Histoire coquine d’une femme libérée.
C’est mon anniversaire. Et ce soir je vais le fêter avec Loïc.Nous nous sommes rencontrés il y a quelques mois, et depuis je suis amoureuse comme jamais de cet homme, de vingt ans mon aîné, qui sait si bien me combler.J’ai tout organisé, super classe. Nappe blanche, bougies, repas froid et champagne au frais. Je me fais couler un bain. Ce soir je veux être séduisante, et plus encore, sexy, et plus encore.... j’ai tellement envie de me donner à lui.Je flotte dans mon bain de mousse. Puis je me sèche, me parfume.... Je me rase soigneusement le sexe, je sais qu’il adore ça. Je me re-parfume, me maquille légèrement pour faire briller mes yeux. Je laisse mes cheveux libres sur mes épaules. Et vient le moment de choisir une robe. Je n’hésite guère: ce sera celle que je viens d’acheter par correspondance et qui est arrivée ce matin même. C’est une petite robe noire, retenue par de fines bretelles, laissant les épaules et le dos nus.J’ai choisi une taille en dessous, ce qui la rend très moulante. Je l’enfile directement sur la peau, sans sous vêtements. Je sais qu’il sera excité de me voir ainsi, mais pour l’instant c’est moi qui suis excitée... Je suis déjà humide entre mes cuisses... On sonne. Je me précipite. C’est lui. Un bouquet dans une main et un paquet dans l’autre. Vite un vase pour les fleurs.Il me complimente pour l’accueil, mention spéciale pour ma robe : "Je parie que tu n’oserais pas sortir avec" me dit-il. C’est vrai, je n’oserai pas. Le décolleté affleure le bout des seins, déjà durs de désir et je me sens indécente, le cul serré sous le tissus. "Tu ouvriras ton cadeau tout à l’heure" fit-il devant mon impatience. Nous passons à table. Je suis bien trop excitée pour apprécier vraiment les mets. Une coupe de champagne et je me sens déjà partie. Ses yeux ne me quittent pas. Je remonte sans cesse mes bretelles qui glissent et qui laisseraient échapper un sein si je m’agitais trop. Mon désir est certainement très visible."Alors ce cadeau ?""Si tu y tiens..." fait-il négligemment.J’arrache le papier, ouvre la boite... et reste un instant interdite. C’est une paire de menottes...Pas en plastique, des vraies, modèle de police. Tout d’un coup je rougis et me trouble."Tu veux me mettre en prison ?""Oui, dans une prison d’amour ! Eh bien essaye-les" Me ramenant gentiment les bras derrière le dos, il verrouille mes poignets et me contemple. Obligée de cambrer dans cette posture, mes seins deviennent très saillants sous la robe. Il m’embrasse sur la bouche profondément avec la langue. Je m’embrase. Puis ses lèvres descendent sur mon cou, mes épaules, mon dos. Je sens mes jambes se dérober sous moi. Je voudrais répondre à son étreinte, le serrer contre moi, mais je ne peux que tirer sur mes menottes qui me serrent et me font mal. Je suis haletante. Il poursuit en me caressant à travers la fine étoffe de la robe, devine ma nudité qui affleure, insiste sur les pointes de mes seins. Je défaille. Je gémis. Une bretelle glisse, un sein s’échappe, libre, tendu vers les lèvres qui le cueillent. Mes pointes de seins sont hyper sensibles. Je sens l’orgasme qui monte. J’essaie de le retenir. Sa main est sur mon ventre, s’insinue entre les cuisses que j’écarte sans résistance. Oui... je suis ouverte maintenant, mouillée depuis longtemps, j’ai trop envie. Voilà, j’arrive... je... je jouis... je crie...c’est fort... c’est bon..."Prends-moi... maintenant... je t’en supplie..."Il semble s’amuser de mon état. Il me fait attendre. Maintenant, le haut de ma robe a glissé, livrant mes seins sans défense aux caresses et aux baisers de mon amant. Il remonte ma robe sur mon ventre. Je ne peux rien faire d’autre qu’écarter largement les cuisses, lui livrer ma chatte ouverte et inondée, le supplier :"Maintenant... je t’en supplie... viens... j’en peux plus..." Et c’est vrai. Je n’en peux plus. Ces maudites menottes qui m’immobilisent ne font que décupler mon impatience et intensifier mon désir et il le sait bien. Il joue avec mon exaspération. Il veut me conduire aux limites du supportable. A petits coups de langue il explore ma chatte qui ruisselle. Mon clitoris est bandé à l’extrême. Sa langue l’effleure et ça y est, j’éclate dans un nouvel orgasme, d’autant plus violent que je ne l’avais pas senti venir... J’implore :"Ta queue.... ta queue...." Il me fait mettre à genoux. Sans me délivrer, il ôte son pantalon. Sa queue dressée devant moi, est raide, brûlante et dure. Il l’approche de mes lèvres. J’ouvre une bouche consentante. Il me pénètre. Je le suce avec passion, je fais courir ma langue sur son gland, je sens qu’il palpite, et en même temps un nouvel orgasme me noue le ventre. Brutalement il se retire, et je sens un jet de sperme brûlant m’inonder le visage. J’ouvre la bouche, je voudrais le boire. Les giclées continuent, puissantes, et m’inondent le cou et la poitrine que je lui tends. "Bon anniversaire, aurélie... Ce n’est que plus tard qu’il me délivrera, me transportera, nue, sur mon lit, et, déposant un chaste baiser sur mon front partira sur la pointe des pieds.
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