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Histoire d'un dépucelage

Chapitre 1

Inceste
Cette histoire est un peu le complément à la première partie de " Sexe, Inceste et triolisme. Il s’agit du dépucelage de Marc et de sa découverte des plaisirs du sexe avec sa tante.Fils unique, des parents commerçants travaillant quasiment 7 jours sur 7, je passais plus de temps chez ma tante et son mari qu’avec mes parents, notamment à chaque vacance scolaire, ceux-ci ne voulant pas que je reste seul dans l’appartement. De plus, eux avaient une petite maison.
De tout jeune, j’ai eu ma chambre chez eux. J’avais, pour ainsi dire, deux foyers, et ma tante en maman de substitution......C’était un couple sans enfant, au moment des faits, ma tante avait dans les 45 ans, et son mari, que j’appelais mon oncle, la cinquantaine.Mon oncle avait un boulot qui l’occupait du matin au soir, du lundi au samedi ; bref, pas très présent auprès de sa femme. Le soir, après le repas, c’était un peu la télé dans son fauteuil ; ensuite, il allait se coucher, nous laissant seuls, ma tante et moi, sur le canapé, à regarder la télé...
Ma tante, femme au foyer, s’occupait de la maison et du petit jardin. C’était une femme douce, gentille et souriante. Question physique, je dirai aujourd’hui qu’elle ressemblait à l’actrice qui joue dans le film " la grande bouffe ".
Les vacances d’été venaient de commencer... il faisait déjà chaud en ce milieu de matinée...
— Tu devrais aller fermer les volets de ta chambre, ça va encore chauffer aujourd’hui...
Tournant la tête, je vis ma tante, penchée en avant, à ramasser je ne sais quoi. Mon regard a été immédiatement attiré par le haut de sa blouse déboutonnée. J’avais une vue imprenable sur la vallée des seins lourds qui tendaient le tissu. Avec la chaleur, elle s’était laissée aller et ne portait sous sa blouse sans manche qu’un jupon qui faisait soutien-gorge, comme nombre de femmes à cette époque.
Sa tenue n’avait rien de sexy en soi, mais chez le puceau que j’étais, cela mit mon imagination et mes hormones en émoi.Le soir, dans mon lit, je me suis masturbé longuement avec la vision de cette poitrine généreuse en tête. Le plaisir que j’ai eu a été de loin supérieur à ceux que j’avais, après avoir aperçu le haut d’une cuisse de mes copines.
Le lendemain, après le repas de midi, impossible de rester dehors avec la chaleur, je suis monté dans ma chambre où les persiennes fermées depuis le début de matinée avaient gardé une fraîcheur relative tout en laissant passer une certaine clarté.
Allongé sur mon lit, je n’avais gardé que mon slip. Mes pensées vagabondaient sur la vision de la poitrine de ma tante. Les mains d’abord dans le slip, je l’avais retiré pour mieux me tripoter.Dans le calme et la pénombre de ma chambre, les yeux fermés, je savourais le lent va-et-vient que je faisais faire à mon prépuce sur mon gland dilaté. Je ne me branlais jamais de façon frénétique, j’aimais faire durer mes branlettes le plus longtemps possible, m’arrêtant de temps à autre pour calmer le jeu et éviter une éjaculation trop rapide.
Impossible de dire depuis combien de temps j’étais à me branler. Le plaisir montait, j’allais atteindre le point de non-retour, et cherchais mon slip afin de recueillir mon sperme sur le point de jaillir.
Avais-je juste poussé la porte de ma chambre ???... Je ne sais plus...Toujours est-il qu’en ouvrant les yeux pour mettre la main sur mon slip, je vis ma tante, debout à côté de mon lit, sourire aux lèvres.Paniqué d’être surpris en plein " délit " de masturbation, par réflexe, j’essayais de dissimuler mon érection et ses deux jumelles de mes mains. Peine perdue, je n’ai réussi à rien bloquer en érection.
— C’est normal ces choses-là, à ton âge... Rassure-toi...ça restera entre nous.....
S’asseyant sur le bord du lit, elle écarta lentement mes mains, le regard porté sur mon sexe toujours en érection et mes testicules bien remontés.J’étais paralysé, muet, jamais je n’aurai imaginé un tel geste de ma tante d’habitude pudique.Le contact de sa main sur ma cuisse faisait monter dans mon bas-ventre une sensation que je n’avais jamais connue, mon sexe était raide comme un bâton de flic.
— J’aurais jamais cru que tu en as une comme ça... Elle est beaucoup plus grande que celle de ton oncle... dit-elle refermant délicatement ses doigts sur ma queue raide. En faisant coulisser lentement sa main sur ma tige, mon gland violacé est sorti de son manchon.
J’en étais presque honteux de bander aussi fort. Délaissant mon cierge, sa main passa entre mes cuisses pour partir à la découverte de mes testicules qu’elle palpa avec délicatesse du bout des doigts comme elle l’aurait fait avec un fruit mûr.
— Et bien plus grosses aussi. Il y a mieux que tes doigts pour les vider, tu sais.....
Les yeux rivés sur ma colonne de chair plus raide que jamais et sur sa main qui continuait à me palper les couilles, je n’avais pas vu que de l’autre, elle avait déboutonné sa blouse jusqu’à la taille.Sans rien dire de plus, sans précipitation, elle s’est redressée, a descendu sa culotte et m’a enjambé. A cheval sur moi, sa main droite sous sa blouse, elle s’est emparée de mon gourdin le guidant entre ses cuisses, le gros bout dans le cratère de sa vulve.
Elle m’a regardé dans les yeux, écarté les cuisses, ondulé des hanches et s’est laissée glisser lentement sur mon pieu jusqu’à la garde en exhalant un long soupir de satisfaction.Le temps s’est arrêté quelques secondes, je n’en croyais pas mes yeux, ma tante venait de s’empaler sur moi. Elle a fini de déboutonner sa blouse qui a atterri sur la descente de lit tout comme son jupon qui passa aussitôt par-dessus ses épaules.
Penchée sur moi, en appui sur ses mains, j’avais devant les yeux les deux globes de ses seins lourds sur lesquels je m’étais masturbé et vidé les couilles la veille.Ses seins lourds se terminaient par de larges aréoles roses et des petits bouts... sans doute parce qu’elle n’avait jamais connu la maternité ni allaité.
— Tu peux les sucer... Il y a longtemps que ton oncle ne s’en occupe plus... ni trop de moi, d’ailleurs, susurra-t-elle.
Timidement, j’ai commencé à les caresser, les palper, puis à leur faire de petits bisous pour enfin oser saisir entre mes lèvres ses petits bouts durcis, les sucer et les allonger...Sa peau s’était couverte de chair de poule, ma tante frissonnait, sa respiration était entrecoupée de petits : " oooooohhhh ", dès que j’aspirai plus fort ses mamelons.Tout en me laissant lui téter le bout des seins comme l’aurait fait un bébé, elle a commencé à onduler sur mon sexe raide. Avec régularité, elle faisait des circonvolutions, je sentais le fond de son vagin frotter sur le bout de ma bite comme si elle voulait faire entrer mon gland dans son utérus, un satellite en orbite autour d’une planète...
A chaque mouvement de ses hanches, il y avait un clapotis et un bruit de succion entre ses cuisses. Elle mouillait abondamment et sa mouille coulait sur moi.Sa respiration est devenue plus forte, elle ondulait les yeux fermés, la bouche ouverte.A ce rythme-là, bien que je faisais durer mes branlettes pour le jour où cela m’arriverait, je n’ai pas pu tenir...
—..... Ma tante.....
Pour toute réponse, elle s’est ouverte encore plus et s’est appuyée plus fort sur mon gland en poussant de petits gémissements presque plaintifs. Après un geignement plus long que les autres, elle s’est affalée, m’écrasant la poitrine de ses seins généreux. Je l’ai serrée contre moi, elle a dû me sentir jouir, car j’ai senti son fourreau se contracter plusieurs fois.Allongée sur moi, sa tête dans mon cou ; mes mains couraient de son dos à ses fesses.J’avais fait enfin l’amour avec une femme..... ma tante. Disons plutôt qu’elle s’était baisée sur moi et m’avait fait jouir.Après un long moment, elle s’est laissée glisser sur le côté.
— C’est pas mieux que tes doigts..... ? Dit-elle tout en me caressant la poitrine et le ventre du bout des doigts en me regardant.
Sans expérience, je la laissais faire, ses caresses étaient lentes et douces glissant progressivement vers mon entrejambe... Sans y paraître, elle savait y faire. Elle joua délicatement avec mes testicules soulagés, puis les délaissa pour reprendre en main mon sexe qui se redressait. Me jugeant, sans doute, apte pour un nouvel accouplement, elle se mit sur le dos en écartant les cuisses.
— Viens... calant de nouveau mon bout dans l’entrée de son vagin gluant, d’un coup de reins, les mains appuyées sur mes fesses, elle me fit disparaître de nouveau en elle.— Ne t’inquiète pas... tu peux éjaculer comme tu veux... je suis stérile...
Le lent mouvement de son ventre donna le tempo, nous avons fait l’amour en nous embrassant. Avec l’excitation de l’interdit de notre relation, nous n’avons pas mis longtemps pour jouir tous les deux presque en même temps.
Nous sommes restés emboîtés à nous faire des caresses dans la pénombre, j’étais bien dans son ventre. Nous avons parlé... enfin, c’est elle qui a parlé le plus.La vue de mon érection et de mes glandes génitales l’avait fait basculer dans l’infidélité. Elle ne regrettait pas d’avoir trompé son mari pour la première fois de sa vie avec moi, son neveu. J’appris que mon oncle, jamais trop porté sur le sexe, l’était encore moins depuis que sa stérilité avait été officielle et qu’elle était ménopausée. Mon oncle se vidait les couilles épisodiquement juste au moment de se coucher... un peu par hygiène.
Elle le laissait faire en simulant, cela le faisait jouir plus vite, et après, elle retournait devant la télé et se doigtait.J’ai pu le constater quand le samedi soir suivant, vers 21h30, mon oncle alla se coucher. Ma tante l’a suivi, un peu plus d’un quart d’heure après, elle est réapparue en robe de chambre et elle s’est rassise sur le canapé contre moi. J’ai pensé à ce moment-là qu’elle était allée se changer pour ne pas le réveiller quand elle irait se coucher.
Nous avions des relations sexuelles depuis environ 3 semaines. Dans le salon juste éclairé par la télé, totalement inconscient l’un et l’autre de ce qui pouvait arriver, elle m’a laissé hasarder une main entre les pans de sa robe de chambre sous sa chemise de nuit et remonter lentement jusqu’à son minou... que j’ai trouvé humide.
— Ton oncle... murmura-t-elle à mon oreille, écartant les cuisses sans réserve, pour me faciliter l’accès à l’intérieur de son sillon.....
Avoir été baisée sans plaisir par mon oncle l’avait stimulée.Je bandais dur, la situation était plus qu’excitante..... Pendant que mon oncle dormait à quelques mètres, j’avais les doigts dans la chatte de sa femme.Je n’ai pas eu à bouger les doigts longtemps dans sa moule gluante. Elle a écarté les cuisses largement, la tête en arrière, les yeux fermés, elle a saisi mon poignet enfonçant encore plus mes doigts dans son vagin débordant de mouille. Tourné vers elle, je l’ai vu mordre le revers de sa robe de chambre, d’un seul coup, elle a resserré ses cuisses en poussant un soupir sans fin.
Elle s’est détendue, rouvert les yeux. Mon short faisait une grosse bosse. Sans rien dire, elle a ouvert mon short et extirpé mon cierge raide, totalement décalotté... les testicules prêts à laisser ma cire s’échapper. Elle s’est penchée sur mon bas-ventre, sa bouche chaude pleine de salive m’a enveloppé le gland, un peu comme on gobe une boule de glace... et m’a sucé.
Putain que c’était bon !C’était ma première fellation, et de loin, la plus excitante qu’une femme m’ait faite. Bien qu’ayant déjà fait l’amour en début d’après-midi, j’ai joui comme un fou presque immédiatement la main posée sur sa tête jusqu’à ma dernière contraction... Elle s’est redressée, nous avons échangé un baiser, elle avait gardé de ma semence en bouche.....
Cette soirée pleine d’émotions a scellé définitivement notre relation interdite.De l’amour entre nous ? Je ne crois pas. Un sentiment de bien-être, de la tendresse, et une grande passion dans le sexe, cela oui.Je lui donnais l’énergie que son mari ne lui apportait plus, et elle me donnait ce qu’un jeune de mon âge pouvait chercher avec une femme mûre..... du sexe...Il y avait quand même un " mais ". Le lendemain dimanche, mon oncle serait à la maison, impossible de se retrouver au lit une partie de l’après-midi.Le dimanche suivant, mon oncle part faire une sieste, et ma tante était au jardin. Je suis allé la rejoindre, et de l’abri de jardin, je l’ai appelée discrètement. Dès qu’elle a été à l’intérieur, je l’ai enlacée en pétrissant ses seins lourds pendant qu’elle ouvrait mon short pour me tripoter la queue et les couilles. J’ai relevé sa blouse et son jupon, et retiré sa culotte. Coincée contre l’espèce d’établi, elle a replié une jambe pour que j’atteigne l’intérieur de sa vulve où d’emblée, index et majeur réunis, je lui ai ouvert le vagin. Elle a poussé un " aahh" d’étonnement, ne s’attendant sans doute pas à ma précipitation de lui ouvrir ainsi sa caverne.
Elle s’est laissée retourner ; mon short à mi-cuisse, je lui ai mis direct ma queue raide dans son vagin coulant de mouille. Et là, je ne sais pas pourquoi, je lui ai enfoncé en même temps mon index gluant dans l’anus. Sa surprise a été totale, elle ne s’y attendait pas. Le cul cambré, elle s’est mise à geindre, les deux orifices intimes occupés. Elle a joui dans un râle de bête blessée, j’ai retiré mon doigt de sa rondelle pour la tenir par les hanches pour mieux lui bourrer la chatte comme à une chienne en chaleur. Dans un dernier coup de reins, je suis resté collé à sa croupe évacuant la semence que j’avais accumulée depuis la veille.
J’ai regagné le salon où mon oncle regardait la télé sans se douter que je venais de baiser sa femme. P..... ma tante était bonne...Depuis ce jour-là, chaque dimanche, elle ne porta plus de culotte... et nous sommes passés à 2 ou 3 levrettes...Les vacances finies, après les cours, je faisais un détour par chez eux pour la baiser avant de rentrer chez moi... et surtout avant le retour de mon oncle.Je pense qu’il a su que ma tante et moi baisions très régulièrement quand il a demandé à ma mère si je pouvais venir dormir chez eux les fois où il s’absentait pour son travail, au motif qu’il sentirait ma tante plus en sécurité.
Dans un sens, tout le monde y trouvait son compte. Lui pouvait continuer à tirer son coup suivant ses envies, conscient qu’il n’apportait plus à sa femme ce dont elle avait besoin, qu’elle n’allait pas baiser avec des inconnus et que vu notre différence d’âge, elle ne serait pas tentée de quitter le domicile conjugal.
Moi ; pas besoin de chercher une copine, je pouvais baiser avec ma tante presque tous les jours.J’ai couché régulièrement avec elle plus d’une vingtaine d’années sans m’en lasser, elle non plus, d’ailleurs. D’où sans doute mon attirance pour les femmes de plus de 40 ans, et éviter le risque qu’elles demandent à être engrossées.
Pour tout cela, je ne voyais pas pourquoi ma compagne Cécile ne dépucellerait pas son fils et n’aurait pas des relations sexuelles régulières avec lui.
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