Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 160 J'aime
  • 11 Commentaires

Histoire d'eau ...

Chapitre unique

Erotique
Cette histoire est dédiée à Pussy?s Berserk, un jeune lecteur et, je crois, jeune admirateur.

Je m’appelle Chantal et à 51 ans, quand on est divorcée et sans enfants comme moi, le temps peut sembler parfois bien long même si on a une activité professionnelle prenante. Les soirées trainent en longueur, surtout quand les jours raccourcissent. Les week-ends sont interminables, surtout si on n’est pas une fan inconditionnelle du curé de la paroisse le matin ou de Michel Drucker à la télévision l’après-midi.Par ailleurs, si on ne veut pas être rangée définitivement dans la catégorie des « remèdes contre l’amour », il faut veiller à sa ligne, entretenir son corps, soigner ses tenues, ….. C’est la raison pour laquelle je ne lésine pas sur les remèdes contre les ans. Cours de Pilâtes le lundi en fin d’après-midi, jogging le mercredi midi avec les copines de travail et piscine le vendredi soir. C’est aussi coiffeur toutes les trois semaines, manucure chaque fois que nécessaire et pas d’économie sur les produits de beauté et autres pommades miracles.
Je ne fume jamais, je ne bois de l’alcool que très rarement et je surveille mon alimentation. Oui je sais, il faut parfois se violenter pour résister à une bonne cigarette après le café, refuser un bon petit apéro le midi en terrasse ou ne pas reprendre au dessert de cette excellente mousse au chocolat. Mais force est de constater que cela produit ses effets car j’attire encore le regard des hommes et ma sœur, de huit ans ma cadette, me jalouse. Elle me soupçonne même d’avoir recours à la chirurgie esthétique ; lifting, lipofilling mammaire, blépharoplastie et autre liposuccion. Pourtant, j’suis 100 % naturel !Je vis sans homme à la maison mais ce n’est pas pour autant que je n’aime pas les hommes. Je ne fais pas l’amour tous les jours mais je n’ai encore jamais été en manque. Je ne suis pas accro au sexe mais cela ne veut pas dire que je refuse un bon plan cul.Mais dans ce domaine, j’ai aussi quelques principes simples. Jamais de sexe au boulot ou avec un collègue de travail. Jamais plus de deux rencontres avec le même amant. Un téléphone et une adresse mail dédiés aux rencontres. Jamais d’envoi de photo du visage. Oui c’est contraignant mais ça évite bien des soucis.
En ce vendredi 14 octobre début de soirée, je me hâte pour aller à la station de métro près de mon appartement et rejoindre la piscine Balard avenue de la porte de Sèvres. Même s’il y avait une autre piscine plus près de chez moi, j’ai privilégié celle-ci car elle fait partie du pôle sportif du ministère de la défense et il faut montrer patte blanche pour en devenir membre.Il doit être tout juste 20h00 quand je plonge dans le bassin de 25 mètres et débute ma première longueur. Je ne compte pas les allers-retours car je fais le vide en moi. Après une longue journée de travail comme contrôleuse de gestion, concentrée derrière mon ordinateur à vérifier les comptes des sociétés clientes, c’est un bonheur de reprendre possession de son corps et de n’être plus qu’un cœur battant et quatre membres fendant l’eau de la piscine. J’aime cette impression d’être un poisson au milieu de l’océan, loin de toutes préoccupations. Ici, l’essentiel n’est pas l’essence et je me moque de ces quelques cégétistes qui emmerdent tout le monde.
Au bout de vingt minutes, je fais une pause au bout du bassin. Je me cale contre la paroi du bassin et je fais des exercices respiratoires comme me l’a appris ma professeure de Pilates. C’est alors que je découvre la tignasse rouquine de mon jeune admirateur qui nage dans la ligne d’eau d’à côté. Je l’ai repéré il y a déjà quatre ou cinq séances car il semble être réglé sur mes activités. Il est assis sur le bord du bassin si j’arrive un peu en retard ou bien il se presse de se mettre à l’eau si je suis arrivée avant lui.Il me fait penser à un jeune viking, entre vingt et vingt-cinq ans, 1m80, un bon 100 kg, longs cheveux roux, barbu et quelques tatouages.. Certains vendredis, il nage juste à ma hauteur et se cale sur mon allure. D’autres vendredis, il reste dans mon sillage juste derrière moi. Son petit manège me fait sourire car il imagine certainement que je ne l’ai pas remarqué.Parfois, pour m’amuser … de lui, je sors du bassin et je fais quelques mouvements de Pilates sur le bord de la piscine pour me décontracter les bras et les jambes. Il s’arrête alors de nager, s’accroche au rebord du bassin et fait des exercices d’apnée en mettant la tête sous l’eau. Mais dès qu’il ressort la tête pour reprendre une grande bouffée d’air, il ne me quitte pas du regard. Ses yeux me détaillent de la tête au pied. Ses yeux s’attardent parfois sur mes seins ou sur mes fesses que je bombe alors vers l’avant ou tend en arrière.
Je ne suis nullement une cougar et je n’ai aucune expérience avec de jeunes hommes. Disons que je suis une classique et mes amants ne sont que des hommes de mon âge, parfois des quadragénaires, plus souvent des sexagénaires que je sais plus attentifs aux désirs et envies de leurs partenaires.Mais je me doute que pour quelques jeunes hommes, j’ai tout de la MILF qui hante leurs nuits. Je suis quasiment certaine que mon jeune rouquin de la piscine Balard se branle tous les vendredis soir en pensant à moi. Il suffit de voir l’éclat de ses yeux quand il me regarde pour savoir que cette nuit, seul dans son lit, il va se pignoler avec vigueur.Les premiers temps, je mettais un maillot une pièce pour venir nager ici. Puis, à l’instar de quelques nageuses et histoire d’exciter un peu plus mon jeune viking, j’ai décidé de mettre un maillot deux pièces. Comme je passe en général mes vacances d’été à la plage, j’en ai toute une collection.
Aujourd’hui, peut-être est-ce le destin qui en a voulu ainsi, je porte un maillot blanc plutôt provocant. Le haut est constitué de deux triangles de tissu qui dissimule tout juste mon 85B. Le bas n’est pas trop osé mais épouse parfaitement le galbe de mes fesses et mon pubis. A travers le tissu blanc mouillé, on devine aisément la fente de mon sexe et ma petite touffe de poils pubiens.Je dois faire de l’effet à mon jeune rouquin car, à plusieurs occasions, je l’ai vu remettre en place sa queue dans son maillot de bain. Il faut dire qu’à cet âge-là on réagit vite et longtemps. Je me demande si son sexe est proportionnel à sa taille ! Lorsque je me décide à faire mes quelques mouvements de Pilates à l’extérieur du bassin, je me mets volontairement de profil pour qu’il ne perde rien du spectacle. A moment de me remettre à l’eau, je reste assise quelques minutes sur le rebord du bassin, les jambes bien écartées. Lorsqu’il arrive à ma hauteur, dans la ligne d’eau d’à côté, et fait son virage pour repartir, je vois son regard s’attarder sur mes cuisses et le fin tissu qui me fait comme une seconde peau transparente. Moi je regarde ses tatouages, cela lui donne un air de je ne sais quoi qui m’excite.
Il est déjà 21h00 et c’est l’heure de rentrer chez moi. Je sors de l’eau et me dirige vers les vestiaires en ondulant de la croupe. Comme chaque vendredi, je sais que mon jeune inconnu va lui aussi quitter le bassin.Après avoir pris un peu de temps pour trouver ma serviette de toilette, mon shampoing et mon gel douche, je me rends vers les douches. Alors que je m’apprête à entrer dans une cabine et refermer la porte derrière moi, le voici qui passe à moins d’un mètre en se dirigeant vers les douches réservées aux hommes. Je ne sais pas ce qui me prend, peut-être un coup de folie, mais je lui dis-    Excusez-moi de vous déranger mais j’ai un petit souci.Il s’arrête, rougit et ne sait pas quoi me répondre. Je poursuis en lui tournant le dos et en pointant d’une main la ficelle du haut de mon maillot-    Oui, je suis désolée mais j’ai dû faire un nœud et je n’arrive pas à le défaire. Vous voulez bien m’aider ?Il se rapproche de moi et je fais deux pas pour l’entraîner avec moi dans la cabine de douche que je referme.
Il défait le nœud de mon maillot que je retire rapidement. Je me retourne et lui fait face. Il est intimidé et ne sait pas quoi dire. Il est si grand que je dois me mettre sur la pointe des pieds pour l’atteindre. Je prends l’initiative, l’attire à moi et l’embrasse sur la bouche. Mes lèvres se collent aux siennes, ma langue joue avec la sienne. Ce géant semble handicapé de ses mains et ne sait pas où les mettre. Il est surpris, comme paralysé. Bien évidemment, mater une femme et la désirer, c’est facile. Mais passer à l’acte, c’est autre chose. Surtout quand il s’agit de la première fois !Je libère ses lèvres mais mon corps reste tout contre le sien. Je le regarde droit dans les yeux et lui dit-    J’ai envie de toi ! Baise-moi !C’est alors comme si je venais de prononcer une formule magique. Ses bras m’enserrent et me caressent les épaules, le dos et les fesses. Sa bouche me dévore la nuque, il semble soudain insatiable. Le voici maintenant qui se met presque à genoux et me caresse les seins comme un gamin qui découvre un nouveau jouet. Et comme le bébé glouton qui découvre combien c’est agréable de dévorer sa totoche, sa bouche joue avec mes tétons. Il passe de l’un à l’autre, les suçote, les aspire et les mordille. Je recule jusqu’au fond de la cabine, me cale le dos contre le mur et ouvre le robinet. Nous devons ressembler à deux amants fougueux pris sous la pluie mais qui s’en moquent.
Mon complice semble enfin avoir trouver ses marques et laisse aller ses envies de jeune mâle curieux. Il se met vraiment à genoux devant moi, sa bouche descend sur mon ventre, puis glisse vers mon sexe tandis qu’il abaisse mon string jusqu’à mes pieds. Ses mains se plaquent sur mes fesses et il enfouit son visage entre mes jambes. Mes épaules s’appuient un peu plus fort contre la paroi tandis que mon bas-ventre se tend vers l’avant. J’ouvre grand le compas de mes hanches, sa bouche s’empare de mon sexe et sa langue brûlante s’insinue tout en moi ; l’eau se déverse depuis la pomme de douche et ruisselle sur nos deux corps.Mon bassin est comme soudé à son visage et j’ai l’impression qu’il voudrait se fondre en moi. L’eau coule sur mes épaules, descend dans le creux de mes reins, parcourt mes seins avant de glisser sur mon ventre. Puis des filets d’eau glissent le long de mes fesses avant de suivre mes jambes jusqu’à mes pieds. D’autres filets rebondissent sur sa tête, ruisselle sur son dos et ses fesses avant de finir leur course dans le bac de la douche. J’ai l’impression que nous sommes sous une chute d’eau en pleine nature ; c’est un peu comme le retour à l’état sauvage.
Mon jeune amant se redresse lentement, je sens son sexe bandé remonter entre mes jambes. Je m’abandonne à lui et il prend possession de moi. Sa queue juvénile me dilate les chairs ; il est bien monté ce jeune puceau ! J’adore me sentir ainsi possédée ; il n’a plus qu’à bien en profiter.L’eau continue de ruisseler sur nos deux corps ; je suis trempée de partout, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le dos bien calé contre le carrelage de la cabine de douche, le bas-ventre bien amarré sur cette bite bien raide, je peux relever les jambes bien haut et ainsi les croiser derrière les cuisses de mon fougueux amant. De ses mains, il me prend sous les fesses et me donne maintenant de puissants coups de boutoir. Nous devons ressembler aux amoureux peints par Edvard Munch, actuellement à l’honneur au musée d’Orsay. Les deux corps s’imbriquent l’un dans l’autre ne faisant qu’un et les visages disparaissent sous la peinture comme les nôtres sous l’eau. L’environnement extérieur ne compte pas, on ne voit que les deux amoureux enlacés sans pourtant rien voir d’eux.
Cela doit bien faire un bon quart d’heure que mon fougueux rouquin me besogne. Je transpire de plaisir et ma sueur se mêle à l’eau ; lui semble baigner dans le bonheur. Tout en me donnant de grands coups de queue, il m’embrasse sur la bouche, me dévore les épaules et les seins, on dirait qu’il veut profiter de tout. Entre deux baisers, il m’a avoué que je suis sa première fois, sa première femme. Pourtant, il se comporte comme si c’était la dernière fois qu’il faisait l’amour, profitant de chaque seconde de cette étreinte passionnée.Mais à l’impossible nul n’est tenu et je sens qu’il est au bord de l’explosion. Il ralentit la cadence pour tenir encore quelques secondes, quelques précieuses secondes qui valent autant que toutes les années qu’il a encore devant lui. Soudain, il me plaque violemment le dos contre le carrelage, pousse un long feulement de plaisir, soude ses lèvres aux miennes et décharge tout son jus. Ses puissants jets de foutre me donnent l’impression d’être autant arrosée de l’intérieur que de l’extérieur !
Nous restons ainsi enlacés sous la douche, reprenant nos esprits. Puis lentement, comme la mer se retirant à marée basse, nos corps se séparent. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, à travers le rideau d’eau qui continue de s’écouler de la pomme de la douche. Je lui fais un grand sourire, il comprend que c’est un sourire d’adieu.Au moment de sortir de la cabine, je me retourne et le regarde. Il pleure et je ne sais pas si ce sont des larmes de joie ou des larmes de tristesse. Joie du plaisir découvert avec moi ou tristesse de la première séparation. Mais l’eau emportent ses larmes, il me sourit, la vie reprend ……

FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live