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L'Histoire est un long cheminement !

Chapitre 12

Voyeurisme assumé !

Orgie / Partouze
Le lendemain, ma journée de travail me parut interminable.J’étais angoissé comme pour un examen au Collège de France. Je n’étais plus certain de rien. Vanessa n’avait rien voulu me dire concernant sa rencontre secrète avec Gisèle de la veille, alors que je rencontrais, épaulé par Gloria, le jeune Hugo. Celui-ci avait fini par nous avouer qu’il n’était pas ce modèle de vertu que nous imaginions. Il nous avait avoué que ses relations sexuelles avec Gisèle étaient satisfaisantes, mais sans grande folie. Qu’il avait tenté, timidement, de la faire évoluer, mais que sa répulsion aux hommes et surtout à leur faire confiance, n’avaient amené aucun résultat probant.
Il avait alors imaginé tous les éléments que nous avions mis en place. Que Gisèle se trouve une confidente lui permettant de développer sa féminité. Et si elle était un peu coquine, par-dessus le marché, ce n’était que bénéfice. Là où il avait été scotché, c’est lorsqu’il avait appris que cette confidente était double et que l’une d’entre elles n’était autre que son professeur titulaire, mais surtout que tout s’était déroulé au-delà de ses espérances les plus folles.
Et il en était heureux pour Gisèle. C’est là que j’avais décidé de l’intégrer à nos jeux. Car il montrait, certes un intérêt tout masculin à l’idée de savoir sa petite amie se transformer en une femme fatale, avide de sexe et de plaisirs multiples, c’était avant tout le bonheur de son amie qui l’avait intéressé et déterminé. Gisèle restait avant tout son centre d’intérêt.
Cela dit, et il avait été clair sur ce sujet, il n’était pas en bois et l’idée de pouvoir connaître, de façon un peu plus intime, Gloria, ne lui déplaisait pas comme bonus dans ce Kriegsspiel.Ainsi, j’étais en fin de matinée, affalé à mon bureau, regardant défiler une série de chiffres sans même les voir. C’est la sonnerie du téléphone sur mon bureau qui me sortit de ma torpeur.
— Allô ?— Alexis ? Mais bon sang, que fais-tu ? demanda la voix de ma mère, un brin énervé.— Maman ? Mais que se passe-t-il ?— Alexis ? Il est 11h42. Cela fait presque un quart d’heure que nous t’attendons pour cette réunion.— MERDE ! Hurlé-je dans le combiné.
Je me levais précipitamment pour traverser l’open space et faire irruption, d’un pas que je voulais maîtriser, dans le bureau directorial de ma génitrice.
— Messieurs, Madame, Mademoiselle, veuillez excuser mon retard. J’ai dû régler un problème de dernière minute qui ne pouvait être différé plus avant. Je suis tout à vous.
Ma mère me fusilla du regard, mais son sourire en coin démentait son courroux. En m’installant dans le divan de son bureau, je la détaillais une fois encore. Elle était toujours aussi belle et le temps ne semblait pas avoir le moindre effet sur elle.
Elle était vêtue d’une jupe-tailleur grise, sur un chemisier blanc. Installée dans son grand fauteuil, derrière son bureau, j’étais le seul, depuis ma place stratégique, à pouvoir distinguer le galbe de ses jambes. Celles-ci étaient couvertes d’un mince voile transparent dont je savais qu’il était retenu par une paire de jarretelles. C’était l’un des accords que nous avions passés pour que j’intègre cette société à ce poste. Elle ne devait plus porter que cela. Elle savait très bien à quel point cet accessoire m’excite.
Sa seconde obligation se trouvait au bout de ses jambes. Une paire de talons hauts. Je n’ai pas honte de vous dire que je suis presque fétichiste de cet accessoire féminin. Et les jambes de ma mère s’y prêtent à merveille.
Sa poitrine généreuse débordait des pans de sa veste, tendue dans une lingerie de grande qualité, lui donnant un galbe fou. Je n’écoutais que d’une oreille discrète pour l’admirer. Et je bandais comme un mort de faim dans le pantalon en toile de mon costume. Je me concentrais alors sur la demoiselle, assistante du directeur marketing de la société que nous rencontrions. Elle était superbe. Elle portait une jupe courte, révélant des jambes parfaitement galbées par des escarpins noirs. Sa poitrine, d’une taille honorable, était mise en valeur par un tailleur cache-cœur ne dévoilant que l’essentiel. Je devinais un peu de dentelles recouvrant le galbe de ses seins. Elle était tout simplement torride. Je me demandais si elle portait des collants ou des bas et si ceux-ci étaient retenus par des jarretelles ou autofixants ?
Je ne devais pas être discret, car elle tourna la tête vers moi, puis elle me sourit. Visiblement heureuse de produire cet effet. Mais elle se reconcentra rapidement sur son travail et ne me porta plus attention durant la réunion malgré mes regards appuyés.
En tournant la tête vers moi, ma mère constata que mon regard était fixé sur elle. Elle bougea sur son fauteuil, attirant mon attention alors qu’elle écoutait le monologue de son interlocuteur qui se tourna alors vers son assistante. Ma mère en profita pour me regarder et me sourit. Négligemment, elle descendit sa main sur sa cuisse. J’étais le seul à pouvoir voir ce qu’elle faisait.
Elle remonta lentement le tissu de sa jupe pour m’exhiber ses cuisses et me prouver qu’elle suivait toujours à la lettre les termes de notre accord. Je pouvais admirer la qualité de sa lingerie. Les coutures des bas retenus par les coquines petites attaches. Elle passa lentement le bout de ses doigts sous les élastiques, les tendant un peu plus, tout en remontant vers la lisière de sa jupe.
Ce petit jeu dura quelques instants, juste le temps de me faire sentir définitivement à l’étroit dans mon boxer. Puis, sans autre forme de procès, elle replaça sa jupe sur ses jambes et ne s’intéressa plus du tout à moi. Exactement comme l’autre demoiselle.
Elle referma même un peu sa veste sur sa poitrine, me signifiant la fin du jeu qu’elle avait donc initié par jalousie envers cette magnifique jeune femme tout en me punissant pour le retard à cette réunion qui revêtait malgré tout une importance cruciale pour notre entreprise.
Ce n’est que lorsque la réunion prit fin, sur un accord de principe, que ma mère me parla pour la première fois depuis mon entrée dans son bureau.
— Alexis ! Veuillez rester un instant, s’il vous plaît ! J’ai à vous parler immédiatement. — Bien Madame ! répondis-je sur le même ton.
Lorsque les autres interlocuteurs furent sortis, elle me demanda doucement :
— Que s’est-il passé, mon grand ?— Désolé, maman ! Mais je pensais à mon rendez-vous de ce soir. — Alexis ! Je ne veux pas que cette histoire influe sur ton travail. — Je sais, maman ! Excuse-moi, cela ne se reproduira plus. — Que t’arrive-t-il ? — J’angoisse comme un collégien.— Toi ? dit-elle, étonnée.— Oui ! Je ne sais pas pourquoi. Cette histoire ne devrait pas me toucher à ce point. Mais je pense que j’ai vraiment envie de les voir à nouveau ensemble.— Tu es si beau lorsque tu es humain, mon fils. Je sais que tout se passera bien, ne t’inquiète pas.— Comment peux-tu en être si certaine ? Demandé-je, intrigué.
Elle me regarda énigmatique, un petit sourire au coin de la bouche. Et je compris.
— Merde ! Vanessa t’a parlé.— Vanessa m’a parlé.— Et ?— Et quoi ? Ne compte pas sur moi pour te révéler les secrets de ton épouse, garnement. Tu ne sauras rien de plus. Mais rassure-toi ! C’est tout ce que je peux te dire.— Tu parles que je suis rassuré. J’angoisse encore plus maintenant.
Ma mère sourit et, me contournant, elle ferma la porte de son bureau. Puis, revenant vers moi, elle se posta derrière moi, pressant ses seins contre mon dos et passant ses mains sur mon torse.
— Je connais un très bon moyen de calmer tout cela ! Je ne sais pas si tu le mérites quand tu mates ouvertement une femme plus jeune que ta mère dans son propre bureau. Mais tu t’es parfaitement rattrapé et tu m’as excitée comme une folle à regarder avec gourmandise mes cuisses, petit pervers. Il faut dire qu’elle était appétissante cette petite. Maintenant, je n’ai qu’une envie, c’est vérifier si je te fais encore bander. Laisse-moi vérifier !
Me contournant, elle se posta à genoux devant moi, faisant sauter deux boutons de son chemisier pour me permettre de mater ouvertement cette fois, sa poitrine fabuleuse retenue dans son écrin de soie et de dentelles. Puis, ouvrant mon pantalon, elle en sortit ma queue toujours au garde-à-vous et, sans préliminaires, l’enfourna entre ses lèvres rouges.
— Aaargh ! Furent les seules paroles possibles tant le fourreau dans lequel je me trouvais était parfait.
Elle goba littéralement ma queue jusqu’à la garde et entama une fellation dont elle avait le secret tout en passant une main sous sa jupe, se masturbant directement. J’entendais le clapotis de ses doigts pénétrant sa chatte trempée. Ce petit jeu ne dura pas tant elle m’excitait. Mon foutre jaillit, chaud et épais, entre ses lèvres. Comme à son habitude, elle n’en perdit pas une goutte. D’un dernier mouvement de poignet, elle s’inséra plusieurs doigts au fond de la chatte, déclenchant à son tour un orgasme puissant, mais qu’elle garda, comme moi, discret.
— Mmmh... je vois que tout fonctionne parfaitement. Ton sperme est décidément toujours aussi délicieux. Je ne m’en lasse pas.— Maman, tu sais que je ne peux pas résister à ta bouche. C’est toujours délicieux de jouir sur ta langue. — Maintenant, j’espère que tu es calmé. Retourne bosser un peu avant d’aller à ton rendez-vous. Salue Vanessa et Gloria de ma part en leur rappelant qu’il y a longtemps qu’elles ne m’ont plus sucé la chatte. Je suis en manque. Et ton père aussi. — Promis ! On va s’organiser rapidement une petite soirée à la maison.— J’en salive à l’avance ! Me répondit-elle en me congédiant d’un baiser dans lequel je ressentis mes propres fragrances.
Je terminais ma journée, plus serein par la grâce du traitement particulièrement excitant que ma mère m’avait octroyé, mais aussi par ses paroles. Ainsi, Vanessa avait aussi pris la main dans cette histoire. Je ne doutais plus qu’à nous deux, nous obtiendrions la justice pour l’amour que se portaient nos deux tourtereaux. J’avais prévenu Hugo qu’il devait me rejoindre Rue Basfroi à Paris.
— Tu vas assister à une métamorphose, mon jeune ami ! Sois ponctuel. Je t’y attendrai pour 16h45 précise.— J’y serai !
À l’heure dite, nous entrions ensemble dans ce centre réputé pour le relooking. Un jeune stagiaire visiblement parfaitement dans son élément nous accueillit. Il ne put s’empêcher de reluquer sans discrétion mon jeune voisin. Ce n’est que lorsque je prononçais le prénom de Nicole qu’il calma ses ardeurs en décrochant son téléphone. Quelques instants plus tard, une femme dans la cinquantaine descendit les escaliers.Elle portait un pantalon crème sur des escarpins blancs. Sa taille et sa poitrine étaient dessinées par un bustier en dentelles et soie du plus bel effet. Ses longs cheveux auburn pendaient sur ses épaules.
— Nicole, tu es toujours aussi merveilleuse ! dis-je en l’embrassant sur les joues.— Alexis ! Mon chéri. Comment vas-tu ? Je ne devrais pas te recevoir. Tu m’as laissé si longtemps sans nouvelles, vilain garnement.— Comment vas-tu ?— Mais à merveille... Je n’ai jamais eu autant de travail. — Je tombe mal alors ?— Quelle question stupide ! Tu sais que j’ai toujours du temps pour toi. Et qui est ce charmant jeune homme ? Me demanda-t-elle en se tournant vers Hugo.— C’est mon jeune ami, Hugo. C’est pour sa petite amie que nous sommes là, comme je t’en ai parlé. — Enchanté de vous connaître, jeune homme. — Je suis également ravi, Madame. — Appelez-moi Nicole ! Madame, c’est ma mère ! dit-elle en riant.— Pardonnez-moi, Nicole ! Dit-il en lui embrassant la main.— Je l’adore déjà ! me dit-elle.— Je vous remercie ! répondit-il simplement.— Vous êtes, de toute façon avec Alexis. Pour moi, cela suffit comme caution morale ! Dit-elle en tournant lentement les talons dans un sourire pour se diriger vers le fond du bâtiment.
Hugo se tourna vers moi et me demanda en chuchotant :
— Mais qui est-ce ?— Nicole Delerme ! C’est la plus grande spécialiste du relooking en France. Elle s’occupe surtout des célébrités du cinéma et de la télévision. Pas mal de sportifs aussi.— Et c’est elle qui va s’occuper de Gisèle ? Mais...— Mais quoi, Hugo ? Demandé-je en souriant.— Comment est-ce possible ? Mais qui êtes-vous ? me demanda-t-il stupéfait.— Vous me l’avez dit, hier. Je suis un homme bouffi de sa suffisance et de sa supériorité dans son costume de goldenboy en manque de connaissance et d’intelligence ! répondis-je pour le taquiner.— Oh, ça va ! Je me suis excusé.— Oh ça va ! dis-je sur le même ton. Si on ne peut plus rigoler un peu. Bon, je t’explique. Cela ne t’ennuie pas que l’on se tutoie ? Avec ce que nous allons vivre, je pense que l’on peut passer à ce stade ?— D’accord, Alexis ! Je t’écoute.— Bon ! Je peux entrer dans cet endroit quand je le veux puisque cette femme que tu vois n’est autre que l’une des meilleures amies de ma mère. Et accessoirement ma marraine de baptême. — Je comprends mieux ! dit-il en riant. Je pense sérieusement que je vous ai très mal jugé. — Nous verrons cela après la ligne d’arrivée, si tu le veux bien. Allons-y, Nicole nous attend.
Nous sommes alors entrés dans un petit couloir nous emmenant dans les dédales du bâtiment. Hugo était perdu en quelques instants. Je n’en menais pas large, car, après tout, je n’étais venu dans cet établissement que quelques fois depuis mon adolescence. Et pas particulièrement dans cette partie, réservée pour des soins un peu particuliers. Nous débouchâmes sur une pièce décorée avec soin dans tes teintes très foncées. Quelques lampes accrochées aux murs baignaient l’endroit dans une lumière diffuse. Un grand fauteuil moelleux trônait au centre de la petite pièce, face à un grand miroir. Un meuble ancien servait de décoration et la moquette épaisse étouffait tous les sons. Nicole fit s’asseoir Hugo et lui demanda :
— Mon cher Hugo, savez-vous pourquoi vous êtes chez moi ce soir ?— Je n’en ai pas la moindre idée, Nicole. Mais l’endroit est splendide. — Je vous remercie pour ce compliment. Vous êtes dans une agence spécialisée dans l’image. Mon travail consiste essentiellement à rendre confiance aux gens. C’est ce que je vais essayer de faire avec Gisèle. Mais j’ai besoin, puisque vous êtes présent ce soir, de savoir si vous me laisserez quartier libre pour cela. Si Alexis est votre caution, je n’ai pas d’inquiétude. Mais j’aimerais l’entendre de votre bouche.— Je n’ai aucune opposition à partir du moment où tout se fera avec son consentement, sa volonté propre et sans le moindre risque de blesser son orgueil malmené depuis longtemps.— C’est tout l’inverse qui se produira. Et rien de ce que je ferai avec mes assistantes ne se fera sans son accord verbal que vous pourrez entendre.— Comment cela ?
Nicole se dirigea vers le grand miroir et actionna un interrupteur. La pièce sembla alors tripler de volume. Apparu dans le miroir, un reflet de cette pièce, mais avec des couleurs vives, éclatantes et une lumière vive, diffusée par de nombreux spots et appliques murales puissantes.Hugo se leva d’un bond en regardant ce spectacle en face de lui.
— Un miroir sans teint ! — Exactement ! Vous êtes dans mon salon privé. Parfois, je reçois des personnes qui nécessitent un traitement un peu... différent de celui que je procure habituellement. — De quoi parlez-vous ?— Allons, jeune homme ! Alexis m’a vanté votre intelligence. Ne me dites pas que je dois déjà être déçue.— Vous parlez de transformation ! Cela sous-entend la coiffure, le maquillage, mais aussi autre chose, c’est cela ?— La confiance en soi passe parfois par d’autres chemins que les artifices.— Le sexe ?— Le sexe ! J’ai cru comprendre que votre petite amie a vécu plusieurs malheurs dans sa jeunesse et qu’elle fait une sorte de blocage concernant cet état de fait. Je vais y remédier avec toute la douceur d’une mère et la sensualité d’une femme. — Je ne sais pas si c’est une bonne idée ? répondit-il.— Alexis ? dit Nicole en se tournant vers moi.— Hugo ! Nicole est une vraie spécialiste. Car outre ses qualités artistiques, elle est avant tout une grande spécialiste du psychisme féminin. Elle a étudié Gisèle depuis plusieurs semaines selon les rapports que Gloria, Vanessa et moi-même lui avons faits. Elle la connaît bien ! Tu peux lui faire la plus grande confiance. — Je pense que je n’ai pas spécialement le choix, n’est-ce pas ?— Bien sûr que si ! Si tu désires tout arrêter, tu n’as qu’un mot à dire et je préviens immédiatement Vanessa qui se trouve actuellement avec Gisèle et Gloria dans un taxi devant les amener à cet endroit et elles exécuteront le plan B !— Le plan B ?— Une soirée entre filles ! Restaurant, bar, discothèque, que sais-je ! Mais rien comme ceci ! dis-je en montrant la salle de l’autre côté du miroir.— Je te fais confiance, Alexis ! Mais promets-moi encore qu’elle n’en souffrira jamais.— Je te le promets ! dis-je en le fixant dans les yeux.— Alors c’est d’accord ! Comment procède-t-on ?— Elles entreront dans la pièce toutes les trois. Ainsi, Gisèle sera rassurée. Ensuite, mes assistantes et moi-même lui apprendrons les rudiments du maquillage parfait ainsi que de s’occuper parfaitement de ses cheveux. Coupe, brushing, tout y passera. Vous assisterez à tout de ce côté. Vous pourrez parler, car la pièce est parfaitement insonorisée. Si, à un moment ou un autre, vous désirez interrompre ou modifier la séance, appuyez sur cet interrupteur. Une petite sonnerie discrète se fera entendre de l’autre côté. Je m’inquiéterai alors de votre inquiétude ou de votre demande particulière personnellement.— Tout me semble un peu trop beau pour être réel ! Dit Hugo.— Je peux le comprendre, jeune homme. Mais vous êtes dans un endroit où la réputation est la meilleure publicité. Je traite la plupart du temps des personnes fortunées ou connues. Je ne peux me permettre le moindre faux-pas. Votre amie va bénéficier de ce traitement de faveur, si je puis me permettre cette petite pointe de vanité.
Une sonnerie retentit dans la pièce et Nicole me dit :
— Elles sont arrivées. Je vais les accueillir. Installez-vous et profitez du spectacle, me dit Nicole avec un clin d’œil qui n’échappa pas à Hugo. Servez-vous un verre ! Alexis, tu sais où tout se trouve. Fais comme chez toi, mon chéri !
Elle sortit sur ces mots et je me tournais vers Hugo en retirant ma veste et l’installant sur le porte-manteau trônant dans un coin de la pièce.
— Que veux-tu boire, Hugo ? Moi, je vais commencer par une bière fraîche. Je ne sais pas toi, mais j’ai chaud et je meurs de soif.— Même chose pour moi, Alexis.
En tendant sa bière que je venais de prendre dans le petit frigo caché dans le grand meuble, je m’assis exactement au moment où la porte s’ouvrit sur Nicole, qui précédait Gloria, Gisèle et Vanessa, dans cet ordre. Deux assistantes fermèrent la marche et la porte.
— Ma chère Gisèle, je suis heureuse de vous accueillir chez moi ! Dit Nicole. Mettez-vous à l’aise. Par quoi désirez-vous débuter ?— Par les cheveux, peut-être ? répondit-elle avec une petite voix timide.
Je sentis Hugo se raidir en l’entendant prononcer ces mots. Elle était attendrissante au possible par cette timidité au milieu de ces femmes si sûres d’elles.Et ce fut un tourbillon de lavages de cheveux, de coups de ciseaux, de nouveaux lavages, de soins multiples. Plus le temps passait, plus sa chevelure prenait des allures de crinières de lionne. Elle était époustouflante par le volume et le maintien de ses cheveux. Hugo déglutit plusieurs fois en regardant Gisèle. Elle se transformait sous ses yeux. Jamais il ne l’avait vue si heureuse. Car elle était heureuse de se laisser aller aux soins prodigués par l’équipe de ma marraine. Gisèle ne s’était pas encore vue lorsque Nicole décréta que c’était parfait.
— Je peux voir ? demanda-t-elle.— Pas encore ma chérie, déclara Nicole. Je voudrais parfaire le travail. Allez mesdemoiselles, cours de maquillage.
Ce fut au tour de deux autres jeunes femmes de faire leur entrée dans la pièce.Commença un cours parfaitement ennuyant sur les cosmétiques et autres onguents. Hugo et moi avions du mal à suivre. Mais le sourire béat de Gisèle, ses rires cristallins et sa soif d’apprendre nous firent sourire à notre tour. Je vis même une larme de bonheur couler sur la joue d’Hugo.
— Alors ? Tu nous fais confiance maintenant ? Demandé-je sournois.— Alexis ! répondit-il d’une voix étranglée par la joie de contempler le bonheur de Gisèle. Je n’ai pas les mots. Ce que vous lui offrez est merveilleux. Je ne l’ai jamais vue si heureuse. Comment avez-vous fait ?— Je ne peux pas tout te dire, Hugo ! Il est des choses qui doivent rester secrètes ! dis-je en faisant référence aux relations que nous entretenons dans ma drôle de famille, mais qui nous permettent par la confiance et le bonheur que cela nous procure de déplacer les montagnes. Sache simplement que rien n’est impossible pour les cœurs heureux !
Sur ces propos sibyllins, Hugo se retourna vers Gisèle.Elle était tout simplement sublime. Elle rivalisait avec Gloria et Vanessa sans le moindre problème. Elle était transformée par les bons soins de Nicole. La mâchoire d’Hugo tomba sur son ventre lorsqu’elle se retourna pour, sans le savoir, nous faire face et enfin s’admirer dans le grand miroir. Elle resta un instant sans un mot, comme en état de choc. Gloria s’approcha et lui dit avec douceur.
— Regarde comme tu es belle, ma chérie ! — C’est moi ? demanda-t-elle.— C’est toi, ma belle ! répondit Vanessa. As-tu vu ce que tu es vraiment ? — Mon Dieu ! Fut sa seule réponse.
Elle s’approcha pour toucher le miroir, comme pour sentir ce reflet qu’elle ne comprenait pas encore. Les assistantes de Nicole sortirent à ce moment de la pièce, pour laisser place à une autre femme, tout aussi belle que les autres femmes de la pièce. Elle était vêtue simplement d’un long peignoir blanc immaculé. Elle s’installa dans un coin de la pièce et attendit silencieusement que l’on l’appelle.Hugo n’en revenait pas. Gisèle, sa Gisèle ! Elle était merveilleusement belle. Parée de ce qui fait une femme élégante. Il dut s’asseoir sur le fauteuil alors qu’il s’était levé pour poser sa main en opposition à celle de Gisèle sur le grand miroir.
— Tu vois que tu avais raison, Hugo ! Elle est merveilleuse. — Mon Dieu, Alexis ! Je n’en reviens pas. Mais elle n’a pas l’air heureuse de ce changement.— Ah non ? dis-je. Regarde mieux !
Son regard prit un peu de recul pour épouser l’ensemble de la scène et pas seulement le regard devenu hypnotique de sa petite amie.Gisèle passait ses mains sur l’ensemble de son corps, relevant ses cheveux, passant sur le coin de ses yeux, sur ses joues, son cou, ses seins, ses hanches. Et surtout, elle souriait. D’un sourire franc et clair, ne laissant pas la place aux suppositions.
— Merci ! dit-elle en se retournant vers Nicole et en lui prenant les mains. Merci ! Vous ne pouvez pas savoir ce que cela représente pour moi.— Je suis heureuse de votre bonheur, Gisèle ! Mais la séance n’est pas encore terminée.— Ah non ? Demanda-t-elle curieuse. Mais de quoi aurais-je besoin ?— Mais de connaître les moyens d’utiliser tout cela, voyons !— De quoi parlez-vous ?
Gloria intervint à cet instant.
— Soumise, viens m’embrasser !— Oui Maîtresse Gloria ! répondit-elle immédiatement.
Hugo se raidit en entendant la voix de Gloria resonner dans les micros et resta ébahi face à la réaction de Gisèle.Celle-ci s’était approchée de Gloria et posait ses lèvres sur les siennes. Rapidement, leurs langues se touchèrent pour entamer un ballet entre les deux bouches ouvertes.Hugo était scotché à son fauteuil. Il me regarda, perdu pour le commun des mortels. Il ne comprenait plus rien.
— Cela te laisse-t-il de marbre ? Personnellement, j’aime beaucoup regarder deux belles femmes s’embrasser.— Moi aussi ! dit-il simplement en revenant sur terre. — Comme la majorité des hommes, c’est un spectacle d’un érotisme ravageur. Comment pourrions-nous y résister ?— Entièrement d’accord avec toi !
Les deux femmes continuaient de s’embrasser lorsque la jeune femme qui était entrée ouvrit son peignoir et le laissa tomber au sol pour apparaître entièrement nue. Son corps était superbe. Une peau ambrée, de petits seins tendus, des fesses rebondies et une chatte parfaitement entretenue en ticket de métro.Elle s’approcha de Gisèle par-derrière et lui retira lentement le long tablier qu’elle avait passé pour subir les assauts de Nicole et de son équipe de choc. Calmement, elle lui retira le reste de ses vêtements alors que Gloria retournait s’asseoir sur un fauteuil. Gisèle apparut rapidement dans sa lingerie achetée avec Gloria.Hugo déglutit en l’admirant dans sa guêpière, ses bas et ses jarretelles, ses hauts talons qu’elle portait en extérieur pour la première fois. Elle était l’incarnation de la sexualité. Je dois avouer à ce moment que je bandais aussi dans mon pantalon. Elle était vraiment très belle. Mais ce n’était rien par rapport à ce qui attendait Hugo.
— Soumise, couche-toi sur la table de massage !— Oui Maîtresse Vanessa !— Caresse-toi, soumise. Fais-nous mouiller comme tu sais si bien le faire !— Oui maîtresse Vanessa !
Hugo se tourna vers moi et me demanda :
— Elle est donc bel et bien soumise aux deux femmes ?— Eh oui !— Et elle va se... toucher pour les exciter ?— On dirait bien ! Excuse-moi, mais je dois m’installer plus confortablement, si tu vois ce que je veux dire ?— Je comprends parfaitement ! Pour être honnête, je suis terriblement excité par ce que je vois. Gisèle est belle. Elle rayonne ! Dieu que je l’aime.
Nous nous sommes assis et avons admiré Gisèle dans ses œuvres.Elle écarta ses jambes face au miroir et posa ses mains sur ses cuisses. Elle les remonta lentement, passant et repassant sous les élastiques de ses jarretelles. Puis une main passa sous son string pour se faufiler entre ses lèvres, l’autre main remonta sur ses seins qu’elle commença alors à caresser lentement, en cercles concentriques se rapprochant lentement de ses tétons que l’on devinait à présent érigés.Elle regardait tour à tour Gloria, puis Vanessa. Ouvrant la bouche pour aspirer l’air lui manquant alors que son plaisir montait.
— Puis-je parler maîtresses ?— Je t’en prie, soumise ! Mais n’oublie pas que nous ne sommes pas seules. Nicole et cette jeune demoiselle sont là aussi pour profiter du spectacle ! Dit Vanessa.— Bien Maîtresse !
Son regard se tourna vers Nicole qui regardait Gisèle avec des yeux à moitié fermés. Cette dernière entra alors son doigt dans sa chatte ouverte et ne demandant que cela tout en triturant son sein sous la gaine de dentelle.
— Aimez-vous ce que vous voyez, Nicole ?— Tu es douée, jeune fille. C’est indéniable. Mais il en faut plus pour m’impressionner. — Ce n’est que le début ! Aaarghh... Maîtresse Gloria, que voudriez-vous me voir faire pour vous exciter et vous faire mouiller ?— Entre deux doigts dans ta chatte et presse tes seins, petite dévergondée.— Comme ceci ? demanda-t-elle en appliquant à la lettre les désirs de Gloria.
Ses deux doigts entraient lentement dans la gaine chaude, sous son string écarté pour la cause par son poignet. Elle pressait son sein droit contre le sein gauche. Soudain, elle entama une masturbation lente, mais visiblement efficace de sa chatte ouverte. Sa tête partit en arrière sous l’effet du plaisir et un son de bonheur remplit la pièce.
— Aaarghh... c’est si bon de s’exhiber. J’aime tant cela... cela m’excite tellement. Regardez ma chatte ouverte, mes seins qui pointent...— Continue ! Tu es sur la bonne voie ! Dit Gloria d’une voix où l’assurance commençait à s’estomper sous l’effet du plaisir qu’elle prenait au spectacle qui lui était offert.
La jeune fille qui était entrée ne se gênait pas pour se masturber à son tour. Visiblement, Gisèle ne la laissait pas indifférente.
— Et si je passe mon autre main sur mon clitoris pour l’exciter aussi ?
Joignant le geste à la parole, elle lâcha ses seins pour se concentrer sur ses doigts pénétrant sa chatte et son doigt triturant avec force son petit bouton, à présent turgescent.Son plaisir pouvait à présent s’entendre parfaitement. Le son de sa chatte trempée résonnait dans la pièce, ses soupirs d’aise montaient jusqu’aux spectateurs. Je vis Gloria passer ses mains sous son chemisier et commencer à caresser sa propre poitrine. Vanessa, mon épouse, n’était pas en reste. Assise sur sa chaise, elle avait relevé sa jupe dévoilant ses bas et elle se caressait la chatte par-dessus son string en soie que l’on devinait à présent trempé de son jus.
Gisèle continuait à se masturber pour son plaisir et celui des spectatrices. Seule Nicole n’avait pas encore succombé au stupre qui envahissait la pièce. Mais je voyais dans son regard que je connaissais par cœur qu’elle allait, à son tour, se laisser aller au plaisir.
Les sons de son plaisir montaient encore plus fort lorsqu’elle se pénétra d’un troisième doigt, écartant au maximum les lèvres de sa chatte.
— Gisèle, occupe-toi encore de tes seins ! Ils sont beaux.
C’est Nicole qui venait de parler.
— Vous voulez que je caresse mes gros seins, Nicole ? Demanda-t-elle mutine.— Oh oui ! Ils m’excitent.— Demandez-le encore alors ! J’aime ce sentiment.
Je repris un semblant de contenance.
— Tu vois ! C’est elle qui mène la danse. Elle obtient ce qu’elle désire. Et le sexe en fait partie intégrante. Elle aime ce pouvoir de soumission et de domination.— Je vois ! Dit Hugo qui ne pouvait s’empêcher de passer sa main sur son sexe que je devinais tendu à l’extrême dans son pantalon.
Il est évident que seul, il se serait masturbé comme un fou sur ce spectacle de sa petite amie s’exhibant pour d’autres femmes qui ne pouvaient résister à se toucher à leur tour.J’aurai fait exactement la même chose. Mais je savais aussi que ce n’était pas terminé. Je tentais de garder le contrôle. Même si cela devenait de plus en plus compliqué. Surtout lorsque Nicole détacha son bustier pour apparaître à son tour seins nus et s’approcha de Gisèle en se penchant sur elle et en lui disant.
— Suce mes seins ! Tu m’excites trop, petite dévergondée !
Nicole s’était placée derrière la tête de Gisèle. Ainsi penchée, ses seins étaient au niveau de la bouche de Gisèle et ses propres seins au niveau de celle de Nicole. Elles se léchaient mutuellement en se caressant la poitrine.
Gloria se tourna à cet instant vers le miroir et me fit un petit signe de tête. J’appuyais sur la sonnette dont le tintement discret retentit. Gisèle, prise par son plaisir et son orgasme approchant, n’avait rien entendu. Nicole mangeait littéralement les seins de Gisèle. C’est Vanessa, qui s’approchant, posa ses lèvres sur la chatte de Gisèle en entama un cunnilingus expert.
Au premier coup de langue, l’orgasme de Gisèle retentit dans la pièce. Quelques jets de cyprine sortirent de sa chatte pour s’écraser dans la bouche ouverte de mon épouse. Gloria s’approcha et embrasse son amie pour récoler le nectar que la jeune fille venait de leur offrir.
Hugo n’en pouvait plus. Ce dernier acte l’avait rendu fou. Sa copine était fontaine, sa prof venait de récolter sa mouille abondante dans la bouche d’une autre femme qui lui suçait la chatte alors qu’une dernière lui léchait la poitrine.
— Putain ! C’est dingue ! Elle est totalement transformée. — Non ! Elle a toujours été comme cela. On ne change pas qui l’on est. Elle ne le savait pas, c’est tout. Elle a voulu découvrir qui elle était. Elle le sait à présent. Et toi aussi. Déçu ?— Tu rigoles ou quoi ? Je ne suis pas prêtre. Avoir une copine aussi brûlante, c’est le rêve de tout mec. Mais elle le fait avec des femmes. Serait-elle donc lesbienne puisque, selon toi, on ne change pas qui l’on est ?— Il n’y a qu’un moyen de le savoir, jeune homme ! dis-je sérieux.
Hugo me regarda comme si je venais de dire une énormité. Il perdait tout sens d’analyse. Je connaissais parfaitement la réponse puisque Gisèle s’était inquiétée de lui. Gisèle aimait les hommes. Mais les femmes ne la dérangeaient pas plus que cela. Je poussais alors sur la sonnette une seconde fois.—------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
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