Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 184 J'aime
  • 6 Commentaires

L'Histoire est un long cheminement !

Chapitre 13

Dénouement

Orgie / Partouze
Lorsque la sonnerie retentit dans la pièce, tout le monde s’arrêta.
Vanessa me regarda en souriant, comprenant immédiatement le besoin de cette musique. Gloria fit ma moue, toute à son plaisir. Nicole et son acolyte me firent un sourire au travers du miroir sans la moindre équivoque en suspectant un accroissement des plaisirs. Seule Gisèle ne réagit pas, ne comprenant pas la signification de l’instant présent.
C’est Nicole, au fait de notre stratégie, qui prit la parole.
— Gisèle, avez-vous passé un agréable moment ?— Quoi ? C’est terminé ? Demanda-t-elle un peu contrariée.— Je ne peux pas répondre à cette question, jeune fille. Tout va dépendre de vous à l’avenir. Alors, pour commencer, veuillez répondre à ma question.— Putain, oui ! C’est trop bon de jouir sans barrière. Quand on le décide et ou on le décide. Continuez à me sucer la chatte et les seins, j’ai encore envie ! S’il-vous-plaît, Maîtresses. — Pourquoi cette course à la jouissance, soumise ? demanda calmement Vanessa alors qu’elle s’était déplacée pour caresser lentement les seins de Gisèle.— Parce que j’aime cela ! Jouir est tellement bon, tellement stimulant. J’en veux encore.— Je te comprends ! Mais ne te manque-t-il rien ?— De quoi parles-tu, Vanessa ? demanda Gisèle, oubliant son statut de soumise, visiblement inquiète par la tournure des événements.— Je repose la question, Gisèle ! Ne te manque-t-il pas quelque chose lorsque Gloria ou moi te faisons jouir comme une folle ?
Gisèle se releva sur sa table de massage et, avec un aplomb et un sérieux surprenant, répondit :
— La queue d’Hugo ! Lorsque tu me suces les seins ou que Gloria me lèche la chatte, je pense à la grosse queue d’Hugo. J’aurai envie qu’il me laboure le cul ou la chatte.— Quel vocabulaire, jeune fille ! Dit Gloria, faussement choquée alors que, la connaissant, je savais qu’elle en était ravie.— Pardon, Maîtresse ! Je ne sais plus où j’en suis.— Ne t’excuse pas, Gisèle ! Tu as vécu tant de bouleversements depuis quelques semaines. Comment veux-tu t’en sortir indemne ? Calme-toi ma chérie ! répondit alors Gloria en lui caressant les joues sur lesquelles quelques larmes commençaient à tomber et en la prenant dans ses bras.
Je me tournais vers Hugo qui, je le remarquais, avait cessé immédiatement de bander. Ses mains étaient posées sur le miroir sans tain, comme pour consoler à distance celle qu’il aimait de tout son être, j’en étais persuadé à présent. Il ne restait que la conclusion pour les rassembler. J’allais m"y atteler dans l’instant.
— Hugo ? Tout va bien ? Demandé-je un peu sournoisement.— Non ! Ca ne va pas du tout ! Elle pleure, bordel !— Calme-toi aussi, mon jeune ami ! C’est normal et c’était prévu. Laisse Gloria et Vanessa mener la barque avec l’aide de Nicole. Les digues vont craquer et elle sera tienne. Mais entièrement cette fois, sans les fantômes de son passé. Fais-moi confiance.— Je te fais confiance, Alexis ! Mais ne me déçois pas, s’il te plaît ! Je ne le supporterai pas !
La pression était alors maximum sur mes épaules. Pas question de foirer ce coup ! L’avenir de ces deux êtres en dépendait.
Je poussais alors une troisième fois sur la sonnette.
Cette fois, Gisèle réagit en regardant le plafond, comme pour chercher du regard l’origine de ce bruit.
C’est Gloria qui intervint pour l’acte final.
— Gisèle, ma chérie, voudrais-tu, s’il te plaît, encore me sucer la chatte ? J’ai besoin de jouir de ta bouche.— Oui, Maîtresse Gloria ! répondit-elle machinalement.— Non, ma puce ! Sans les titres. Tu as le droit de refuser.— Alors j’accepte ! Car j’adore passer ma langue sur ta chatte. Elle est si bonne, si délicieusement perverse. Couche-toi à ma place que je profite de toi. Tu m’as appris le plaisir saphique, je veux te le rendre. Parce que c’est tellement différent d’un homme, tellement plus doux et plus sophistiqué. Laisse-moi t’aimer !
Les deux femmes changèrent de place, mais Gisèle ne vit pas le clin d’œil de connivence que Gloria me lança dans le miroir. J’avais ma dernière carte.
Hugo regarda sa petite amie approcher sa bouche de la chatte de son professeur, sa langue passer entre ses lèvres pour se poser sur le clitoris déjà prêt pour un dernier round. Je savais que Gloria prenait du plaisir à la fois par le traitement de Gisèle, par son exhibition auprès des autres femmes de la pièce et, probablement aussi, parce que son étudiant préféré se trouvait derrière ce miroir et pouvait, à loisir, profiter de la vue de ses charmes indéniables. Ses seins étaient tendus d’excitation, sa chatte coulait littéralement de son excitation !
Lorsque Gisèle entama son cunnilingus, Gloria en rajouta en soupirant d’aise et de plaisir. Mais ce fut parfaitement efficace sur Hugo qui déglutit sous l’effet de ce son particulièrement réussi.
— Oooooh... Gisèle ! Ta langue sur ma chatte... Que c’est bon ! Vas-y, suce ma chatte, mange-moi, fais-moi jouir ! Touche mon cul en même temps, c’est trooooooop... aaaarghhh !
Gisèle lécha la chatte offerte en passant le bout de la langue tendue entre le clitoris et l’anus. Hugo devenait pivoine. J’étais bien placé pour voir que son excitation reprenait le dessus. Mais il n’avait encore rien vu.
— Ooooh... Continue ! Encore, plus fort ! Mets ta langue dans mon vagin et entre-la... ouiiiiiii, plus looooin... Aaaargh...!
Entre temps, Vanessa et Nicole s’étaient approchées de Gloria et chacune s’était emparée d’un sein qu’elle triturait et suçait lentement du bout de la langue, sortie entre les lèvres. L’acolyte de Nicole vint se placer derrière Gisèle et, sur l’ordre de sa patronne, avait entamé de lécher le cul rebondi de la jeune femme. La croupe de Gisèle s’agita sous les coups de langue qu’elle recevait. Gisèle semblait visiblement adorer ce traitement. Elle devint vorace et mangea littéralement la chatte de Gloria.
— Oh oui ! Suce-moi ! dit-elle d’ailleurs entre deux coups de langue. C’est bon. Prends mes seins en main et caresse-les en même temps et fous ta langue dans mon cul ! Ouiiiii...
Elle obéit et à pleine main s’empara de la poitrine de Gisèle qu’elle tira lentement vers le bas par les tétons.
— Ouiiiiiii ! Plus fort, bordel ! Dit Gisèle qui appréciait ce traitement.
Pendant ce temps, Vanessa embrassait à pleine bouche Nicole qui lui répondait. Nous pouvions distinguer les langues sorties entre les lèvres qui s’effleuraient. C’était torride. Ma queue était tendue au maximum et j’avais toutes les peines du monde à ne pas jouir dans mon pantalon. Il fallait que je réagisse avant de craquer. Car ce n’était pas le moment, j’avais encore besoin d’un minimum de lucidité pour terminer le travail.
— Hugo ? Tout va bien ?— Putain, Alexis ! Non, ça ne va pas ! hurla-t-il presque.— Tu veux tout arrêter ? Demandé-je, inquiet.— Non, surtout pas ! Putain, je vais jouir dans mon pantalon. Elles m’excitent terriblement ces femmes. Quelle perversion, elles sont sans limites ! Et Gisèle ? Ma Gisèle, si bonne, si dévergondée... putain, elle m’excite tellement cette femme. Je voudrais la prendre sur-le-champ !— Elles n’ont effectivement que très peu de limites !
Mes paroles le tirèrent de sa contemplation. Il me regarda fixement et me demanda.
— Que me caches-tu encore ?
Je fus surpris par cette sortie inattendue à cet instant. Je l’attendais plus tard. Mais ce garçon avait visiblement de la ressource et savait se déconnecter de son plaisir pour analyser la situation. Un excellent point pour lui, car il ne serait jamais otage de ses pulsions, il faut l’avouer, plutôt basiques des hommes.
— Je ne peux pas encore te le dire, Hugo ! Ce n’est ni l’instant ni le lieu. Regarde comme Gisèle prend son pied. N’est-ce pas ce que tu désirais ?— J’avoue ! Je n’ai jamais été excité de la sorte. Je pourrai la baiser durant des heures. Mais je ne veux pas briser son moment de plaisir.— Laisse ta morale au vestiaire, jeune homme ! Ce n’est plus le moment de la délicatesse. Profites-en ! dis-je impératif.— Comment ? Je ne vais pas me branler comme un ado, tout de même.— Non ! Mais que dirais-tu si Gisèle t’invitait à ses côtés ?
Il me regarda fixement et comprit. Il comprit à cet instant tout ce que j’avais manigancé.
— De quoi parles-tu ? demanda-t-il de manière incongrue dans cette situation.— Hugo ? Dois-je te faire un dessin ? Que dirais-tu de rejoindre Gisèle et de participer à sa jouissance et son plaisir à elle ?— Mais ? C’est impossible, voyons ! Elle agit ainsi parce qu’elle se pense seule. Elle ne sait pas que nous sommes là, à la regarder avec envie et désir, mais comme deux pervers adeptes du voyeurisme le plus malsain.— C’est justement le but de cette journée, Hugo ! Qu’elle accepte enfin que des hommes puissent ne voir en elle que beauté et plaisir, qu’elle comprenne qu’elle peut avoir un ascendant exceptionnel sur eux par son corps, ses décisions, son propre plaisir, sa volonté et ses envies personnelles et non plus ce que l’on pourrait lui imposer en tant que mâle !— Vous aviez tout manigancé ? Mais pourquoi ? Que gagnes-tu dans ce jeu ? Tu veux te la faire, c’est ça ? — Grand Dieu, non ! Tranquillise-toi à ce sujet, mon garçon. Elle est superbe, c’est vrai. Et je pense que tu as beaucoup de chance, car peu d’hommes lui résisteront si l’envie lui en prend. Tu devras vivre avec cela et situer les limites avec elle. Mais regarde mon épouse ! Penses-tu vraiment que je puisse risque de la perdre ? Non, n’est-ce pas ? Alors, concernant Gisèle, disons simplement que j’ai été l’accélérateur dans son évolution. Je vais être honnête avec toi, Hugo ! Car Gloria l’a été durant notre rendez-vous. Je fais tout cela pour deux raisons. La première est égoïste. Plus vite Gisèle sera libérée du poids de sa conscience, plus vite je pourrai retrouver une Vanessa libérée également. Car, crois-moi, Gisèle occupe ses pensées depuis de longues semaines. Ensuite, j’ai besoin de savoir que tout va bien se passer pour Gisèle. Vois-tu, lorsque Gloria m’a parlé de toi pour la première fois, je n’y ai pas prêté l’attention avec laquelle j’aurai dû m’y atteler. Je la connais depuis plusieurs années et je sais ce qu’elle est capable de faire. Je veux juste m’assurer que tout ira bien pour vous à l’avenir. Mon rôle dans cette histoire s’arrête là. Tout ce qui pourrait advenir ne serait pas prémédité.— Pourquoi te fais-je confiance ainsi ? Je ne me l’explique pas, car je suis plutôt pessimiste de nature.
Les sons de jouissances nous parvenaient plus nets et plus rapprochés depuis l’autre côté du miroir.
En regardant ces femmes prendre leurs multiples plaisirs, je dis :
— Peut-être parce que je ne t’ai jamais menti ? Regarde Gisèle, n’est-elle pas sublime au milieu de ses orgasmes et de ses amies de jeux ? Elle est faite pour cette vie, Hugo et ce sera à toi de la lui donner.— Mais comment puis-je rivaliser ?— C’est toute l’astuce, mon ami !
Pour la première fois, je lui donnais ce sobriquet. Mon ami ! Allait-il vraiment le devenir ?
Je repris :
— Tu ne dois pas rivaliser, tu dois l’accepter ! Elle ne sera plus à toi physiquement. Mais son cœur ne chavirera plus jamais si tu t’y prends bien. Qu’est-ce que le sexe ? Un échange de plaisirs et de fluides entre adultes consentants. Ne le confonds jamais avec l’Amour. Si tu le fais, tu te détruiras avec des sentiments comme la jalousie, le remord, la honte, la haine, le dégoût, la frustration et le rejet. Mais si tu arrives à faire la part des choses, tu n’en verras que les bénéfices.— Parce que tu es un expert de la chose, peut-être ? Me lança-t-il avec un peu trop de véhémence dans la voix.— Moi ? Un expert ? Mais de quoi ? — De tout ce que tu viens de m’énoncer !— Je pense que tu oublies qui est en train de sucer la chatte de ta copine ! dis-je en me tournant vers le miroir. Regarde ! C’est mon épouse qui la suce et lui triture le cul. Tu penses vraiment que si je ne croyais pas à ce que je viens de te dire, je resterais si stoïque face à ce tableau ?
Il faut dire que j’avais du mal, car j’avais rarement vu Vanessa se délecter d’une chatte à ce point. Elle léchait la vulve de Gisèle tout en se masturbant, trois doigts pénétrant son vagin et une main triturant sa poitrine si merveilleuse. Elle dévorait Gisèle et prenait un plaisir inouï à ce geste. Il faudra d’ailleurs que je lui en parle, elle m’excite terriblement et je dois faire appel à tout mon self-control pour ne pas débouler dans cette pièce et les baiser toutes.
— Excuse-moi ! Je suis terriblement stupide par moments.— Ne le sois pas ! Je n’ai pas exactement réagi ainsi la première fois ! dis-je en me remémorant toutes nos aventures et en riant.— Ah oui ? Dis-moi.— Pas maintenant, ce serait trop long. Alors, je te repose ma question ! Que dirais-tu de rejoindre Gisèle ?— Alexis ! dit-il comme s’il était désolé.— Me fais-tu vraiment confiance ?— Oui !
Ce "Oui" avait été net, direct et sans hésitation.
— Alors, laisse-toi aller. Profite de ce moment et fais-toi le bien que tu mérites aussi.— tu veux que je me branle ?— Pas du tout ! Dis-je en poussant le bouton de la sonnerie pour la dernière fois.
Nicole se détacha alors du groupe et poussa un interrupteur sur le mur.
Notre pièce s’éclaira alors que la pièce principale venait de basculer dans la pénombre, uniquement éclairée par les appliques du mur diffusant une faible lumière ne permettant que de distinguer les contours et les formes de ces dames.
Gisèle releva la tête et, regardant la source lumineuse, vit immédiatement Hugo.
J’avais pris la peine de me cacher derrière le mur. Je ne voulais pas que la présence d’un autre homme ruine notre petit manège. Je savais sa répulsion à ma catégorie et, sérieusement, seuls Hugo et Gisèle m’importaient.
— Hugo ? Fut la seule parole qu’elle prononça. Elle était tétanisée par la peur.
J’avisais la scène et lui répondis :
— Souris, Hugo ! Montre-lui que tout va bien ou tu vas la perdre !
Et Hugo sourit. D’un sourire ravageur, enthousiaste, sincère, flatteur et débordant d’amour. J’étais si fier de lui à ce moment. Il venait, à son tour, de basculer de l’autre côté. Celui des êtres pour qui le plaisir est sans limites, sans barrière morale, total et absolu. Je lui demandais.
— Parle-lui en appuyant sur le bouton bleu en face de toi ! Mais attention, pèse tes mots. Ce que tu vas dire va déterminer ton avenir.
Sans me regarder, mais implorant du regard que je l’aide, je compris qu’il ne savait que faire. Je lui dis alors.
— Je t’aime Gisèle ! Tu es si belle lorsque tu jouis. Ne me prive plus longtemps de ce plaisir ! Continue pour toi et pour moi !
Il appuya sur le bouton et sa voix résonna :
Gisèle sourit en entendant sa voix et dit :
— Pas si tu n’es pas là ! Tu es ce qu’il me manque. Viens mon amour. S’il te plaît, viens me posséder pour que je jouisse encore dans tes bras.
Jeu, set et match.
Je venais de remporter la victoire. Ma stratégie risquée avait fonctionné et je n’en étais pas peu fier. Mais les larmes qui coulaient sur mes joues n’étaient pas dues à cela. Lorsqu’Hugo entra dans la pièce, que Gloria, Vanessa et Nicole me rejoignirent, je pleurais parce que j’avais réuni deux êtres faits l’un pour l’autre. Et j’en étais heureux.
— Tu es machiavélique ! Me dit Nicole.
Dans un rire, je répondis :
— Pour un tableau pareil ? Je m’en moque.
Hugo embrassait Gisèle, couchée sur le grand fauteuil de la pièce, jambes écartées et dont les mains couraient sur les fesses de son amant. Seule l’assistante de Nicole était encore présente, caressant la poitrine de Gisèle et torturant ses tétons tendus à l’extrême, mais s’abstenant de la moindre initiative. Elle avait été parfaitement briefée dans son rôle d’assistante sexuelle.
Je pris la main de mon épouse, celle de Gloria dans l’autre et je quittais alors, accompagné de ces deux merveilleuses femmes, la pièce ; laissant Gisèle subir les affres de ses amants, lui procurant ensemble une nouvelle montée vers son plaisir qui résonnait à mes oreilles alors que la porte se refermait sur notre trio, regagnant notre maison pour une fin de soirée endiablée dont nous avions le secret, mais avec la satisfaction d’avoir accompli une action dont les échos nous parviendraient bien assez tôt.
—--------------------------------------------------------------------------------------------------------
AlexisPC
Le 16/11/2020
Courage à tous et à toutes.
N’hésitez pas à me laisser vos impressions. Elles sont toujours agréables à lire.—
Diffuse en direct !
Regarder son live