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L'Histoire est un long cheminement !

Chapitre 16

Un avenir rayonnant

Divers
En servant son verre à Hugo, j’avais une dernière action pernicieuse à mener.
Je m’en régalais à l’avance, car, sous ses airs faussement détachés, je devinais la tension morale et sexuelle qui agitait mon invité.
Personne ne reste insensible à de telles révélations ! Le seriez-vous dans sa situation ? Je n’en crois pas un mot. La machine était en marche et personne ne pourrait plus l’arrêter !
Sauf si je le décidais à cet instant.
Et c’était là tout le piment de la situation actuelle.

Laissez-moi vous expliquer !

Vous me connaissez un peu, à présent. Je suis un homme que j’aime qualifié de raffiné, droit et honnête. Que cela soit dans mon travail, mes amitiés, le sexe ou toute autre chose. Je ne sors pas de cette ligne de conduite qui, vraiment, ne m’a apporté que des satisfactions.
Vous savez également que j’aime le jeu. J’aime amener mes "proies", même si ce terme est exagéré, là où je le souhaite. C’est un sentiment grisant. Mais, et il faut me le reconnaître, je n’en ai jamais abusé. Jamais !
Pour l’instant, la jeune Gisèle et Hugo furent aisés à manipuler et à faire...évoluer ! Mon Dieu, on dirait que je parle de Pokémon ! Je me rends compte, en vous parlant, que j’ai probablement l’air hautain, limite méprisant par rapport à Hugo et Gisèle.
Soyez rassurés, il n’en est rien ! Ce n’est pas mon style de broyer de jeunes âmes innocentes ni de détruire un si joli couple. Non, rien de tout cela n’arrivera par mon fait !
Voilà pourquoi je prends tant de précautions avant de lancer ma dernière offensive qui, je le sais déjà, ne sera couronnée que du succès et auréolée de ma victoire définitive sur les dernières réticences d’Hugo.
Car, soyez bien certains, que Gisèle est prête à tout connaître, à tout subir tant qu’elle y trouve respect et plaisirs multiples. Non, à présent, Hugo sera ma préoccupation finale.

En buvant mon verre du bout des lèvres, je l’observe à la dérobée, en train de couper un dernier oignon pour mon plat. Je le sens tellement tendu. Son esprit turbine à mille kilomètres-heure et je suis certain que son sexe doit en faire autant.
Qui va avoir le dessus ? Sa raison ou sa libido ?
Les deux ne sont, bien sûr, pas incompatibles. Mais ils peuvent parfois s’opposer. Et à l’instant présent, je ressens cette opposition entre une éducation que je devine stricte et des désirs refoulés de luxure et de stupre.
— Tu as terminé, Hugo ? Demandé-je comme si nous venions de parler de la météo.— Oui ! Tiens, prends-le ! me répondit-il.— Bon, tu n’es pas habitué à cuisiner, toi ! Tu ne te sens pas bien dans ma cuisine ?— Oui ! Je vais bien, Alexis ! Merci de t’en préoccuper. Ne crois pas que je vais m’enfuir en courant après tes révélations. Ce n’est pas quelque chose que l’on entend tous les jours, certes. Mais je ne suis pas, non plus, stupide au point de croire que cela n’existe pas. Rassure-toi, ton secret est bien gardé. — Je t’en remercie ! Mais je parlais de tes talents culinaires. — Je sais ! Mais on ne va pas faire comme si de rien n’était, tout de même ?— Pourquoi devrions-nous changer quoi que ce soit dans nos relations ? Je t’ai fait une proposition, tu en parles à ta petite amie et nous décidons ! Point ! D’ailleurs, il est temps de s’en inquiéter. Tu viens ? Demandé-je soudain.— Où ?— Tu le fais exprès ? Tu penses que je vais laisser trois nanas magnifiques baiser dans mon salon sans y avoir accès ?— Euh... !— Allez, amène-toi ! dis-je en le tirant doucement par le bras. Je suis certain que tu en meurs d’envie. Tu n’as pas arrêté de reluquer dans cette direction depuis que nous sommes là !
Comme je vous l’ai expliqué précédemment, ma cuisine donne directement sur le salon. Mais je possède un endroit, juste derrière, me servant de pièce où j’ai disposé mes fours, un frigo et surtout un énorme plan de travail. J’adore m’isoler lorsque je cuisine et que mon épouse regarde une émission à la télévision. J’y ai entraîné Hugo qui, j’en suis certain, est sur des charbons ardents de ne pas pouvoir assister aux ébats et aux exploits sexuels de sa petite amie. Car j’ai, bien entendu, fermé la porte insonorisée. Car si Vanessa regarde la télévision, j’écoute de la musique.

Je venais de décider de jeter mon atout dans la partie.
Je savais que, voir sa compagne adorée libérée du poids de sa culpabilité d’enfant, de ses remords et agir en femme décidée et libre ne pourrait que le décider dans sa quête de plaisir.
En ouvrant la porte, ce furent des feulements doux qui nous accueillirent.
En m’asseyant dans un fauteuil après avoir installé Hugo de force dans son jumeau, je repris une lampée de mon excellent Sancerre en admirant le spectacle qui nous était offert.
Gloria pénétrait à nouveau lentement et tendrement la chatte de Gisèle. Cette dernière était appuyée sur les coudes, enfoncés dans le divan moelleux du salon. Son visage était écrasé avec douceur par le coussin. Ses yeux étaient ouverts et elle fixait avec un amour indéfinissable Hugo qui ne la quittait pas du regard. Sa bouche était entre-ouverte et de petits râles d’un plaisir tendre et contenu s’en échappaient à intervalles réguliers.
Vanessa, agenouillée à ses côtés, caressait calmement ses fesses à la rondeur parfaite. Le bout de ses doigts courait entre la raie cuillère et les hanches de sa victime consentante. De temps en temps, soit elle se penchait vers Gisèle pour échanger un baiser dans lequel leurs langues se touchaient lentement et avec volupté, comme pour en retenir chaque millimètre carré, soit elle se relevait pour recevoir les lèvres de Gloria contre les siennes.
La scène était d’un érotisme ravageur. Croyez-moi ! Avoir trois femmes jouant lentement de leurs charmes et des plaisirs corporels tout en se montrant douces et patientes l’une envers l’autre ne peut que vous amener à l’extase des sens.
Je n’en menais pas large, je dois l’avouer. Mon pantalon me faisait mal et mon sexe, emprisonné dans mon boxer, me faisait un mal de chien. Mais je ne devais rester stoïque ! Ne fut-ce que par respect envers Gisèle qui ne m’avait pas invité aux réjouissances et envers Hugo, qui admirait, car il n’y avait plus de doute à présent, le spectacle de son amie en proie à un orgasme terrifiant.
Gisèle ne hurla plus. Son plaisir était continu, mais contenu. Son corps s’arqua sous l’effet de son plaisir et l’air sembla la quitter durant quelques instants. Gloria sortit le gode de la chatte accueillante et l’offrit en sacrifice expiatoire à la bouche de mon épouse qui ne se priva pas, en prêtresse des lieux, de lui donner l’offrande de sa langue. Elle nettoya le sceptre de plastique avec une gourmandise à chaque fois renouvelée.
Elles aidèrent, à coups de caresses et de légers baisers, Gisèle à se relever. Puis, c’est Vanessa qui reprit la parole.
— Nous avons besoin d’une douche, les garçons ! Vous nous attendez ?— Bien sûr ! dis-je dans un sourire taquin.— C’est du Sancerre que tu bois, Alexis ? Me demanda Gloria.— Je t’en sers un verre dès que tu redescends ma chérie ! lui dis-je.— Tu es décidément l’homme parfait, mon cœur ! Me répondit-elle sans complexe de se retrouver entièrement nue et pourvue d’un gode-ceinture face à son étudiant comme si c’était l’attitude parfaitement et totalement normale d’un professeur.— Gisèle ? Tu vas bien ? demanda timidement Hugo en lui posant une main sur l’épaule.— Oui, mon amour ! répondit-elle. Je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie.— C’est sur ces paroles qu’elles quittèrent la pièce, en emmenant avec elles leurs effets personnels qui jonchaient le sol de mon salon.
Nous retournâmes alors dans la cuisine pour terminer la préparation de notre dîner.
Les trois femmes redescendirent une vingtaine de minutes plus tard. Gloria et Vanessa s’étaient encore changées.
Gloria portait un pantalon crème et ses escarpins sur une nuisette transparente laissant deviner un soutien-gorge noir. Vanessa avait revêtu également une nuisette, mais sur un body en dentelles. Elle portait aussi un pantalon noir. Leurs cheveux, à toutes les deux, étaient encore un peu humides et pendaient, frisés, sur leurs épaules.
Gisèle portait aussi une nuisette en guise de dessus sur son soutien-gorge. Elle avait revêtu une jupe de mon épouse, qui avait dû la lui prêter pour l’occasion.
Elles étaient terriblement excitantes. Et elles le savaient.
J’avais ouvert une nouvelle bouteille de vin blanc et, en prenant notre dîner, elles y firent honneur alors que je freinais un peu l’alcool. J’avais déjà pas mal ingurgité de breuvages alcoolisés pour la soirée. Hugo, prudent, m’avait imité.
Je pense qu’il réfléchissait à la manière d’annoncer mes requêtes à sa compagne. Et il voulait garder les idées claires. Ce qu’il ne savait pas, c’est que sa douche n’avait pas été qu’un moment habituel d’ablutions. Vanessa avait parlé avec Gisèle durant cet instant, lui faisant part de mes exigences concernant sa soumission à mon épouse et à ma maîtresse.
Et le clin d’œil de Vanessa en entrant dans notre cuisine m’avait confirmé mon intuition.
Elle était partante !
J’avais retenu un petit saut de joie et une petite danse de la victoire. Je me délectais du dilemme d’Hugo. Après tout, ce n’est pas tous les jours que l’on peut assister à ce choix cornélien d’un homme hésitant entre morale et abandon total à ses sens.
Ce n’est pas charitable, je vous l’accorde. Mais je ne connaissais pas encore parfaitement les sentiments d’Hugo. Il pouvait encore se rétracter. Et je dois vous avouer avec la plus grande honnêteté que cela me terrifiait aussi à cet instant. Car cela ferait voler en éclat son couple.
Le dîner se passa comme un dîner normal entre amis. Nous parlâmes politique, économie, Histoire, faits divers et cinéma. Que des sujets tout-terrain.
Lorsque j’eus débarrassé notre table et mis le lave-vaisselle en marche programmée, tout en continuant à participer aux discussions derrière mon comptoir et en ayant refusé toute aide pour cette soirée, je décidais qu’il était temps de tirer le rideau et de jouer le dernier acte.
— Alors Gisèle ? Comment te sens-tu ?— Parfaitement bien, Alexis ! J’ai passé une soirée merveilleuse. — J’en suis heureux ! dis-je sincère en lui souriant. Mais tu attends une réponse à ta requête, n’est-ce pas ?— Oui ! M’autoriseras-tu à devenir la soumise volontaire et aimante de Vanessa et de Gloria ?— Tout va dépendre d’Hugo et de toi, jeune fille ! dis-je théâtrale, ce qui fit glousser Gloria qui connaissait mon amour pour cet art. Vanessa se contentant de lever les yeux au ciel, habituée à mon côté joueur.— De quoi parles-tu ?— C’est Hugo qui va s’en charger. Je lui ai fait part de mes exigences durant votre... intermède ! dis-je en lui faisant un clin d’œil. Elle rougit à cette évocation. Elle en était absolument ravissante.

Je ne pus m’empêcher, à cet instant, de la détailler à nouveau.
Ses yeux étaient brillants de plaisir et de bonheur. C’était d’une limpidité telle que seul un aveugle ne pourrait pas le remarquer. Sa bouche était faite pour les baisers. Sa poitrine, dissimulée en partie par le tulle de sa nuisette et son soutien-gorge, était parfaitement galbée et suivait le mouvement si excitant de sa respiration. Je me mis, probablement consciemment pour la première fois à cet instant, à souhaiter pouvoir profiter un jour de ses charmes. Car elle était tout simplement charmante et si candide dans son regard et ses paroles que n’importe qui aurait succombé.
— Comment cela ? demanda-t-elle.— Il va tout t’expliquer ! Je te fais les mêmes recommandations. Sois ouverte d’esprit et ne réagis pas de faon épidermique. Pèse ses mots, pèse les conséquences et pèse ce qui pourrait advenir. Dernière chose ! Je veux votre réponse avant que vous ne quittiez mon domicile. C’est à prendre ou à laisser. — Nous avons donc encore le choix ? — Bien sûr, Gisèle ! Dit Vanessa en lui prenant la main. Rien ne sera sans votre accord et votre consentement.— Je rajouterai même sans votre désir de découvrir ce que nous pouvons vous proposer en termes de plaisirs, de tabous, de sexe ! dis-je en toisant Hugo et en souriant à Gisèle.— Bien ! dit-elle.— Suivez-moi, les amoureux !

En les installant dans le divan du salon qui avait connu les ébats de Gisèle quelques heures plus tôt, je remis une buche dans la cheminée tout en leur laissant une bouteille de vin entamée et deux verres et je m’éclipsais dans la cuisine en disant.
— Vous avez tout votre temps ! Les explications et les discussions peuvent être longues. Nous serons dans la cuisine lorsque vous aurez pris une décision. Vous n’aurez plus qu’à pousser la porte et nous en faire part.— Merci ! Dit sincèrement Gisèle en me prenant les mains.— Il n’y a pas de quoi, jeune fille ! Mais tu me remercieras lorsque tu auras pris la décision de nous rejoindre. Je répète ! Prenez tout le temps nécessaire. Bonne discussion et bonne décision.

En les quittant, je jetais un dernier regard vers eux. J’ai compris à cet instant mon intérêt pour ce couple. Je n’y avais pas prêté attention auparavant. Mais je sus alors pourquoi ils me touchaient autant et pourquoi je voulais tant les aider.
Hugo, c’était moi quelques années plus tôt. Curieux, timide, calme, courtois, mais décidé et droit. Gisèle avait un petit côté de Vanessa. Belle, intelligente, courageuse et même parfois téméraire, mais avec cette pointe de réflexion lorsque c’est utile et surtout tellement femme.
Je souris en refermant la porte sur leurs conciliabules tout en rejoignant mes deux femmes dans la cuisine.
— Alors ? Me demanda Gloria.— Quoi ? — Eh bien ? À ton avis ? Elle va suivre ? Et Hugo ?— Ta cible, n’est-ce pas ? Dis-je en buvant une nouvelle gorgée de vin blanc.— Arrête, Alexis ! Tu sais très bien que ce n’est plus du tout ce que je souhaite. Tu m’emmerdes, là !— Calme-toi, ma chérie ! Si je ne peux plus te faire marcher. — Ce n’est pas trop le moment ! Me dit Vanessa calmement.— Bon, d’accord ! Excuse-moi, Gloria. — Pas grave, balourd de collègue ! Me dit-elle en m’envoyant un baiser au vol. ALORS ? dit-elle plus fort.— Chuuuut ! dis-je. Bon, on arrête de jouer alors ? Vanessa, tu lui dis ?— Quoi ? demanda Gloria.— Elle sait ! Dit simplement mon épouse en sirotant son vin.— Elle sait ? Elle sait quoi ?— Tout, ma chérie ! Toi, moi, Alexis, Caroline, tout quoi.— Oh merde ! Dit –elle.— Hugo détint sur toi ! Dis-je encore un peu moqueur. — C’est bien le moment, tiens ! Mais... pourquoi ?— Parce que tu ne penses pas qu’elle sera votre soumise sans comprendre les enjeux ! dis-je. Elle est intelligente. Elle comprendra très vite, en vous côtoyant, qu’il y a anguille sous roche dans cette famille.— Mwouai ! Dit Gloria en faisant la moue. Je ne suis pas convaincue. Mais bon ! C’est votre famille, après tout ! Et donc, Hugo est au courant aussi ?— Bien sûr ! dis-je. Que penses-tu que j’ai fait avec lui pendant que tu baisais avec ma femme et votre future soumise ? Une belote ?— Tu es diabolique !— Si tu veux ! Mais il est temps de tirer un trait sur cette histoire, Gloria ! Ou ils font partie de notre monde ou tu les oublies ! J’en ai un peu marre de jouer au chat et à la souris. Ne le prends pas mal ! Je ne te reproche rien. Mais depuis que Gisèle fait partie de la vie de Vanessa, nous sommes moins ensemble. Et cela m’emmerde !— C’est donc pour satisfaire ton égoïsme que tu as manigancé tout cela ? — Mon égoïsme ? Dis-je, outré. Tu y vas fort, là, ma grande. Je te rappelle que c’est toi qui m’as appelé à l’aide et que c’est toi qui nous as embarqués là-dedans sans nous demander notre avis. Alors, change de ton, s’il te plaît !— Je prendrai le ton que je veux, mon grand ! Tu te prends pour qui à me parler ainsi ?

À cet instant, mon amitié et mon affection pour Gloria en ont pris un coup. Et je pense que je n’étais pas loin de la foutre hors de chez moi manu militari si Vanessa n’était pas intervenue pour ma calmer ainsi que Gloria. Je maintiens depuis cet instant que l’alcool et les grandes décisions ne font pas bon ménage.
— On se calme, dans la basse-cour ! C’est compris ? Gloria, Alexis n’a pas tort. — Mais, je... !— TAIS-TOI, s’il te plaît, ma chérie ! Alexis n’a pas tort. Depuis que tu as fait entrer Gisèle dans nos vies, nous ne sommes plus ensemble comme nous le souhaitons. Mais ce n’est pas un reproche, juste une explication de l’empressement d’Alexis à conclure. Tu dois le comprendre également. Il a fait ce que tu lui as demandé, sans hésitation. Il t’a aidé sans questions et en te faisant confiance. Tu ne peux pas lui reprocher de vouloir être avec son épouse, tout de même ?

Gloria regarda son amie puis me regarda et, en se levant, vint vers moi en disant.
— Excuse-moi, mon cœur ! Je suis débile par moments. Pourras-tu m’excuser ?— Bien sûr, vilaine fille ! Dis-je en la prenant dans mes bras et en lui embrassant le front.

Nous n’étions pas passés loin d’un clash comme il n’en existe que quelqu’un dans une vie.
Nous avons alors mis Gloria au courant de ce que nous avions tramé pour Hugo et Gisèle. Depuis notre discussion dans notre lit, la veille de ma rencontre avec ce jeune homme jusqu’à cette soirée.
— Eh ben, on peut dire que tu ne fais pas choses à moitié ! Et ta mère est d’accord avec toi ?— Yeap ! Elle a hâte de rencontrer Gisèle. — Tu m’étonnes, tiens ! Elle veut en faire son dîner ?— Peut-être ? Dis-je sans connaître vraiment la réponse. En tout cas, elle est intriguée par sa personnalité. De même que Papa. Il veut rencontrer ce jeune couple.— Même ton père ? Je suis scotchée, là !— C’est ce qu’il m’a dit au téléphone, en tout cas !— Pffff... j’espère qu’ils vont accepter tes conditions alors. Ce sera torride !— C’est vrai ! Mais je ne veux rien forcer. Tu comprends maintenant pourquoi cela doit venir d’eux ?— Oui ! Tu as raison ! Comme toujours d’ailleurs ! dit-elle. D’ailleurs, comment se fait-il que tu aies toujours raison ?

Je souris en l’écoutant alors que du bruit venait du salon, dans notre direction. La décision finale allait tomber.
Lorsque la porte s’ouvrit, je ne me retournais pas et continuais à fixer Gloria dans un sourire énigmatique. Elle attendait toujours la réponse à sa question.
Sans quitter son regard, je dis.
— Alors ? Avez-vous pris le temps de la réflexion ?— Oui ! répondit Hugo sans que je me retourne, toujours en direction de Gloria qui ne lâchait pas mes yeux fixés dans les siens.— Peut-on connaître le fruit de vos délibérations ?— Nous acceptons vos conditions, Maître ! répondit Gisèle en se mettant à genoux derrière moi. Je devinais son mouvement au bruit de ses vêtements.— Êtes-vous d’accord tous les deux ? Demandé-je en souriant à Gloria d’un sourire de vainqueur.— Oui ! répondit Hugo ! Je suis également d’accord avec tes conditions, Alexis.

Je souris encore un peu plus à Gloria en lui disant.
— Tu as la réponse à ta question, Gloria !— Et c’est ? demanda-t-elle en riant.— Le talent !
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