Chacun des participants à notre soirée avait joui une première fois. Nous fîmes alors une pause afin de nous rafraîchir par une douche ou nous rassasier en reprenant un verre de vin et un amuse-bouche prévu à cet effet. Quelques minutes plus tard, alors que nous étions tous à présent nus, c’est Caroline qui relança les hostilités.- J’ai parfaitement joui grâce à la queue d’Hugo et à la bouche de Gisèle. Mais j’’en veux encore. Qui souhaites me faire jouir sous ses assauts ? Demanda-t-elle en se couchant dans le grand divan tout en caressant lentement sa poitrine. Gloria, en souriant, s’approcha de son amie et, posant sa bouche sur la chatte offerte, entama un cunnilingus lent mais redoutablement efficace à en juger par les soupirs d’aise qui s’échappaient de la bouche de ma petite sœur. Mon père, visiblement très intéressé par Gisèle, lui ordonna de se pencher en avant et commença à lui lécher les fesses et le cul tout en lui demandant de titiller ses seins pendant sous son buste. Ma mère, pas du tout en reste, n’avait d’yeux que pour la queue de notre nouvel invité. Elle n’attendit pas et, se mettant à genoux face à Hugo lui demanda- Jeune homme, puis-je sucer cette queue qui me fait envie depuis un bon moment ? - Volontiers ! Répondit-il, abandonnant toute forme de résistance, si, du moins, il en avait encore la moindre. Ma mère entama une fellation sur cette bite tendue à l’extrême. Hugo, assis dans le fauteuil, regardant sa copine se faire lécher le cul et la chatte, posa ses mains sur la tête de ma mère et l’accompagna dans son mouvement. Nous entendions tous parfaitement la bouche maternelle s’affairer sur cette queue. Sortant la langue, elle titilla le gland et contournant la couronne avec la pointe tendue, elle goba le sexe jusqu’à la garde, restant figée quelques secondes avec la queue d’Hugo au fond de sa gorge. Les jambes de notre ami tremblant sous l’effet de cette caresse inédite pour lui, il lâcha alors un cri de bête blessée, éjaculant quelques giclées de foutre au fond de la bouche de ma mère. Á cet instant, Gisèle, joui à son tour sous les assauts de notre père qui lui pénétrait le vagin de sa langue tendue tout en caressant le clitoris de sa victime. La jouissance d’Hugo l’aida-t-elle dans son propre orgasme ? Probablement car la concordance était trop parfaite pour n’être qu’une coïncidence. Ainsi, Gisèle, à présent, se régalait d’entendre son compagnon jouir sous les assauts d’une autre femme ? Sa jalousie maladive était un bien lointain souvenir. Vanessa regardait le spectacle offert dans notre salon, assise sur mes genoux, d’un œil gourmand, mais ravie de la tournure de la soirée. Elle se leva un instant pour se rendre dans notre chambre et revint quelques secondes plus tard, munie de notre gode-ceinture qu’elle avait passé autour de sa taille. Il y avait une perversion certaine à regarder ce sexe factice s’agiter à chacun de ses pas au rythme de ses seins se balançant sur son buste parfait. Elle me sourit en passant à mes côtés et, d’un clin d’œil, elle s’avança vers ma mère qui suçait toujours Hugo qui avait repris de la vigueur sous les effets conjugués du plaisir de voir sa fiancée jouir mais aussi des caresses particulières de ma mère.- Sabine, j’ai envie de ta chatte ! Peux-tu relever ton cul pendant que tu suces Hugo ? Je vais te prendre en levrette et te ramoner le sexe. Cela te tente ? - Mmmmhh…ma chérie ! Il y a longtemps que tu ne m’as plus prise avec cet engin. Volontiers, ramone ma chatte. Je mouille comme une fontaine grâce au sexe de ce jeune homme qui m’excite au possible. Vas-y, prends-moi fort et baise-moi ! D’un coup sec, Vanessa pénétra la chatte de ma mère et commença à la faire jouir lentement mais avec une force décuplée par les paroles perverses qu’elle venait d’entendre. Je savais, et ma mère le savait aussi, que ce type de discours n’avait pour effet que de multiplier sa fougue. Mon père, pendant ce temps, avait retourné Gisèle sur le divan et, prenant l’une de ses jambes pour la poser sur son épaule, plaça sa queue à l’entrée de son vagin. Il la pénétra d’un coup lent mais profond. Le râle de plaisir de Gisèle retentit et donna le signal à mon père pour qu’il entame un va-et-vient devant la mener à l’orgasme. Caroline se tourna alors vers moi et, avec l’aide de Gloria, entamèrent une double fellation sur mon sexe tendu par le spectacle auquel j’assistais. Ma sœur goba ma queue tandis que Gloria léchait mes testicules. Puis elles alternèrent, leurs langues se mêlant à chacun de leur passage l’une contre l’autre.
Ma jouissance fut lente à monter mais dès que Gloria caressa les seins de ma sœur, et que celle-ci posa sa main sur sa chatte pour se masturber, je ne tins plus. J’avertis Gloria, qui gobait ma queue à cet instant, de l’imminence de ma jouissance. Elle fit entrer ma queue au fond de sa gorge et, lorsque son nez toucha mon pubis, j’éjaculais quatre longues giclées de sperme. Caroline laissa à Gloria le temps de se relever lentement puis, posant sa bouche sur celle de son amie, elles se partagèrent le fruit de ma jouissance. La fin de soirée fut rythmée par les diverses pénétrations de queues au fond de différentes chattes offertes. Je remarquais que ma mère profitait pleinement de la jeunesse de celle d’Hugo, tandis que mon père se régalait de la chatte de Gisèle. Chacun rentra chez lui très tard, ou très tôt, c’est selon le point de vue. Hugo et Gisèle faisaient à présent partie de nos soirées débridées et perverses avec un bonheur renouvelé. Mais j’appris rapidement que ma mère me quittait au bureau pour un rendez-vous de baise frénétique avec Hugo tandis que mon père faisait souvent venir Gisèle à son bureau afin de passer un moment agréable avec elle. Gloria retourna à ses étudiants mais nous fit la promesse de ne plus flasher sur l’un d’entre eux. - Je t’en sais gré, ma chérie ! Tu nous as fait faire des trucs de dingue ! Lui ai-je dit. - Je te promets de ne plus flasher sur un étudiant ! Promis, juré, mon chéri. Par contre, je ne te promets rien pour une étudiante ! Dit-elle en éclatant de rire et en montant dans sa voiture pour rentrer chez elle. - GLORIA ! Hurlé-je en éclatant de rire alors qu’elle mettait son moteur en marche. Vanessa sourit et, m’enlaçant me dit- Tu t’ennuierais sans avoir une stratégie ou un coup tordu à régler, mon amour. Mais à présent, nous sommes nous deux. La journée est à nous. Que dirais-tu d’enfin profiter de notre calme retrouvé pour aimer ton épouse adorée ? - Monte faire couler la douche, j’arrive ! Dis-je en l’embrassant. Alors que Vanessa rentrait chez nous, je regardais la voiture de Gloria quitter notre rue. Je réfléchissais aux paroles de mon épouse. Elle avait raison ! La vie sera vite ennuyante sans un coup foireux à rattraper. L’avenir nous le dira. FIN ! AlexisPC, Le 04/01/2021. Ce chapitre termine le second tome des histoires d’Alexis et de sa famille. Merci à celles et ceux qui, nombreux, ont lu et aimé ces histoires. Merci à celles et ceux qui, nombreux, m’ont écrit ou ont commenté ces chapitres. À bientôt pour de nouvelles aventures. Prenez soin de vous.
