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Histoire de famille, d’amitié et d’amour

Chapitre 10

La famille au carnaval du village

Inceste
Résumé : Joanne a découvert la soumission, mais en tant que dominatrice (voir chapitre précédent), elle aimerait posséder une soumise. Elle va demander à la famille si ça nous intéresserait d’en posséder une. Mais avant, Laure et Joanne vont au carnaval du village.
Samedi
Ce soir, c’est le carnaval du village où Habite Joanne. Comme chaque année, Joanne et Laure décident d’y aller. Marie-Hélène et moi arriverons plus tard. Suite à la découverte de la soumission, Joanne s’est déguisée en dominatrice. Elle a mis un corset en satin noir, orné de clous dorés sur la poitrine, et un pantalon en simili cuir noir, moulant, et elle tient un fouet. Ne portant pas de culotte, le pantalon moulant laisse deviner la forme de ses lèvres. Laure s’est déguisée en hippie. Elle a mis un bandeau multicolore autour de la tête, une robe elle aussi multicolore, qui lui arrive en dessous des genoux et des bottes avec des franges. Sur le visage, elle s’est dessiné le symbole de la paix. Elles ont bien sûr choisi leurs déguisements de manière que leur chatte soit facilement accessible.
Cette année, le carnaval n’est pas comme les années précédentes. De temps en temps, pendant la soirée, elles vont dans des endroits à l’écart pour s’embrasser et se caresser. Laure avait prévu et ne porte pas de culotte.
C’est mon meilleur carnaval dit Laure avec ces petits moments avec toi.Pour moi aussi lui répond Joanne mais j’aimerais en faire un peu plus avec toi, mais faudrait pas se faire griller.Moi aussi, mais soyons vigilantes. Ça me tarde que Philippe et ma mère arrivent.C’est clair, car nos doigts et nos langues dans nos trous, c’est très bien, mais sa queue en nous c’est encore meilleur, et sentir son sperme couler dans ma gorge, j’adore trop ça !Chuuuut, ne parle pas trop fort, on va t’entendre ! Lui dit Laure, en lui mettant le doigt sur la bouche.
Joanne prend le doigt dans sa bouche et le suce.
Je suis sérieuse Joanne, on va se faire griller.Oui désolée ma chérie, faut que je fasse gaffe d’être plus discrète répond Joanne. on est à l’écart, mais je dois faire gaffe.
En disant ça, Joanne prend Laure par la main et l’emmène un peu plus à l’écart de la fête. Elles rentrent dans un petit jardin.
Mais on est où ? ? demande Laure.Ne t’inquiète pas, c’est là où habite Maya et elle n’est pas prête de rentrer.Je ne savais pas qu’elle habitait là. Comment tu la trouves ? Moi je la trouve trop belle !Moi aussi lui répond Joanne. Je l’ai vue une fois nue après le sport et elle a un très joli corps.Comment est sa chatte ?
Elle a un peu de poil juste au-dessus de ses lèvres, mais pas trop.
Tout à coup, Joanne voit derrière Laure quelque chose d’intéressant.
Regarde Laure, du linge de Maya, étendu, et il y a des sous-vêtements.
Les filles s’approchent de l’étendoir. Dessus sont étendus des chemisiers, des pantalons, des culottes et des soutiens-gorges.
Elle a de jolis sous-vêtements dit Laure.Oui et très sexy. Regarde cette culotte dit Joanne en montrant une culotte avec des dentelles.On doit bien voir sa chatte, dit Laure en montrant le devant transparent.C’est dommage qu’on ne puisse pas en avoir une usagée, car j’aimerais bien sentir son intimité, dit Joanne en faisant un clin d’œil à Laure.On va voir si on peut rentrer chez elle, pour fouiller dans son linge sale ?Mais tu es folle, on ne va pas rentrer chez elle !Alleeez, viens, ça va être excitant.Bon OK, dit Joanne qui ne peut rien refuser à sa meilleure amie. Surtout s’il est question de sexe.
Les filles font le tour de la maison. Heureusement qu’il y a une grande haie qui permet aux filles de ne pas être vues des voisins. Elles voient une porte et essaient de l’ouvrir. La porte s’ouvre !
Trop génial ! dit Joanne toute excitée.
Elles rentrent, ferment la porte et s’éclairent avec leurs portables. C’est une petite pièce, avec, en entrant à gauche une machine à laver, un étendoir vide et une panière avec du linge dedans. C’est la première chose vers laquelle elles vont. Elles commencent à fouiller dedans et tombent sur plusieurs culottes et soutiens-gorges, et aussi un porte-jarretelles.
T’as vu ce qu’elle porte ! s’exclame Joanne, en prenant le porte-jarretelles. J’aimerais la voir avec ça !C’est clair ! Il est joli.
Laure prend une culotte et la porte à son nez.
Mummm, que ça sent bon ! !Ça sent trop bon sa chatte ! dit Joanne qui a pris une autre culotte pour sentir la partie de la culotte, qui a touché l’entrejambe de Maya.
Laure soulève sa jupe et écarte ses cuisses. Ne portant pas de culotte, elle frotte celle de Maya sur sa chatte. Joanne préfère lécher. Les deux filles se regardent et se sourient. Joanne s’approche de Laure et l’embrasse. Puis elle lui fait sentir la culotte. Laure commence à pousser de petits gémissements.
Filme-moi, j’ai envie de montrer à Philippe et à ma mère lui dit Laure.Bonne idée ! Et ça nous fera un souvenir.
Joanne prend son téléphone et commence à filmer. Laure continue de se caresser avec la culotte, et sentir celle que Joanne lui a passée. En filmant, Joanne fait des petits commentaires.
Nous sommes chez Maya alors qu’elle n’est pas là. Laure se fait plaisir avec ses culottes usagées. Tu es trop belle comme ça, ma chérie.Merci Joanne, répond Laure entre deux gémissements. Maman, Philippe c’est pour vous ce joli spectacle. Joanna montre-moi ta chatte.
Elle pose le téléphone, soulève sa robe et enlève sa culotte. D’une main, elle tient sa robe relevée, et de l’autre, elle reprend le téléphone.
Joanne ta fente est trop belle ! lui dit Laure. J’en ai trop envie !
Joanne s’approche de Laure et lui donne sa chatte.
- Merci ma chérie, lui dit Laure, qui a posé la culotte, et lui écarte les lèvres.
Mais Joanne a du mal à tenir d’une main le téléphone pour filmer, et de l’autre garder sa robe relevée. Laure s’en rend compte.
— T’as un problème Joanne ? dit-elle en rigolant.— Oui, je n’arrive pas à garder ma robe relevée.— J’ai une idée, dit Laure.
Elle prend le panier de linge sale de Maya et le renverse par terre. Elle prend tous les sous-vêtements et les met sur le dessus.
— Allonge-toi là, ce sera plus facile.— Bonne idée de baiser au milieu des affaires et sous-vêtements de Maya !
Joanne s’allonge, relève bien sa robe et écarte les jambes pour accueillir Laure. Ayant maintenant une main de libre, elle prend une culotte de Maya.
— Mummmm, ça sent bon la chatte de Maya, dit-elle en portant la culotte à son nez.— Et moi je vais sentir ta chatte ma chérie, dit Laure en écartant les lèvres de Joanne.
Laure lui lèche l’intérieur, et lui suce le clitoris. Joanne sent le plaisir monter très vite. Laure fait entrer 2 doigts.
— Imagine que c’est la queue de Philippe, dit Laure.— Hoooo ouiii, c’est trop bon ma chérie.
Joanne fait entrer un doigt de plus.
— Ta langue sur mon clito et la queue de ton amoureux, c’est vraiment trop bon !!
Joanne prend d’autres culottes pour les sentir. Au bout d’un petit moment, elle jouit et éjacule sur le visage de Laure.
— J’ai trouvé trop excitant de faire ça au milieu des vêtements de Maya, dit Joanne tout essoufflée. Maintenant, c’est à mon tour de te donner du plaisir. J’ai une idée !
Joanne arrête de filmer, se lève, prend Laure par la main et se dirige vers une porte, mais pas celle qui mène dehors. Laure l’arrête.
— Heuuu, tu veux aller où ?— Tu verras, répond Joanne en lui faisant un clin d’œil.— Attends, il faut remettre les vêtements comme on les a trouvés.— Ha oui, c’est mieux, sinon Maya va se poser des questions.
Elles remettent donc tout en place, puis Joanne emmène Laure dans le salon de Maya. Joanne s’allonge sur le canapé.
— Viens sur moi, je vais te lécher, dit Joanne.— Quoi ici ? ?— Tu ne trouves pas ça excitant ?— Oui, mais j’ai peur que Maya nous grille si elle rentre, répond Laure un peu inquiète, mais tout excitée par la situation.— Plus vite on commencera et plus vite on partira.— Bon OK.
Laure soulève sa jupe et se met au-dessus du visage de Joanne pour qu’elle puisse la lécher. Celle-ci lui passe le téléphone et Laure commence à filmer. Joanne écarte bien les lèvres et lèche bien l’intérieur. Laure étant bien excitée, elle ne tarde pas à jouir, puis se met à côté de Joanne, un peu difficilement, car le canapé n’est pas très large, et la prend dans ses bras. Toujours en filmant, Laure tient le téléphone comme pour un selfie et les filles s’embrassent tendrement. Puis Laure regarde vers le téléphone.
— Maman, Philippe, c’était pour vous. Je vous aime tant.
- Moi aussi je vous aime ! Dit Joanne. Mais pas de la même manière que Laure, ajoute-t-elle en souriant.
Laure arrête de filmer.
— Dans ton état pas question de repartir voir les autres, dit Joanne.— C’est clair, on va être vite grillées, répond Laure. Même si tu en as moins que moi, ça se voit que tu es mouillée. Et puis j’ai envie de rester comme ça avec ton foutre sur le visage. J’ai une idée, on s’éloigne de la fête, et on marche dans les rues comme ça.— A cette heure, certaines rues seront tranquilles, répond Joanne. Et moi je ne remets pas ma culotte. Je vais marcher nue sous ma robe et mon haut un peu ouvert.— Espérerons qu’on ne croisera personne.
Elles se lèvent et remettent de l’ordre sur le canapé. Joanne ne remet pas sa culotte et laisse apparaître un peu ses seins. Elles sortent de la maison, puis du jardin, et se dirigent à l’opposé de la fête. La rue est tranquille, elles ne croisent personne.
— Ça m’excite d’être surprise comme ça, dit Joanne, mais ce qui me gêne, c’est que ça pourrait être quelqu’un qu’on connaît.— Si la personne était discrète, ça ne me gênerait pas, lui répond Laure, mais on ne peut pas savoir.— On pourrait refaire ça dans un endroit où il y a des gens qui sont là pour mater.— On demandera à ma mère et Philippe s’ils connaissent des endroits. — Au fait, il faut les appeler pour leur dire qu’on est plus à la fête ! s’exclame Joanne.— C’est vrai ! Sinon ils vont nous chercher !
Laure prend son téléphone et appelle sa mère qui lui répond de suite.
— Vous êtes où, on vous cherche, dit Marie-Hélène.— En fait, on n’est plus à la fête.— Vous êtes rentrées ?— Non, mais quand vous nous verrez, vous comprendrez. On est à côté du lavoir.— On arrive. À de suite.
Laure raccroche.
— Ils arrivent, dit Laure.— Haaaa, on va enfin avoir la queue de Philippe, dit Joanne.— Ma langue et mes doigts ne t’ont pas satisfaite ? lui dit Laure avec un petit sourire.— Mais bien sûr ma chérie, tu le sais bien que j’adore tes doigts en moi et ta langue, mais ce n’est pas comme la queue de Philippe.
En plein milieu de la rue, Joanne prend Laure dans ses bras et l’embrasse. Elle lui lèche aussi le foutre sur son visage. Excitée par ce qu’elles font en plein milieu de la rue, Joanne met sa main sous la jupe de hippie de Laure pour lui caresser la chatte. Elle la sent toute mouillée. Elle commence à la masturber, puis s’accroupit pour la lécher. Très vite, Laure jouit. Elle n’est pas une femme fontaine comme Joanne, mais elle mouille quand même beaucoup. Joanne sent couler le foutre sur son visage.
— C’était génial de faire ça dans la rue !!! s’exclame Joanne. Je n’en ai pas autant que toi, mais j’aime ça être dans la rue, avec ta mouille sur le visage.— Ça se voit que ton visage est tout mouillé.
Tout à coup, elles entendent quelqu’un les interpeller. Elles sursautent de surprise.
— Je comprends pourquoi vous n’êtes pas revenues à la fête !
C’est Marie-Hélène et moi qui arrivons discrètement. Laure pousse un cri.
— Ça ne va pas, vous m’avez fait trop peur ! dit Laure.— C’était le but, lui répondis-je.
Avec Marie-Hélène, nous nous sommes déguisés en fantôme. Nous avons fait notre déguisement de manière à pouvoir enlever le haut, sans devoir enlever tout le déguisement. Nous enlevons donc le tissu de notre tête pour pouvoir dire bonjour aux filles dans de tendres baisers. Avec Marie-Hélène, nous en profitons pour leur lécher le foutre qu’elles ont sur le visage.
— Je vois que vous avez commencé sans nous, dis-je.— Oui et c’était trop bien, dit Joanne.— Mais vous êtes allées où pour être dans cet état ? demande Marie-Hélène.
Les filles commencent à nous raconter, les culottes de Maya et le canapé.
— Carrément ! leur dis-je. Mais bonne idée.— On a fait une petite vidéo, dit Laure. Mais on vous la montrera à la maison.— Oui, car pour l’instant, Philippe, on veut sentir ta queue en nous ! dit Joanne.— Ah bon, et ma langue et mes doigts vous n’en voulez pas ? ajoute Marie-Hélène.— Mais oui maman chérie on en veut, répond Laure en s’approchant de sa mère pour l’embrasser.— Tu sais comment te rattraper toi, dit Marie-Hélène à sa fille, avec un petit sourire.
Au même moment, Joanne s’approche de Marie-Hélène, mais par-derrière, et lui caresse un sein avec une main, et de l’autre, lui caresse l’entrejambe.
— Tu n’es pas la meilleure amie de ma fille pour rien ! Toi aussi tu sais comment te rattraper !
Tous les quatre éclatent de rire.
— Très sexy ton déguisement Joanne ! dit Marie-Hélène.— En fait, ce déguisement, ce n’est pas par hasard que je l’ai mis, lui répond Joanne. Jeudi, j’ai fait une cam avec une maîtresse et sa soumise. Et ça m’a donné envie d’en posséder une. Je me disais que ça pourrait être bien d’en trouver une pour la famille.— Philippe, t’as déjà eu une soumise, il me semble ? me demande Marie-Hélène.— Oui, mais elle n’est pas restée longtemps à mon service. Je suis pour ton idée Joanne.— Pareil pour moi, ça peut être sympa, dit Marie-Hélène.— Je sais pas du tout ce que c’est exactement, précise Laure.
Joanne lui raconte sa cam et moi je lui donne un peu plus de détails sur cette pratique.
— Ah, mais s’il y a aussi du sexe... alors je suis pour ! dit Laure. Faudra en chercher une, mais où ?— Sur le site où j’avais trouvé la mienne.
Joanne est contente que toute la famille ait accepté.
— Bon, c’est bien beau tout ça, mais moi, j’ai envie de vous trois, dit Marie-Hélène.— Et moi de ta queue Philippe, ajoute Joanne en passant sa main sur mon entrejambe. Je vois qu’elle est prête à entrer dans ma fente bien humide.
La famille trouve un coin tranquille pour baiser, et nous finissons la soirée, ou plutôt la nuit, par des moments de plaisir très intenses.
- C’était vraiment trop bien les filles, votre idée de baiser dans la rue, dit Marie-Hélène.
— Oui et je le referais bien aussi, leur dis-je.
- Nous nous étions dit de le refaire dans un endroit avec des personnes qui sont là pour mater, dit Joanne.
— On peut faire ça, soit dans un club, soit à la plage du Métro, leur dis-je. Là-bas, on peut s’exhiber.— On peut aller dans les deux, et voir celui qui sera le mieux, répond Marie-Hélène.— Mais moi, j’aimerais dans un endroit qui n’est pas fait pour ça, dit Laure. Bientôt, il y a le carnaval de Bayonne.— Oui pourquoi pas, dit Marie-Hélène. Ça peut être très excitant.
Merci à Antonin Mordore pour la correction de ce chapitre.
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