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Histoire de famille, d’amitié et d’amour

Chapitre 12

La famille et Laurence au phare de Biarritz

Inceste
Résumé : au carnaval de Bayonne, j’ai revu une amie, Laurence, que j’ai présentée à la famille. Nous lui avons dévoilé notre couple à trois, et notre relation avec Joanne, qui est tombée sous le charme de Laurence. Nous lui avons demandé si elle voulait participer à notre relation et elle a accepté. Comme nous n’avons pas trouvé de coin tranquille pour baiser pendant le carnaval, nous avons décidé d’aller au phare de Biarritz, où des hommes homosexuels et bis se retrouvent, et où nous pourrons nous exhiber. Nous voilà donc partis.
Dimanche – 00h30
Marie-Hélène conduit, moi je suis à côté, et à l’arrière Laure, Joanne et Laurence. Les deux dernières discutent, et de temps en temps s’embrassent et se caressent. Marie-Hélène les mate dans le rétro.
— Vous êtes déjà bien chaudes les filles, dit-elle.
— Elles sont tellement belles toutes les deux, dit Laure, qui admire le spectacle.
— Avec des copines comme vous, ça donne trop envie, dit Laurence.
Toujours avec son déguisement d’abeille, Laurence soulève sa jupe jaune rayée de noire, et baisse un peu sa culotte, pour faire apparaître sa chatte.
— Magnifique ! s’exclame Laure.
— Quoi ?? lui demandais-je.
— Laurence nous montre sa belle chatte, me répond-elle.
— Je vais enfin la voir ! dis-je. J’en ai eu tellement envie pendant longtemps. La seule chose que j’ai pu faire, c’est sentir ta culotte.
— Ma culotte ? ? s’étonne Laurence.
— Tu te souviens quand nous avions fait cette petite balade, avant d’aller boire un coup à Bayonne ?

— Ah oui, je me souviens. Comme nous avions fait les cons dans la rivière, j’étais complètement trempée.
— Ça ne m’étonne pas de toi, grosse cochonne, dit Joanne en rigolant.
— Tu es bête ! lui répond Laurence en lui donnant une petite tape sur l’épaule. Je n’étais pas mouillée dans ce sens. Même si ça m’arrivait à chaque fois que j’étais avec toi, Philippe. Mais bref ! Je m’étais changée chez toi après la balade. J’avais oublié mes affaires et tu les avais récupérées et fait sécher. Et il y avait effectivement ma culotte dedans.
— Oui et j’en ai profité pour la sentir et me masturber. Ça sentait trop bon, ton intimité.
— Et ma mouille, car pendant la balade, tu m’avais raconté une de tes rencontres, et ça m’avait fait justement grave mouiller ! Maintenant, tu vas pouvoir sentir ma chatte directement.
— Ça me tarde ! Et peut-être plus ?
— J’espère bien que ça sera plus que de la sentir. Je veux ta queue en moi, que ça soit dans ma chatte ou mon cul.
— Attention, Laurence, lui dit Laure, nous avons une règle dans la famille : ne jamais gaspiller le sperme de Philippe.
— Ça ne risque pas ! Quand il éjaculera en moi, je veux tout son sperme ! Et toi Joanne, tu pourras lécher, si jamais il en coule en dehors de ma chatte.
— Merci ma chérie, lui dit Joanne, qui lui prend la tête pour l’embrasser.
Nous arrivons au phare. Il y a quelques voitures, mais très peu. Nous changeons nos déguisements pour mettre des vêtements moins voyants, mais surtout plus faciles à enlever. Et bien sûr aucun sous-vêtement. Nous prenons un chemin, et nous nous enfonçons au milieu des arbustes. Nous croisons un homme, puis un second. Celui-ci s’arrête près de moi.
— Tu es bien entouré, très joli harem.
— Ce n’est pas un harem, mais ma chérie et des amies à nous, lui dis-je. On voudrait s’exhiber, mais sans aucune participation.
— Ici vous trouverez des spectateurs. Et moi le premier. Venez par ici, ça sera mieux, il y a un peu plus de place.
Nous suivons l’homme qui nous mène dans un endroit assez grand, avec au milieu une petite partie en herbe, et un banc.
— Pas mal. Vous en pensez quoi ? dit Laure.
Tout le monde est d’accord.
— Regardez, on va avoir des spectateurs, dit Joanne.
En effet, deux hommes sont arrivés et regardent notre petit groupe. L’homme va les prévenir qu’ils pourront mater, mais sans aucune participation. Ils sont OK. L’un d’entre eux a commencé à enlever son pantalon, pour faire apparaître sa queue bien raide. Laure a une envie.
— J’ai envie de me faire peloter par des inconnus !
Elle va se placer au milieu du petit groupe de mecs, qui sont maintenant cinq.
— Les mecs, je vous laisse me peloter. Mais attention rien de plus. Juste vos doigts dans ma fente et mon anus, et vous pouvez frotter vos queues contre moi. Philippe, tu peux venir pour expliquer aux nouveaux ?
— Oui, j’arrive.
Les mains commencent à se balader sur le corps de Laure. Elle ne tarde pas à enlever son haut. Les mains remontent sur ses seins. Ses tétons commencent à durcir de sentir ces mains la caresser. L’excitation s’amplifie. Elle enlève son pantalon. Elle est maintenant nue au milieu de tous ces hommes, leurs queues frottant sa peau. Sentir toutes ces mains et ces queues sur elle l’excite énormément. Un homme écarte ses fesses, pour mettre un doigt dans son anus. En même temps, elle sent deux doigts entrer dans sa chatte. Un homme se penche et lui lèche un téton. Puis un second qui lui lèche l’autre téton. Elle sent tout à coup quelque chose de chaud sur son ventre. Un homme a éjaculé sur elle. Cette sensation, ajoutée aux autres, fait bien monter son excitation. Elle étale le sperme sur son ventre. Avec Marie-Hélène nous nous approchons. Laure tourne la tête vers nous et nous regarde avec un petit sourire, tout en poussant de petits gémissements.
— Elle est trop belle ma fille, quand elle est excitée.
— Oui, tout comme sa mère.
Nous nous regardons et nous nous embrassons.
Joanne et Laurence voyant ça, sont, elles aussi très excitées. Laurence prend Joanne dans ses bras et l’embrasse. Elle la déshabille et Joanne se retrouve nue. Elle voit des mecs s’approcher, leur queue dans la main, pour les mater. Joanna déshabille Laurence avec vigueur. Avec tellement de vigueur qu’elle lui déchire son haut.
— Ho excuse-moi, j’y suis allée un peu trop fort ! s’exclame Joanna.
— Ce n’est pas grave, j’aime quand c’est un peu violent. Mais pas trop quand même, dit-elle en rigolant. Tu peux faire pareil pour le reste.
Joanne se lâche, mais avec modération, et lui ouvre le pantalon en arrachant le bouton et la fermeture éclair, puis le lui enlève. Elle lui arrache la culotte, ainsi que son soutien-gorge. Elle la prend avec force et l’allonge dans l’herbe.
— Jusqu’où tu aimes la violence ? lui demande Joanne.
— J’aime recevoir des gifles, mais sans trace, et sans être soumise. J’aime aussi être attachée. Mais j’aimerais surtout que tu éjacules sur moi.
— Ça sera avec plaisir ma chérie.
Laurence s’adresse aux hommes qui les matent.
— Il nous faudrait quatre volontaires pour me tenir fermement en croix. Mais attention, je ne suis pas soumise, et c’est uniquement pour me tenir fermement, rien de plus.
Bien sûr, tous les mecs présents sont volontaires. Joanne et Laurence en choisissent quatre. Ces derniers tiennent fermement Laurence par terre.
— Ma chérie, tu peux y aller, tu peux faire tout ce que tu veux de moi.
Joanne aime bien que Laurence l’appelle " sa chérie ". Elle se place entre ses cuisses, que deux hommes écartent bien. Joanne voit la fente de Laurence bien ouverte, et commence à la lécher. Elle fait entrer ses doigts. Laurence est tout excitée et commence très vite à mouiller énormément. Joanne, voulant sur son visage la mouille de Laurence, elle le frotte sur sa chatte.
— Putain, que c’est bon mon amour !!! Crie Laurence.
Pendant ce temps Marie-Hélène, moi et l’homme, faisons attention que tout se passe bien pour Laure. Elle sent tous ces doigts en elle, et ces mains qui lui caressent le corps et les seins. Elle mouille énormément. Ça coule le long de ses cuisses. Elle sent des langues récupérer sa mouille sur ses cuisses. J’entends Joanne m’appeler.
— Philippe, viens, je te veux en moi.
Je laisse Marie-Hélène et l’homme avec Laure. Je m’approche et vois Laurence allongée nue, par terre. Je suis heureux de la voir enfin nue. Joanne, à genoux, les fesses bien cambrées, est penchée en avant pour lécher Laurence. Je me mets nu et commence à faire entrer ma queue dans sa chatte.
— Je veux te sentir dans mon cul.
Je sors de sa chatte et enfonce doucement ma queue dans son anus. Je fais des va-et-vient. Joanne sent le plaisir monté très vite, et éjacule une première fois. Mais elle veut faire profiter Laurence de son foutre.
— Philippe, je vais changer de position, me dit-elle.
Je retire ma queue et Joanne se place à cheval sur Laurence. Elles se regardent dans les yeux et se sourient tendrement. Joanne se penche et elles s’embrassent. Puis Joanne se place en 69 et me dit de la sodomiser. Elle offre sa chatte à Laurence, toujours tenue fermement par les 4 mecs. Celle-ci commence à la lécher et à sucer son clitoris. Laurence peut voir mes boules et ma queue entrer et sortir de l’anus de Joanne.
La langue de Laurence et ma queue dans son anus font que Joanne jouit rapidement. Elle éjacule sur le visage de Laurence qui en boit une partie. Je me retire et lèche la chatte de Joanne. J’en profite pour embrasser Laurence.
— J’en ai rêvé de ce moment, dis-je à Laurence.
— Et c’est que le début, car je t’offrirai tous mes trous.
— Et moi ma queue et mon sperme, lui dis-je en approchant mon sexe de son visage.
Joanne me laisse la place. Je me mets à cheval au-dessus de Laurence pour lui donner ma queue. Elle la prend dans sa bouche et commence à me sucer. Joanne se place entre les cuisses de Laurence pour lui lécher la chatte.
Au bout d’un moment, Joanne fait jouir Laurence et en même temps, j’éjacule dans la bouche de celle-ci. Elle n’en laisse pas une goutte. Je me lève et laisse ma place à Joanne, qui vient très vite se placer contre Laurence.
— N’avale pas tout mon cœur ! lui dit Joanne.
Laurence garde mon sperme dans sa bouche. Joanne l’embrasse. Le sperme chaud se mélange aux salives. Elles avalent tout. Les deux filles se prennent dans les bras et s’enlacent tendrement.
Pendant ce temps, je suis reparti voir mes chéries. Laure a changé de position. Elle est à quatre pattes pour offrir sa croupe. Les mecs passent les uns après les autres, pour lécher sa chatte et son anus. Certains éjaculent sur elle. Marie-Hélène et l’homme sont de chaque côté d’elle, pour s’assurer qu’aucun mec ne fasse plus qu’ils ne peuvent. Je me place devant Laure.
— Tu as l’air d’aimer ça, ma chérie.
— C’est trop bon !! je suis grave excitée.
Je me penche et nous nous embrassons.
— Chéri prends moi, et dis aux mecs que quand je vais jouir ils pourront tous éjaculer sur moi. Dis à maman que j’ai envie de la lécher. Mais avant, dis à l’homme que pour le remercier, il pourra me pénétrer et éjaculer en moi. Mais je veux jouir avec ta queue en moi, pendant que les autres éjaculeront sur moi.
J’explique à Marie-Hélène et à l’homme, ce que Laure veut. L’homme est content et remercie Laure. Nous expliquons également aux autres hommes ce qu’ils pourront faire. Laure se met sur le dos et écarte les cuisses. Marie-Hélène se place à genoux, à cheval sur le visage de sa fille, qui écarte les lèvres de la chatte de sa mère, et commence à lécher l’intérieur. Je me mets debout au-dessus de Laure, et face à Marie-Hélène, pour quelle me suce. L’homme se place entre les cuisses de Laure, et commence à la pénétrer. Il sait qu’il doit éjaculer avant qu’elle ne jouisse. Il se laisse donc aller et éjacule en elle. Il me laisse la place. Je fais entrer ma queue dans la fente de Laure. Sa chatte étant très mouillée, ma queue entre très facilement. Je dis aux hommes qui se sont placés de chaque côté de Laure qu’ils se préparent à éjaculer sur elle, car elle va bientôt jouir. Joanne et Laurence s’approchent et voient la scène. Elles se placent derrière moi, pour mieux voir.
En même temps que Laure jouit, et que j’éjacule en elle, les mecs lâchent leur sperme sur Laure. Marie-Hélène jouit également, grâce à la langue de sa fille, mais aussi de voir tous les mecs éjaculer sur le corps de sa fille. Joanne et Laurence se regardent, et sans rien se dire, se comprennent. Toutes excitées de ce spectacle, elles font le tour de toutes les queues, pour les nettoyer et lécher les dernières gouttes de sperme. Je fais boire mes dernières gouttes de sperme à Marie-Hélène. Laure se lève, le sperme des mecs toujours sur elle.
Nous remercions les mecs d’avoir participé, malgré les restrictions, et surtout de leur respect. Ils partent tous, sauf l’homme qui nous a aidés.
— Merci à toi, lui dit Laure, car même si les mecs ici sont respectueux, c’est toujours plus rassurant d’avoir un coup de main.
— Merci à toi de m’avoir laissé éjaculer en toi, lui répond l’homme. Et merci à vous pour ce merveilleux spectacle, ajoute-t-il, en nous regardant tous. Je pense qu’on va s’en souvenir pendant longtemps et que ça va faire le tour.
— Pour nous c’est la 1re fois que l’on s’exhibe, et ça nous a bien plu, dit Joanne.
Nous disons au revoir à l’homme.
— Tu comptes garder pour toi tout ce sperme ? Dit Marie-Hélène à sa fille.
— C’est clair, tu pourrais partager, ajoute Laurence.
— Venez les filles, il est aussi pour vous. Mais laissez-en, car j’ai envie de me rhabiller avec encore du sperme sur moi.
Les filles s’approchent de Laure et commencent à lécher le sperme sur son corps. Comme elle le leur a demandé, elles en laissent. Tout le monde se rhabille.
— C’est trop bien cette sensation d’être habillée, et de sentir le sperme sur mon corps, dit Laure.
Nous retournons à la voiture.
— Houaaaaaa comment c’était bien !!!!!! Baiser pendant qu’on est maté !! s’exclame Joanne.
— C’est clair et c’est à refaire !!!! Ajoute Laurence.
— Ma fille chérie, ça m’a trop excité de te voir te faire tripoter par tous ces hommes.
— Le faire devant toi maman, c’était très excitant aussi. Mais aussi devant toi, Philippe.
— Laurence, faut que je te demande un truc, dit Joanne. A un moment tu m’as dit " mon amour ".
— Et toi tu m’as appelé " mon cœur ", ajoute Laurence avec un petit sourire qui en dit long.
Les filles comprennent.
— Donc toi aussi ? dit Laurence.
— Oui ma chérie.
— J’avais peur que soit à cause de l’excitation !! Je t’aime Joanne.
— Et un nouveau couple dans la famille, dit Marie-Hélène.
Joanne et Laurence se prennent dans les bras et s’embrassent. Mais cette fois, pas en tant qu’amies, mais en tant qu’amoureuses.
Merci à Antonin Mordore pour la correction de ce chapitre.
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