Résumé : comme prévu, toute la famille se retrouve chez Marie-Hélène et Laure pour voir ensemble comment trouver une soumise qui servirait toute la famille.
Vendredi soir
— Ce qu’il faut, c’est trouver une soumise qui ne sera pas choquée par notre relation, dit Joanne en s’adressant à Marie-Hélène, Laure et moi.— C’est vrai et ça risque de pas être évident à trouver, dit Laure.— Philippe, comment tu avais fait pour trouver la tienne ? me demande Joanne.— J’étais allé sur un site d’annonces spécialisé dans les relations de domination et de soumission, lui répondis-je. Il en faut une qui soit à notre disposition 24/7 et que l’on pourrait se partager.— On la ferait tourner entre nos maisons, ajoute Laurence. On verra plus tard, si jamais il y a besoin, pour en prendre une autre. Laure monte dans sa chambre et revient avec son ordinateur. Je lui donne l’adresse du site. Elle crée un compte avec comme profil un couple, et dans la description de la recherche, nous précisons que nous sommes en réalité deux couples, dont un qui est composé de deux femmes. Nous ne mentionnons pas, bien entendu, la relation incestueuse entre Marie-Hélène et sa fille. Elle commence à faire une recherche et nous regardons les résultats. Une liste de soumises du coin et aussi des Landes, le département voisin, apparaît, avec leurs photos. Les critères de la recherche sont que la soumise doit être célibataire, sans enfant et disponible à tout moment. Nous ne nous attardons que sur les fiches avec photos, car elle doit plaire à toute la famille. Nous en mettons quelques-unes de côté. Quand tout à coup, la photo d’une des soumises attire mon attention. — Mais je la connais cette fille, c’était une amie ! je ne savais pas qu’elle était soumise.— C’est bien si tu la connais, ça sera peut-être plus facile pour la contacter, dit Marie-Hélène.— Elle s’appelle Charlotte, mais je ne suis malheureusement plus en contact avec elle. Vous en pensez quoi les filles ? Les filles la trouvent très belle et sont d’accord pour la prendre comme servante. Laure lui envoie un message privé en lui demandant si son annonce est toujours active. Elle lui explique aussi en détail ce que nous recherchons et si elle serait d’accord pour être à notre service 24/7. Mais sans préciser qu’elle et moi nous nous connaissons ni qu’il y a un couple mère/fille. — J’espère qu’elle acceptera, car à l’époque, elle me plaisait bien. Et elle me plaît toujours, à voir sa photo de profil ! Mais dans l’éventualité que Charlotte refuse, nous envoyons d’autres messages à d’autres, soumises du coin. Et tout à coup, Laure voit que nous avons reçu un nouveau message. C’est Charlotte qui nous a répondu. Elle le lit : Bonjour vénérables Maîtresses et vénérable Maître.
Je m’appelle soumise Charlotte et je viens de lire votre message. Je suis toujours à la recherche d’un collier. Le fait d’être à votre service 24/7 et en plus à votre domicile est une chose que je recherche. J’ai déjà appartenue à un Maître, mais jamais à une Maîtresse. Je suis hétéro, mais étant à votre service, je me plierais à tous vos désirs sexuels et serais heureuse de vous servir dans la vie de tous les jours, que ce soit par exemple le ménage, préparer à manger et vous servir à table. Mon Maître précèdent m’avait aussi dressée pour servir d’objet utile comme table basse ou repose-pied sous un bureau. Je me tiens à votre disposition pour une rencontre. — Mais elle me plaît, cette soumise ! s’exclame Laurence.— C’est clair ! répond Joanne. On lui propose de se voir ce soir ?— Avant, on va lui demander quelques petits renseignements, dis-je. Nous répondons donc à son message : Bonjour la soumise. Nous avons aimé ta réponse qui montre bien que tu sais où est ta place. Nous aimerions savoir si tu es prête à être le sac à sperme de ton Maître, c’est-à-dire qu’il éjacule en toi, par n’importe lequel de tes trous et quand il en aura envie. Il est bien entendu que tu baiseras aussi avec tes Maîtresses même si tu es hétéro. Es-tu prête aussi à ne plus avoir aucune vie privée avec nous et à nous laisser choisir tes amies ? Nous l’avons écrit avec un « e », car tu ne pourras avoir que des femmes comme amies. Si pour toi ça te convient, nous sommes prêts à te rencontrer dès ce soir. Maîtresse Laure et Maître Philippe Charlotte répond rapidement que c’est exactement le genre de relation qu’elle recherche et qu’elle est disponible pour une rencontre le soir même. Nous lui donnons donc rendez-vous à 23h à Anglet à côté de la patinoire et elle répond qu’elle sera présente. C’est Laure et sa mère qui iront voir la soumise. — Ne vous arrêtez pas en route pour baiser, dis-je à Laure et à Marie-Hélène en souriant et avec un clin d’œil.— Ne t’inquiète pas mon cœur, me répond Laure, nous avons trop hâte de la rencontrer. Les filles partent au rendez-vous. Comme promis, elles ne baisent pas en route, mais Laure qui conduit, passe sa main entre les cuisses de sa mère pour lui caresser la chatte. Celle-ci est mouillée. Elles arrivent et trouvent une place d’où elles pourront voir le lieu de rendez-vous. Étant un peu en avance, elles attendent dans la voiture. Laure continue de caresser sa mère. Celle-ci relève sa jupe et baisse sa culotte. Laure fait entrer deux doigts dans la chatte de sa mère. — Mummmm que c’est bon ma chérie, dit Marie-Hélène. Laure se penche pour lécher sa mère. Au même moment, Marie-Hélène voit Charlotte arriver au lieu de rendez-vous. — Elle arrive, dit Marie-Hélène.— Roooo déjà ! Dit Laure en souriant à sa mère. Celle-ci lui prend la tête entre les mains et l’embrasse. Puis Marie-Hélène remet sa culotte et elles sortent pour rejoindre Charlotte. — Salut la soumise, dit Laure, voici Maîtresse Marie-Hélène et moi c’est Maîtresse Laure.— Bonjour Maîtresses, répond Charlotte, la tête baissée.— Tu es encore plus belle que sur ta photo de profil, lui dit Laure.— Merci Maîtresse Laure. Vous deux aussi vous êtes belles.— Donc tu as déjà eu une relation 24/7 avec un Maître ? lui demande Marie-Hélène.— Non, jamais. J’ai eu un seul Maître et c’était juste des séances de temps en temps. Nous nous retrouvions dans un hôtel.— Ton premier Maître n’était pas bien ? demande Laure.— Il était gentil, mais ce n’était pas pour une relation permanente et à domicile. Et ce n’est pas ce que je recherchais. Et puis il a aussi voulu arrêter. Je me suis retrouvée sans collier et sans réussir à trouver un Maître.— Hé bien avec nous, tu pourras vivre ton statut de soumise en permanence et à domicile, lui dit Marie-Hélène.— Par contre, il y a un autre détail que nous ne t’avons pas précisé, car on préférait te le dire de vive voix, lui dit Laure. Comme on te l’a dit par mail, nous sommes plusieurs couples à vouloir nous partager une soumise. Et un des couples, c’est en fait un couple de trois personnes.— Si c’est que ça, ce n’est pas gênant. Moi je suis là pour servir.— Ce couple à trois, c’est en fait mon chéri, Philippe, et ma fille Laure, lui dit Marie-Hélène en lui montrant Laure.— Votre fille ? lui répond la soumise qui se demande si elle a bien compris.— Oui, ma mère et moi nous sortons avec Philippe, lui répond Laure, et nous sommes également amoureuses l’une de l’autre. Mais attention, je suis majeure et consentante !— Ah oui, effectivement je ne m’attendais pas à ça. J’avoue que si vous me l’aviez précisé par mail, je n’aurais peut-être pas répondu. Si vous êtes consentante, Maîtresse Laure, je n’ai rien à dire.— L’autre couple, c’est deux amies à nous, dit Laure, Joanne et Laurence. Nous nous considérons les cinq comme une famille. Tu devras donc servir notre famille. Étant dans un endroit assez discret, Charlotte se met à genoux et baisse la tête. — Vu que vous avez été honnêtes avec moi sur votre relation incestueuse, j’accepte de devenir la servante, animal de compagnie et objet utile de votre famille.— Ta réponse par mail a beaucoup plu à la famille, lui répond Marie-Hélène, ta réaction me plaît, et aussi à ma fille je pense, ajoute-t-elle en regardant Laure.— Oui maman, à moi aussi elle me plaît.— Donc je pense que les autres seront d’accord avec nous pour te prendre comme servante et animal de compagnie.— Merci beaucoup Maîtresse Laure et Maîtresse Marie-Hélène.— Tu serais disponible à partir de quand ? lui demande Laure.— Je le suis de suite. Je n’ai pas beaucoup d’affaires à prendre.— Tu vas vivre avec nous, mais on préfère que tu gardes ton appart, lui dit Laure. Car de temps en temps, tu pourras y retourner pour souffler un peu.— Et comme tu pourras avoir des amis, que nous choisirons pour toi et qui connaîtront ton statut, tu pourras les inviter chez toi, ajoute Marie-Hélène.— Vous êtes bonnes avec moi, je vous remercie Maîtresses.— Il est bien entendu que tu devras nous faire un double des clés de chez toi, lui dit Laure.— C’est entendu Maîtresse.— Je veux me rendre compte de la marchandise. Montre-moi ton corps, lui ordonne Laure sur un ton sec.— Vous voulez que je me mette nue ici Maîtresse ?— Oui, pourquoi, il y a un problème ? Dit Marie-Hélène, également sur un ton sec.— Non non Maîtresse, excusez-moi. Nous sentons que Charlotte hésite à se mettre nue dans un endroit public, même si à cette heure, il est désert. — Tu veux peut-être un coup de main ? lui dit Laure.— Non Maîtresse, mais c’est la première que je vais faire ça dehors.— Ce n’est pourtant pas compliqué, dit Laurence. En disant ça, elle ouvre d’un geste sec le chemisier de Charlotte en lui arrachant les boutons et lui enlève. La soumise se retrouve en soutien-gorge, très mal à l’aise d’être comme ça dans cet endroit. Mais elle ne dit rien, car elle est heureuse d’être enfin la propriété de quelqu’un et sait qu’elle doit obéir. — Maintenant, vire-moi ton soutif, lui dit Marie-Hélène. Charlotte enlève son soutien-gorge et, toujours à genoux, se retrouve les seins à l’air. Laure les caresse. La soumise est encore plus mal à l’aise, car c’est la première fois qu’une fille la touche comme ça. — J’aime bien tes seins, ma salope, dit Laure. On voit bien que tu es mal à l’aise, mais que ça t’excite. Regarde maman, ses tétons sont bien durs.— C’est vrai, dit Marie-Hélène en prenant un téton entre ses doigts. Tu aimes ça que tes Maîtresses te caressent ?— Je suis hétéro, mais ces caresses et la situation m’excitent, Maîtresse.— Maintenant, lève-toi et baisse ton pantalon, lui ordonne Marie-Hélène. Charlotte sait qu’elle doit obéir et qu’elle ne doit pas hésiter comme tout à l’heure. Elle se lève donc et baisse son pantalon et sa culotte. Elle fait apparaître sa chatte avec quelques poils. — La famille préfère les chattes sans poil, donc tu devras te raser, lui dit Laure en lui caressant la chatte.— Entendu Maîtresse.— Tourne-toi que l’on voit ton cul, dit Marie-Hélène. Charlotte se tourne. Laure et sa mère lui caressent les fesses. — Penche-toi en avant, lui dit Laure, et écarte tes fesses. Charlotte se penche en avant et écarte ses fesses. Les filles peuvent mieux voir son anus. Marie-Hélène y passe un doigt pour le caresser. Charlotte pousse un tout petit gémissement. — Tu aimes la sodomie ? lui demande Laure.— Oui Maîtresse. J’ai fait que deux ou trois fois, mais j’aime ça. Marie-Hélène se penche au-dessus de son anus et crache dessus. Elle fait entrer doucement son doigt. La soumise pousse un petit cri de plaisir. Marie-Hélène fait quelques va-et-vient et ressort son doigt. Puis elle met sa main entre les cuisses de Charlotte pour lui caresser la chatte et y fait entrer deux doigts. Là aussi, elle fait quelques petits va-et-biens et les ressort rapidement. Marie-Hélène lèche le foutre sur un de ses doigts et donne l’autre à lécher à sa fille. — Tourne-toi et enlève complètement ton pantalon et ta culotte, et mets-toi à genoux devant nous, la tête baissée, lui ordonne Laure. Charlotte s’exécute. — Brave chienne, lui dit Laure en lui caressant le dessus de la tête.— Merci Maîtresse.— J’aime bien la marchandise, dit Laure à sa mère.— Moi aussi, et je la trouve vraiment très belle, dit Marie-Hélène en relevant la tête de Charlotte.— Merci Maîtresses.— Nous allons t’emmener avec nous pour te présenter au reste de la famille, lui dit Laurence en ramassant les affaires de la soumise et en les mettant sous son bras.— Maîtresse, vous ne me rendez pas mes affaires pour que je me rhabille ?— Non, tu vas venir comme ça.— Entendu Maîtresse, dit Charlotte un peu gênée. Les filles l’emmènent à la voiture et lui ordonnent de monter derrière. Elle s’exécute. Comme à l’aller ,c’est Laure qui prend le volant. — Tu as des amis et de la famille ici ? lui demande Laure.— Oui, une tante et quelques amis.— Ils savent que tu es soumise ? lui demande Marie-Hélène.— A part deux copines, ma tante et les autres amis non. Mes deux copines ne sont pas trop pour, mais elles disent que si je suis heureuse comme ça, elles respectent mon choix.— Sache que nous ne ferons rien qui pourrait te causer des soucis auprès de ta tante et de tes amis qui ne sont pas au courant, lui dit Laure.— Merci Maîtresse.— Caresse-toi salope, je veux t’entendre gémir, lui ordonne Laure en passant d’une voix douce à un ton sec.— Oui Maîtresse, répond la soumise, surprise par ce changement de ton. Charlotte commence à se caresser. Malgré sa gêne d’être nue dans la voiture roulant en pleine ville, elle trouve la situation très excitante et ne tarde donc pas à sentir le plaisir monter. Elle commence à pousser de petits gémissements qui deviennent plus forts. Marie-Hélène se retourne pour regarder la soumise, deux doigts dans la chatte. — Tu es très belle comme ça, lui dit-elle— Merci Maîtresse Marie-Hélène, répond Charlotte entre deux gémissements. Arrêtées à un feu rouge et étant sur une rue à deux fois deux voies, une voiture s’arrête à côté de la leur. C’est une conductrice. Machinalement, elle tourne la tête vers Laure et lui sourit. Elle voit Marie-Hélène tournée vers l’arrière, et machinalement, la conductrice tourne la tête. Elle aperçoit Charlotte. Elle se rend compte qu’elle est nue. Son regard revient vers Laure et son sourire est plus grand. Marie-Hélène dit à Charlotte de se placer de l’autre côté pour que la conductrice puisse mieux la mater. Elle s’exécute. La femme la remercie et n’ayant personne derrière elle, recule un peu pour mieux voir Charlotte. Comme il est très tard, la rue est déserte. Le feu passe au vert, mais ni la femme ni les filles ne veulent passer. Laure ordonne à Charlotte de se lever un peu pour montrer sa chatte à la conductrice. Elle s’exécute. La femme est très excitée par ce spectacle. Laure la voit baisser sa vitre. Elle ordonne à Charlotte de faire pareil. Ayant également la vitre baissée, les filles entendent les gémissements de la femme et comprennent qu’elle n’est pas restée passive à regarder la soumise. Très rapidement, la conductrice a un orgasme assez bruyant. Elle regarde Laure et la remercie de ce merveilleux spectacle et de ce moment. Le feu étant au vert, elle démarre et s’en va. Les filles font pareil. Les voilà arrivées à la maison. Elles sortent toutes les trois de la voiture. — Nous allons te présenter au reste de la famille. Elles entrent dans la maison.
