Résumé : la famille a trouvé la soumise Charlotte pour la servir et a fait la connaissance avec elle (voir chapitre 14 et 15). Pendant la soirée de cette rencontre, Charlotte se retrouve nue, allongée sur la table, les cuisses écartées, la famille autour d’elle.
Elle sait qu’elle va être léchée par les filles, mais pour se consoler, elle se dit qu’être léchée par un mec ou une fille, c’est pareil. Laure se rend compte que Charlotte est un peu tendue. — Vu qu’elle est hétéro, dit Laure, je pense que pour une première fois, on va laisser faire Philippe.— Oui, t’as raison, lui dit Marie-Hélène. On va y aller petit à petit.— Merci beaucoup Maîtresse.— Même si pour nous, tu n’es qu’un objet, ajoute Laure, on ne veut pas non plus te dégoûter de cette pratique.— Par contre, je ne vais pas monter sur la table avec elle, sinon on va se retrouver par terre, dis-je en rigolant.— Oui, car j’y tiens à cette table, dit Marie-Hélène.— Charlotte, tu vas te mettre là, par terre, les cuisses écartées, lui dit Laurence.— Oui Maîtresse. Elle obéit et s’allonge par terre, les jambes écartées. Je me mets nu et me place à genoux entre ses cuisses. Je lui caresse la chatte qui est déjà bien mouillée. Pendant ce temps, les filles se sont elles aussi mises nues et se sont placées autour de moi et de la soumise. Je me lève et vais me mettre à genoux au-dessus du visage de Charlotte. Je lui mets la queue devant sa bouche, qu’elle ouvre. J’y fais entrer ma queue. Je fais des va-et-vient. Les filles admirent le spectacle. Laure s’est placée face à moi. Je me penche un peu vers elle, tout en continuant les va-et-vient dans la bouche de Charlotte, et nous nous embrassons. Charlotte se dit que pour l’instant ça va. Mais elle sait très bien qu’elle va être obligée d’y passer et de faire quelque chose avec les filles. Elle sent justement une main lui caresser la chatte. Ce n’est pas moi, car ma position ne me le permet pas. C’est Laurence qui veut goutter la mouille de Charlotte à la source. Elle sent que Laurence lui écarte les lèvres et la masturbe. Ça lui fait bizarre, mais elle supporte. Laurence ayant arrêté de la masturber pour donner ses doigts à lécher à Joanne, je me retire de la bouche de Charlotte et je vais me placer entre ses cuisses. Elle voit Laurence se placer sur le côté et qui recommence à lui caresser la chatte puis se penche vers elle. Charlotte pense qu’elle va l’embrasser. Mais elle est rassurée, car Laurence lui lèche un sein. Mais c’est de courte durée, car elle remonte vers son visage en lui faisant des bisous. Et doucement, elle arrive sur la bouche. Au même moment, Charlotte sent ma queue entrer en elle. Une sensation qu’elle préfère. Mais Laurence va plus loin qu’un simple bisou sur la bouche. Elle met sa langue entre les lèvres de Charlotte. Celle-ci sait que là, elle n’a pas le choix. Elle ouvre donc la bouche et Laurence y glisse sa langue. Charlotte est écœurée, mais elle n’est pas là pour se faire plaisir, mais pour le plaisir de ses Maîtresses et de son Maître. Laurence arrête de l’embrasser et Charlotte la voit aller embrasser Laure. Elle se rend compte que celle-ci est juste au-dessus d’elle. Elle peut voir les deux filles s’embrasser, mais aussi la chatte de Laure, bien humide. Elle sent quand même le plaisir monter grâce aux va-et-vient de ma queue en elle. Mais tout à coup, elle voit la chatte de Laure se rapprocher de son visage. Celle-ci se place à cheval au-dessus de son visage. Elle voit la main de Laurence caresser la chatte et y entrer 3 doigts. Les va-et-vient font mouiller encore plus Laure. Ce qui fait que beaucoup plus de mouille coule sur son visage.
Elle en reçoit aussi sur la bouche. Elle avait déjà goutté sa mouille et avait aimé. Mais elle n’aurait jamais pensé aimer celle d’une autre fille. Elle passe sa langue sur les lèvres pour la boire. Est-ce que c’est parce qu’elle est excitée par ma pénétration ? Mais en tout cas, elle aime ce goût. Et là, elle voit la chatte de Laure s’approcher encore plus de son visage. Elle va être vite fixée. Laure frotte son sexe mouillé sur son visage. Bien sûr, Laure attend que Charlotte la lèche. Mais celle-ci n’ose pas, elle a peur. — La soumise, lèche-moi. Je veux sentir ta langue dans mon trou ! lui ordonne Laure. En disant ça, Laure et moi nous nous regardons et nous sourions. — Charlotte, donne du plaisir à mon amoureuse ! lui ordonnais-je. Charlotte est de plus en plus excitée et se rend compte que c’est moins écœurant. Elle obéit donc et commence à lécher la fente mouillée de Laure. Celle-ci commence à être bien excitée. — Ils ne sont pas magnifiques mes deux amours, dit Marie-Hélène. Celle-ci est à côté, les cuisses écartées et deux doigts dans la chatte. Sa fille se retourne vers elle. — Haaa, haaa, Maman je t’aime tant, lui dit-elle entre deux gémissements, haaa, tu es tellement belle et excitante comme ça. Entendre Laure dire ça à sa mère fait vraiment drôle à Charlotte. Elle va mettre du temps à s’y faire. Marie-Hélène se lève, se place entre moi et sa fille, face à elle. — Ma chérie, lèche-moi. Mon cœur, mets-moi un doigt dans le cul. Laure écarte les lèvres de sa mère et commence à lécher l’intérieur de sa chatte toute mouillée. Marie-Hélène écarte ses fesses pour que j’y glisse mes doigts. Charlotte trouvait drôle ce que Laure avait dit à sa mère, mais là, imaginer que Laure lèche sa mère, c’est vraiment trop bizarre. Au bout d’un petit moment, Charlotte jouit. En jouissant, celle-ci s’est surprise à tenir les hanches de Laure pour pouvoir la lécher plus profondément. Pratiquement au même moment, je jouis et éjacule sur le ventre de Charlotte. Marie-Hélène et Laure jouissent ensemble. Marie-Hélène s’est allongée par terre, épuisée. Joanne prend ma queue dans sa bouche pour boire les dernières gouttes de sperme. Laurence et Laure lèchent le sperme sur le ventre de Charlotte. Comme Laure est penchée en avant, elle a toujours sa chatte sur le visage de Charlotte. Mais celle-ci découvre que bien qu’elle ne soit plus excitée, elle aime ça. Elle continue de lécher la mouille et fait des bisous à la fente de Laure. Tout le monde est allongé par terre, épuisé. Sauf Joanne et Laurence qui n’ont pas joui, mais ont pris du plaisir à regarder. — C’était vraiment trop bien de vous regarder ! s’exclame Laurence.— C’est clair ! dit Joanne. Avec Laurence, on ne s’est pas caressées, mais juste vous regarder, c’était vraiment trop bien !— J’ai remarqué que pour une hétéro, tu as bien aimé lécher ta Maîtresse, dit Laurence à Charlotte.— Oui Maîtresse, et j’en suis moi-même toute étonnée.— C’est vrai que quand tu as joui, j’ai senti tes mains serrer mes hanches, dit Laure, et que tu as mis ta langue bien profonde en moi.— Oui Maîtresse, j’en avais vraiment envie. J’espère que j’ai été à la hauteur de ce que vous attendiez de moi.— Oui, c’était très bien, lui répond Laure. Pour l’instant, je ne regrette pas que l’on t’ait prise comme servante.— Merci beaucoup Maîtresse. Je ferai tout pour servir et satisfaire les moindres désirs de la famille. Je ne suis arrivée qu’aujourd’hui, mais je trouve votre famille très belle et unie. Et j’ai décidé d’essayer de dépasser certaines de mes limites.— Lesquelles par exemple ? lui demandé-je.— Je suis hétéro, mais j’étais prête à dépasser ça et c’est fait. Par contre, je ne sais pas si vous pratiquez l’Uro, mais je ne voulais pas faire ça. Avec vous et pour vous, j’accepterai de devenir vos w.c.. Mais uniquement pour l’urine.— Pour moi, pas de soucis, lui répondis-je, car j’ai déjà eu une soumise qui était mes w.c.. Avec elle aussi, c’était que pour l’urine et de toute façon, moi c’est ma limite. Et vous les filles ? Toutes acceptent, sauf Joanne. — Bof moi, ça ne m’attire pas du tout. Mais je ne vous empêche pas de lui pisser dans la bouche, même devant moi. Ça ne me dégoûte pas de regarder, mais si je dois t’embrasser, tu devras te nettoyer la bouche si tu as servi de chiotte.— Bien Maîtresse, c’est compris.— Je pense que pour nous toutes, dit Marie-Hélène, c’est clair que ça doit être que pour l’urine. Et ce que tu dis de notre famille et ce que tu es prête à faire pour nous, moi ça me touche beaucoup. Et je ne regrette pas non plus que tu nous appartiennes.— Par contre, je vais mettre du temps à m’y faire que Maîtresses Marie-Hélène et Laure sortent ensemble. Mais ça viendra. Que vous soyez mère et fille, ça fait trop bizarre.— Ne t’inquiète pas, lui dit Laurence, pour moi, c’était pareil au début. Mais maintenant, c’est devenu quelque chose de normal.— Maître Philippe, pourquoi vous n’avez pas éjaculé en moi ? Car je sers aussi à ça.— Mon sperme est réservé à la famille. Tu me serviras de sac à sperme uniquement si tu es la seule présente. Alors là oui, j’éjaculerai en toi.— Bien Maître. Quand vous parlez de la famille, c’est que vous trois ou Maîtresse Joanne et Maîtresse Laurence en font partie ?— Joanne et Laurence font aussi partie de la famille, lui répond Marie-Hélène.— Et elle va peut-être s’agrandir, dit Joanne.— Ha bon pourquoi ? lui demandais-je.— L’autre jour, j’en ai parlé avec Laurence, mais depuis quelques jours, je suis très attirée par ma sœur.— Mais c’est génial ça ! s’exclame Marie-Hélène. Ça fait un petit moment que je n’ai pas vu ta sœur, mais je la trouvais toute belle. Elle a quel âge maintenant ?— 20 ans, lui répond Joanne.— C’est comment son prénom déjà ? Lui demande Marie-Hélène.— Marie. J’ai des photos d’elle sur mon téléphone, dit Joanne. Elle va chercher son téléphone pour les montrer à Marie-Hélène. — Elle est toujours aussi belle ! s’exclame Marie-Hélène.— Attends, tu vas voir, je suis certaine que tu vas aimer celles-ci, dit Joanne en faisant défiler les photos rapidement. Elle les trouve et les montre à Marie-Hélène. C’est des photos de sa sœur en maillot de bain deux pièces. Joanne les fait défiler doucement pour que Marie-Hélène puisse en profiter. — Quel corps magnifique ! s’exclame encore Marie-Hélène. Attends, reviens en arrière ! Joanne revient sur la photo précédente. On voit sa sœur, allongée sur le sable. La photo est prise presque à ras du sol et Marie a les jambes un peu écartées. Marie-Hélène fait un zoom sur son entrejambe. — Regarde, on voit la forme des lèvres de sa chatte ! dit Marie-Hélène.— C’est vrai ! dit Joanne. Je n’avais pas fait gaffe. Je m’aperçois que Marie-Hélène, tout en regardant la photo, a mis sa main entre ses cuisses et se caresse. — Je vois que la photo te fait de l’effet, dis-je en souriant.— Regarde par toi-même, tu verras pourquoi, me répond-elle en me tendant le téléphone. Je regarde et effectivement, la photo étant de bonne qualité, on voit bien la forme de ses lèvres. Ça me fait à moi aussi immédiatement de l’effet. Je sens ma queue durcir. — À toi aussi ça te fait de l’effet ! s’exclame Laure en s’approchant de moi En prenant ma queue dans sa main, elle regarde également la photo. — Mummmm qu’elle est belle ! t’aimerais bien lui lécher son trou non ? me dit-elle en me masturbant.— C’est clair, et je ne suis pas le seul ici, dis-je en regardant les filles.— J’espère qu’elle acceptera, car je la trouve trop craquante ! s’exclame Laure.— J’espère aussi, dit Joanne. Mais ce n’est pas encore fait, car je ne sais pas trop comment aborder le sujet.— Je ne sais pas si elle est toujours vierge, mais si c’est le cas, je veux bien la dépuceler, dis-je en souriant.— Mon amour, tu es toujours présent pour rendre service, me dit Marie-Hélène avec un air moqueur.— Il veut surtout sauter ma sœur, dit Joanne en rigolant. Désolé pour toi, mais ma sœur n’est plus vierge.— En plus, il dit ça comme si c’était pour se dévouer ! dit Laure en rigolant.— Mais bien sûr que je me dévoue. Je rends un service, j’offre ma queue.— Ta queue est pour les trous de la famille et pas pour d’autres, dit Laure.— Mais oui mon amour, ma queue vous est réservée à toutes les quatre, lui dis-je en lui caressant sa chatte encore mouillée.— Si ma sœur entre dans la famille, elle aura droit à ta queue et à notre amour.— Pourquoi tu souris, la soumise ? demande Laurence.— C’est comme dans une famille où un membre annonce qu’elle est enceinte.
