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histoire de femmes

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Ce matin du mois de janvier, je ne travaille pas et j’en profite pour traîner un peu plus longtemps au lit. Je vois le jour pointer au travers des rideaux. Des pensées érotiques me traversent l’esprit, je pense à ma nouvelle vie de soumise il y a encore quelques temps, je n’aurais jamais pensé vivre une chose pareille et pourtant cela me plaît, cette femme m’a comme envoûté. Rien que de penser à tout cela, je sens que ma petite chatte s’humidifie, je ne peux me retenir de passer une main sur mon entre jambe et effectivement mon sexe est déjà trempé. J’effleure mon clitoris et je commence à me faire plaisir. Tout à coup le téléphone sonne, je suis obligée d’interrompre ma petite séance de masturbation. Qui peut bien m’appeler à cette heure? Il n’est que huit heure, je prends le combiné qui est à coté de mon lit , je reconnais aussitôt la voix de ma nouvelle amie DOMINIQUE  - Bonjour ma chérie, que fais tu ce matin?
    Elle m’a appelé " ma chérie " c’est sans doute la première fois qu’elle me dit cela depuis le début de notre relation.  - Bonjour DOMINIQUE , je n’ai rien de spécial de prévu.     - Très bien, moi j’ai prévu quelque chose pour toi. Viens me rejoindre à la maison le plus vite possible.  - D’accord, je serai chez toi dans une heure environ car pour l’instant, je suis au lit, je dois prendre mon petit déjeuner, faire ma toilette et m’habiller.  - Je veux que tu sois chez moi le plus vite possible, ne fais pas de toilette, tu la feras chez moi et ne t’habilles pas, nous gagnerons du temps, prends juste un petit déjeuner.  - Je ne peux pas aller chez toi comme ça, je suis entièrement nue,  - Tu n’a pas à discuter, c’est simple, tu viens à poil à la maison,  Je n’ai pas le temps de répondre que déjà, elle a raccroché.
    Je reste encore quelques instants étendue sur mon lit, cette conversation au téléphone n’a eu pour effet que de m’exciter encore plus. Je passe à nouveau ma main sur mon sexe, je suis tellement excitée que je recommence à me caresser, j’écarte mes jambes au maximum et d’une main je frictionne mon clitoris et de l’autre je caresse l’entrée de ma grotte, j’entre même deux doigts dans ma chatte baveuse et je les fais aller et venir de plus en plus vite. Après quelques minutes de ce traitement, je suis sur le point de jouir mais je décide de stopper net cette séance afin de rester excitée pour me rendre chez mon amie. Je me lève, je prends mon petit déjeuner très vite. Maintenant que je suis sur le point de partir, je me demande bien comment je vais me rendre chez DOMINIQUE entièrement nue. Je dois prendre ma voiture dans le garage, traverser une bonne partie de la ville avant d’arriver chez elle. Je n’ai pas le choix, j’y vais. Arrivée dans le garage, je démarre la voiture, j’ouvre la porte, je sors mon véhicule mais je suis obligée de ressortir de la voiture pour fermer la porte , la haie de sapins qui entoure la maison me cache bien des regards. Le parcours en ville se passe plutôt bien, je ne rencontre pas beaucoup de monde sur mon trajet et je roule assez rapidement pour ne pas être vue. J’arrive maintenant chez DOMINIQUE, le portail de sa propriété est ouvert, je rentre, j’arrête ma voiture, je descends et parcours les quelques mètres qui me séparent de la maison, je sonne, après quelques instants qui me paraissent interminables, DOMINIQUE m’ouvre enfin la porte.
    - Entres, est ce le froid ou le fait de te promener nue qui fait que tes tétons pointent si fièrement?    - Je crois que c’est le froid.    -Moi je pense plutôt que ça t’excite de te promener à poil et je suis sure que tu es déjà trempée.   Et elle passe sa main sur mon sexe qui effectivement est déjà bien humide.    - Tu vois je le savais allez vas t’asseoir au salon.   Je m’installe sur le fauteuil et DOMINIQUE s’assoit sur le canapé en face de moi et me dit:    - Alors tu vois ce n’est pas si compliqué de se promener à poil en ville un samedi matin et en plus ça t’excite, tu es une jolie salope mais pour avoir discuté mes ordres, je vais te punir et en plus je remarque que les poils de ton sexe ont repoussé, tu n’est même pas capable de t’épiler. Approches toi de moi.  Je me lève et me place devant elle.  -Écartes tes jambes, tout ton rasage est à refaire.   Elle prend dans ses mains quelques poils de mon bas ventre en m’attirant vers elle, cela me fait mal, j’ai l’impression quelle va me les arracher. Elle se lève sans lâcher cette touffe de poil et me force à la suivre.    - Suis moi je vais te donner la punition que tu mérites et là crois moi ton excitation va surement s’atténuer tant la douleur va être terrible ensuite je te raserais à nouveau.  Nous montons un escalier, elle ouvre une porte, je suis toujours fermement maintenue par les poils de mon sexe. Je découvre un grenier dont le sol est couvert d’une moquette. Toute la charpente est apparente. Elle m’emmène dans le milieu de cette pièce, prend une corde, m’attache les poignets et me suspend à une poutre. Elle va ensuite chercher une barre d’écartement me la pose aux chevilles et la tend au maximum, je suis carrément écartelée  - Voila grosse salope tu es prête pour ta punition.    Elle commence a me donner quelques claques sur les fesses et sur les seins elle prend entre ses doigts mes deux tétons et les pince fortement, j’ai mal mais elle les tord dans tous les sens et les étire. je commence à hurler de douleur et plus je hurle plus elle tire sur mes seins tout en rigolant. Elle lâche enfin mes tétons, ils sont tout rouges, elle sort ensuite un martinet qui était placé sur une poutre et revient vers moi.   - Je vais te passer l’envie de discuter mes ordres.  Les premiers coups de martinet frappent mon dos et mes fesses, je ne sais combien de coups tombent sur moi mais la douleur est intense, je crie de douleur mais DOMINIQUE continue sans relâche de me punir.  -Tu peux hurler ma chérie, personne ne t’entendra.  Elle tourne autour de moi et commence à me frapper les seins déjà meurtris par la séance de tout à l’heure, des marques rouges apparaissent bientôt sur ma peau. Les coups sont maintenant dirigés vers mon entre jambe et lacèrent mon sexe offert. Après plusieurs minutes, mon supplice cesse enfin, mon corps est couvert de stries rouges. DOMINIQUE s’est maintenant adoucie elle me caresse le corps avec tendresse même avec amour.    -Tu es encore plus belle comme ça, plus excitante avec toutes ces marques, on voit que tu es vraiment ma petite esclave chérie.  Et là, elle se met à me lécher les seins, après la douleur, le réconfort, je suis bien dans cet état de soumise . Elle va ensuite chercher un appareil photo et elle prend plusieurs cliché de mon corps meurtri.  -C’est pour ma collection personnelle comme ça en regardant ces photos tu seras toujours avec moi. Maintenant je vais te raser  Elle étale de la mousse sur mon bas ventre et ensuite commence son rasage, après quelques minutes, je suis à nouveau toute lisse et elle en profite pour reprendre quelques clichés de mon sexe imberbe. Elle me détache, enfin ma punition est terminée et nous redescendons au salon.  -Assieds toi sur le fauteuil et écartes bien tes jambes, j’ai une surprise pour toi.  Au bout de quelques minutes, la sonnette retentit. Je me mets debout pour aller me cacher je ne sais ou mais à ce moment, DOMINIQUE me prend par le bras et me rasseoit dans le fauteuil  - Je t’interdis de bouger et gardes bien tes jambes écartées, c’est ta surprise qui arrive ......
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